LE MESSAGE DU 17 OCTOBRE 2019
LE MESSAGE DU 17 OCTOBRE 2019
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 t = o © Tous droits réservés
L’EMPIRE DE TOYA-DESSALINES, ÉTERNEL EMPIRE
D’AYITI
SEULE ET
UNIQUE VOIE SUR LA TERRE
SELON LA CONCORDANCE DU LA
À PARTAGER MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Ä = on
Le 17 octobre,
jour à jamais souligné dans le calendrier de la planète terre à cause de son
objectif macabre, est, dans un sens, ce qu’il y a de plus triste et vil, un
trait hérité de la nature de son auteur, le blancisme, indescriptible horreur
qu’il convient d’appeler l’hommalasse.
La particularité
de la tristesse et la vilenie de ce jour, lequel s’inscrit dans une infinité
d’autres, avant comme après l’acte innommable, est le fait qu’il arrive - sous
prétexte que le Nègre et la Négresse sont naturellement faits pour servir l’homme,
le blancisme - pour bloquer, voire effacer, s’il était possible, la diffusion de
la Résistance Négro-gelefweenne à la blancismique (offensive déchaînée et
meurtrière) - ce qui est, sans doute, un démenti ferme et irrévocable à
l’idéologie de l’homme et celle de l’esclave naturel qu’elle abrite sous ses
ailes -, ainsi que la Victoire incisive et décisive, qui en découle, sur le
plus grand Mal qui soit, l’hommalité, dont le blancisme, la résultante, est,
comme on le sait, la plus pure comme la plus haute expression, que les irréductibles
libres - une tranche d’hommes de couleurs et de noirs, en somme la
Conjonctionnelle, instrument dont s’est servi le blancisme français, par
l’intermédiaire de l’empereur Napoléon Bonaparte le Lâche, en vue d’instituer
la colonie dite républicaine – jouissent orgueilleusement de ses fruits et qu’ils
continuent d’en jouir, par leur postérité, sous le regard bouleversé d’une
masse de Négresses et Nègres, vivant en plus dans des conditions épouvantables,
une situation qui, dans tous ses détours, contredit la Résistance et sa
finalité immédiate. Et ce n’est pas tout.
Enfin, et toujours dans le cadre de la particularité de la tristesse et la vilenie du 17 octobre, la plus grande vertu morale des parricides (blancistes et libres confondus, surtout ceux et celles d’aujourd’hui) est l’effort constant de maintenir en place, contre vents et marées, le fruit méphitique du 17 octobre 1806, soit la république, qui est le retour à ce qui est mis à la poubelle par nos Ancêtres, d’abord en lui accordant arbitrairement et indécemment une certaine primitivité et ensuite en lui donnant un avenir durable par l’horreur constante, exercée sur le Peuple endogène. Ils n’ont, de toute évidence, aucun sens logique ni historique ni philosophique. Il n’y a là rien d’étonnant puisqu’ils ont, depuis longtemps, cessé d’être mun. L’ouvrage intitulé Les droits de l’homme sont antinègres II le clame tout haut. Faut-il le lire pour en avoir une idée claire et nette.
En accord
parfait avec le blancisme ces libres ont, sans l’ombre d’un doute, permis aux
racailles de la terre de réussir, par leur répugnante action, une partie de leur
sinistre projet, qui est de s’imposer en « maître » sur Notre
Territoire, soit d’y retourner comme ils le font ailleurs. À ce sujet on se
souvient des propos du ministre de la marine et des colonies, Denis Decrès,
prononcés le 14 novembre
1801 à la suite de l’indépendance de la Guadeloupe, redevenu Karukera,
le 21 octobre 1801 : “Je veux des esclaves dans les colonies. La liberté est
un aliment pour lequel l'estomac des Nègres n'est pas préparé. Je crois qu'il
faut saisir toutes les occasions pour leur rendre leur nourriture naturelle
sauf les assaisonnements que commandent la justice et l'humanité. Je crois
qu'il faut envoyer une force considérable en Guadeloupe, non pour la
réduire à ce qu'elle était mais à ce qu'elle doit être”. Cette force,
qui comptera 3 410 hommes, sera la deuxième expédition qui sera
envoyée sur le continent par Napoléon Bonaparte. Elle aura à sa tête le général
Antoine Richepance et appareillera de Brest le 1er avril 1802.
