Le pouvoir démocratique
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7- 1 O 8
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Le
pouvoir démocratique, une institution arbitraire
q = an
u = ou
w = r
Ä = on
r = ê
c = in
e = é
h = ch
La sauvagerie
particulière de la démocratie, meurtre, tuerie, destruction massive, génocide,
appauvrissement, affamation, discrimination, parti-pris, prédation, etc.
Si paradoxal que cela puisse
paraître, le pouvoir démocratique est en soi arbitraire. Il ne s=agit pas de l=usurpation de l=intention de l=institution en
question, soit son objectif fondamental. Le pouvoir démocratique est
indépendant de toutes et tous, de ceux et celles qui sont idéologiquement ses
origines. Il repose, de toute évidence, sur la volonté de subjuguer les
semblants, défiant ainsi le déterminé et l’hérédité. La spécificité de la
domination démocratique est cet indéterminé. Cela ouvre la porte à tout le
monde ou, plus précisément, au plus malin de toutes et tous. C’est le signifié
même de la démocratie qui s’allie au pouvoir pour un devenir effectif. C’est en
cela même que consiste la modernité de celui-ci. Le préalable nécessaire pour
accéder à cette évidence ou à l’intelligence de l’arbitraire du pouvoir
démocratique est la connaissance claire de la genèse de l=homme. Ce n=est pas le lieu d=en faire la
démonstration. Toutefois un bref rappel s=impose.
L’origine
du pouvoir
Sachons que l=hommalité, cause de l=homme, est d=essence pure passion.
Le premier élément de l=hommalité, qui
apparaît au tout début de la présence, est la jouissance excessive de toute
passion du corps, une jouissance bien sûr non calculée (réfléchie) à ce
stade-ci de l=être. Après un certain
temps cette jouissance finit par se transformer en passion. Autrement dit elle
devient en soi passion, vouloir ou désirer du plaisir pour le plaisir. Cela
débouche sur la passion de soi parce qu’il est tout simplement le lieu où se
forme la jouissance, une jouissance toujours à l’avantage de soi. Le soi dont
il est ici question est le singulier unique, lequel est une production
artificielle de la jouissance. Ce soi est une dénaturation de l’être ofowu,
originel. La passion de soi, toujours en vue de la jouissance, culmine en
finalité de la vie. Un être foncièrement centré sur lui-même, qui est sa propre
genèse comme sa propre finalité. Cependant l’unicité qu’implique une telle
jouissance et le contexte difficile, insaisissable, qu’elle crée – la dissolution
de l’ensemble êtral ou de l’ordre du Nous et la réduction du Tout en des
soi-irrelatifs, sans lien entre eux ou absence de solidarité inter-singulière -
inclinent chacune-chacun, dans le déroulement de la vie quotidienne, à vouloir
soumettre son environnement au profit de cette passion, la passion des passions,
savoir le désir de soi. Ce vouloir est en soi une nouvelle passion. À la longue
elle, la volonté de subjuguer, se donne une forme, d’abord mentale et ensuite
extramentale, le pouvoir, force sauvage institutionnalisée et point de
coordination dont l=objectif est la pleine
satisfaction de soi en tant que pure passion. Alors le pouvoir est en soi
passion, passion brute matérialisée.
Il découle de cela que
le pouvoir, par son origine et sa constitution, n=est pas fait pour être, en acte, celui de toutes et
tous. Il est le pouvoir de son artisan, ce, forcément, en défaveur de ses
semblants. Cela n=exclut pas la
participation, mais d=un nombre réduit, car
on n=exerce jamais seul(e)
le pouvoir. C=est la complexité de
la réalisation du pouvoir et de son exercice qui en est la cause. Ce qu’il faut
retenir ici, c’est que le pouvoir ne digère pas le multiple.
