Texte renforcé EN RÉPONSE AUX PROPOS DU CHEF DE LA PRÉSIDENCE ÉTATS-UNIENNE D’AMÉRIQUE MESSAGE DU 13 JANVIER 2018

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 o =  h © Tous droits réservés

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EN RÉPONSE AUX PROPOS DU CHEF DE LA PRÉSIDENCE ÉTATS-UNIENNE D’AMÉRIQUE
MESSAGE DU 13 JANVIER 2018 : LE BLANCISME EST PLONGÉ DANS LE DÉSARROI LE PLUS COMPLET DEPUIS LE RÉTABLISSEMENT DE L’ADMINISTRATION IMPÉRIALE DE L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYTI, EMPIRE DE DESSALINES, SEULE ET UNIQUE FORCE DIVINE ET SALUTAIRE DE LA PLANÈTE TERRE










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q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

TREMBLE LE BLANCISME, FORCE DU PIC DE L’HORREUR, PARTANT DE L’AVERSION IRRELATIVE,
 CAR S’AFFIRME ENFIN
LE PEUPLE DE DESSALINES, PEUPLE ENDOGÈNE ET ENFANTS DE L’ÉTERNEL EMPEREUR JEAN JACQUES DESSALINES, L’INFINIMENT GRAND.



Le préalable nécessaire
à la compréhension de l’expression « pays de merde »
Pour celles et ceux qui n’ont pas la science ni la culture du blancisme, cette idéologie, laquelle est aussi une anthropologie, qui accorde une valeur illusoire, voire relative au merveilleux, au teint clair, communément appelé blanc, voient dans l’expression « pays de merde » de Donald Trump, un des puissants chefs du blancisme - au sein de celui-ci bien sûr -, une référence à la manière soi-disant incongrue de la pratique de la politique, par certaines personnes dans certains pays. Ils se trompent royalement.

Quiconque est instruit de l’anthropologie philosophique (histoire de la pensée de soi en tant qu’être, soit dépouillé de toutes particularités et tous acquis sociaux, pourtant relié à un groupe spécifique, une contradiction évidente) et de la praxis européenne, principalement à travers la conquête extracontinentale, religieuse et politique, sait que les habitants et habitantes d’Europe ont toujours préconisé un hiatus foncier au sein de l’ordre du Nous, dont toutes leurs relations et leurs actions dans le monde sont en tout temps les fruits.

Chose curieuse, on attribue au teint, le blanc et ses caractéristiques différentielles observables, qui est un accident ou une détermination particulière, le statut d’essence de l’être (le soi), abstraction faite de tout ce qui est sensible, une contradiction de toute évidence dans les termes. Cette disjonction, dans le langage technique comme le langage ordinaire, prend les noms de gens-comme-nous et gens-pas-comme-nous, termes qui, si absurde soit-il, dénotent les particularités innées, artificielles et accidentelles, par exemple, teint, langues, habillement et lieu, soit le continent.

Le blanc, selon l’anthropologie en question, est l’être plein et le non blanc, des gens-pas-comme-nous, est l’être-matière, c’est-à-dire apte à recevoir sa forme du premier, soit le blanc ou gens-comme-nous.

Il y a plus. La scission, qui institue une hiérarchie au sein du Nous, lequel s’appelle le lakort, débouche sur deux sortes de valeur, l’une de grandeur pour l’un, ce sont les gens-comme-nous, et, par voie de conséquence, l’autre de petitesse pour les gens-pas-comme-nous, une attribution de l’extérieur dans le dernier cas. La dichotomie aboutit, par nécessité logique – puisque le calcul générateur de l’homme réduit au teint clair part du soi sensible – à l’appréciation, voire excessive, de soi, gens-comme-nous, et partant à la dépréciation monstrueuse de l’autre, gens-pas-comme-nous.

La dépendance du vide (néant), gens-pas-comme-nous, du soi plein (l’être), gens-comme-nous, laquelle dépendance signifie sa riennité, et parce qu’elle l’attache irrévocablement à l’être, l’identifie, l’orgueil de l’homme exige, à ce qu’il y a de plus bas de soi. C’est la merde, d’après la conception de l’homme. Un autre acte arbitraire.

C’est cela le blancisme, qui n’est pas une chose en soi mais une idée, une autoévaluation, laquelle n’a rien à voir avec le teint blanc, lequel est une chose en soi. Toute chose, c’est-à-dire ce qui est vraiment, est indépendamment de l’idée qu’on en a et n’en reçoit donc pas sa détermination.

Le groupe le plus éloigné dans l’échelle êtrale du lakort instituée par le blancisme est le teint opposé, mieux connu sous le vocable de teint foncé. Ici encore il y a une diversité mais dépréciative. La Négresse et le Nègre se voient accordés l’échelon le plus bas de l’ensemble du Nous et du teint foncé même s’ils ne sont pas les plus foncés. Alors ils deviennent le vide du vide. La proposition est certes illogique mais telle est la pensée non pas du blanc mais du blancisme.  