Cependant Napoléon confesse son erreur d’avoir eu recours à la force pour
soumettre nos Ancêtres d’AYITI, appelée ridiculement Saint-Domingue, après
l’expulsion de la France à la suite de la contre-offensive majeure de 1791 –
1792. Nos Ancêtres parlent déjà de leur pays. Santhonax débarque sur la petite
partie où il y a encore des Français et Françaises pour tenter d’organiser la
réappropriation de tout le territoire par la France. Avec l’appui du
gouverneur, il recourra à l’aide de Toussaint L’Ouverture, membre du groupe de
nègres libres royalistes, pour y parvenir. Toussaint, malgré la Résistance
féroce de plusieurs Combattants et Combattantes artisans du pays, parviendra à
se rallier au projet de constitution de juillet 1801, lequel énonce clairement
le statut du Pays Ancestral : « colonie française ». Il s’agit
d’une tentative de restituer officiellement la terre, perdue en 1791 – 1792, à
la France. Ce qui devra suivre suivra, l’envoi d’une expédition de 22 000
hommes pour supprimer les opposants et opposantes, tel que Jean Jacques
Dessalines qui ne lâche pas Toussaint d’un pouce dans le but de faire échec au
projet pour protéger l’acquis ancestral. Napoléon Bonaparte, au cours de ce
périple, perdra devant l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines; il tentera
de nouveau le même coup avec le général Jean-Louis Ferrand, lequel connaîtra le
même sort que le général Leclerc, battu par le Missionnaire Divin Dessalines.
Ces expériences suffiront à convaincre Napoléon Bonaparte d’utiliser un autre
moyen, l’empoisonnement de l’Invincible Général Dessalines, un assassinat, par
l’amitié et à travers les irréductibles libres. Ainsi naîtra la république,
dont le statut officiel est une colonie, « cette colonie », dit
Napoléon durant son exil sur l’Île Sainte-Hélène en 1816. Ce vocabulaire
correspond au texte du faux projet constitutionnel de juillet 1801 (stratégie
de Napoléon), à celui de l’entente qui sera signée entre Charles X et
Jean-Pierre Boyer, savoir « La partie française de Saint-Domingue »,
surnom de la colonie de Saint-Domingue, ainsi qu’à ce fréquent discours, opaque
durant longtemps mais transparent aujourd’hui par ce texte : « première
constitution d’Haïti », référence faite au texte de juillet 1801 (statut
colonial), lu par Toussaint L’Ouverture, le libre royaliste. Il y a là une
logique implacable. Il fallait faire ça en douce, sans tambour ni trompette,
selon Napoléon Bonaparte, pour ne pas mettre en branle la Gwqmunalité du Peuple
endogène. C’est le sens premier du 17 octobre, date de naissance de la
horde-république d’Haïti, une colonie blanciste, qui énonce le retour des
racailles.
Enfin, et toujours dans le cadre de la particularité de la tristesse et la vilenie du 17 octobre, la plus grande vertu morale des parricides (blancistes et libres confondus, surtout ceux et celles d’aujourd’hui) est l’effort constant de maintenir en place, contre vents et marées, le fruit méphitique du 17 octobre 1806, soit la république, qui est le retour à ce qui est mis à la poubelle par nos Ancêtres, d’abord en lui accordant arbitrairement et indécemment une certaine primitivité et ensuite en lui donnant un avenir durable par l’horreur constante, exercée sur le Peuple endogène. Ils n’ont, de toute évidence, aucun sens logique ni historique ni philosophique. Il n’y a là rien d’étonnant puisqu’ils ont, depuis longtemps, cessé d’être mun. L’ouvrage intitulé Les droits de l’homme sont antinègres II le clame tout haut. Faut-il le lire pour en avoir une idée claire et nette.