Les conditions de l=avènement du pouvoir,
notamment la ruse, par exemple la philosophie politique ainsi que les
discipline connexes, la force brute ou le pic de l=horreur, les menaces nues et la peur, sont
problématiques et impliquent donc sa contestation sans cesse et sa décrépitude certaine,
mais la passion du pouvoir exceptée. Il s=ensuit que le pouvoir, étant indissolublement lié à la
nature de l=homme, tendance
politique ou inclination à soumettre les autres à soi, laquelle inclination a
pour corollaire le refus de se laisser soumettre par les autres, renaît sans
cesse. Pour le dire autrement, puisque c’est l’homme qui agit, au pouvoir
succède un autre pouvoir. Point n=est besoin de dire que
la fugacité est l=ennemie redoutable du
pouvoir. Pour y faire échec l=artisan-bénéficiaire
du pouvoir renforce, toujours en sa faveur, celui-ci en recourant à une source
extérieure, par exemple la nature ou la science et la divinité. Le discours
occupe alors une place importante dans la construction du pouvoir. La théologie
et la philosophie politique sont des preuves tangibles.
Depuis l=apparition du pouvoir sur
la terre la lutte au sein des hommes, au mieux, au sein de l=hommalité, est la
lutte de pouvoir. On se bat par la force nue comme par le discours pour
s’emparer du pouvoir ou, plus précisément se transformer en pouvoir. Il découle
de ce dernier point que la prétendue science de la politique, qui est celle du
pouvoir, est un mode de combat. Soit dit en passant, il en est de même des
sciences de la politique-pratique qui, par analogie, sont celles du pouvoir en
exercice.
Les
droits de l’homme et le pouvoir
Toujours dans le cade
de la lutte de pouvoir, apparaît, au 17e siècle, en Angleterre, la
doctrine des droits de l=homme, doctrine dont
Thomas Hobbes est l=auteur. Il s=agit du transfert du
droit de la nature aristotélicien à l=homme, autrement dit
le passage du droit objectif au droit subjectif. L=objectif de Hobbes est le fondement individuel non
collectif du pouvoir. Désormais est née une nouvelle idéologie ou science du
pouvoir, l=homme. L’homme se pose
officiellement comme l=origine du pouvoir. Ce
n=était pas un secret
pour plusieurs mais la vérité cachée est enfin rendue publique. La pensée de
Hobbes est une attaque ouverte contre le discours justificateur qui prévalait
et qui prévaut Aujourd=hui encore. Cependant
le philosophe anglais maintient le caractère individuel, partant disparate, de
l=homme, la passion de
dominer et la nécessité du pouvoir effectif en vue de sa satisfaction. Contrairement
aux autres discours, celui du philosophe anglais ne vise pas l=intérêt d=un camp (un groupe) au
détriment de l=autre, d’où le
caractère démocratique Irrelatif du pouvoir – cela est d’une importance
cardinale -, mais la rencontre bénéfique du dominant et du dominé à travers le
pouvoir, au nom du maintien dans l’être. Mission impossible certes. Pourtant
l’auteur anglais persiste et signe. Hobbes pose la nécessité relative de
limiter le pouvoir pour sa réussite et sa durée en lui confiant comme mission la
sûreté des dominés. C=est ainsi que naît un
second caractère, le caractère démocratique relatif du pouvoir.
La spécificité hobbesienne
s=avère une mission
impossible car elle unit bourreau et victime, chat, chatte et souris,
prédateur, prédatrice et proie. Devant la prédatrice ou le prédateur la proie
tombe. Alors le pouvoir démocratique, pour ce qui est son second caractère, étant
une contradiction dans les termes, est un vain mot. Pourtant le prédicat
demeure, il faut y voir une vaine justification, une illusion. Rien de plus.
Dans une telle
situation le seul caractère véritable du pouvoir démocratique est le caractère
démocratique Irrelatif du pouvoir.
Il dérive de tout cela
que le pouvoir est et reste identique à lui-même et que, par conséquent, il s=enracine de façon
continue dans l=hommalité de toujours,
la passion du pouvoir, une dévoreuse de semblants.
Je rappelle qu’il est
ici question de la véritable science de la politique, à savoir la dialectique
dominant/dominé, dont la fin ultime est l’UN. C’est l’essence ou la substance réelle
(objective) du pouvoir démocratique.
