Texte renforcé EN RÉPONSE AUX PROPOS DU CHEF DE LA PRÉSIDENCE ÉTATS-UNIENNE D’AMÉRIQUE MESSAGE DU 13 JANVIER 2018
La Famille
Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 o = h © Tous droits
réservés
4
EN RÉPONSE AUX PROPOS DU CHEF DE LA PRÉSIDENCE ÉTATS-UNIENNE
D’AMÉRIQUE
MESSAGE DU 13 JANVIER 2018 : LE BLANCISME EST PLONGÉ DANS LE
DÉSARROI LE PLUS COMPLET DEPUIS LE RÉTABLISSEMENT DE L’ADMINISTRATION IMPÉRIALE
DE L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYTI, EMPIRE DE DESSALINES, SEULE ET UNIQUE FORCE DIVINE
ET SALUTAIRE DE LA PLANÈTE TERRE
PARTAGER
MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
TREMBLE LE BLANCISME, FORCE DU PIC DE L’HORREUR, PARTANT DE
L’AVERSION IRRELATIVE,
CAR S’AFFIRME ENFIN
LE PEUPLE DE DESSALINES, PEUPLE ENDOGÈNE ET ENFANTS DE L’ÉTERNEL
EMPEREUR JEAN JACQUES DESSALINES, L’INFINIMENT GRAND.
Le préalable
nécessaire
à la compréhension
de l’expression « pays de merde »
Pour celles et ceux qui n’ont pas la science ni la
culture du blancisme, cette idéologie, laquelle est aussi une anthropologie,
qui accorde une valeur illusoire, voire relative au merveilleux, au teint
clair, communément appelé blanc, voient dans l’expression « pays de
merde » de Donald Trump, un des puissants chefs du blancisme - au sein de
celui-ci bien sûr -, une référence à la manière soi-disant incongrue de la
pratique de la politique, par certaines personnes dans certains pays. Ils se
trompent royalement.
Quiconque est instruit de l’anthropologie philosophique (histoire
de la pensée de soi en tant qu’être, soit dépouillé de toutes particularités et
tous acquis sociaux, pourtant relié à un groupe spécifique, une contradiction
évidente) et de la praxis européenne, principalement à travers la conquête
extracontinentale, religieuse et politique, sait que les habitants et
habitantes d’Europe ont toujours préconisé un hiatus foncier au sein de l’ordre
du Nous, dont toutes leurs relations et leurs actions dans le monde sont en
tout temps les fruits.
Chose curieuse, on attribue au teint, le blanc et ses
caractéristiques différentielles observables, qui est un accident ou une
détermination particulière, le statut d’essence de l’être (le soi), abstraction
faite de tout ce qui est sensible, une contradiction de toute évidence dans les
termes. Cette disjonction, dans le langage technique comme le langage ordinaire,
prend les noms de gens-comme-nous et gens-pas-comme-nous, termes qui, si
absurde soit-il, dénotent les particularités innées, artificielles et
accidentelles, par exemple, teint, langues, habillement et lieu, soit le
continent.
Le blanc, selon l’anthropologie en question, est l’être
plein et le non blanc, des gens-pas-comme-nous, est l’être-matière,
c’est-à-dire apte à recevoir sa forme du premier, soit le blanc ou
gens-comme-nous.
Il y a plus. La scission, qui institue une hiérarchie au
sein du Nous, lequel s’appelle le lakort, débouche sur deux sortes de valeur,
l’une de grandeur pour l’un, ce sont les gens-comme-nous, et, par voie de
conséquence, l’autre de petitesse pour les gens-pas-comme-nous, une attribution
de l’extérieur dans le dernier cas. La dichotomie aboutit, par nécessité
logique – puisque le calcul générateur de l’homme réduit au teint clair part du
soi sensible – à l’appréciation, voire excessive, de soi, gens-comme-nous, et
partant à la dépréciation monstrueuse de l’autre, gens-pas-comme-nous.
La dépendance du vide (néant), gens-pas-comme-nous, du
soi plein (l’être), gens-comme-nous, laquelle dépendance signifie sa riennité,
et parce qu’elle l’attache irrévocablement à l’être, l’identifie, l’orgueil de
l’homme exige, à ce qu’il y a de plus bas de soi. C’est la merde, d’après la
conception de l’homme. Un autre acte arbitraire.
C’est cela le blancisme, qui n’est pas une chose en soi
mais une idée, une autoévaluation, laquelle n’a rien à voir avec le teint
blanc, lequel est une chose en soi. Toute chose, c’est-à-dire ce qui est vraiment, est
indépendamment de l’idée qu’on en a et n’en reçoit donc pas sa détermination.
Le groupe le plus éloigné dans l’échelle êtrale du lakort
instituée par le blancisme est le teint opposé, mieux connu sous le vocable de
teint foncé. Ici encore il y a une diversité mais dépréciative. La Négresse et le Nègre se voient
accordés l’échelon le plus bas de l’ensemble du Nous et du teint foncé même
s’ils ne sont pas les plus foncés. Alors ils deviennent le vide du vide. La
proposition est certes illogique mais telle est la pensée non pas du blanc mais
du blancisme.
Il y a un traitement qui va avec chaque échelon ou
groupe. Le dieu de la bible, humain dans tous ses détours parce que produit de
l’hommalité, accorde le plus bas statut aux Nègres et Négresses : « Tu seras esclave des esclaves de tes frères,
y lit-on». Le ministre français de la marine et des colonies, Denis Decrès, a,
quant à lui, déjà fait savoir, en s’adressant à nos Ancêtres de Karukera (la
Guadeloupe), que la place des « Nègres » est la servitude. Le philosophe français, Charles de
Montesquieu, dit, en parlant des « esclaves » : « Ceux dont il s’agit, ils sont noirs depuis les
pieds jusqu’à la tête, ils ont le nez si écrasé qu’on ne peut pas les plaindre ».
Il est question de la cime de la cruauté à laquelle sont en proie les Négresses
et Nègres dans les colonies européennes au Masuana, appelé Amérique. Selon le philosophe ils ne méritent pas notre
attention, celle des Français et Françaises, à cause de leur « nez écrasé ». On n’en
voit pas la logique mais le blancisme, esprit incohérent, est égal à lui-même.