Dans l’autre
sens, lequel se détache complètement du premier, la spécificité de la tristesse
et la vilenie du 17 octobre est la mise en évidence, une fois de plus, de l’Éternité
de l’Empire d’AYTI par ses origines, soit NOTRE DIEU, BON-DIEU, GWQMRTLA, et Jean
Jacques Dessalines, Produit de la Supériorité avérée de l’Ancestralité,
Missionnaire Divin et Empereur du lakort munal, parce que le parricide, au lieu
de conduire à l’anéantissement tant désiré de la Plus Grande Réalisation de la
planète terre, l’EMPIRE DE DESSALINES, contribue, au contraire, à son éclosion
dans le monde. En effet l’aspect de la particularité négative du 17 octobre, est
dénommé positif (cela, contre toute attente), sans y être intérieurement lié, bien
sûr, parce qu’il fait montre de l’impossibilité de toute vie d’ensemble
proprement organisée en dehors du Cadre Impérial Dessalinien. La raison est
simple, cet extérieur n’est fait que de confusion, dont résultent des tourments
et douleurs incommensurables qui ne peuvent pas être vaincus. Ce n’est pas
l’effet d’un hasard car l’Éternel Vainqueur de Napoléon Bonaparte et du
blancisme, Jean Jacques Dessalines l’Infiniment Grand, l’a prédit sans détour. Il
faut tirer de cela que le désordre effarant, appelé « affreuse
pensée » par le Général « Vengeur et Libérateur » lui-même, Jean
Jacques Dessalines, n’est pas a postériori. Ça va de soi, alors il est le
contexte du dehors. L’insubordination y conduit nécessairement. C’est
l’hommalité, cet espace mental. Cet état de confusion est le rejet généralisé
des uns des autres, une incompréhension totale et globale, qui débouche sur le
conflit du même genre. La confusion, pour des raisons évidentes, s’accentue
dans le champ réservé aux insoumis et insoumises qui arrivent de la périphérie
de l’Empire. Personne ne rejoint personne, si ce n’est dans la volonté de
s’opposer à toutes et tous et celle de tout détruire. Le lien entre eux est
détruit, il est remplacé par le lien entre le maître et eux. D’où la
multiplication sans cesse des problèmes et l’impossibilité de construire quoi
que ce soit ensemble pour son ensemble. Ensemble, c’est un mot vide de
significations de pour eux. Il n’y a pas d’après l’EMPIRE et au-delà de
l’EMPIRE est le néant. Seul EST l’Empire. Il s’ensuit que l’Œuvre de Jean
Jacques Dessalines, l’Empire d’AYITI, EMPIRE de la GWQMUNALITÉ, est
indépassable et, par le fait même, indestructible. En d’autres mots l’Empire de
Toya-Dessalines EST et il est invincible. Cela entraîne une autre conclusion,
quoi qu’on dise, quoi qu’on fasse, toujours sera-t-il. Il y a concordance entre
l’Empire d’AYITI et ses origines, NOTRE DIEU, BON-DIEU, et Jean Jacques
Dessalines, comme Personnalisation de la Gwqmunalité, omunonÄité de l’être
munal.
L’Empire,
puisque Fondation et Fondement sont en lui, est en lui-même et se perpétue en
lui-même, ce qui le rend infrangible de l’intérieur comme de l’extérieur. Cela
a jeté les parricides dans la confusion. Cet état asphyxiant a, en tout
premier lieu, pour conséquence – ce qui
est en Concordance avec tout ce que nous venons de voir au paragraphe précédent
- la mise en avant du Grand et Distingué Nom de l’Invincible Général et Éternel
Empereur Jean Jacques Dessalines, le Libérateur, tueur de la souffrance et de
la mort; la visibilité soudaine du relief de l’Éternel Empire d’AYITI; le
rappel de la prophétie du sort des peuples ingrats en cas de désertion de
l’Œuvre Magistrale de Dessalines, l’Empire, comme justification du présent état
sur le sol des Arawak; le Rétablissement de l’Administration Impériale par le
Principat, Enfants de Dessalines reconnu(e)s par l’Empereur; la mise à nu du
blancisme et ses atha, peuple exogène de la république; la multiplication des
groupes de défense du Plus Que Grand, toujours Dessalines, le Vaillant, tel que
Son Combattant Impérial Dahoud André aime à le nommer; une foule de groupes d’études
ou de discussions, notamment Anba Tonèl, dont Sa Voix Impériale Fabienne
Hyacinthe est le porte-voix, sans oublier les fameuses émission de radio,
surtout « Heritye Papa Desalin », reprise par plusieurs autres
radios, dont « Radio atlantik Ayiti » du docteur Polycarpe, et
« Vérité révélée » de Pierre-Marie Mont-Gérard; la levée d’une
multitude de voix contre la présence de la république sinistre, donc du
blancisme, sur notre Territoire Impérial; la condamnation sans appel du pillage
de nos biens et ressources ainsi que des assassinats par le blancisme,
notamment les États-Unis, la France, le Canada, l’Allemagne; la dénonciation du
Dessalines sans Dessalinité, un bluff des parricides pour faire durer la
république, source de tous les maux; la mise en accusation des parricides, qui
se présentent sous forme de partis politiques et de défenderesses comme
défenseurs, de tout genre, de la chose macabre, soit le blancisme et la
Conjonctionnelle, etc.
Devant cette
contre-offensive gagnante, le blancisme multiplie ses actes délétères, support
du gouvernement de la république, multiplication de groupes de bandits,
tueries, assassinats des opposantes et opposants de la république ainsi que de
sa présence sur le Territoire Impérial, élections bidon, catastrophes
artificielles, par exemple le tremblement de terre et les cyclones,
appropriation de terrains, destruction de l’agriculture, etc., etc., etc.
