Comment préparer les plaintes contre les génocides perpétrés contre les Négresses et Nègres ainsi que les crimes contre l'humanité

 



La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 k = © Tous droits réservés

q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, Ä= on, ñ


Décret 00000007 11 décembre 2024 0000000


Texte renforcé 

Dimanche 14 janvier 2024

L’eliminrgyo : objet du génocide sporadique,

dont le Canada est l’instrument choisi par ses pairs

Introduction à la TPI :

le crime contre l’humanité :

https://youtu.be/sJp1kmSx9js?si=ereyRuquGhpuhqyy

Le crime de génocide

https://youtu.be/qzzEDL_zvbo?si=amMESw45WlhHZgqK

« Introduction à la CPI » : Les examens préliminaires et enquêtes du Bureau du Procureur

https://youtu.be/zfbppXirrj4?si=IrABLzpJU7IAzis9

« Introduction à la CPI » : Les crimes de guerre

https://youtu.be/h9l5za9QjlQ?si=VjO2ezkzb2GO24TM

Israël accusé de génocide par l’Amnisty international

GÉNOCIDE À GAZA : LES PREUVES ACCABLANTES D'AMNESTY INTERNATIONAL  

  https://youtu.be/_RKVNabWPXM?si=W_A2-CjigZVZKB2v

https://youtu.be/_RKVNabWPXM?si=cIHoPbE4jXqQWDPu

Mandat d’Arrêt de la CPI Contre Netanyahou : Quand les Complices Crient à l’Injustice

https://youtu.be/yFzm-oeI65A?si=GNVAZRxX5hcfZt_0


Le texte est le modèle de collecte d’informations pour la plainte qui sera remise aux avocats pour la poursuite en génocide devant le tribunal pénal international contre le Canada. La situation est intenable. La mort s’installe en face de NOUS et la mort certaine au bout de l’opération si NOUS ne réagissons pas maintenant, sans délai. Pour renforcer votre savoir en la matière, lisez les plaintes pour génocide déposées contre Israël devant la cour de justice international par l’Afrique du Sud et celle devant le tribunal pénal international par d’autres avocats, toujours contre Israël.



Le choix de ces grands criminels, Canadiens et Canadiennes, au sein du blancisme, n’est pas arbitraire. Ils se sont faits connaître par une rare criminalité et ont marqué l’histoire dans ce domaine. En effet ces hommes ont réussi, dans leur système d’esclavagisation, à supprimer dans les Nègres et Négresses qu’ils avaient kidnappés la mémoire des leurs, une mort atroce. Il y a plus. Pour ce qui est de leurs compatriotes, ces assassins notoires sont parvenus à tenir éloignés de leur conscience la cime de l’horreur, jusqu’ici inconnue à la terre. Je me souviens de l’étudiant, un adolescent de 17 à 18 ans, qui, à la fin du cours, me disait en sortant : « Monsieur je ne savais pas que les négros avaient tant souffert ». La réaction n’est certes pas pareille chez toutes et tous mais le sens est le même. Quand je parlais de l’esclavagisation au Canada, plusieurs étudiants et étudiantes me reprochaient, à moi, d’enseigner des faussetés, dans le sens qu’il n’y a jamais eu de telles choses dans l’histoire. Pourtant le Canada s’est imposé dans la conscience de sa population comme lieu de salut pour les Négresses et Nègres qui fuyaient cette pratique aux États-Unis. Quelle contradiction ! Mais stérile, dans le sens que cela ne porte nullement à des interrogations. C’est être et néant, ignorance et savoir sous le même rapport.



Ce fait s’explique par l’appropriation d’une partie de la capacité des gens, pour la transformer ensuite en terre brulée où les gens ne sont ni sensitifs, ni d’intelligence, ni doués de conscience. Pour le dire de façon laconique, la majorité des gens ne sont pas entièrement là. Ce n’est pas un petit phénomène. L’expression qui définirait ce mode de tuer, est, comme on dit en gelefwo-masuana, langue de l’Empire d’AYTI, «  Wat morde sufle ». en finir sans tambour ni trompette. Ce coup de poignard est beaucoup plus puissant  que celui d’un athapika, pour reprendre un vocabulaire gelefwo-masuana, une sorte de poignard très puissant. En bref, c’est le mode d’opération qui a favorisé le choix du Canada.



