L’EMPIRE D’AYITI, EMPIRE DE TOYA-DESSALINES, EMPIRE ANCESTRAL




La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 t = x © Tous droits réservés


L’EMPIRE D’AYITI,
EMPIRE DE TOYA-DESSALINES, EMPIRE ANCESTRAL,
UNE PUISSANCE GWQMUN, SOIT IRRELATIVEMENT INDÉPENDANTE DE LA TOTALITÉ DES PUISSANCES DE L’UNIVERS






À PARTAGER MASSIVEMENT

q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Ä = on




Le blancisme n’a pas de secret pour nous, nous le connaissons fin et bien, soit dans toutes les sinuosités de son être.


Le blancisme, dont le socle est une illusion, est notre pire ennemi de la planète, cela pour deux raisons, la première est notre Supériorité, par la possession du dqmbala (connaissance vraie) de la vie, particulièrement la manière de vivre pleinement la vie, soit la munalité, la deuxième est notre indomptabilité, laquelle est indissolublement liée à notre Supériorité, et notre invincible volonté de nous élever au point culminant de notre être, c’est-à-dire la négro-divinité. De par ces deux propriétés nous représentons à ses yeux une menace paroxystique réelle.


Le Canadien Jean-Louis Roy, à l’époque où il était le secrétaire général de l’ACCT (je ne sais pas s’il l’est encore), de façon éhontée, disait un jour, en parlant des pays négro-« africains » (gelefweens) : « Il y a une chose qui n’est pas négociable, c’est le respect des droits de l’homme. Sur cela, la communauté internationale doit partager les mêmes normes : droits politiques, droits économiques et droits sociaux ». Jean-Louis Roy, se présente, au nom du Canada, comme celui qui montre la voie aux Négresses et Nègres. Il ne reconnaît aucune déviation à la règle, laquelle est le droit.


Le Canada n’est pas à sa première prise de position en ce sens. Lorsque Sa Majesté Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines a, dans le monde sensible, fondé l’Éternel Empire d’Ayiti, Empire Ancestral, le Canada s’est prononcé contre cette PUISSANCE NÈGRE.  


Le droit que le Canada s’est fait le défenseur, au nom de la communauté internationale, par le truchement de Jean-Louis Roy, est ce système d’escamotage basé sur le droit subjectif, lequel est initié par le philosophe anglais, Thomas Hobbes, dont je suis le spécialiste de la science de la politique. L’illusionniste de Malmusbury, en voyant dans le droit de nature d’Aristote, un autre prestidigitateur de la pensée, le moyen de donner un devenir effectif à l’hommalité, cause de l’homme, l’a fait passer de la nature à l’homme pour qu’il puisse servir d’étalon à icelui. Ce qu’il faut bien comprendre, l’homme devient l’étalon de l’homme. Et l’homme, est-il dit, est celui qui a le teint clair, soit le blanc. Il est aussi dénommé les gens-comme-nous. Le droit est alors le droit des blancs.


Sans se soucier de son incapacité de connaître les choses en soi, Hobbes proclame le droit comme nature ou contenu de l’homme. Une chose sans fondement connu, et il est même impossible de lui en donner un, donc une chose chimérique - il en sera de même pour les autres auteurs -, devient principe politique en théorie comme en pratique. Le vide mène.


Le seul intérêt qu’offre la doctrine du droit, qui est sans fondement et qui est également truffé de contradictions (voir à ce sujet le livre que je viens d’écrire à Cuba : Le Prince Rasoir III, L’Homme squelettique de l’ordre artificiel du droit ou l’esclavagisation involontaire par le piège), est le moyen de jeter de la poudre aux yeux de la quasi-totalité des gens, que l’on juge, au dire même de Montesquieu, « de médiocre entendement », afin de maintenir la domination politique et économique d’un tout petit nombre jusqu’à la création de l’homme, l’un, selon les droits de l’homme. Le droit a été élaboré, renforcé et propulsé à cette fin, au mépris des apories qui le traversent de part en part. La pratique du droit, en théorie comme en pratique, est, en tous sens, un rien dont on se sert pour s’autoriser à estropier les autres. Le principe politique est soi-même, opacifié par l’illusion dénommée droit naturel et imprescriptible. Le Canada, colon ou blanciste tressé jusqu’aux fibres de ses entrailles, est un des bras agresseurs du droit, cet irréversible et irréfutable néant.   


Ce n’est pas arbitraire, la mission du Canada chez les Négresses et Nègres. Hobbes, l’initiateur du droit, soutient que « l’homme a droit sur toutes choses et même sur le corps des autres ». Poursuit-il en ces termes : « Il a droit de vie et de mort sur les autres », ceux et celles qui mettent en lumière le vide du droit. En sus, comme « le droit est le désir de se conserver », ce loup pour les autres, y compris l’homme, «Il n’est pas contre la raison qu’un homme fasse tout ce qu’il peut pour préserver son existence et son être de la souffrance et de la mort». En politisation, mode de réalisation propre au droit, ces traits deviennent ceux du souverain, le pouvoir.  Paul Martin, dès lors premier ministre du Canada, s’est fait menaçant : « Il est dans  notre intérêt, dit-il, que la communauté internationale soit guidée par la primauté du droit et qu’elle soit tenue de s’y conformer». Est ainsi rejetée, toute voie autre que celle du vide du droit, même si elle est plusieurs fois millénaire, telle la munalité. 