Les philosophes anglais et allemand, Hume et Kant, affirment que les « noirs sont si bavards ….» et qu’ils « n’ont jamais rien produit qui va
au-delà des niaiseries ». Bien évidemment cette qualité de l’être est
« néant », le sens second du discours, parce que l’être pensant, l’être le plus haut placé dans
l’échelle des êtres, toujours selon la conception blanciste des
choses, est capable de réflexion, et de grandes réflexions, en vue
d’organiser lui-même sa vie, ce à quoi sont inaptes les «noirs». Après sa farfelue déclaration d’abolition de
l’esclavage, le commissaire français, Félicité-Léger Sonthonax, dit, au sujet
de nos Ancêtres, les Négresses et Nègres ; « Du néant où vous étiez, vous êtes passés à l’existence». Avant l’intervention du blancisme dans leur vie,
ils étaient des riens, « néant », vide. Maintenant, par la
magie de la parole, celle de l’homme, nos Ancêtres sont entré(e)s dans
l’êtralité. Ces propos témoignent de la fonction de créateur des blancistes dans le monde. Ses camarades de la révolution, les Amis des noirs, expriment la
même pensée mais de façon nuancée : « Nous croyons
qu’affranchir subitement les esclaves noirs, serait une opération non seulement
fatale pour les colonies, mais que dans l’état
d’abjection et nullité où la cupidité a réduit les noirs, ce serait un présent funeste». Les Amis des noirs n'adhèrent pas, si l'on se fie à ce qui est dit ici, à l'idéologie selon laquelle les "noirs", dans le sens de Nègre et Négresses, sont naturellement des riens. Cependant ils le sont présentement, "l’état d’abjection et nullité". Comment sont-ils tombés si bas? Les Amis des noirs rendent les esclavagistes responsables de la situation. Pour ce qui est des intérêts des « colonies », les Amis des
Noirs, c’est-à-dire des hommes de couleur libres, rejoignent Denis Decrès, la
sainte bible – il faut le dire tout haut et avec emphase – et Charles de Montesquieu.
Icelui, fort de son grand savoir en matière de la science de la politique (la
philosophie) a ajouté : « Si les nègres ne travaillent pas pour
nous, nous serions obligés de le faire ». Il exprime clairement, par
ces paroles, que le statut des Négresses et Nègres est de servir les hommes. Montesquieu reconduit ainsi la position d’Aristote,
philosophe grec, selon laquelle l’homme ne s’adonne pas au travail manuel. Cette
tâche est réservée aux esclaves, terme désignant une nature. Le travail est lié
aux « noirs », selon Montesquieu, par le simple fait qu’ils sont « noirs »,
signe d’une qualité d’être réduit. Sonthonax lui-même est du même avis : « L’esclavage est nécessaire
et indispensable aux colonies … ». La sainte bible, qui est la parole
de dieu, celui des hommes, donc du blancisme, et de justice, grand concept et
idéal européens, soit des hommes, claironne : « Esclave! Obéissez
à votre maître!» Cela veut dire rester dans la voie qui est la vôtre, celle qui est propre à votre nature, votre qualité d'être.
La dichotomie n’est pas
l’effet d’un hasard, selon le blancisme, mais une question de qualité de l’être.
Revenons à Montesquieu pour sceller cette grande vérité : « Il est
impossible, dit-il au sujet des noirs, que nous supposions que ces
gens-là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on
commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens ». Montesquieu est, sans nul doute, convaincu que
les « noirs » ne sont pas des « hommes ». En plus de la
propriété « noir », le teint, qui expulse les Nègres et Négresses de
l’humanité, il y a, selon le philosophe français, un autre, l’absence « de
sens commun ». Ce trait de l’homme est un acquis du Stagirite, Aristote.
Le sens commun joue un rôle central dans l’épistémologie aristotélicienne, sa
théorie de la connaissance. C’est l’élément qui précède l’activité
intellectuelle. Il fournit à l’intellect son objet. Le sens commun est le début
de l’activité scientifique. Il est indispensable à la production de la
connaissance rationnelle. Cette privation, chez l’être nègre, témoigne aussi d’une
autre absence, les facultés supérieures, lesquelles travaillent avec le sens
commun. Là où le sens commun est absent, les facultés supérieures n’ont pas
leur place. On les trouve en l’homme parce qu’il est une union de corps (âme)
et d’esprit, auquel les facultés supérieures sont spécifiques. Elles
distinguent l’homme de la bête, les autres animaux. La pensée de Montesquieu n’arrive
pas comme un cheveu sur la soupe, elle s’inscrit dans une longue tradition
intellectuelle. Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que
l’humanité, au sens blanciste du terme, n’implique pas les « noirs », elle est exclusive au teint
clair à cause de leur qualité d’être plein, donc
distinct. C’est ce que sous-entend l’opinion
selon laquelle le combat ancestral à Saint-Domingue a pour but l’accession à l’humanité,
une insulte avérée, certes, mais une thèse reprise fièrement par les libres, qui
sont d'incontestables crétines et crétins.
Ce qui est dit ci
haut n’est pas valable pour un temps, ce défaut d’humanité, mais pour toujours
parce qu’il s’agit d’une nature. Toujours au niveau de la naturalité des Nègres
et Négresses ainsi que des autres non blancs, une naturalité originaire du dehors, le Genevois, soit Jean-Jacques
Rousseau, affirme que ce qui distingue l’homme de la bête est l’absence de
nature chez le premier. Autrement dit, la nature de l’homme est qu’il n’a pas
de nature. Il s’ensuit que, selon Rousseau, l’homme est perfectible, capacité
de changement. C’est cela la conséquence immédiate de l’absence de nature.
Il faut tirer de
cela que les non blancs, gens-pas-comme-nous, et les bêtes sont dans la même
situation d’être. Ce qu’ils sont, ils le sont à jamais à cause de la nature qui est la leur. Ils sont
imperfectibles, incapables de changement, parce qu’ils ne sont pas doués de
capacités intellectuelles.
.
.
Emmanuel Kant,
ainsi que son grand ami, Hume, a épousé le point de vue de Jean-Jacques
Rousseau, savoir la capacité de versatilité de l’homme. Ce philosophe allemand
dit que « les blancs originaires de la populace peuvent s’élever à n’importe
quelle hauteur ….. », Cela s’explique par leur perfectibilité, absence de
nature, et la jouissance de la raison, principe de la
réflexion et, ipso facto, la production intellectuelle. Cette assertion
d’Emmanuel Kant n’est pas une simple pensée, elle est aussi une conscience,
celle des blancistes, une espèce distincte par désolidarisation. Je me rappelle
les propos d’un de mes étudiant(e)s, un Canadien-français québécois de Montréal
qui, après quelques années de je ne sais quoi en dehors des murs de l’école,
est retourné aux études, comme c’est souvent le cas au niveau collégial québécois.