Il y a un traitement qui va avec chaque échelon ou groupe. Le dieu de la bible, humain dans tous ses détours parce que produit de l’hommalité, accorde le plus bas statut aux Nègres et Négresses : « Tu seras esclave des esclaves de tes frères, y lit-on». Le ministre français de la marine et des colonies, Denis Decrès, a, quant à lui, déjà fait savoir, en s’adressant à nos Ancêtres de Karukera (la Guadeloupe), que la place des « Nègres » est la servitude.  Le philosophe français, Charles de Montesquieu, dit, en parlant des « esclaves » : « Ceux dont il s’agit, ils sont noirs depuis les pieds jusqu’à la tête, ils ont le nez si écrasé qu’on ne peut pas les plaindre ». Il est question de la cime de la cruauté à laquelle sont en proie les Négresses et Nègres dans les colonies européennes au Masuana, appelé Amérique. Selon le philosophe ils ne méritent pas notre attention, celle des Français et Françaises, à cause de leur « nez écrasé ». On n’en voit pas la logique mais le blancisme, esprit incohérent, est égal à lui-même. Les philosophes anglais et allemand, Hume et Kant, affirment que les « noirs sont si bavards ….» et qu’ils « n’ont jamais rien produit qui va au-delà des niaiseries ». Bien évidemment cette qualité de l’être est « néant », le sens second du discours, parce que l’être pensant, l’être le plus haut placé dans l’échelle des êtres, toujours selon la conception blanciste des choses, est capable de réflexion, et de grandes réflexions, en vue d’organiser lui-même sa vie, ce à quoi sont inaptes les «noirs». Après sa farfelue déclaration d’abolition de l’esclavage, le commissaire français, Félicité-Léger Sonthonax, dit, au sujet de nos Ancêtres, les Négresses et Nègres ; « Du néant où vous étiez, vous êtes passés à l’existence». Avant l’intervention du blancisme dans leur vie, ils étaient des riens, « néant », vide. Maintenant, par la magie de la parole, celle de l’homme, nos Ancêtres sont entré(e)s dans l’êtralité. Ces propos témoignent de la fonction de créateur des blancistes dans le monde. Ses camarades de la révolution, les Amis des noirs, expriment la même pensée mais de façon nuancée : « Nous croyons qu’affranchir subitement les esclaves noirs, serait une opération non seulement fatale pour les colonies, mais que dans l’état d’abjection et nullité où la cupidité a réduit les noirs, ce serait un présent funeste». Les Amis des noirs n'adhèrent pas, si l'on se fie à ce qui est dit ici, à l'idéologie selon laquelle les "noirs", dans le sens de Nègre et Négresses, sont naturellement des riens. Cependant ils le sont présentement, "l’état d’abjection et nullité". Comment sont-ils tombés si bas? Les Amis des noirs rendent les esclavagistes responsables de la situation. Pour ce qui est des intérêts des « colonies », les Amis des Noirs, c’est-à-dire des hommes de couleur libres, rejoignent Denis Decrès, la sainte bible – il faut le dire tout haut et avec emphase – et Charles de Montesquieu. Icelui, fort de son grand savoir en matière de la science de la politique (la philosophie) a ajouté : « Si les nègres ne travaillent pas pour nous, nous serions obligés de le faire ». Il exprime clairement, par ces paroles, que le statut des Négresses et Nègres est de servir les hommes. Montesquieu reconduit ainsi la position d’Aristote, philosophe grec, selon laquelle l’homme ne s’adonne pas au travail manuel. Cette tâche est réservée aux esclaves, terme désignant une nature. Le travail est lié aux « noirs », selon Montesquieu, par le simple fait qu’ils sont « noirs », signe d’une qualité d’être réduit. Sonthonax lui-même est du même avis : « L’esclavage est nécessaire et indispensable aux colonies … ». La sainte bible, qui est la parole de dieu, celui des hommes, donc du blancisme, et de justice, grand concept et idéal européens, soit des hommes, claironne : « Esclave! Obéissez à votre maître!» Cela veut dire rester dans la voie qui est la vôtre, celle qui est propre à votre nature, votre qualité d'être.

La dichotomie n’est pas l’effet d’un hasard, selon le blancisme, mais une question de qualité de l’être. Revenons à Montesquieu pour sceller cette grande vérité : « Il est impossible, dit-il au sujet des noirs, que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens ». Montesquieu est, sans nul doute, convaincu que les « noirs » ne sont pas des « hommes ». En plus de la propriété « noir », le teint, qui expulse les Nègres et Négresses de l’humanité, il y a, selon le philosophe français, un autre, l’absence « de sens commun ». Ce trait de l’homme est un acquis du Stagirite, Aristote. Le sens commun joue un rôle central dans l’épistémologie aristotélicienne, sa théorie de la connaissance. C’est l’élément qui précède l’activité intellectuelle. Il fournit à l’intellect son objet. Le sens commun est le début de l’activité scientifique. Il est indispensable à la production de la connaissance rationnelle. Cette privation, chez l’être nègre, témoigne aussi d’une autre absence, les facultés supérieures, lesquelles travaillent avec le sens commun. Là où le sens commun est absent, les facultés supérieures n’ont pas leur place. On les trouve en l’homme parce qu’il est une union de corps (âme) et d’esprit, auquel les facultés supérieures sont spécifiques. Elles distinguent l’homme de la bête, les autres animaux. La pensée de Montesquieu n’arrive pas comme un cheveu sur la soupe, elle s’inscrit dans une longue tradition intellectuelle. Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que l’humanité, au sens blanciste du terme, n’implique pas les « noirs », elle est exclusive au teint clair à cause de leur qualité d’être plein, donc distinctC’est ce que sous-entend l’opinion selon laquelle le combat ancestral à Saint-Domingue a pour but l’accession à l’humanité, une insulte avérée, certes, mais une thèse reprise fièrement par les libres, qui sont d'incontestables crétines et crétins. 

Ce qui est dit ci haut n’est pas valable pour un temps, ce défaut d’humanité, mais pour toujours parce qu’il s’agit d’une nature. Toujours au niveau de la naturalité des Nègres et Négresses ainsi que des autres non blancs, une naturalité originaire du dehors, le Genevois, soit Jean-Jacques Rousseau, affirme que ce qui distingue l’homme de la bête est l’absence de nature chez le premier. Autrement dit, la nature de l’homme est qu’il n’a pas de nature. Il s’ensuit que, selon Rousseau, l’homme est perfectible, capacité de changement. C’est cela la conséquence immédiate de l’absence de nature.  

Il faut tirer de cela que les non blancs, gens-pas-comme-nous, et les bêtes sont dans la même situation d’être. Ce qu’ils sont, ils le sont à jamais à cause de la nature qui est la leur. Ils sont imperfectibles, incapables de changement, parce qu’ils ne sont pas doués de capacités intellectuelles.
 