Plusieurs de
ces actes sont en application chez eux, même dans leurs pays spoliés. Ils ont
mis en place une chasse à la Gwqmunalité, les gens qui défendent l’intégrité du
Territoire Impérial et la pureté du lizay, mode de vie unitaire
négro-jelefweenne. Par exemple, Sa Majesté Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans
Charles Jean Baptiste rencontre toutes sortes de difficultés à travers une vie
simple qu’elle mène au Canada. Les autorités de ce pays lui barrent la route en
tout. Tous ces actes venimeux se posent dans la plus simple illégalité. La
dictature féroce canadienne n’est pas soumise aux lois qu’elle se donne.
D’ailleurs c’est une des propriétés de son essence nocive. Le
nombre de gens qui en est victime est légion. Le monde en sera franchement
étonné lorsque s’élèvera le jour sur ces actes sordides. Personne ne peut avoir
soif autant que nous de l’heure où ces autorités seront enfin emmenées pour ces
crimes odieux. Depuis plus de vingt
ans, par des publications de toutes sortes, lesquelles parcourent en tous sens la
planète terre, je dénonce fermement les actes puants du Canada chez moi, au
Pays de mes distingué(e)s Ancêtres, Pays dont j’ai la responsabilité
constitutionnelle de superviser pour la marche de la Victoire. Depuis plus de
vingt ans aussi, à cause de mon travail, je déjoue constamment les pièges de
ces autorités, ces prédateurs et prédatrices dignes de leur profession.
Calmement, car je suis un Être Supérieur, je les regarde qui nagent dans leur
folie meurtrière, la blancismesque. Elles se révèlent de plus en plus au grand
jour en recourant au service de simples citoyennes et citoyens pour le succès, succès
qui tarde à venir et qui ne viendra certainement pas, de leur objectif macabre.
Je ne vois pas comment, arbitraire excepté, pourraient-elles y parvenir. Ici
encore l’échec sera total-capital. Il en est de même pour les autres Enfants de
l’Éternel Empire. Toutes les issues sont fermées car la loi, qu’elle soit
respectée ou pas, est et reste la loi. Et chacune-chacun n’est responsable que
de ses actes. Cela est fondé et scellé dans l’individualisme régnant. Qu’ils le
veuillent ou non, ce principe vaut pour tous les lieux où vivent les blancistes
parce que c’est notre loi, la loi à laquelle nul ne peut déroger.
Avant toutes
choses il y a l’indissoluble et indivisible Empire dont chacun-chacune est une
partie et qui est une des puissances de l’univers. L’Empire n’est pas dans la
conception de l’ennemi (le blancisme) mais en soi-même, c’est-à-dire NOUS. Les
Enfants de l’Éternel Empire d’AYTI, Empire de Tóya-Dessalines et Empire
Ancestral, ont une lourde responsabilité dans le monde; nous nous y
appliquerons en toute sécurité, à l’ombre de cette puissance : « Le
peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se
former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de
l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti ». Une fois de plus le blancisme est battu.
La seconde
signification de la spécificité de la tristesse et la vilenie du 17 octobre est
la seule qui soit parce qu’elle met en exergue l’unité dense et l’unicité du La
et qu’elle met du même coup en lumière la nature mentale de l’extérieur, donc son
caractère chimérique.
Il résulte de
cela qu’il y a deux voies sur la terre, la voie du vide parce que gordrm,
étranger au La, et la VOIE, parce que DIVINE. La voie néant, par sa gordrmité,
est illusoire, soit une entité de l’esprit, ce qui, ipso facto, explique
l’unicité de la VOIE. Aussi la VOIE est Lieu d’Être et Présence Manifestée. Ça
va de soi, elle est la Source intarissable de Victoire, de toutes sortes, en
tout temps et en tout lieu.
C’est en ce
sens que l’Empire d’AYITI, par sa Fondation Divine, découle de la VOIE, qu’il en
est forcément une des choses qui la constituent et que, par sa spécificité, il
est transcendant, soit GWQMUN, c’est-à-dire qui, irréversiblement et
irrelativement, ne dépend que de lui-même dans la multitude d’individus
(éléments) du La.
Impératif
logique et présentiel de l’Être de Notre Dieu, Bon-Dieu, par rapport, d’abord,
à l’être munal et ensuite la manifestation externe de celui-ci, donc son
parachèvement dans le monde sensible, l’Empire d’AYITI est le Fruit de
l’Éternité.
Il est, en
premier lieu, tout DIVIN et, en second lieu, tout Jean Jacques Dessalines,
Enfant élevé par Agbawaya Tóya, celui qui lui a donné sa forme sensible dans le
monde, laquelle est insérée dans l’enveloppe de l’Éternité.
Pour
la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de
Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents
sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH
Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste
7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant
de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire
Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique,
théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la
munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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