Ce
qu’est le pouvoir démocratique
Finalement le pouvoir
démocratique, qu=est-ce que c=est au juste? Le
pouvoir démocratique, qui, par ruse ou stratégie, se présente comme un progrès
positif et le plus parfait modèle, est le commandement de facto sans limites qu=on établit sur l=autre dans le but de
faire passer l’indéterminé au déterminé à la défaveur de la totalité. Le
pouvoir ainsi conçu est le principe de lui-même et en même temps le principe de
toutes choses, gens (passions et raison) et choses, possibles et impossibles,
bref il se crée et crée ainsi un monde parallèle appelé artificiel. En lui, il
puise ses idées, ses matériaux de construction. Il dicte les règles, ses
propres limites temporaires, le permis et l=interdit dans le cas des gens, ce qui doit être
réglementé et ce qui ne doit pas l=être, ce qui est et ce
qui n=est pas, qui doit
vivre et qui ne doit pas vivre, etc., etc., etc. Il résulte de cela que le
pouvoir énonce et supprime. Alors il ne s=embarrasse de rien, ce qui signifie qu=il est non lié. Tout
lui est donc permis, c’est-à-dire qu’il fait et défait. Le mode de procéder
(faire et défaire) ainsi conçu est sans conteste ce qui s’appelle pouvoir et pouvoir
souverain, seul et unique principe.
Une
source unique
Compte tenu de sa
souveraineté, le pouvoir démocratique ne peut pas avoir la multitude pour
origine ni pour finalité. Dans le cas contraire le pacte générateur du pouvoir démocratique
dériverait d=un acte suicidaire
volontaire. Cela est impensable. Ou le pouvoir démocratique est, alors personne
n=est, ou les gens sont,
alors il n=y a pas de pouvoir
démocratique.
La
démocratie du pouvoir en exercice
Cependant le pouvoir
démocratique, parce qu=il se proclame
démocratique, ne se conçoit pas comme obstacle aux gens. La démocratie du
pouvoir en exercice aujourd=hui n=est pas la conception
hobbienne du pouvoir démocratique, elle se réduit à la possibilité d=accéder au pouvoir en
vue d=exercer son hommalité
sur les autres et, par le match social, à la production de l’UN, substance du
pouvoir, le gagnant ou la gagnante dont le pouvoir sera son pouvoir - dans les
deux cas sans appartenir à une lignée de sang spécifique.
Le
pouvoir démocratique est purement arbitraire
L’attitude positive
presque générale vis-à-vis du pouvoir démocratique ne peut en aucun cas lui accorder
une légitimité, de quelque nature que ce soit, à cause, bien sûr, de sa
souveraineté. En effet le pouvoir s=exerce sur la
multitude, une masse de gens, et il n=est pas, et ne peut
pas être, enraciné en eux. Il est leur irrelative contradiction. Le pouvoir tire
plutôt sa source de la conception de
l’homme ou l’hommalité, caractérisée par l’individualité de l’homme, une
conception irrelativement discriminatoire. Le pouvoir est autre que soi, une
construction séparée, et n’a d’hommale que son indépendante et irrelative
liberté. Cohérence oblige. Et cela n’est pas source de légitimité à cause de
son universalité extérieure dont la nature est insurmontable contradiction. Ce
qui suit met en relief la fausseté inconditionnelle des éléments nécessaires à
la génération du pouvoir. Personne ne peut confier la direction du territoire
de ses passions et ses pensées à un autre que soi car ce serait renoncer à sa
substance d’être ou son êtralité. Le penchant à demeurer soi-même s’y
opposerait. Un autre obstacle. Personne ne peut savoir à l=avance ce que sera demain,
voire la prochaine minute, pour soi, élément important à toute décision,
particulièrement dans un contexte d=hostilité généralisée,
qui engagerait l’avenir, un avenir aussi fondamental que celui de son être.
Personne ne peut pré-consentir à être opprimé(e), quelle que soit la forme de l=action, et surtout par
ses rivaux et rivales pour un acte qu=il ou elle aura
volontairement posé parce qu=avantageux pour soi. Ce
serait folie et une folle ou un fou ne peut logiquement pas s’engager. Personne
n=accepterait à l=avance, sans savoir ce
que sera la chose, de renoncer à ses avantages comme à l=expression de son
corps et/ou ses pensées parce que cela déplaira à un autre, son adversaire.