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Emmanuel Kant, ainsi que son grand ami, Hume, a épousé le point de vue de Jean-Jacques Rousseau, savoir la capacité de versatilité de l’homme. Ce philosophe allemand dit que « les blancs originaires de la populace peuvent s’élever à n’importe quelle hauteur ….. », Cela s’explique par leur perfectibilité, absence de nature, et la jouissance de la raison, principe de la réflexion et, ipso facto, la production intellectuelle Cette assertion d’Emmanuel Kant n’est pas une simple pensée, elle est aussi une conscience, celle des blancistes, une espèce distincte par désolidarisation. Je me rappelle les propos d’un de mes étudiant(e)s, un Canadien-français québécois de Montréal qui, après quelques années de je ne sais quoi en dehors des murs de l’école, est retourné aux études, comme c’est souvent le cas au niveau collégial québécois. Au cours d’une conversation avec un de mes collègues, au sujet de l’immigration, qui, de toute évidence, le révolte – je ne sais pas de quel droit l’ethnie canadienne-française du Québec s’oppose-t-elle à l’immigration, un groupe de gens qui n’est ni sur son continent ni sur son territoire -, il laisse tomber ces paroles : « Mon ami à moi qui travaille à l’immigration canadienne de Montréal m’a dit : ‘Si tu vois la scrap qui rentre ici, mon homme’ ». Nous savons très bien que les immigrantes et immigrants ne prennent pas l’avion sans être proprement habillés. Pourtant l’étudiant en question  ignore en tous points l’hygiène quotidienne, par exemple se baigner au réveil, se brosser régulièrement les dents, changer tous les jours de sous-vêtements et de linge au moins deux fois par semaine, tout ça pour chasser les dégoûtantes odeurs des heures passées, pour ne pas bien sûr incommoder les autres, à moins que ce soit un des droits naturels de l’homme et surtout une des armes de destruction massive. Il y a toutes sortes d’armes biologiques, ce n’est un secret pour personne. Pour ce qui est de son ami fonctionnaire, sans le connaître personnellement, on en voit la sorte, « Qui se ressemble s’assemble ». On croit, dans certains milieux, que pouvoir prendre enfin un verre de vin fait l’homme parce que cela s’appelle civilisation. A-t-on déjà vu des chauves-souris fumant une cigarette? Les paroles du fonctionnaire de l’immigration canadienne à Montréal, rapportées par « l’étudiant » rejeté du marché du travail, sont intéressantes à plus d’un titre. En effet ces gens qui sont malgré tout de la »scrap » sociale, leur propre société, faut-il le souligner, se savent, non sans raison – pensons à l’idéologie blanciste – distincts de ces immigrants et immigrantes, c’est-à-dire qu’ils n’appartiennent pas à la même espèce. Ce qu’ils jugent, c’est bien les caractéristiques différentielles observables de ces nouveaux arrivants et arrivantes. Ils y voient la qualité de leur être, une qualité certes négative. Ils croient pouvoir devenir autre par une nouvelle situation sociale mais pas ces immigrantes et immigrants d’une autre espèce. C’est de cela que parle le philosophe allemand. Le teint clair, ici le blanc, est perfectible tandis que les nègres, toujours selon Kant, resteront toujours ce qu’ils sont parce qu’ils « ne peuvent rien produire qui va au-delà des niaiseries ». Il entend par là que la perfectibilité et les grandes productions vont de pair. On ne peut pas être perfectible sans être doué(e) de raison. Les Négresses et Nègres, parce qu’ils sont des soushumains, ne sont pas doués de perfectibilité. Ces gens-là ont une nature figée, qui les retient dans ce qu’ils sont. Au Canada, la pratique est encore plus répandue au Québec, une Négresse ou un Nègre ayant une scolarité de loin supérieure à un blanc, dans le sens de teint clair, est moins qualifié(e) ou instruit(e) que celui-ci. C’est la politique officielle, bien que non énoncée publiquement, mais elle n’est pas respectée à la lettre à cause des blancs-tout-court. 

La nature est ici quelque chose de figé. Il faut y comprendre que le nègre et la négresse d’aujourd’hui sont en tous points pareils au nègre et à la négresse d’hier. Il en sera toujours ainsi indépendamment du temps et des lieux.

Comme l’homme aime piétiner, humilier et réduire à l’infini zéro ce qui est au-dessous de lui afin de s’affirmer – c’est cela être pour lui -, les non blancs, spécialement les Nègres et Négresses, sont qualifiés de sous-humains et sont réduits à ce qu’il y a de plus dégoûtant chez les humains, c'est-à-dire la merde (le caca), déchets humains

Alors les « pays de merde » sont des déchets humains, non pas au sens littéral mais figuré. C'est une façon de dire qu'ils ne sont rien, comparé aux hommes. Cela signifie philosophiquement, et c’est là le point central des paroles de Donald Trump, chef de la présidence des États-Unis d’Amérique - un pays blanciste, la culture dont il est tout imprégné -, des pays, particulièrement des gens, improductifs et incapables d’être par eux-mêmes et complètement dépendants des hommes. Jean Jacques Dessalines a très bien maîtrisé l’idée d’esclave : «Le nom français lugubre encore nos contrées, dit-Il. Tout y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare: nos lois, nos moeurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française » … « Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves.»  « Nous avons osé être libres (Gwqmun), osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ». «Marchons sur d'autres traces ». Quelle puissance, Jean Jacques Dessalines ! Une Puissance inégalée et inégalable. Cantonné dans la pensée de l’esclave, pourquoi ouvririons-nous nos portes à de telles « choses », du fatras, se demande Donald Trump? Pourquoi n’allons-nous pas chercher des blancs, par exemple des gens de la Norvège, des gens capables de faire progresser la nation par leurs talents, des gens-comme-nous ? Le président des États-Unis, Donald Trump, n'a pas dérogé à la norme. Pourtant par lui le scandale arrive.