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Nos Ancêtres-contre-frappent, l’emportent, tombent mais restent debout en eux, se relèvent, maintiennent le cap vers le SOI-MÊME, bravant la mort généreuse des blancistes. Nos ennemis naturels s’en offusquent et ils changent de projet. À en juger par les faits, ils voient en nous, les Nègres et Négresses, un obstacle à leur devenir et décide de notre extermination totale en passant par le dénigrement, l’humiliation, l’infantilisation, l’absorption, le commandement, les massacres, le génocide … 


Au milieu de cet océan de haine viscérale, émerge Le Soldat, l’ARRÊTOIR, l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, et il fonde l’Éternel Empire d’AYITI, sous « l’Immortel Décret Divin », comme instrument de travail. Au même moment, l’une des organisations constitutives du blancisme en acte, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, le Canada, se dresse contre toute reconnaissance du Peuple-État et son organe, l’Empire d’AYTI, l’Organisationnelle, Bras Puissant de NOTRE DIEU, GWQMRTLA. Les plus grandes et longues dents du blancisme, la bactérie, ont salué l’opération jugée fructueuse du Canada et elles lui ont donc confié le rôle d’exécutant de l’eliminrgyo.


L’avènement de la république d’Haïti en 1806, dont l’empereur français, Napoléon Bonaparte, est le principe institutionnel, a favorisé, par sa stratégie de disparition, le jeu sinistre du blancisme, notamment la démarche annihilatoire du Canada. 


Nous le voyons, le délégué du blancisme, qui contourne le théorème impérial, à savoir « ni maître ni propriétaire », par la république pour arriver, suivant l’idéologie blanciste, à piller nos ressources et à nous génocider. Pour ce qui est de ce dernier, nous le voyons à l’œuvre en mer pendant l’embargo du début des années 1990, en train d’empêcher le bateau transportant des médicaments d’arriver au port d’AYITI pour la livraison de sa cargaison. L’objectif visé est de provoquer des morts au sein de la population nécessitant des soins médicaux. Cela a marché car les morts sont légion. Malgré l’alerte du personnel de la santé, les religieuses en tête, le tueur silencieux, le Canada, fait du zèle. Le bateau du programme Feed the children connaît, lui aussi, la même contrainte par les militaires canadiens. Il se voit obligé de faire volte face avec son chargement de nourriture. La majorité des centaines et des centaines de morts journellement sont des enfants, viennent tout de suite après les personnes âgées. Ce n’est pas rien. Le personnel de la santé regarde impuissant mourir les enfants, soulignent les religieuses. La république, pilotée par les blancistes, reste indifférente face à tout cela. 


Nous retrouvons le Canada au Rwanda en 1994, année grasse pour le criminel. Il est là comme chargé d’opération. Nous ne savons pas exactement ce que cela signifie puisque ce pays ne parle ni n’agit en plein jour. C’est le mutisme complet et l’inaction pendant que se déroulent aussi les affrontements interethniques. En d’autres mots il laisse aller les choses, cela se voit. Cela ne peut pas être contraire à ses responsabilités, s’il se comporte de cette façon. L’opérateur communiquait dans l’obscurité car il « a serré la main du diable ». 


Les militaires canadiens engagés dans l’eliminrgyo, nous les rencontrons en Somalie sur un pied de guerre. Interrogés par des journalistes canadiens sur la raison de leur présence dans ce pays, un des militaires, loin de la civilisation, par son parler, a répondu sans détour : « Nous sommes ici pour tuer des nègres, j’ai pas tué encore ». 


L’Europe a révélé, certainement par un blanc tout court, que le virus du SIDA, que l’on savait déjà qu’il était un produit des laboratoires, a été fabriqué au Canada et transmis ensuite par une campagne de vaccination contre la poliomyélite, à 100 millions de gens, dont la très vaste majorité d’entre eux est des Négresses et Nègres. Les autres font partie d’une stratégie de subterfuge.


Pour camoufler l’origine du virus du SIDA, des journalistes de partout, particulièrement blancistes, lancent tambour battant, une grande opération de détournement d’attention en rendant responsables les Négresses et Nègres d’AYTI ainsi que du Gelefwe, le continent ancestral, de l’arrivée du virus. Nous nous souvenons de la très grande mobilisation ayitienne de N Y, aux États-Unis, contre cette campagne macabre. Notons bien que l’arrivée est nègre, une mise en danger de la vie des habitantes et habitants de la planète. 