Au cours d’une conversation avec un de mes collègues, au sujet de l’immigration,
qui, de toute évidence, le révolte – je ne sais pas de quel droit l’ethnie
canadienne-française du Québec s’oppose-t-elle à l’immigration, un groupe de
gens qui n’est ni sur son continent ni sur son territoire -, il laisse tomber
ces paroles : « Mon ami à moi qui travaille à l’immigration
canadienne de Montréal m’a dit : ‘Si tu vois la scrap qui rentre ici, mon homme’ ». Nous savons très bien que
les immigrantes et immigrants ne prennent pas l’avion sans être proprement
habillés. Pourtant l’étudiant en question
ignore en tous points l’hygiène quotidienne, par exemple se baigner au
réveil, se brosser régulièrement les dents, changer tous les jours de
sous-vêtements et de linge au moins deux fois par semaine, tout ça pour chasser
les dégoûtantes odeurs des heures passées, pour ne pas bien sûr incommoder les
autres, à moins que ce soit un des droits naturels de l’homme et surtout une
des armes de destruction massive. Il y a toutes sortes d’armes biologiques, ce
n’est un secret pour personne. Pour ce qui est de son ami fonctionnaire, sans
le connaître personnellement, on en voit la sorte, « Qui se ressemble s’assemble ».
On croit, dans certains milieux, que pouvoir prendre enfin un verre de vin fait
l’homme parce que cela s’appelle civilisation. A-t-on déjà vu des
chauves-souris fumant une cigarette? Les paroles du fonctionnaire de l’immigration
canadienne à Montréal, rapportées par « l’étudiant » rejeté du marché
du travail, sont intéressantes à plus d’un titre. En effet ces gens qui sont
malgré tout de la »scrap » sociale, leur propre société, faut-il le
souligner, se savent, non sans raison – pensons à l’idéologie blanciste – distincts
de ces immigrants et immigrantes, c’est-à-dire qu’ils n’appartiennent pas à la
même espèce. Ce qu’ils jugent, c’est bien les caractéristiques
différentielles observables de ces nouveaux arrivants et arrivantes. Ils
y voient la qualité de leur être, une qualité certes négative. Ils croient
pouvoir devenir autre par une nouvelle situation sociale mais pas ces
immigrantes et immigrants d’une autre espèce. C’est de cela que parle le
philosophe allemand. Le teint clair, ici le blanc, est perfectible tandis que les nègres, toujours selon Kant, resteront toujours
ce qu’ils sont parce qu’ils « ne peuvent rien produire qui va au-delà des
niaiseries ». Il entend par là que la
perfectibilité et les grandes productions vont de pair. On ne peut pas être
perfectible sans être doué(e) de raison. Les Négresses et Nègres, parce qu’ils sont
des soushumains, ne sont pas doués de perfectibilité. Ces gens-là ont une
nature figée, qui les retient dans ce qu’ils sont. Au Canada, la pratique est encore
plus répandue au Québec, une Négresse ou un Nègre ayant une scolarité de loin supérieure
à un blanc, dans le sens de teint clair, est moins qualifié(e) ou instruit(e)
que celui-ci. C’est la politique officielle, bien que non énoncée publiquement,
mais elle n’est pas respectée à la lettre à cause des blancs-tout-court.
La nature est ici
quelque chose de figé. Il faut y comprendre que le nègre et la négresse
d’aujourd’hui sont en tous points pareils au nègre et à la négresse d’hier. Il
en sera toujours ainsi indépendamment du temps et des lieux.
Comme l’homme
aime piétiner, humilier et réduire à l’infini zéro ce qui est au-dessous de lui
afin de s’affirmer – c’est cela être pour lui -, les non blancs, spécialement
les Nègres et Négresses, sont qualifiés de sous-humains et sont réduits à ce qu’il y a
de plus dégoûtant chez les humains, c'est-à-dire la merde (le caca), déchets humains.
Alors les « pays de merde » sont des déchets
humains, non pas au sens littéral mais figuré. C'est une façon de dire qu'ils ne sont rien, comparé aux hommes. Cela signifie philosophiquement, et c’est là le point central des paroles de Donald
Trump, chef de la présidence des États-Unis d’Amérique - un pays blanciste, la culture dont il est tout imprégné -, des pays, particulièrement des
gens, improductifs et incapables d’être par eux-mêmes et complètement
dépendants des hommes. Jean Jacques Dessalines a très bien maîtrisé l’idée
d’esclave : «Le nom français lugubre encore nos contrées, dit-Il. Tout y retrace le
souvenir des cruautés de ce peuple barbare: nos lois, nos moeurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte
française » … « Et
quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves.» « Nous
avons osé être libres (Gwqmun), osons l'être par nous-mêmes et pour
nous-mêmes ». «Marchons
sur d'autres traces ». Quelle puissance,
Jean Jacques Dessalines ! Une Puissance inégalée et inégalable. Cantonné
dans la pensée de l’esclave, pourquoi ouvririons-nous nos portes à de telles
« choses », du fatras, se demande Donald Trump? Pourquoi n’allons-nous
pas chercher des blancs, par exemple des gens de la Norvège, des gens capables
de faire progresser la nation par leurs talents, des gens-comme-nous ? Le président des États-Unis, Donald Trump, n'a pas dérogé à la norme. Pourtant par lui le scandale arrive.
L'expression « pays de déchets humains » est lourde de significations. On régresse car, comme on l'a vu ci-devant, c'était la façon officielle de s'exprimer autrefois en public. Mais c'était avant la Victoire Décisive et Incisive de l'Invincible Général Jean Jacques Dessalines sur le blancisme. Sans renoncer à ses croyances en matière de la mauvaise qualité de l'être non-blanc, surtout les Négresses et Nègres, on procède par l'extase, faire semblant de leur reconnaître une certaine valeur afin de ne pas provoquer sans cesse l’affrontement. Cussy 1685 : “Nous avons dans les nègres de redoutables ennemis domestiques.” Le président états-unien, en disant tout haut ce que ses confrères et consœurs disent tout bas, vient de rompre avec une tradition vieille de plus de deux-cents ans, une tradition qui, par-dessus le marché, a porté fruits. À preuve, les noir(e)s libres pullulent. On craint que, par la maladresse d'un seul, émerge le Dessalines de l'être nègre. C'est la raison pour laquelle les propos de Trump ont suscité un si grand tollé d'indignation, au sein du blancisme. Nul n'est indispensable dans le monde blanciste.