L'expression « pays de déchets humains » est lourde de significations. On régresse car, comme on l'a vu ci-devant, c'était la façon officielle de s'exprimer autrefois en public. Mais c'était avant la Victoire Décisive et Incisive de l'Invincible Général Jean Jacques Dessalines sur le blancisme. Sans renoncer à ses croyances en matière de la mauvaise qualité de l'être non-blanc, surtout les Négresses et Nègres, on procède par l'extase, faire semblant de leur reconnaître une certaine valeur afin de ne pas provoquer sans cesse l’affrontement. Cussy 1685 : “Nous avons dans les nègres de redoutables ennemis domestiques. Le président états-unien, en disant tout haut ce que ses confrères et consœurs disent tout bas, vient de rompre avec une tradition vieille de plus de deux-cents ans, une tradition qui, par-dessus le marché, a porté fruits. À preuve, les noir(e)s libres pullulent. On craint que, par la maladresse d'un seul, émerge le Dessalines de l'être nègre. C'est la raison pour laquelle les propos de Trump ont suscité un si grand tollé d'indignation, au sein du blancisme. Nul n'est indispensable dans le monde blanciste. 

Puisqu'il est question, dans cette affaire, de la qualité de l'être, la réponse qui suit est la seule qui vaille parce qu’elle est en adéquation avec le champ sémantique des propos du président des États-Unis. 

Faut-il le reconnaître, l’Invincible Dessalines n’est jamais loin. Dessalines pi wrd.


La réponse : UN EMPIRE, UN FLEURON

Il est établi, à l’Érection de Notre NqhÄ, que les couleurs de l’Éternel Empire de Toya-Dessalines sont Noir et Rouge, Noir, pour l’invariable et indéfectible unité du lakort munal, parce qu’il dénote l’absence de teints – il s’agit de l’extension planétaire du Pays -, et Rouge, pour le sang versé consenti, impératif de la Gwqmunalité, laquelle est l’expression et la protectrice de notre être, élan se résumant en être uniquement en Soi, par Soi et pour Soi, la seule chose qui vaille, ce qui se traduit par Gwqmunalité ou la mort. Par ce Grand Symbole, savoir le Bicolore Noir et Rouge, on reconnaît cette Pureté d’Être qui se donne une silhouette sensible dans le monde, dénommée l’Éternel Empire d’Ayti, dont son Éminent Peuple est l’une des propriétés nécessaires, notamment le Peuple Initial, Peuple Ancestral, évidemment les Négresses et Nègres, qui en est l’Auteur. Le Bicolore Noir et Rouge se résume comme suit : le particulier, soit la négro-jelefweité, consent à verser son sang, voire à en mourir, pour l’unité massive du lakort munal, se donnant pour forme dans le monde sensible, l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de Dessalines.

Le Bicolore, qui témoigne de la Grandeur indescriptible, au niveau du connaître, et la Gloire Ancestrales - soit des Négresses et Nègres razziés, déportés et implantés sur le continent Masuana, bien que les mains nues, transformés en Braves Combattantes et Combattants, contre un prédateur à nul autre pareil et lourdement armé, jusqu’à la Victoire Décisive et Incisive, par l’entremise de l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, sur la Bactérie mangeuse de Nègres et Négresses - repose sur une attitude bien calculée parce qu’en pleine concordance avec la Volonté de Notre Dieu, BON-DIEU, et la constitution interne munale, qui est la nôtre, laquelle attitude est comme suit définie par l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, À Jamais Vainqueur de la vilenie, le blancisme : «Oui nous avons rendu à ces cannibales guerres pour guerres, crimes pour crimes, outrages pour outrages ». Ce qui fait la valeur de ces immortelles paroles, c’est qu’elles recèlent une connaissance profonde de soi-même. Car il n’y a que les êtres pleinement conscients de leur exceptionnelle Valeur, qui en fait leur inestimable Grandeur, et imprégnés de leur plénitude qui puissent répondre ainsi à un acte attentatoire à leur êtralité, fait de présence. Faut-il le souligner, encore une fois, ces êtres sont des Négresses et Nègres imbibés de leur Négro-gelefweité, manière d’être congrue et la toute première science de soi (le dqmbala, connaissance vraie) de la terre : Les forces insurgées, dit à ce sujet le gouverneur Blanchelande à son homologue de Santo-Domingo, étaient formées exclusivement de Noirs, et non de mulâtres ni d’autres libres de couleur” « La race blanche, poursuit le gouverneur français, et la classe de gens de couleur, et les Noirs libres sont unis, il n’y a que les esclaves qui sont ouvertement soulevés, et qui tuent leurs patrons et incendient leurs habitations ». « Blanchelande au gouverneur de Santo-Domingo (S.d.) », AGI, Santo Domingo, 1029, f. 1.. Le travail n’est pas fini. En octobre 1802, les populations de l’Artibonite – composées majoritairement de Bossales, Nègres et Négresses fraîchement arrivés dans l’Île -, nomment, après la reprise de la Crête à Pierrot, le Général Jean Jacques Dessalines le Chef de l’Armée Indépendante, soit séparée de l’armée coloniale. Cette nomination débouche sur l’Érection de l’Éternel Empire d’Ayti, Empire de Toya-Dessalines, allusion faite ici au Super Couple pour le succès de la Résistance Gwqmunale. Cet Empire, de par sa vérité, soit la correspondance du discours le soutenant, sans oublier la structure de la chose, à l’être que nous sommes vraiment, est l’élément le plus précieux et le plus beau de la terre. Il est la preuve tangible que le lakort munal soit capable de science, de grandes spéculations par le tribunal divin en lui, et de grandes réalisations.
  