Le Canada n’est pas en reste. De son côté, il fallait s’y attendre, il a produit un long documentaire sur la question d’origine avec le concours d’un spécialiste en médecine, pour finalement dire que les responsables sont un singe porteur du virus, chassé et consommé par un nègre, qui l’a introduit au sein de ses proches. La bactérie mangeuse de Négresses et Nègres cherche à faire passer la victime pour le vecteur du mal qui le détruit.


Politiciens, politiciennes, scientifiques et journalistes jouent bien leur rôle dans le kase-kuvwi (casser-couvrir) du génocide en cours mais les règles du discours mettent en évidence ce qu’ils cherchent à obscurcir. Ils ont très mal monté le documentaire. Cependant, au niveau de la finalité de l’administration du virus aux victimes, sans se mouiller, croient-ils, ils se laissent aller. En effet un journaliste du Canada, bien instruit de ce qui est au bout du chemin, prédisait, dans un reportage sur la vie politique et économique de « l’Afrique », pour reprendre son vocabulaire, un avenir meilleur mais pour finir, « si le SIDA, disait-il, ne vient pas changer la réalité », soit supprimer tout le monde. 


Ce n’est pas l’avancée de certains chercheurs et chercheuses dans le domaine du SIDA qui peut limiter le désastre canadien sur les Nègres et Négresses parce que la propagation du virus est et demeure effrayante. On a échoué dans la préparation du vaccin contre le SIDA. Avant cela c’est l’avion qui transportait les chercheuses et chercheurs dans le domaine de l’assaut du Canada contre la population nègre de la terre, le SIDA, revenant d’un congrès, qui a été abattu en plein vol. C’est effroyable. Il est clair qu’on ne veut nous laisser aucune chance de nous en sortir. 


Faut-il nous poser clairement la question : Quel avenir le Canada veut-il NOUS réserver ?


Il est un fait certain que notre ennemi naturel ne pourra pas avoir tout le monde par ces moyens. Il en est conscient. Il s’en donne d’autres, qui tuent aussi en grand nombre, en vidant les gens de leur substance endogène, pour la remplacer par une conduite au rabais à cause de son extensité à courte portée, un accès limité et sans garantie. Ces êtres sont morts parce qu’ils ne sont pas en soi, par soi et pour soi et que le soi qu’on leur a ingurgité ne leur a pas accordé l’appartenance sociale de leur nouveau monde. Ils sont et continuent d’être vus sans interruption comme gens du dehors par celui-ci. Pour tenter d’escalader l’impossible montagne, ils doivent jouer sans cesse l’acte 1 de la pièce « Se faire accepter » jusqu’à leur mise en terre. Il s’ensuit qu’ils sont confinés à être sans être, un tourment psychologique ineffable, pour nos ennemis naturels, bien sûr. Les tortionnaires utilisent les institutions religieuses, scolaires et autres, puis le « confort social » ? et l’effet de la mode pour les attirer dans ce guet-apens.


À côté de l’abaissement, lequel est en soi leur fin en soi, il y a la tentative de prise de contrôle de la direction de la vie collective des gens. Cela signifie s’opposer à leur gouvernement de soi, en soi, par soi et pour soi, ce qui est l’affirmation extensionnelle de soi, ce que l’on est jusqu’au dernier point. Cette démarche repose sur une conception réduite de ce qu’on appelle, dans le langage blanciste, « la nature » de l’autre, un être moins que soi-même, dont la qualité de l’essence est minimale par rapport à la sienne propre, ce qui le prive, ipso facto, de l’aptitude à se diriger soi-même et qui, du même coup, le place sous son commandement, de l’être à caractère supérieur. Cela s’appelle, en science de la politique, « l’esclavage », une domination naturelle. C’est contre cette vision des choses que s’est érigée la Résistance Gwqmunale et Mordante des Négresses et Nègres. Le Canada, fidèle à lui-même, tueur silencieux des Nègres et Négresses, œuvre durement, et sans arrêt, pour faire échec à toutes velléités de Gwqmunalité, et par conséquent de Gwqmunité, même à la république d’Haïti, « le pays en friche », disait Sylvain Coté, en revenant au Canada, après l’organisation frauduleuse des élections scandaleuses et le démantèlement de plusieurs institutions de la république en faveur du désir du Canada de prendre en charge la destinée de celle-ci. 