L'expression « pays de déchets humains » est lourde de significations. On régresse car, comme on l'a vu ci-devant, c'était la façon officielle de s'exprimer autrefois en public. Mais c'était avant la Victoire Décisive et Incisive de l'Invincible Général Jean Jacques Dessalines sur le blancisme. Sans renoncer à ses croyances en matière de la mauvaise qualité de l'être non-blanc, surtout les Négresses et Nègres, on procède par l'extase, faire semblant de leur reconnaître une certaine valeur afin de ne pas provoquer sans cesse l’affrontement. Cussy 1685 : “Nous avons dans les nègres de redoutables ennemis domestiques.” Le président états-unien, en disant tout haut ce que ses confrères et consœurs disent tout bas, vient de rompre avec une tradition vieille de plus de deux-cents ans, une tradition qui, par-dessus le marché, a porté fruits. À preuve, les noir(e)s libres pullulent. On craint que, par la maladresse d'un seul, émerge le Dessalines de l'être nègre. C'est la raison pour laquelle les propos de Trump ont suscité un si grand tollé d'indignation, au sein du blancisme. Nul n'est indispensable dans le monde blanciste.
Puisqu'il est question, dans cette affaire, de la qualité de l'être, la réponse qui suit est la seule qui vaille parce qu’elle
est en adéquation avec le champ sémantique des propos du président des
États-Unis.
Faut-il le reconnaître, l’Invincible Dessalines n’est jamais loin. Dessalines pi wrd.
Faut-il le reconnaître, l’Invincible Dessalines n’est jamais loin. Dessalines pi wrd.
La réponse : UN EMPIRE, UN
FLEURON
Il est établi, à l’Érection de Notre NqhÄ, que les couleurs de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines sont Noir et Rouge, Noir, pour l’invariable et indéfectible unité du lakort munal, parce qu’il dénote l’absence de teints – il s’agit de l’extension planétaire du Pays -, et Rouge, pour le sang versé consenti, impératif de la Gwqmunalité, laquelle est l’expression et la protectrice de notre être, élan se résumant en être uniquement en Soi, par Soi et pour Soi, la seule chose qui vaille, ce qui se traduit par Gwqmunalité ou la mort. Par ce Grand Symbole, savoir le Bicolore Noir et Rouge, on reconnaît cette Pureté d’Être qui se donne une silhouette sensible dans le monde, dénommée l’Éternel Empire d’Ayti, dont son Éminent Peuple est l’une des propriétés nécessaires, notamment le Peuple Initial, Peuple Ancestral, évidemment les Négresses et Nègres, qui en est l’Auteur. Le Bicolore Noir et Rouge se résume comme suit : le particulier, soit la négro-jelefweité, consent à verser son sang, voire à en mourir, pour l’unité massive du lakort munal, se donnant pour forme dans le monde sensible, l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de Dessalines.
Le Bicolore, qui témoigne de la Grandeur indescriptible, au niveau du connaître, et la Gloire Ancestrales - soit des Négresses et Nègres razziés, déportés et
implantés sur le continent Masuana, bien que les mains nues, transformés en
Braves Combattantes et Combattants, contre un prédateur à nul autre pareil et
lourdement armé, jusqu’à la Victoire Décisive et Incisive, par l’entremise de
l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, sur la Bactérie mangeuse de
Nègres et Négresses - repose sur une attitude bien calculée parce qu’en pleine
concordance avec la Volonté de Notre Dieu, BON-DIEU, et la constitution interne
munale, qui est la nôtre, laquelle attitude est comme suit définie par l’Invincible
Général Jean Jacques Dessalines, À Jamais Vainqueur de la vilenie, le
blancisme : «Oui nous avons rendu à ces cannibales guerres pour guerres, crimes
pour crimes, outrages pour outrages ». Ce qui fait la valeur de ces immortelles paroles,
c’est qu’elles recèlent une connaissance profonde de soi-même. Car il n’y
a que les êtres pleinement conscients de leur exceptionnelle Valeur, qui en
fait leur inestimable Grandeur, et imprégnés de leur plénitude qui puissent
répondre ainsi à un acte attentatoire à leur êtralité, fait de présence. Faut-il le souligner, encore une fois, ces
êtres sont des Négresses et Nègres imbibés de leur Négro-gelefweité, manière
d’être congrue et la toute première science de soi (le dqmbala, connaissance
vraie) de la terre : “Les
forces insurgées, dit à ce sujet le
gouverneur Blanchelande à son homologue de Santo-Domingo, étaient formées
exclusivement de Noirs, et non de mulâtres ni d’autres libres de couleur”
« La race blanche, poursuit le gouverneur français, et la
classe de gens de couleur, et les Noirs libres sont unis, il n’y
a que les esclaves qui sont ouvertement soulevés, et qui tuent leurs
patrons et incendient leurs habitations ». « Blanchelande au gouverneur de
Santo-Domingo (S.d.) », AGI, Santo Domingo, 1029, f. 1.. Le travail n’est pas fini. En octobre 1802, les populations de l’Artibonite – composées
majoritairement de Bossales, Nègres et Négresses fraîchement arrivés dans l’Île
-, nomment, après la reprise de la Crête à Pierrot, le Général Jean Jacques Dessalines le Chef de l’Armée Indépendante, soit séparée de l’armée coloniale. Cette
nomination débouche sur l’Érection de l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de
Toya-Dessalines, allusion faite ici au Super Couple pour le succès de la
Résistance Gwqmunale. Cet Empire, de par sa vérité, soit la
correspondance du discours le soutenant, sans oublier la structure de la chose,
à l’être que nous sommes vraiment, est l’élément le plus précieux et le plus
beau de la terre. Il est la preuve tangible que le lakort munal soit capable de
science, de grandes spéculations par le tribunal divin en lui, et de grandes
réalisations.
L’Empire d’Ayti a pour Solage Notre Dieu, Bon-Dieu, l’individu
(lakort) munal et le Missionnaire Divin, soit Jean Jacques Dessalines, élevé
par Agbawaya Toya, pour n’en citer que ces trois. Son mode de fonctionnement est la
Royauté Ancestrale, une des propriétés du Solage. Cette forme d’être dans le
monde (un ubuntu) qui est en parfaite concordance avec la Fondation - ici le
savoir architectonique, qui est principalement Notre Dieu, Bon-Dieu, soit Dieu
Véritable par opposition au dieu blanciste qui est une création (par projection
de soi, le soi hommal) de l’homme à son image -, est la gestion de soi, le soi
lakortal munal, bien sûr, par soi, c’est-à-dire par le moyen duquel
chacune-chacun, être de dépendance mutuelle et d’indépendance irrelative, soit
gwqmuntrt - la transcendance dans l’immanence -, arrive au parachèvement de soi,
manifestation de la constitution interne munale dans le monde sensible, le
point culminant de l’être que nous sommes. Ce savoir, et l’institution qui en dérive (l’Empire
d'Ayti), relève de la compétence munale et il est le fruit de la plénitude et
la finesse bÄnqyelle des Ancêtres, nos
Ancêtres. L’Éternel Empire de Dessalines,
Empire d’Ayti, l’Empire de la Gwqmunalité, est une concorde accomplie,
chacun-chacune, sous la direction du dqmbala de soi, est le sujet de la pratique de sa vie, ce qui fait de toutes et
tous des badr, soit des activités dans l’omunonÄité, qualité d’être identique à soi-même, le
soi initial munal. L’Empire d’Ayti est la plus Grande Institution de la
planète, la seule qui soit Noble, à cause de sa perfection, et le lieu
salutaire de la planète terre.