L’Empire d’Ayti a pour Solage Notre Dieu, Bon-Dieu, l’individu (lakort) munal et le Missionnaire Divin, soit Jean Jacques Dessalines, élevé par Agbawaya Toya, pour n’en citer que ces trois. Son mode de fonctionnement est la Royauté Ancestrale, une des propriétés du Solage. Cette forme d’être dans le monde (un ubuntu) qui est en parfaite concordance avec la Fondation - ici le savoir architectonique, qui est principalement Notre Dieu, Bon-Dieu, soit Dieu Véritable par opposition au dieu blanciste qui est une création (par projection de soi, le soi hommal) de l’homme à son image -, est la gestion de soi, le soi lakortal munal, bien sûr, par soi, c’est-à-dire par le moyen duquel chacune-chacun, être de dépendance mutuelle et d’indépendance irrelative, soit gwqmuntrt - la transcendance dans l’immanence -, arrive au parachèvement de soi, manifestation de la constitution interne munale dans le monde sensible, le point culminant de l’être que nous sommes. Ce savoir, et l’institution qui en dérive (l’Empire d'Ayti), relève de la compétence munale et il est le fruit de la plénitude et la finesse bÄnqyelle des Ancêtres, nos Ancêtres. L’Éternel Empire de Dessalines, Empire d’Ayti, l’Empire de la Gwqmunalité, est une concorde accomplie, chacun-chacune,  sous la direction du dqmbala de soi, est le sujet de la pratique de sa vie, ce qui fait de toutes et tous des badr, soit des activités dans l’omunonÄité, qualité d’être identique à soi-même, le soi initial munal. L’Empire d’Ayti est la plus Grande Institution de la planète, la seule qui soit Noble, à cause de sa perfection, et le lieu salutaire de la planète terre.
L’humanité
L’Éternel Empire d’Ayti a émergé, sous forme de Réponse Divine, en réaction à l’hommalité et, plus particulièrement, au blancisme, force excessive du plus grand Mal qui soit. Tout d’abord le blancisme est une apologie de l’homme, un universel distributif, parce que les hommes sont disparates et qu’ils s’excluent réciproquement par leur substance commune. Ils sont irréconciliables. L’exclusion s’explique par le caractère hiérarchique de l’homme, savoir que chacune-chacun veut posséder l’autre parce qu’il le perçoit, un élan de son être, comme néant à ses yeux. Cette sinistre anthropologie a pour contenu les droits de l’homme, une connaissance en surface certes de soi. Elle fait de chacune-chacun des bandits irrelatifs, ce que le philosophe anglais, Thomas Hobbes, définit par la fameuse proposition : « L’homme est un loup pour l’homme». L’anthropologie de droits, qui est en somme la dénégation de ses semblants, débouche sur une impasse qui ne peut s’amoindrir que par la violence, défaire les autres (les semblants ou rivaux) pour se faire soi-même, une cruauté inouïe.

Etant de la même psychologie, à savoir que l’un est un loup pour l’autre, donc des bandits, les hommes, plus précisément les blancistes, se sont donné un mode de réification propre pour éviter, dans ce tohu-bohu de violence, leur disparition certaine par suppression mutuelle. En d’autres mots ils approuvent cette nature d’irréductibles et irréconciliables rivaux en se donnant les moyens de la faire advenir, alors la créer, la structure. C’est prendre l’effet pour la cause. Pour atteindre leur objectif, ils partent du principe, un principe sans base réelle, selon lequel vivre est un jeu alors quiconque perd acquiesce et quiconque gagne en fait autant. Ce principe est suggéré par l’anthropologie des droits, de ce fait il comporte le rejet inconditionnel de l’autre, comme étranger à soi. Ainsi le caractère individuel de l’être demeure et il sert de base et de référentiel à la vie organisée. C’est de là que l’organisation, qui est en fait une association, tire son mode de fonctionnement et sa finalité. En somme on se donne pour fonction de gérer le conflit afin de rendre effective la structure mentale causale, soit l’assujettissement de tous à l’un. Pour le dire autrement, les hommes inventent un système collectif pour rendre productif le désordre, qu’ils ont défini comme naturel, dans les limites de sa naturalité. L’aspect d’étalon de la nature demeure, il est tout simplement amputé.

Voyons voir. Il n’y a pas de jeu sans mise. La mise est sa force, physique et intellectuelle, et l’objet de celle-ci (la force en question) est production-consommation. Cela fait du blancisme une civilisation de la matière, une dégringolade vertigineuse par rapport à la constitution interne munale, l'être initial et ofowu, produit de la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu.

Cela ne peut pas se faire, pour démarrer, sans arbitre et les règles de l’arbitrage, pour contrecarrer tout sale coup, doivent être produites par un tiers, qui n’est pas partie prenante du jeu. L’arbitre est aussi ce tiers, une double fonction. 

Le tiers, qui n’est pas encore, s’institue par  l’appropriation de tous les droits de l’homme, au mieux, des hommes puisqu’ils sont disparates, ce qui fait de lui (le tiers) la seule puissance du terrain, dénommée conventionnellement puissance souveraine, soit sans rivale et irrelativement contraignante. Le tiers, qui s’appelle aussi le pouvoir, , par la concentration de tous les droits naturels, est en lui-même une obligation suffisante.


Il faut le dire avec fracas et panache, la pseudo science de soi, qui part de l’effet pour la cause, et l’association qui en découle, c’est une régression spectaculaire au sein de l’ordre du Nous, en ce sens que les hommes rompent avec la munsqmba, le dqmbala (connaissance vraie) de soi, et la finalité ofowu (conforme à la Volonté de Notre Dieu) et immédiate du lakort, qui est le nôtre.

Cela ne peut pas devenir effectif et être efficace sans l’accord préalable et unanime des hommes. Il faut voir ici l’engagement de chacun-chacune. Une consultation est alors requise. Ce processus s’appelle démocratie, une activité dérivant d’un projet de vie-collective-hommalisée, lequel projet repose sur l’anthropologie des droits, qui, du coup, lui souffle sa structure hiérarchisant, à laquelle (l’activité), suivant les modalités, prennent part les hommes sous forme de consentement, en vue de faire advenir l’homme, soit l’un suivant la doctrine des droits, donc sa création effective, par la possession totale (gens et choses), toujours conformément au mental constitutif de l’homme, dont les termes seront fixés et imposés par la puissance souveraine. Les termes remplacent les droits naturels et, par leur artificialité, se nomment aussi droits mais droits politiques.
 

Par ce procédé, les hommes ou blancistes institutionnalisent le banditisme dérivé des droits de l’homme et transforment les bandits savqn (des indépendantes et égales libertés) en bandit-légal (ce terme est invariable). 