Les gens, Négresses et Nègres, premiers habitants et habitantes de la terre, qui, depuis des millénaires, ont toujours vécu sous la direction de leur Gwqmunalité, sont, par la violence systémique, sur une terre où le chef de l’État est un leucoderme, cela depuis plus de cinq cents ans à la suite du verdict « d’esclave », naturel, en plus, du dieux de la bible et de l’église de Rome, confirmé par Louis XIV de France, fille aînée de l’église, sous la dénomination de « bien meuble », soit être fait pour être gouverné, pour cause d’impuissance intellectuelle, par le blancisme, homme véritable, réel. C’est ce que rappelle Sylvain Coté par ses propos mais sans dire qu’il venait de travailler en ce sens, pour le faire advenir, sous l’autorité de son pays, le Canada. 


Nous allons le voir, l’eliminrgyo n’est pas une affaire d’aujourd’hui. Le génocide sporadique que dirige le Canada est la continuité, sans interruption, du suicide logique de la parole vide du dieux de la bible et ses pairs, de l’église de Rome et de la royauté française, adoptée par la royauté espagnole, la royauté anglaise, dont le Canada est le fils légitime, la royauté portugaise et toutes les autres, et de leurs actions concordantes, dont voici un bref résumé :

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Paroles des colons

Par son expérience personnelle, Cussy, en 1685, affirme ce qui suit : “Nous avons dans les nègres de redoutables ennemis domestiques”. Un siècle plus tard rien n’a changé, ce que révèlent les paroles suivantes : Rouvray (1785) : “Une colonie à esclaves est une ville menacée d’assaut; on y marche sur des barils de poudre”. Que dire de ce colon de Saint-Domingue : « les nègres, soutient-il, sont injustes, cruels, barbares à demi humains, traîtres, hypocrites, voleurs, ivrognes, vaniteux, paresseux, sales, sans vergogne, jaloux jusqu’à la furie, et lâches». « Il faut traiter les nègres comme on traite les bêtes », dit le gouverneur de Madinina (Martinique. C’est à quoi nous allons assister, base du génocide auquel nous assistons.