Dans un tel contexte, les Nègres et Négresses sont massivement assassinés eu égard à leur Supériorité et Invincibilité. Qui a oublié ce reportage – nous ne donnerons que cet exemple pour le continent ancestral - dans lequel s’exprimait ce soldat canadien-français, dans un accent plus vieux que la langue elle-même : «…j’ai pas tué assez de Nègres encore ».Avant lui un autre a révélé le nom de l’opération en cours : « Cassons la gueule aux Nègres ». Ici aussi, au Masuana appelé Amérique, le Canada envoie plusieurs Nègres et Négresses au pays sans chapeau. A titre d’exemple le Canada était très actif dans les assassinats programmés des Haïtiennes et Haïtiens, des gens de tout âge. Par le blocus naval, acte illégal, le Canada en a profité pour transformer l’embargo sur les biens non essentiels en embargo sur les biens essentiels. Rien dans ce domaine ne passait. Les bateaux qui transportaient le matériel médical mensuel étaient refoulés. L’organisme international Feed Children (?) n’arrivait pas à passer non plus avec sa cargaison de nourriture destinée aux enfants dont les familles sont en difficulté. À cause de leur jeune âge, les enfants mouraient par dizaines de milliers par année, cela durant plusieurs années, aussi les nouveau-nés en payaient largement les frais. Les personnes âgées en mouraient autant. Tout cela sans compter les adultes, jeunes et mûrs, qui ont des problèmes de santé. Le Canada est coupable du sang nègre.


L’Éternel Empire d’Ayiti s’est donné son troisième Empereur, en la Personne du Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération de Dessalines, une Administration et un programme, qui est la mise en forme de la raison d’être de l’Éternel Empire Ancestral, Empire de Toya-Dessalines, un programme qui est antithétique à l’illusion du droit. Depuis que le Prince manifestant l’Éternité de l’Empire est connu, le bras agresseur du Canada s’agite dans tous les sens. Ce pays est sous une dictature indescriptiblement savqn, sauvagerie en système. Rien n’est négligé pour casser la gueule au Prince, puis à Sa Majesté, ni faire couler son sang. Un petit exemple pour la planète. Je me souviens de cette personne chez qui j’étais en colocation pour pouvoir aller travailler sans difficulté parce que je n’ai pas de véhicule. Je ne conduis même pas car je vis en retrait de la civilisation du droit. Arrive le moment de déménager car je vais enseigner ailleurs. Je revois devant moi la personne qui, à la toute fin, tient dans sa main une valise en s’avançant vers moi : « Tiens, me dit-elle, vous avez oublié ça ». Cela me surprend parce que la valise était avec celle de mon ordinateur – elles sont toutes deux de même grandeur et vides –, l’une à côté de l’autre, placées sur les premières boîtes de livres à vendre. Comment se fait-il que l’autre ainsi que les premières boîtes sont dans le camion mais pas celle-là. J’allonge la main gauche pour la prendre, elle m’attire vers le bas parce qu’elle est pleine et lourde. Ce n’est pas possible, la valise, que j’ai reçue en cadeau d’un ami, est vide et non utilisée. Impossible de l’ouvrir pour voir ce qu’il y a dedans, elle est fermée à clé. Je n’ai pourtant pas encore mis de clé là-dessus. Pendant ce temps mon ex-colocataire m’observe. Je me souviens que, dans les derniers jours, je n’avais pas accès au sous-sol de la maison, là où étaient mes boîtes de livres à vendre et une partie de ma bibliothèque. Je voulais savoir pourquoi, la réponse était non, un non ferme. Sa chambre n’était jamais fermée, c’était un autre régime. Je laisse à la planète le soin de savoir où était la valise et ce qu’il y avait dedans. Je remercie bien poliment la personne, ma fonction ne me permet pas d’agir autrement. Je retourne vers la déménageuse et le déménageur pour leur demander d’essayer de l’ouvrir. Ils n’y arrivent pas non plus. Mon intention est de la laisser là mais la personne a les yeux rivés sur nous. Je leur explique à voix basse la situation et leur dis qu’à la première décharge publique nous jetons la valise. Le déménageur, pour une raison ou pour une autre, disparaît. Nous n’avons rien vu, et nous partons.  

Pour ce qui est de mon chez moi, c’est une place publique. Dès que je sors, on rentre. Ils introduisent des choses, dont certaines peuvent être empoisonnées ou empestées, dans mes affaires, moi qui ne me laisse même pas toucher, suivant l’éducation reçue de la Princesse Atala, ma mère. Je me préserve toujours de la crasse des autres. Ils insèrent subtilement dans mes ordinateurs des images et vidéos inintéressantes, parce qu’elles ne servent pas à étudier l’évolution comportementale des gens de la civilisation du vide. Leurs actes sont légion et tous illégaux. Le souverain n’est pas soumis aux lois, cela est une de ses propriétés.


Ils doivent savoir, dans tous les cas, même quand ils ont recours aux services des citoyennes et citoyens, que, dans un système individuel ou individualiste, chacune-chacun n’est responsable que de ses actes. Aucun acte n’est transférable.


Cette innommable dictature du droit s’en prend, sous diverses façons, à d’autres membres de l’Éternel Empire. Je n’en dirai pas plus.


Le non-lié du souverain ne change pas le fait que tous ces actes relèvent de la persécution politique et raciale, puis du terrorisme, alors des actes contraires à la loi.


 Que cette règle universelle, pour employer une terminologie d’ailleurs, soit inscrite dans la faculté de penser de chacun-chacune : L’«Article 1er de la Constitution Impériale : Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti » et j’en suis l’Empereur.




Alors que la planète continue d’observer!

  
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


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