Cette démarche implique la production d’une dimension universelle artificielle pour dresser les hommes comme on dresse n’importe quelle bête, dont la structure est hiérarchique, dominant/dominé, et aussi l’idée de perfectibilité des hommes, c’est-à-dire une matière à donner forme.  

La politisation ou société, dont la démocratie est une des propriétés, est un lieu où des opposants s’affrontent non pas pour être pleinement mais pour être vraiment, soit l’un aux dépens des autres. Ce passage de néant à l’être dépend de l’exploitation efficace de la liberté au désavantage des autres, sa liberté, qui est un des droits fondamentaux constitutifs de l’homme, soit l’individu, dans le sens blanciste du terme. La liberté s’exerce contre les semblants et dans l’unique intérêt de soi, l’homme ou l’individu, un singleton. Le philosophe états-unien, Robert Norzick, auteur de l’État minimal et farouche partisan de la liberté, est très clair là-dessus. Dans le jeu initié par les droits de l’homme, c’est à chacune-chacun de faire preuve d’habilité car, si on perd, personne n’a à faire attention à soi. C’est à chacun-chacune de faire un bon usage de sa liberté, c’est-à-dire jouer de façon à l’emporter sur les autres. La puissance souveraine, toujours selon le théoricien états-unien, n’a pas à s’occuper de toi. Elle doit réduire de beaucoup son champ d’action  dans la pratique de la liberté et, en contrepartie, élargir celui des joueuses et joueurs, donc des citoyennes et citoyens.   

On voit bien qu’on est à des années-lumière de la Puissance Collective Munale Dessalinienne dont la Mission Divine est de s’occuper du Peuple Impérial, déclaré Enfants de Sa Majesté Jacques 1er , non pas de manière à les opposer les uns aux autres au bénéfice du plus malin ou plus habile mais leur donner des moyens pour s’intégrer dans le concert du NOUS MUNAL, soit s’assister mutuellement. C'est cela la pensée et le mode d'être ubuntu : Je suis parce que nous sommes, une unité indivise, non hiérarchisée et impossible de réduire à un ordre hiérarchique, bref, une concorde parfaite. «Maintenez, dit l’Éternel Empereur, cette précieuse concorde, cette heureuse harmonie parmi vous ; c’est le gage de votre Blrz, de votre salut, de vos succès ; c’est le secret d’être invincible ». L’Empereur a aussi dit « Malheur à celui qui portera sur les degrés du trône, d’autres sentiments que ceux d’un père de famille ». Le Pays de Dessalines est une unité indivise (un trait de la chose), savoir que chacun-chacune coule dans chacune-chacun non pas pour l’absorber mais le compléter suivant leur constitution interne munale. On s’occupe de chacun-chacune pour le Bien de l’Ensemble, qui est aussi soi-même. Notre Éternel Empire Ancestral, qui s’inscrit dans l’Ancestralité, est une concorde accomplie. Il est alors l'échec total-capital au banditisme-légal des "pays" blancistes. L’Empire d’Ayti, fruit du grand savoir de nos Ancêtres, des Négresses et Nègres, est le Joyau de la planète et le fruit de Grands BÄnqy. L'Éternel Empire Ancestral est supérieur à tout ordre collectif non ubuntu. 


La supériorité du Pays de Dessalines, face aux soi-disant pays blancistes, est son adéquation à quelque chose qui le précède, quelque chose de plus grand, et qui lui sert de référentiel. C’est une exactitude enviable.  




C’est là qu’on voit l’utilité de la perfectibilité comme instrument de la justification du système de création, celle de l’homme, bien sûr. Si l’homme n’était pas posé comme perfectible, l’institutionnalisation du banditisme, initié par les droits naturels, en vue de faire advenir l’homme, soit la structure mentale génératrice de l’hommalité, serait arbitraire. Le fait que la naturalité, ici les droits naturels comme substance première de l’homme, indique la voie et ce qui est propre à celui-ci, elle est donc l’étalon, fait montre de la difficulté de l’idée de perfectibilité. L’homme est à la fois perfectible et imperfectible. Le droit positif, par l’imperfectibilité de l’homme, se trouve dans l’impasse. La perfectibilité permet, sous un rapport, de produire une nouvelle substance de l’homme, et sous ce même rapport, elle frappe un mur, l’indestructibilité des droits, puisque, étant les éléments à réaliser, lesquels sont déjà la structure, il n’est pas possible de déroger aux droits naturels. Cela est en obstacle à la capacité de versatilité. L’homme doit rester tel quel, c’est-à-dire des individus, qui sont des indépendantes et égales libertés. L’homme est indestructible ou ne peut pas être façonné autrement pour la réification de l’homme. Il s’ensuit que la société de droit ou démocratique est un système d’oppression sans fin.  

La liberté est l’état mental des êtres sommaires et elle donne naissance à une institution avoisinant l’état de nature. Elle fait de la prédation une activité positive, ce que le Plus Que Grand, Jean Jacques Dessalines, appelle la cannibalité. Les hommes, avant l'institution de la collectivité, étaient ennemis les uns des autres; après cette institution, ils sont et restent positivement ennemis. Tout pays de liberté est une savqnie, sauvagerie en système.

La société démocratique, dénommée aussi l’État de droit, est une structure superficielle dans le sens que les « individu », soit citoyennes et citoyens, à cause de leur irréductible kukuité, l’être réduit à soi-même, sont liés en surface entre eux par l’universel social, dicté par la puissance souveraine au moyen des droits politiques. Il en est ainsi parce qu’elle résulte d’une structure d’être, le mental, elle-même peu élaborée et du caractère unidirectionnel de l’être hommal même, dont le blancisme est une des mises en forme sensibles. La structure politisative blanciste est alors sans envergure. Elle est une grille limitée, tout ce qui n’y passe pas n’est tout simplement pas. C’est là ce qui explique sa dangerosité, en particulier la cannibalité.