L’humanité
L’Éternel Empire d’Ayti a émergé, sous forme de Réponse
Divine, en réaction à l’hommalité et, plus particulièrement, au blancisme,
force excessive du plus grand Mal qui soit. Tout d’abord le blancisme est une
apologie de l’homme, un universel distributif, parce que les hommes sont disparates
et qu’ils s’excluent réciproquement par leur substance commune. Ils sont irréconciliables. L’exclusion s’explique
par le caractère hiérarchique de l’homme, savoir que chacune-chacun veut
posséder l’autre parce qu’il le perçoit, un élan de son être, comme néant à ses
yeux. Cette sinistre anthropologie a pour contenu les droits de l’homme, une
connaissance en surface certes de soi. Elle fait de chacune-chacun des bandits irrelatifs, ce
que le philosophe anglais, Thomas Hobbes, définit par la fameuse
proposition : « L’homme est un
loup pour l’homme». L’anthropologie de droits, qui est en somme la
dénégation de ses semblants, débouche sur une impasse qui ne peut s’amoindrir
que par la violence, défaire les autres (les semblants ou rivaux) pour se faire
soi-même, une cruauté inouïe.
Etant de la même psychologie, à savoir que l’un est un loup
pour l’autre, donc des bandits, les hommes, plus précisément les blancistes, se sont donné un mode de réification propre pour
éviter, dans ce tohu-bohu de violence, leur disparition certaine par suppression mutuelle. En d’autres mots ils approuvent cette nature
d’irréductibles et irréconciliables rivaux en se donnant les moyens de la
faire advenir, alors la créer, la structure. C’est prendre l’effet pour la cause. Pour atteindre leur objectif, ils partent du principe, un principe sans base réelle,
selon lequel vivre est un jeu alors quiconque perd acquiesce et quiconque
gagne en fait autant. Ce principe est suggéré par
l’anthropologie des droits, de ce fait il comporte le rejet inconditionnel de l’autre,
comme étranger à soi. Ainsi le caractère
individuel de l’être demeure et il sert de base et de référentiel à la vie organisée.
C’est de là que l’organisation, qui est en fait une association, tire son mode
de fonctionnement et sa finalité. En somme on se donne pour fonction de gérer le conflit afin
de rendre effective la structure mentale causale, soit l’assujettissement de
tous à l’un. Pour le dire autrement, les hommes inventent un système collectif
pour rendre productif le désordre, qu’ils ont défini comme naturel, dans les
limites de sa naturalité. L’aspect d’étalon de la nature demeure, il est tout simplement amputé.
Voyons voir. Il n’y a pas de jeu sans mise. La mise est sa force,
physique et intellectuelle, et l’objet de celle-ci (la force en question) est
production-consommation. Cela fait du blancisme une civilisation de la matière,
une dégringolade vertigineuse par rapport à la constitution interne munale, l'être initial et ofowu, produit de la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu.
Cela ne peut pas se faire, pour démarrer, sans arbitre et les règles de
l’arbitrage, pour contrecarrer tout sale coup, doivent être produites par un
tiers, qui n’est pas partie prenante du jeu. L’arbitre est aussi ce tiers, une double fonction.
Le tiers, qui n’est pas encore, s’institue par l’appropriation de tous les droits de l’homme, au mieux, des hommes puisqu’ils sont disparates, ce qui fait de lui (le tiers) la seule puissance du terrain, dénommée conventionnellement puissance souveraine, soit sans rivale et irrelativement contraignante. Le tiers, qui s’appelle aussi le pouvoir, , par la concentration de tous les droits naturels, est en lui-même une obligation suffisante.
Le tiers, qui n’est pas encore, s’institue par l’appropriation de tous les droits de l’homme, au mieux, des hommes puisqu’ils sont disparates, ce qui fait de lui (le tiers) la seule puissance du terrain, dénommée conventionnellement puissance souveraine, soit sans rivale et irrelativement contraignante. Le tiers, qui s’appelle aussi le pouvoir, , par la concentration de tous les droits naturels, est en lui-même une obligation suffisante.
Il faut le dire avec fracas et panache, la pseudo science
de soi, qui part de l’effet pour la cause, et l’association qui en découle, c’est
une régression spectaculaire au sein de l’ordre du Nous, en ce sens que les
hommes rompent avec la munsqmba, le dqmbala (connaissance vraie) de soi, et la
finalité ofowu (conforme à la Volonté de Notre Dieu) et immédiate du lakort,
qui est le nôtre.
Cela ne peut pas devenir effectif et être efficace sans
l’accord préalable et unanime des hommes. Il faut voir ici l’engagement de
chacun-chacune. Une consultation est alors requise. Ce processus s’appelle
démocratie, une activité dérivant d’un projet de vie-collective-hommalisée,
lequel projet repose sur l’anthropologie des droits, qui, du coup, lui souffle
sa structure hiérarchisant, à laquelle (l’activité), suivant les modalités,
prennent part les hommes sous forme de consentement, en vue de faire advenir
l’homme, soit l’un suivant la doctrine des droits, donc sa création effective,
par la possession totale (gens et choses), toujours conformément au mental
constitutif de l’homme, dont les termes seront fixés et imposés par la
puissance souveraine. Les termes remplacent les droits naturels et, par leur
artificialité, se nomment aussi droits mais droits politiques.
Par ce procédé, les hommes ou blancistes institutionnalisent le banditisme dérivé des droits de l’homme et transforment les bandits savqn (des indépendantes et égales libertés) en bandit-légal (ce terme est invariable).
Par ce procédé, les hommes ou blancistes institutionnalisent le banditisme dérivé des droits de l’homme et transforment les bandits savqn (des indépendantes et égales libertés) en bandit-légal (ce terme est invariable).