Personne ne peut autoriser à un autre que soi, son adversaire dans la lutte de
pouvoir, de l=arrêter, quelles que
soient les raisons, tout en le (la) méprisant, en la (le) violentant verbalement
et/ou physiquement. Personne ne peut accorder à un autre que soi l=autorisation de l=assassiner selon son
bon vouloir. C’est pourtant ce sur quoi, ces impossibilités ou non-sens, repose
la légitimité du pouvoir. Compte tenu de l’insensé de tout cela, le pouvoir
démocratique est en tous points arbitraire.
Pouvoir démocratique
et division
Le pouvoir démocratique,
parce qu=il est pouvoir et en
sus démocratique, est en soi discriminatoire à l=interne. Il ne protège, et ne peut protéger, personne.
Il est nécessairement ségrégationniste au-delà du groupe d=origine pour favoriser
la semblance. Le pouvoir démocratique, par l=intermédiaire de son appareil oppressif, police et
juge, barre la voie à certaines gens. Des gens, dans l=exercice de leurs droits, se voient barrer la route
par les agents de police qui recourent tantôt à des campagnes de salissage
souterraines, c=est-à-dire dans des
milieux où ils œuvrent, tantôt à des campagnes de dénigrement nationales, et
même internationales, tantôt à des coups montés. Là où cela n=est pas possible, ces
gens sont assassinés, soit publiquement par les corps policiers ou des escadrons
clandestins, soit par des procédés obscurs. Tout cela est possible parce que le
pouvoir démocratique n’est pas le pouvoir des gens.
La
dangerosité du pouvoir démocratique
Il ne fait alors aucun
doute que le pouvoir démocratique est extrêmement dangereux. Ce pouvoir est une
arme puissante contre les gens. Il y a trois éléments qui définissent la
dangerosité du pouvoir démocratique. Le premier est le fait que tous les gens
sont a priori suspects et que le pouvoir les espionne afin de les attaquer. Il
les fiche et les place sous surveillance constante. Ce qui est une invasion de
la vie des autres par des gens comme eux. C=est traiter les gens de l=Ensemble en étrangers, étrangères là où ils devraient
être chez soi. Le deuxième est le fait qu=on peut être empêché(e), par le pouvoir, de gagner ou
vivre sa vie comme tout le monde à cause de ses prises de positions contraires
à celles du pouvoir. Le troisième est le fait que le pouvoir s=autorise à décider qui
doit vivre et qui doit mourir et qu=il tue effectivement
qui il décide de tuer et qu=il accorde la vie à
qui il veut, soit qui il décide de ne pas tuer. Pour mieux comprendre l’extrême
gravité de la situation, il faut nous rappeler que le pouvoir n’est pas doué de
mouvement propre et que ce sont des gens comme nous qui, en exerçant le
pouvoir, agissent ainsi contre nous.
Il dérive de cela la supériorité du pouvoir
démocratique face aux gens et une dichotomie entre les gens par le seul fait que
certains exercent le pouvoir démocratique et que d’autres le subissent. Le
pouvoir démocratique est, avant la fin du match social, en lui-même et pour
lui-même et aussi à la disposition de la mauvaiseté caractérisant celles et
ceux qui l’exercent contre les autres. Rien ne met plus en relief l=arbitraire du pouvoir
démocratique que cette séparation ou discrimination entre les gens. Le pouvoir
démocratique est la sauvagerie en système.
Tout cela prouve
irréfutablement que le pouvoir démocratique n=est pas le pouvoir des gens. Puisque la finalité du
match social, à savoir la production de l’un ou la création de l’homme,
« individu absolu », le pouvoir démocratique est l’instrument de l’extrême
oppression de l’homme contre tout, l’instrument de la violence cyclonique caractérisant
la nature de l’homme contre tout, choses et êtres.
J=en appelle à tous ceux
et celles - quel que soit leur teint et quelle que soit leur culture - qui
cultivent un certain respect pour la vie et eux-mêmes de se dresser contre le
pouvoir démocratique afin de lui faire échec. Je demande en particulier à la
population nègre de la planète terre de se mobiliser contre le pouvoir
démocratique, Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, pour pouvoir se
maintenir dans l=être que nous sommes.