Voici un aspect de l’exercice de la liberté positive. Les traitements que l’on réserve aux citoyens et citoyennes aux pays de liberté provoque le vomissement. En effet la valeur d’un homme est liée à sa réussite sociale, laquelle se définit par la quantité de biens que l’on possède et le degré de son savoir, lequel se mesure par l’influence que l’on exerce sur les autres à travers cet acquis. La valeur par le savoir est moins répandue parce que ce chemin est trop ardu. En plus de cela les biens qu’il procure sont trop limités. Les affaires garantissent plus de biens et en un temps très court. La vaste majorité des gens ont les yeux rivés vers les affaires. Sentiment de distinction exige, avant tout on est en humanité, la praxis vers l’un, il y a des clubs sélects qui se forment partout. Ils sont constitués de gens qui atteignent un niveau social élevé. C’est le double rejet de ses rivaux. L’orgueil de l’homme. La majorité des règles politisatives, propres à la course instituée, favorisent ouvertement les gens d’affaires. Cela est tout à fait logique. On constate que, pour favoriser l’enrichissement, on autorise l’assassinat des uns par les autres sous le motif de protection, une mine d’or en collectivité d’opposants et opposantes. Ce qui justifie la production et la consommation à outrance des armes. On produit les maladies à un rythme vertigineux afin de produire au même rythme des médicaments, qui, dans la majorité des cas ne guérissent rien. La production des aliments est un des vecteurs de maladies de toutes sortes. Les conséquences sont désastreuses. Les maladies de la liberté tuent massivement. Que l’on s’informe auprès des croque-morts pour savoir le nombre de personnes portées en terre en un mois. Il y a de quoi tomber en syncope. La mort est entrée dans le système comme moyen de s’enrichir au nom de l’un, l’homme, être mental. La puissance souveraine, pour rendre encore plus prospère la chose, tue des citoyens et citoyennes par ses corps de police et ses forces armées, la force combinée de l'insécurité publique. On suscitera une guerre nucléaire lorsqu’on jugera que cela servira aux affaires. On utilise les semblants comme cobaye avant de les conduire à l’abattoir de ses intérêts. Rien n’est laissé en dehors du jeu macabre de la production de l’un, soit l’homme. La règle, c’est la règle.  Emmanuel Kant soutient que la loi, même injuste, doit être respectée car il n’est autorisé à personne de s’y soustraire. Il s’ensuit qu’en humanité les citoyennes et citoyens ne s’appartiennent plus. Et c’est cela l’esclavagisme naturel.        

Ce qui précède se passe à l’intérieur des pays de liberté. De même qu’on maltraite les gens de l’intérieur au profit de la cause hommale, de même on se sert des autres, les gens du dehors, pour atteindre l’objectif. L’esclavagisation externe en est un exemple. Les hommes font régner le pic de l’horreur dans leurs colonies. Ils sont toujours assoiffés de sang, le sang nègre. Des peuples ont disparu sous l’effet de la blancismique. Les hommes ou les libertés démocratiques pillent les ressources des pays jugés autre et, par le fait même, appauvrissent et affament les populations. Les blancistes ont recouru, et recourent encore, à toutes sortes d’armes de destruction massive, notamment les maladies inventées dans les laboratoires, les cyclones et tremblements de terre artificiels pour atteindre leur but, qui est de se réifier, soit se créer. L’arme pointée sur eux, ils dictent aux peuples sans défense la marche à suivre. Ils tiennent à être les seuls qui soient armés pour continuer de semer sans cesse la désolation. Les blancistes sont les seuls grands criminels de la planète.


Tout bien considéré, les pays blancistes ne sont pas des pays proprement dits mais des associations de bandits. Et c’est le bloc auquel appartiennent les États-Unis d’Amérique, dont Donald Trump est le président.

Il n’y a pas lieu d’être fiers, fières de cette chute, de cette dépravation au superlatif. Pourtant les blancistes sont d’avis contraire. Leurs sorties contre les autres modes d’être en sont les preuves. 

La cannibalité est le terme inventé par le Grand BÄnqy Négro-jelefween, Jean Jacques Dessalines, pour décrire ce mode d’être dans le monde, dont le blancisme, verte épidémie, est le champion incontesté et incontestable.

Le système de liberté ou de droits est le plus vil de tous les systèmes pensés jusqu’ici par les hommes, en matière de rejet, d’exploitation et de riennisation des autres. En effet la grandeur d’un homme ou être humain réside dans la privation de l’autre ou des autres des moyens et biens pourtant auxquels ils ont naturellement accès, et même de la vie, ce que les blancistes appellent le premier des droits, puisque presque toute l’attention des blancistes se portent sur un arsenal de plus en plus capable de massacrer le plus de gens possible. Arrêtez un instant pour bien penser à ces faits. Par les droits de l’homme, substance de celui-ci, un groupe d’hommes peut esclavagiser les autres gens, tenter de les transformer en un état avoisinant l’idée arbitraire de l’esclave, soit s’ériger en obstacle à leur mouvement propre, ce sous le pic de l’horreur, et bloquer aux autres, parce qu’il les qualifie de soushumains, l’accès aux moyens nécessaires, fournis par l’environnemental à tous et toutes pour leur maintien et leur développement, au niveau de l’être, leur être ofowu, puis inventer des moyens vertigineux pour les tuer massivement, cela en toute bonne conscience. Ce comportement est un mode de vie, un mode de vie spécifique, celui du blancisme, la plus haute expression de l’hommalité, gangrène de la terre, alors que la manière d’être proprement impériale, dont l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines est le principe, est érigée en asile sûr aux gens, sans nuances épidermiques, victimes du despotisme hommal, de quelque nature que ce soit, et en leur vengeresse : « J’ai vengé, dit-Il, tous les gens et les peuples victimes du blancisme et disparus sous la blancismique ». Quel indicible Bijou, Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos et élevé par Agbawaya Toya! Le système blanciste ou de droits naturels et positifs de l’homme fait de la bassesse (contenu d'être du blancisme) la chose la plus honorable, soit la plus haute vertu. Il n’y a rien de plus vil sur cette planète. Le blancisme est l'irréductible cauchemar de la terre tandis que la Dessalinienne, base de l’Éternel Empire Ancestral d’Ayti, est ce vers quoi tend l’être le plus pur pour être en soi, par soi et pour soi. Le blancisme, civilisation de la criminalité positive, est une honte innommable.  