Cette démarche implique la production d’une dimension
universelle artificielle pour dresser les hommes comme on dresse n’importe
quelle bête, dont la structure est hiérarchique, dominant/dominé, et aussi l’idée
de perfectibilité des hommes, c’est-à-dire une matière à donner forme.
La politisation ou société, dont la démocratie est une
des propriétés, est un lieu où des opposants s’affrontent non pas pour être
pleinement mais pour être vraiment, soit l’un aux dépens des autres. Ce passage de néant à l’être dépend de
l’exploitation efficace de la liberté au désavantage des autres, sa liberté, qui est un des droits
fondamentaux constitutifs de l’homme, soit l’individu, dans le sens blanciste du terme. La liberté s’exerce contre les semblants
et dans l’unique intérêt de soi, l’homme ou l’individu, un singleton. Le philosophe états-unien, Robert
Norzick, auteur de l’État minimal et
farouche partisan de la liberté, est très clair là-dessus. Dans le jeu initié
par les droits de l’homme, c’est à chacune-chacun de faire preuve d’habilité
car, si on perd, personne n’a à faire attention à soi. C’est à chacun-chacune
de faire un bon usage de sa liberté, c’est-à-dire jouer de façon à l’emporter
sur les autres. La puissance souveraine, toujours selon le théoricien
états-unien, n’a pas à s’occuper de toi. Elle doit réduire de beaucoup son
champ d’action dans
la pratique de la liberté et, en contrepartie, élargir celui des joueuses et joueurs, donc
des citoyennes et citoyens.
On voit bien qu’on est à des années-lumière de la
Puissance Collective Munale Dessalinienne dont la Mission Divine est de
s’occuper du Peuple Impérial, déclaré Enfants de Sa Majesté Jacques 1er
, non pas de manière à les opposer les uns aux autres au bénéfice du plus malin
ou plus habile mais leur donner des moyens pour s’intégrer dans le
concert du NOUS MUNAL, soit s’assister mutuellement. C'est cela la pensée et le mode d'être ubuntu : Je suis parce que nous sommes, une unité indivise, non hiérarchisée et impossible de réduire à un ordre hiérarchique, bref, une concorde parfaite. «Maintenez, dit l’Éternel Empereur, cette précieuse concorde, cette heureuse harmonie parmi vous ;
c’est le gage de votre Blrz, de votre salut, de vos succès ; c’est le
secret d’être invincible ». L’Empereur a
aussi dit « Malheur
à celui qui portera sur les degrés du trône, d’autres sentiments que ceux d’un
père de famille ». Le Pays de Dessalines est une unité indivise (un trait de la chose), savoir que chacun-chacune coule dans chacune-chacun non pas pour l’absorber mais le compléter suivant leur
constitution interne munale. On s’occupe de chacun-chacune pour le Bien de l’Ensemble,
qui est aussi soi-même. Notre Éternel Empire Ancestral, qui s’inscrit dans l’Ancestralité,
est une concorde accomplie. Il est alors l'échec total-capital au banditisme-légal des "pays" blancistes. L’Empire
d’Ayti, fruit du grand savoir de nos Ancêtres, des Négresses et Nègres, est le Joyau de la planète et le fruit de Grands
BÄnqy. L'Éternel Empire Ancestral est supérieur à tout ordre collectif non ubuntu.
La supériorité du Pays de Dessalines, face aux soi-disant
pays blancistes, est son adéquation à quelque chose qui le précède, quelque
chose de plus grand, et qui lui sert de référentiel. C’est une exactitude
enviable.
C’est là qu’on voit l’utilité de
la perfectibilité comme instrument de la justification du système de création,
celle de l’homme, bien sûr. Si l’homme n’était pas posé comme perfectible, l’institutionnalisation
du banditisme, initié par les droits naturels, en vue de faire advenir l’homme,
soit la structure mentale génératrice de l’hommalité, serait arbitraire. Le fait
que la naturalité, ici les droits naturels comme substance première de l’homme,
indique la voie et ce qui est propre à celui-ci, elle est donc l’étalon, fait montre
de la difficulté de l’idée de perfectibilité. L’homme est à la fois perfectible
et imperfectible. Le droit positif, par l’imperfectibilité de l’homme, se
trouve dans l’impasse. La perfectibilité permet, sous un rapport, de produire
une nouvelle substance de l’homme, et sous ce même rapport, elle frappe un mur,
l’indestructibilité des droits, puisque, étant les éléments à réaliser, lesquels
sont déjà la structure, il n’est pas possible de déroger aux droits naturels. Cela
est en obstacle à la capacité de versatilité. L’homme doit rester tel quel, c’est-à-dire
des individus, qui sont des indépendantes et égales libertés. L’homme est indestructible
ou ne peut pas être façonné autrement pour la réification de l’homme. Il s’ensuit
que la société de droit ou démocratique est un système d’oppression sans fin.
La liberté est l’état mental des êtres sommaires et elle
donne naissance à une institution avoisinant l’état de nature. Elle
fait de la prédation une activité positive, ce que le Plus Que Grand, Jean
Jacques Dessalines, appelle la cannibalité. Les hommes, avant l'institution de la collectivité, étaient ennemis les uns des autres; après cette institution, ils sont et restent positivement ennemis. Tout pays de
liberté est une savqnie, sauvagerie en système.
La société démocratique, dénommée aussi l’État de droit, est une structure superficielle dans le sens que les « individu », soit citoyennes et citoyens, à cause de leur irréductible kukuité, l’être réduit à soi-même, sont liés en surface entre eux par l’universel social, dicté par la puissance souveraine au moyen des droits politiques. Il en est ainsi parce qu’elle résulte d’une structure d’être, le mental, elle-même peu élaborée et du caractère unidirectionnel de l’être hommal même, dont le blancisme est une des mises en forme sensibles. La structure politisative blanciste est alors sans envergure. Elle est une grille limitée, tout ce qui n’y passe pas n’est tout simplement pas. C’est là ce qui explique sa dangerosité, en particulier la cannibalité.
La société démocratique, dénommée aussi l’État de droit, est une structure superficielle dans le sens que les « individu », soit citoyennes et citoyens, à cause de leur irréductible kukuité, l’être réduit à soi-même, sont liés en surface entre eux par l’universel social, dicté par la puissance souveraine au moyen des droits politiques. Il en est ainsi parce qu’elle résulte d’une structure d’être, le mental, elle-même peu élaborée et du caractère unidirectionnel de l’être hommal même, dont le blancisme est une des mises en forme sensibles. La structure politisative blanciste est alors sans envergure. Elle est une grille limitée, tout ce qui n’y passe pas n’est tout simplement pas. C’est là ce qui explique sa dangerosité, en particulier la cannibalité.