J=invite les philosophes
politiques respectueuses et respectueux de la vie, s’il y en a, à se pencher
sur la question du pouvoir démocratique, objet même de leur discipline, pour le
Bien de l=ordre du Nous. Que
tous les peuples de la terre se mettent debout pour prendre enfin en main leur
destinée contre le pouvoir démocratique.
Pour
une nouvelle planète terre
http://youtu.be/BdMNHtwT8Us
Hrh Prince Tiécoura
Jean Dessalines D=Orléans
7ème de la Génération du
Couple Impérial, Claire Heureuse et Jean-Jacques Dessalines, Invincible Général
et Éternel Empereur,
et spécialiste de la science de la
politique, ainsi que théoricien de la véritable science de la politique
The Imperial
Family and the City of Dessalines speak 7‑ 1 O 8 All rights
reserved
Democratic
power, arbitrary institution
q = an
or = u
w = r
q = on
r = ê
c = in
Translated
by Andrew Williams Jr (14 janvier 2015)
Paradoxical
as it may seem, the democratic power is itself arbitrary. It is not the
intention of usurping the institution in question, its fundamental purpose.
Democratic power is independent of all. It is based on the desire to subjugate
pretenses. The prerequisite for access to this evidence is the clear knowledge
of the human genesis. This is not the place to demonstrate. However a brief
reminder is needed.
Let us
hommalité that, because of the man, is pure passion
essence. The first element of the hommalité, which
appears at the beginning of presence, is the excessive enjoyment of all passion
of the body, of course not calculated to enjoy this stage to be. After some
time this enjoyment eventually turns into passion in itself, want or desire of
pleasure for pleasure, and impose purpose of life. However the difficult
environment in which daily life unfolds each bow‑each one would submit its
environment for the benefit of this passion, the passion of passions. This will
is in itself a new passion. In the long run it or will to subjugate gives a
form, power, strength and wild institutionalized coordination point with the
objective of self‑satisfaction as a pure passion. While the power is in itself
passion materialized raw passion.
Power, its
origin and its constitution is not meant to be, in deed, that of all. It is the
power of his craftsman, so, inevitably, to the detriment of its pretenses. This
does not exclude participation, but a small number, because you never exercises
alone (e) power. It is the complexity of the realization of power and its
exercise, which is the cause.
The
conditions of the advent of power, including brute force or the peak of horror,
open threats and fear, are problematic and therefore imply its constantly
challenged and some decay. But the passion of power remains. It follows that
the power is linked to the nature of man, constantly reborn. In other words,
power succeeds another power. There is no need to say that transience is the
formidable enemy of power. To defeat the craftsman‑recipient of power, always
in his favor, strengthens it by using an external source, such as the nature
and divinity. The speech then occupies an important place in power.
Since the
appearance of the power struggle within the men at best in the hommalité is the
power struggle. We fight by naked force as in the speech. It follows from this
latter point that the science of politics (the dialectic dominant / dominated
essence of power), which is that of power, is a fighting mode. Incidentally, it
is the same science of practical politics which, by analogy, are those of power
in office.
Also in the
case of power struggle, appears in the 17th century in England, the doctrine of
human rights doctrine which Thomas Hobbes is the author. This is the transfer
of the right of nature to man Aristotelian, i.e., the transition from objective
to subjective rights law. The Hobbes target is the foundation of power. Now the
man is officially the origin of power. It was not a secret to many but the
hidden truth is finally made public. The thought of Hobbes is an open attack
against the justificatory discourse that prevailed and which still prevails
today. However, the English philosopher maintains individual character thus
disparate, man, passion to dominate and the need for power. Unlike other
speech, the English philosopher does not seek the interest of one side at the
expense of the other, but the beneficial meeting of dominant and dominated
through the power. Hobbes arises the need to limit the power relative to its
success and its duration by entrusting the safety of mission dominated. Thus
was born the democratic nature of power.
The
Hobbesian specificity appears an impossible task because it unites executioner
and victim, cat, cat and mouse, predator, predator and prey. Before the
predator or the prey predator grave. While democratic power, being a
contradiction in terms, is an empty word. Yet the predicate remains, of course
as justification quoiqu'illusoire.