La condition d’être du blancisme est gravissime. Il y a des groupes de singes qui s’érigent en protecteurs de leurs pairs ainsi que des autres animaux. Visionnons ces deux vidéos : 1) -  https://youtu.be/pI1Ljexz04U   2) -  https://youtu.be/HPRi8-MGbgQ

Et ils ne sont pas les seuls. De toute évidence la conscience d’être de ces animaux est plus élevée ou leur structure d’être est plus élaborée (complexe) que celle du blancisme, qui fait de la prédation un mode d’être dans le monde pour être, ce que Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand dénomme cannibalité. Leur qualité d’être est en deçà de celle de ces bêtes. C’est la raison de l’infériorité, accidentelle certes, des blancistes.

S’il y a un groupe de gens, au sein de l’ordre du Nous, qui ne produit et ne sait produire que des niaiseries, rien que cela, c’est bien le groupe blanciste. Il y a plus, même leurs inventions sont d’une dangerosité extrême.  

Pourtant jamais je ne qualifierais pas de « merde » le blancisme ou les « pays » blancistes. Ce serait un manque de science et, par conséquent, d’égard, de ma part, envers une chose, c’est le cas de le dire, d’une grande importance parce qu’elle peut servir de fumier, ce qui lui accorde un rôle nécessaire et indispensable dans le processus de génération ou production globale. Tandis que les associations de bandits, appelés improprement « pays blancistes », de par leur action destructrice (la blancismique) dans le monde (intérieur comme extérieur), sont une exhalaison pestilentielle et toxique pour tout élément, dont il faut, ce le plus vite possible, bouter hors du Là, le Grand Système Holiste, pour le Bien Global. Alors le blancisme est incontestablement au-dessous de la merde.    


NOUS, les Négresses et Nègres
Peuple de Dessalines ! Ces sorties fréquentes du blancisme, enregistrées depuis l’événement du 17 octobre 2016, soit le Rétablissement de l’Administration Impériale en Ayti, ne ciblent pas la république, une horde qu’il a instituée lui-même par le moyen des hommes de couleur libres et des noirs libres, parce qu’il est celui qui gère, depuis ce jour, ce désordre effarant, fruit de la défaillance de ses facultés et ses incompétences criantes en matière d’organisation collective, mais bien le Peuple Gwqmun, le Peuple Ancestral, Peuple de Dessalines, pour avoir décidé de contre-attaquer les parricides de tous poils et les bouter hors de Notre Territoire Ancestral, ce qui ne va pas sans entraîner avec eux leur principe d’être, le pian, c’est-à-dire le blancisme, groupe de gens irrelativement infréquentables.

Le Peuple Impérial n’est jamais autorisé à quitter le sol de chez lui, l’Empire d’Ayti. SA MAJESTÉ Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines l’a, sans ambages, interdit. En tant que Père, selon le concept négro-gelefween, il s’est toujours soucié de protéger Ses Enfants contre les mauvaises fréquentations, surtout la cannibalité, spécificité blanciste. Le 22 octobre 1804, Sa Majesté Jacques 1er a pris un arrêté interdisant aux Ayitiennes et Ayitiens de quitter le Pays. Avant cela, le 14 janvier 1804, Dessalines, par un décret, accorde 40 gourdes aux capitaines de bâtiments états-uniens pour chaque Ayitien, des gens qui se trouvent aux États-Unis, qu’ils ramènent en Ayti. S’il y a, aujourd’hui, des gens d’Ayti un peu partout dans le monde, c’est évidemment à cause de la situation initiée par le blancisme par l’entremise de la république, son chef-d’œuvre. L’Administration Impériale Rétablie entend rapatrier les Enfants du Peuple de Dessalines qui se trouvent dispersé(e)s à droite et à gauche en même temps qu’elle expulsera les hommes et femmes de couleur libres ainsi que les noir(e)s libres constituant le peuple exogène hors du Territoire Ancestral. Voir le Message du 1er janvier 2018 à ce sujet.   

L’Éternel Empire Ancestral d’Ayti invite les Enfants du Père Impérial, le Peuple de Dessalines, à former, où qu’ils et elles soient, des CQ (Comités de Quartier), selon les recommandations du Message du 1er janvier 2018, pour le début de la gestion effective globale de notre vie, un modèle de vie collective indispensable au salut de la planète terre.  

La Maison Impériale Dessalines invite également les Pays de Guadeloupe, de Jamaïque, de Martinique, de Sainte Lucie, De Dominique, de Trinidad, de toutes les Guyanes, de Suriname, d’Antigua et Barbuda, de Barbade, de Grenade, de Bahamas, etc., etc., etc., et tous les Peuples Négro-jelefweens de Masuana ainsi que tous les Pays, au mieux, tous les Peuples Nègres du Continent Ancestral à se joindre à l’Éternel Empire Ancestral de Dessalines, en d’autres mots, à y prendre leur place respective pour accomplir la deuxième phase de la Dessalinienne et à former ainsi un faisceau de lumière pour que les autres peuples de la terre, membres en puissance de l’Éternel Empire d’Ayti, blancistes et toute autre forme de prédation avoisinant exceptés, puissent s’y lire, s’y découvrir et y adhérer afin qu’ensemble nous cheminions vers le parachèvement de soi, notre finalité immédiate dans la présence.



Voilà la Mission Divine de Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos et élevé par Agbawaya Toya, et celle du Pays, Éternel Empire d’Ayti, l’Empire de la Gwqmunalité, dont Il est le Fondateur et que nous portons en Nous, nous ses Enfants biologiques et ses Enfants impériaux. L’avenir, le salut, de la planète terre repose sur nos épaules. C’est cela la deuxième phase de la Dessalinienne. Voilà, vous en êtes toutes et tous instruits. 


La statue de la Gwqmunalité, la seule qui vaille


Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Sa Majesté  Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et la collectivité munale, existentialisme vudun

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