Visionnons, en bref résumé, par les capacités quasi magiques de la pensée, le bal blanciste sur une partie des êtres munaux, les Négro-jelefweennes et Négro-jelefweens : 200 000 000 de razzié(e)s, traumatisme-la chez les gens qui restent et traumatisme-la au sein des razzié(e)s; déportation; occupation de la Cour; chute provoquée des rois; guerres provoquées; razzia et assassinat des rois, kidnapping sur place des rois; corruption de rois; tentatives de mise sous tutelle par le christianisme; interdiction de vivre dans son mode existentiel; corruption par les sens; priver quelques razzié(e)s de nourriture durant la traversée; en fouetter d’autres au sang et arroser leurs blessures avec de l’eau de piment fort; en écorcher vifs plusieurs, mâles ou femelles; les violer à répétition au vu et au su de toutes et tous; choisir arbitrairement quelques-uns (femelles ou mâles) pour être assassinés à fin d’arracher ensuite leur cœur et en contraindre d’autres à le manger; pour chaque razzié(e) qui arrive en Amérique, six sont assassiné(e)s en route après être torturé(e) parce qu’insoumis(es); séparation à jamais d’une mère ou d’un père de son ou ses enfants, de l’époux de son épouse; dans les colonies, la vente des kidnappé(e)s, la vente à la tonne des rejets: chétifs et chétives, malades, malingres ; jeter à la mer le reste qui ne trouve pas d’acheteurs; travaux forcés au bout des armes; fouetter jusqu’au sang et souvent jusqu’à la mort; peine du carcan; vol; viol; fouetter les pendu(e)s; pillage; les scier et les couper en deux vivants; donner des gens en nourriture aux reptiles; bras coupé; jambe coupée; bras et jambe coupés; les étrangler à mort; abandonner des gens aux arthropodes venimeux; immolation des gens; en fusiller par centaines à la fois; en regrouper dans la soute à charbon en vue de les asphyxier dans la fumée du bateau; supplice de la roue; les écarteler vivant(e)s; les larguer dans une chaudière d’eau bouillante; les broyer vivant(e)s; arracher les enfants aux parents pour les vendre à des colons d’autres plantations, lointaines; les enterrer vivant(e)s; érection de clôture avec des têtes coupées; des gens vivants jetés à la mer boulets aux pieds, fusiller celles et ceux qui refont surface; déposer vivants des gens dans une grosse chaudière d’huile bouillante; lier les gens dos à dos pour les larguer ensuite à la mer; les marquer au fer rouge de feu; couper une oreille de celle ou celui qui refuse d’obéir, couper parfois la langue; les violer avec rage; suant sang et eau sous les coups de fouet; les enterrer vivants debout jusqu’au cou et la tête imbibée de graisse pour être mangé(e)s par les fourmis; les bourrer de poudre à canon pour être explosé(e)s ensuite; les enflammer vivants; les livrer aux chiens anthropophages; châtiment du blanchiment, lequel consiste à enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive; les livrer vivant(e)s aux chiens anthropophages pour être mangé(e)s vivants sous les applaudissements des spectateurs et spectatrices en liesse, surtout des jeunes filles sur leur trente et un. Pour chaque razzié(e) qui arrive au Masuana, 6 furent assassiné(e)s en route, par exemple, pour sa seule colonie de Saint-Domingue (Ayti), la France en a razzié 15 millions, 4.5 millions ont vu l’île. De ce nombre, selon le dernier recensement en Ayiti, juste avant les dernières grandes batailles, il en restait 600 000. Tout cela, ce n’est pas sous l’effet de la colère, sentiment passager, par conséquent des comportements qui ne durent qu’un moment, mais non, un mode de vie quotidien durant trois siècles. Tout acte est le reflet de l’intérieur, ce qu’on est, de façon stable. Les actes du blancisme le définissent nettement et distinctement.   


Le 21 octobre 1801la Guadeloupe a fait l’Indépendance et elle redevenue Karukera. C’est la rage en France.

À ce sujet, Louis Delgrès, né le 02 avril 1766 à Saint-Pierre de la Martinique a dit ce qui suit : « Il existe des hommes malheureusement trop puissants par leur éloignement de l'autorité dont ils émanent, qui ne veulent voir d'hommes noirs, ou tirant leur origine de cette couleur, que dans les fers de l'Esclavage ».



Écoutons les propos du


Vice-amiral Denis, duc Decrés (1761-1820), ministre de la Marine en 1801 Décrès, alors ministre de la marine et des colonies déclare le 14 novembre 1801 : “Je veux des esclaves dans les colonies. La liberté est un aliment pour lequel l'estomac des Nègres n'est pas préparé. Je crois qu'il faut saisir toutes les occasions pour leur rendre leur nourriture naturelle sauf les assaisonnements que commandent la justice et l'humanité. Je crois qu'il faut envoyer une force considérable en Guadeloupe, non pour la réduire à ce qu'elle était mais à ce qu'elle doit être”.


Ce sont là des idéologies et des actes incommensurables qu’elles appellent, C’est une autorité sans fin. Idéologies et actes sont de tous les temps, donc toujours actuels. C’est la logique du principe à conséquent. Dans ce champ précisément se retrouve le Canada, fait et nourri de ces idéologies et actes. On ne naît qu’une fois et sa nature est et reste invariable et irrévocable. Ainsi cette organisation criminelle se faufile sans difficulté dans ce qui est son monde naturel, celui qui porte la marque anglaise, pour se maintenir, par sa nourriture nocive, sous l’égide du dévoreur naturel. Dans la Karaïbe il est l’assurance du Mal bactérien. Les verbes du ministre de la colonie, Denis Decrès, lui fournissent presque toute l’énergie qu’il lui faut pour travailler durement, soit sans relâche, à garder la Karaïbe négro-gelefweenne sous la domination de la bactérie et dans l’horreur comme dans son prédicat. Ces mêmes paroles s’inscrivent sur son être comme la vérité, dans sa conformité à celui-ci. Le Canada s’affirme être dans la droiture lorsqu’il s’est opposé à l’érection de l’Empire d’AYITI. 