In such a
situation the power is and remains identical to itself and thus is rooted
continuously in hommalité always, passion of power, a
devourer of pretenses.
Power, what
is it? Power is the de facto command that sets no limits on the other. The well
designed power is the principle of all things, people (passions and reason) and
things, possible and impossible, short it creates a parallel world called
artificial. In it, he draws his ideas. It dictates the rules, the permissible
and the forbidden, which should be regulated and what should not be, what is
and what is not, who should live and who should not live, etc. etc., etc. It
follows from this that the power sets and deletes. So he does not bother about
anything, which means that it is not related. Everything is permitted. The
power is unquestionably sovereign.
Given its
sovereignty, power can not have originated the multitude. Otherwise the power
generator pact derive a voluntary act of suicide. This is unthinkable. Or power
is, then nobody is, where people are, then there is no power.
However
democratic power, because he claims to be democratic, can not be conceived as a
barrier to people. Democratic exercise of power in today is not the Hobbesian
conception of democratic power, it is reduced to the possibility of access to
power in order to exercise his hommalité on others,
and the social game, the production of one substance of power, in both cases
without belonging to a specific bloodline.
This can not
in any way lend legitimacy of any nature whatsoever, in power due course of its
sovereignty. Power is exercised over the multitude, a mass of people, and it is
not, and can not be rooted in them. It is their irrelative contradiction. Power
is other than oneself. No one can know in advance what will be tomorrow or
later to be an important element in any decision, especially in a context of
widespread hostility. No one can pre‑consent to being oppressed (e), regardless
of the form of action, and especially by his rivals and competing for an act he
(she) has voluntarily placed than advantageous because for himself. No one
would accept in advance, without knowing what will be the thing to give up its
advantages as the expression of the body and / or thoughts because it displease
another opponent. No one can authorize someone other than oneself, his opponent
in the struggle for power, while the stop (la) contemptuous, in the (a)
violence to physically. No one can give to another than oneself permission to
assassinate him at his pleasure. Democratic power is in all respects arbitrary.
Democratic
power, because there is power and the Democratic above, is itself
discriminatory in‑house. It protects, and can not protect anyone. It is
necessarily segregationist beyond the original group to promote semblance.
Democratic power, through its oppressive apparatus, police and judge, bar the
way for some people. People in the exercise of their rights, are being block
the road by police officers who use sometimes to underground smear campaigns,
that is to say, in environments where they work, sometimes campaigns national
denigration and even international, sometimes mounted shots. Where this is not
possible, these people are murdered, either publicly by the police or by
clandestine squads or by obscure processes.
There are
three elements that define the dangerousness of democratic power. The first is
the fact that all people are a priori suspect and that the power to spy. It's
plug and place them under constant surveillance. Which is an invasion of the
lives of others by people like them. It's treating people the Ensemble aliens, foreign
where they should be at home. This proves that the power is not power. The
second is the fact that one can be prevented (e), by power, winning or live
life like everyone else because of her positions contrary to those of power.
The third is the fact that power is authorized to decide who should live and
who should die and that he actually killed that he decides to kill and it gives
life to whom he wishes, or that he decided not to kill. They are people like us
who exercise power and, therefore, behave well vis‑à‑vis us. It
derives from this the superiority of democratic power with people and a
dichotomy between people by the fact that some exercise democratic power.
Democratic power is in itself and for itself. Nothing puts more in relief the
arbitrariness of the democratic power that this separation or discrimination
between people. Democratic power is the system savagery.
I appeal to
everyone ‑ regardless of their skin, whatever their culture ‑ that cultivate a
respect for life and themselves to stand up against the democratic power to
make him fail. I ask the negro population of the planet earth to mobilize
against the democratic power‑eating bacteria Négresses and
Negroes, to be able to maintain in being who we are. I invite political
philosophers respectful and respectful of life to address the issue of
democratic power, even object of their discipline, for the Good of the Order of
us. That all peoples of the earth will bring up to finally take control of
their destiny against the democratic government.
For a new
planet earth
http://youtu.be/BdMNHtwT8Us
HRH Prince Tiécoura
Dessalines Jean D'Orléans
7th
Generation of Jean‑Jacques Dessalines
Invincible
General and Lord Emperor
Scientist of
politics
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