Voici
un aspect de l’exercice de la liberté positive. Les traitements que l’on réserve aux citoyens et
citoyennes aux pays de liberté provoque le vomissement. En effet la valeur d’un
homme est liée à sa réussite sociale, laquelle se définit par la quantité de
biens que l’on possède et le degré de son savoir, lequel se mesure par
l’influence que l’on exerce sur les autres à travers cet acquis. La valeur par
le savoir est moins répandue parce que ce chemin est trop ardu. En plus de cela
les biens qu’il procure sont trop limités. Les affaires garantissent plus de
biens et en un temps très court. La vaste majorité des gens ont les yeux rivés
vers les affaires. Sentiment de distinction exige, avant tout on est en
humanité, la praxis vers l’un, il y a des clubs sélects qui se forment partout.
Ils sont constitués de gens qui atteignent un niveau social élevé. C’est le
double rejet de ses rivaux. L’orgueil de l’homme. La majorité des règles
politisatives, propres à la course instituée, favorisent ouvertement les gens
d’affaires. Cela est tout à fait logique. On constate que, pour favoriser
l’enrichissement, on autorise l’assassinat des uns par les autres sous le motif
de protection, une mine d’or en collectivité d’opposants et opposantes. Ce qui
justifie la production et la consommation à outrance des armes. On produit les
maladies à un rythme vertigineux afin de produire au même rythme des
médicaments, qui, dans la majorité des cas ne guérissent rien. La production
des aliments est un des vecteurs de maladies de toutes sortes. Les conséquences
sont désastreuses. Les maladies de la liberté tuent massivement. Que l’on
s’informe auprès des croque-morts pour savoir le nombre de personnes portées en
terre en un mois. Il y a de quoi tomber en syncope. La mort est entrée dans le
système comme moyen de s’enrichir au nom de l’un, l’homme, être mental. La
puissance souveraine, pour rendre encore plus prospère la chose, tue des
citoyens et citoyennes par ses corps de police et ses forces armées, la force combinée de l'insécurité publique. On
suscitera une guerre nucléaire lorsqu’on jugera que cela servira aux affaires. On
utilise les semblants comme cobaye avant de les conduire à l’abattoir de ses
intérêts. Rien n’est laissé en dehors du jeu macabre de la production de l’un,
soit l’homme. La règle, c’est la règle. Emmanuel Kant soutient que la loi, même
injuste, doit être respectée car il n’est autorisé à personne de s’y soustraire.
Il s’ensuit qu’en humanité les citoyennes et citoyens ne s’appartiennent plus. Et
c’est cela l’esclavagisme naturel.
Ce qui précède se passe à l’intérieur des pays de liberté.
De même qu’on maltraite les gens de l’intérieur au profit de la cause hommale,
de même on se sert des autres, les gens du dehors, pour atteindre l’objectif.
L’esclavagisation externe en est un exemple. Les hommes font régner le pic de l’horreur
dans leurs colonies. Ils sont toujours assoiffés de sang, le sang nègre. Des peuples
ont disparu sous l’effet de la blancismique. Les hommes ou les libertés
démocratiques pillent les ressources des pays jugés autre et, par le fait même,
appauvrissent et affament les populations. Les blancistes ont recouru, et
recourent encore, à toutes sortes d’armes de destruction massive, notamment les
maladies inventées dans les laboratoires, les cyclones et tremblements de terre
artificiels pour atteindre leur but, qui est de se réifier, soit se créer. L’arme
pointée sur eux, ils dictent aux peuples sans défense la marche à suivre. Ils
tiennent à être les seuls qui soient armés pour continuer de semer sans cesse
la désolation. Les blancistes sont les seuls grands criminels de la planète.
Tout bien considéré, les pays blancistes ne sont pas des
pays proprement dits mais des associations de bandits. Et c’est le bloc auquel
appartiennent les États-Unis d’Amérique, dont Donald Trump est le président.
Il n’y a pas lieu d’être fiers, fières de cette chute, de
cette dépravation au superlatif. Pourtant les blancistes sont d’avis contraire.
Leurs sorties contre les autres modes d’être en sont les preuves.
La cannibalité est le terme inventé par le Grand BÄnqy Négro-jelefween, Jean Jacques
Dessalines, pour décrire ce mode d’être dans le monde, dont le blancisme, verte
épidémie, est le champion incontesté et incontestable.
Le système de liberté ou de droits est le plus vil de tous
les systèmes pensés jusqu’ici par les hommes, en matière de rejet, d’exploitation et de riennisation des autres. En effet la grandeur d’un homme ou être humain
réside dans la privation de l’autre ou des autres des moyens et biens pourtant
auxquels ils ont naturellement accès, et même de la vie, ce que les blancistes appellent
le premier des droits, puisque presque toute l’attention des blancistes se
portent sur un arsenal de plus en plus capable de massacrer le plus de gens
possible. Arrêtez un instant pour bien penser à ces faits. Par les droits de
l’homme, substance de celui-ci, un groupe d’hommes peut esclavagiser les autres
gens, tenter de les transformer en un état avoisinant l’idée arbitraire de
l’esclave, soit s’ériger en obstacle à leur mouvement propre, ce sous le pic de
l’horreur, et bloquer aux autres, parce qu’il les qualifie de soushumains, l’accès
aux moyens nécessaires, fournis par l’environnemental à tous et toutes pour
leur maintien et leur développement, au niveau de l’être, leur être ofowu, puis
inventer des moyens vertigineux pour les tuer massivement, cela en toute bonne
conscience. Ce comportement est un mode de vie, un mode de vie spécifique, celui du
blancisme, la
plus haute expression de l’hommalité, gangrène de la terre, alors que la manière d’être proprement impériale, dont l’Invincible
Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines est le principe, est érigée
en asile sûr aux gens, sans nuances épidermiques, victimes du despotisme
hommal, de quelque nature que ce soit, et en leur vengeresse : « J’ai
vengé, dit-Il, tous les gens et les peuples victimes du blancisme et disparus
sous la blancismique ». Quel indicible Bijou, Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos et élevé par Agbawaya Toya! Le système blanciste ou de droits naturels et
positifs de l’homme fait de la bassesse (contenu d'être du blancisme) la chose la plus honorable, soit la
plus haute vertu. Il n’y a rien de plus vil sur cette planète. Le blancisme est
l'irréductible cauchemar de la terre tandis que la Dessalinienne, base de l’Éternel Empire
Ancestral d’Ayti, est ce vers quoi tend l’être le plus pur pour être en soi,
par soi et pour soi. Le blancisme, civilisation de la criminalité positive, est une honte innommable.