Nous le voyons d’une manière plus évidente dans ses actes sinistres. À titre d’exemples, les gens affirment très clairement que le Canada dispose de ses propres gangs en Ayti. Il s’est battu sur l’Artibonite avec un déchaînement à la hauteur de son être. Cela trouve sa justification dans le fait qu’il y a au cœur du département la Très Grande Ville Dessalines, Capitale de l’Éternel Empire d’AYITI, fondée par l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, Enfant d’Agbawaya Tóya. La route, ainsi que certains points autour, de la Ville Majestueuse, est empestée d’embuscades et de groupes armés, dont le statut véritable est mercenaire. Ils sont fabriqués par le manque de plus en plus sévère  provoqué par la stratégie blanciste au bénéfice du génocide programmé. Il en est de même pour la partie qui mène à Dessalines. C’est à dessein qu’on n’en parle pas. Gonaïves est en périphérie nord de la Très Grande Ville Dessalines et Petite-rivière, commune de l’arrondissement de Dessalines, est à l’ouest. La Ville Capitale, Dessalines, se trouve au centre, au milieu des deux. Il faut passer par Dessalines pour aller dans l’une comme dans l’autre. La Petite-Rivière est limitrophe de celle-ci et la localité dont on parle tant est partagée entre les deux, dit-on. Il y a toujours une dispute entre les deux communes au sujet de leur frontière. Le silence vise à camoufler quelque chose, de gros, qui se prépare. L’horreur est à la porte de la Ville Arrêtoir. Tous les mercenaires de l’Artibonite sont affiliés aux groupes armés de Port-au-Prince. L’un travaille de concert avec les autres. L’un passe à l’autre, si nécessaire, les informations. Il y a entre eux une étroite collaboration dans les crimes. Le Canada, rapporte-t-on toujours, a ses propres gangs opérant dans l’institution policière. En plus de cela il est membre actif du gang-chef de Port-au-Prince. Cependant, son bureau-chef, est en Dominicanie d’où il travaille avec la police de la république d’Haïti. Cela rappelle le Rwanda. C’est le même comportement, les génocidaires sont là sans être là. Les armes des mercenaires, toujours selon la population, arrivent en AYTI, pour une grande partie, via la Dominicanie. Ce qui résulte de tout cela, c’est que les gens, en plus des enlèvements à rançon et des exactions innommables, meurent en grand nombre. Les citoyens et citoyennes racontent aussi, ils sont catégoriques là-dessus, que les kidnappé(e)s dont on n’est sans nouvelles, même après avoir payé les rançons, sont victimes de trafique d’organes. Il y en a qui soutiennent sans ambages que le point de passage est le bureau-chef à Saint-Domingue. 


À la base de ces activités sinistres, il y a un protocole d’entente de signé entre les organisations criminelles, le Canada et la Dominicanie. Le gang institutionnel de police sert de tremplin au corps criminel canadien. 


Comment ne pas trembler d’effroi en écoutant ces cruautés. La technologie avance, elle permet, certes, beaucoup plus de choses, telles que faire d’une pierre deux coups. 


Cela suffit pour la mise en forme du modèle de cueillettes des preuves pour le dépôt des plaintes au tribunal pénal international. Il y a un océan d’avocats et avocates qui, victimes comme nous toutes et tous, gens de la population nègre de la planète terre, se chargeront de faire le reste en notre nom. Nous ne craignons rien car le génocidaire est déjà identifié. 


Continuons à travailler durement tant et aussi longtemps que cela est nécessaire. Il s’agit de NOTRE VIE, NOTRE AVENIR. Ne pas le faire serait signé notre ARRÊT DE DISPARITION. Nous sommes face à une campagne d’extinction. 


Tous ceux et celles, quel que soit le teint, et particulièrement les Négresses et Nègres, sont obligés de participer à cette campagne contre le Canada pour ces crimes indescriptibles.


Quiconque refuse de prêter la main forte à la campagne est coupable des mêmes crimes et fera face, s’il est pris ou si elle est  prise, au tribunal de l’Empire d’AYITI ainsi que du tribunal pénal international. 


Ce Décret est entré en vigueur aujourd’hui, le mercredi 11 décembre 2024

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn


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