Le Message de Sa Majesté sur l'état du monde actuel le dimanche 10 05 2020
La Famille Impériale et la
Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 5 b = © Tous
droits réservés
LE MESSAGE DE SA MAJESTÉ
AUX PEUPLES DE LA TERRE, ET PARTICULIÈREMENT AU PEUPLE D’AYITI ET À CEUX
DE NOS ANCÊTRES
À PARTAGER MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Ä = on
Je
suis HRH Sa Majesté Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste,
j’arrive d’un autre monde. Je viens de
faire le tour de la planète terre. Je vais faire le compte rendu de mon
parcours.
J’ai
pu observer un phénomène exceptionnel. Il est difficile, pour ne pas dire presque
impossible, de sentir la terre. Elle est comme scindée en deux, un clivage réel.
Ce n’est pas une illusion d’optique. La terre est enfermée dans une coquille
dénommée l’hommalité, dont le fruit, l’unique, est l’homme, laquelle coquille n’a
pas les pieds sur terre.
Les
hommes, chacun d’eux, sont, comme une boule d’eau, repliés sur eux-mêmes, ils
réduisent à eux seuls le réel. Partout ils vaquent à leurs occupations sans
voir les autres, bien évidemment pour ce qu’ils sont en soi et à leurs yeux
propres. Il arrive que, pour une raison ou pour une autre, ils se croisent,
soit pour contracter, soit pour échanger, soit pour …., mais toujours sans se
voir. En somme personne n’a jamais vu l’homme. Jamais il ne va à la rencontre
de qui que ce soit. Il est et reste confiné en lui-même. Il est, de toute
évidence, doté d’une devanture, qui est à l’image d’un bras mécanique, qui fait
toutes les opérations pour lui. Cette devanture procède à la manière
instinctuelle. Il n’y a donc aucune communication réelle entre les hommes, tout,
sans l’ombre d’un doute, se fait en surface.
L’homme
n’est saisissable, en partie bien sûr, que par certains de ses phénomènes. Il en est
ainsi parce que les phénomènes de l’homme sont, en grande partie, fluents. Ce fait
a pour but de le protéger.
Tout
indique que l’homme se juge suffisant, en tant qu’être, parce qu’on ne dénote
chez lui aucune quête de sens à sa vie. Cela se révèle clairement par son
comportement de prédateur, lequel est stable et invariable.
Si
paradoxal que cela puisse paraître, les hommes sont en couple, en famille, en
association, etc. Ils se divisent en races, en nations, en fédérations, en classes
sociales, en religions, etc. Il n’y a là
rien de contradictoire car, l’objet, ici l’homme, est et demeure identique à
lui-même.
Il
y a, au moins, deux faits qui supportent cela. Tout d’abord la religion. Toutes
et tous ils se rassemblent sous l’étendard de la foi en dieux, leur dieux. Dans
l’unité, l’homme est le plus divisé car cela ne va pas sans hiérarchisation ni
guerre. La religion n’a de sens que dans la domination car le dieux de l’homme
a une conception hiérarchique des êtres et des choses. La religion, puisqu’elle
est chose de l’homme, est foncièrement esclavagiste. L’esclavagisation de la
religion, un lieu de tourments à nul autre pareil, est plus dure que celle des
autres. Elle est le lieu de tourments indicibles et le pic de l’horreur. On
dirait, plus l’homme se déploie, plus il est indescriptiblement impitoyable Les
armes de destruction massive et les virus de toutes sortes qu'il invente jusqu'à présent, le prouvent avec fracas.
La
religion trouve son point culminant dans la politique, au mieux, la
politisation, dont le pouvoir est le centre organisationnel. La politisation
est le bras oppresseur de la religion. C’est en cela même qu’elle trouve ses
justifications. Il y a un accord parfait entre les deux, principe à conséquent.
Plus
l’homme s’approche de lui-même, plus la cruauté est grande. Aujourd’hui, sonne
partout l’heure de l’hommalasse, désir et manifestation de l’horreur extrême et
massive de façon globale, mais on en est qu’à son début. L’hommalasse a pour
but de faire avancer les choses, sa
réification – puisque l’homme est une illusion, un être mental ou une
pensée-être. Dans tous les milieux bien informés, paraît-il, on parle de la
réduction de la population de la planète. Beaucoup d’hommes sont déjà tombés et
il en tombe de plus en plus. Ce sont, de toute évidence, des actions concertées
de la religion et des hommes politiques. Les autres sont, en train d’attendre
leur tour à la manière des moutons qui sont à l’abattoir mais non sans espoir
qu’ils seront peut-être parmi ceux et celles qui seront du nombre restant pour
la dernière ronde et là ils pourront espérer être celui ou celle qui gravira les
marches victorieuses de l’hommalité.
Tout
ce que fait l’homme est à l’image de l’homme.
Il est un fait irréfutable que, sur la terre, les semeurs de la
cime de l’horreur et les dévoreurs d’hommes, ainsi que tous les autres,
sont ceux et celles (les hommes de la religion et la politique) qui occupent le
podium, soit qui parlent, et même très fort, en toute bonne conscience. Ils
condamnent les actes commis par les autres, des actes qu'ils commettent aussi quotidiennement, car c’est une transgression de leur
droit exclusif, le droit de l’homme, le blancisme. Quel monde aseptique et
fantômatique!
où
Je
rentre chez moi. Chez moi, c’est la munalité, le lieu où tout est un et aussi
multiple dans la manière de se manifester. L’ordre du nous, l’Ubuntu, est fait
sous le même modèle. Il est appelé, par sa constitution interne, à se parachever
dans le monde sensible, cela sous le même rapport. L’Empire est le Nom qui lui
est attribué. Dans son accomplissement son contenu est défini comme une Famille
dont l’Éternel Empereur est le Père, un Tout indivis. Il est l’environnemental,
son milieu propre, en raison des éléments qui l’ont constitué; il est multiple
tout en étant le Je, soit l’Ubuntu. L’élan de se maintenir actuel qui le
caractérise est celui du JE-NOUS, l’Ubuntu, porté par chaque badr, sa forme
sensible et multiple. L’Empire est celui de toutes et tous, sans nuances
épidermiques, qui jugent qu’ils sont en danger là où ils sont. Ils sont appelés,
par l’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines lui-même, son Fondateur dans le
monde sensible, à se retirer illico pour y venir, chez eux, là où tous et
toutes jouiront d’une sûreté éternelle et une tranquillité irrévocable.
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la
Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial,
croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince
Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération
du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité
du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines; Spécialiste et
professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment
du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
Commentaires