La
condition d’être du blancisme est gravissime. Il y a des groupes de singes qui
s’érigent en protecteurs de leurs pairs ainsi que des autres animaux. Visionnons
ces deux vidéos : 1) - https://youtu.be/pI1Ljexz04U 2) - https://youtu.be/HPRi8-MGbgQ
Et ils ne sont pas les
seuls. De toute évidence la conscience d’être de ces animaux est plus élevée ou
leur structure d’être est plus élaborée (complexe) que celle du blancisme, qui
fait de la prédation un mode d’être dans le monde pour être, ce que Jean
Jacques Dessalines Plus Que Grand dénomme cannibalité. Leur qualité d’être est
en deçà de celle de ces bêtes. C’est la raison de l’infériorité, accidentelle
certes, des blancistes.
S’il y a un groupe de gens, au sein de l’ordre du Nous,
qui ne produit et ne sait produire que des niaiseries, rien que cela, c’est
bien le groupe blanciste. Il y a plus, même leurs inventions sont d’une
dangerosité extrême.
Pourtant jamais je ne qualifierais pas de « merde » le blancisme ou
les « pays » blancistes. Ce serait un manque de science et, par conséquent, d’égard, de ma part, envers
une chose, c’est le cas de le dire, d’une grande importance parce qu’elle peut
servir de fumier, ce qui lui accorde un rôle nécessaire et indispensable dans
le processus de génération ou production globale. Tandis que les associations de bandits, appelés
improprement « pays blancistes », de par leur action destructrice (la
blancismique) dans le monde (intérieur comme extérieur), sont une
exhalaison pestilentielle et toxique pour tout élément, dont il faut, ce le
plus vite possible, bouter hors du Là, le Grand Système Holiste, pour le Bien
Global. Alors le blancisme est incontestablement au-dessous de la merde.
NOUS, les Négresses
et Nègres
Peuple de Dessalines ! Ces sorties fréquentes du
blancisme, enregistrées depuis l’événement du 17 octobre 2016, soit le
Rétablissement de l’Administration Impériale en Ayti, ne ciblent pas la
république, une horde qu’il a instituée lui-même par le moyen des hommes de
couleur libres et des noirs libres, parce qu’il est celui qui gère, depuis ce
jour, ce désordre effarant, fruit de la défaillance de ses facultés et ses
incompétences criantes en matière d’organisation collective, mais bien le
Peuple Gwqmun, le Peuple Ancestral, Peuple de Dessalines, pour avoir décidé de
contre-attaquer les parricides de tous poils et les bouter hors de Notre
Territoire Ancestral, ce qui ne va pas sans entraîner avec eux leur principe
d’être, le pian, c’est-à-dire le blancisme, groupe de gens irrelativement
infréquentables.
Le Peuple Impérial n’est jamais autorisé à quitter le sol
de chez lui, l’Empire d’Ayti. SA MAJESTÉ Invincible Général et Éternel Empereur
Jean Jacques Dessalines l’a, sans ambages, interdit. En tant que Père, selon le
concept négro-gelefween, il s’est toujours soucié de protéger Ses Enfants contre
les mauvaises fréquentations, surtout la cannibalité, spécificité
blanciste. Le 22 octobre 1804, Sa Majesté Jacques 1er a pris un
arrêté interdisant aux Ayitiennes et Ayitiens de quitter le Pays. Avant cela, le
14 janvier 1804, Dessalines, par un décret, accorde 40 gourdes aux capitaines
de bâtiments états-uniens pour chaque Ayitien, des gens qui se trouvent aux
États-Unis, qu’ils ramènent en Ayti. S’il y a, aujourd’hui, des gens d’Ayti un
peu partout dans le monde, c’est évidemment à cause de la situation initiée par
le blancisme par l’entremise de la république, son chef-d’œuvre.
L’Administration Impériale Rétablie entend rapatrier les Enfants du Peuple de
Dessalines qui se trouvent dispersé(e)s à droite et à gauche en même temps
qu’elle expulsera les hommes et femmes de couleur libres ainsi que les noir(e)s
libres constituant le peuple exogène hors du Territoire Ancestral. Voir le
Message du 1er janvier 2018 à ce sujet.
L’Éternel Empire Ancestral d’Ayti invite les Enfants du
Père Impérial, le Peuple de Dessalines, à former, où qu’ils et elles soient,
des CQ (Comités de Quartier), selon les recommandations du Message du 1er
janvier 2018, pour le début de la gestion effective globale de notre vie, un
modèle de vie collective indispensable au salut de la planète terre.
La Maison Impériale Dessalines invite également les Pays de Guadeloupe, de
Jamaïque, de Martinique, de Sainte Lucie, De Dominique, de Trinidad, de toutes
les Guyanes, de Suriname, d’Antigua et Barbuda, de Barbade, de Grenade, de
Bahamas, etc., etc., etc., et tous les Peuples Négro-jelefweens de Masuana
ainsi que tous les Pays, au mieux, tous les Peuples Nègres du Continent Ancestral
à se joindre à l’Éternel Empire Ancestral de Dessalines, en d’autres mots, à y
prendre leur place respective pour accomplir la deuxième phase de la
Dessalinienne et à former ainsi un faisceau de lumière pour que les autres
peuples de la terre, membres en puissance de l’Éternel Empire d’Ayti, blancistes
et toute autre forme de prédation avoisinant exceptés, puissent s’y lire, s’y
découvrir et y adhérer afin qu’ensemble nous cheminions vers le parachèvement
de soi, notre finalité immédiate dans la présence.
Voilà la Mission Divine de Jean Jacques Dessalines,
Enfant des Mornes Cahos et élevé par Agbawaya Toya, et celle du Pays, Éternel
Empire d’Ayti, l’Empire de la Gwqmunalité, dont Il est le Fondateur et que nous
portons en Nous, nous ses Enfants biologiques et ses Enfants impériaux. L’avenir,
le salut, de la planète terre repose sur nos épaules. C’est cela la deuxième
phase de la Dessalinienne. Voilà, vous en êtes toutes et tous instruits.
La statue de la Gwqmunalité, la seule qui vaille
Pour la Maison
Impériale Dessalines
HRH Sa Majesté
Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de
la Génération du Couple Impérial,
Marie
Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et
l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme, et la collectivité munale, existentialisme vudun
Blog
de Tiécoura Dessalines :
Commentaires