OH FEU, sur le Territoire de l’Empire d’AYITI, Empire Ancestral, le génocide nègre est en cours !

 

OH FEU, sur le Territoire de l’Empire d’AYITI, Empire Ancestral, le génocide nègre est en cours ! 

Le Décret 7770000000 tentatives d’incarcération de notre être, l‘être nègre, le Soi Munal 70000000 31 janvier 2025

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - m  = © Tous droits réservés

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Administration impérial rétabli

Le Décret Les tentatives d’incarcération de notre Être, l’Être Nègre, Notre Soi Munal, pour cause d’entrave au devenir du blancisme, l’horreur innommable 

Lekba

La louperie, mode d’agir du blancisme

Une chose est évidente, le blancisme est le vrai cannibale. Sa façon d’opérer est, en partie, la louperie, qui consiste à se faire passer pour la victime d’une fausse action, pourtant qu’il fait lui-même réellement subir à l’accusé-e-, pour pouvoir entreprendre une action dévastatrice contre celui-ci ou celle-ci. Voyons voir ! Le blancisme prétend que le Peuple Ancestral d’AYITI représente une réelle menace de déstabilisation pour la Dominicanie, les pays de la région, alors la Karaïbe, l’Amérique latine, voire le nord du continent. Il conclut qu’il faut réagir dès maintenant pour prévenir le mal. Tout le contenu significatif de la louperie est là, dans ce qui est dit.   

Cependant c’est le blancisme, et les atha, bunda qmr, gens qui les servent de doublure, qui campe en infatigable déstabilisateur du Pays des Ancêtres dans l’espoir de kidnapper l’Être Nègre, le Soi Munal, qui s’érige en barrière infranchissable devant sa substance monstrueuse, comme l’a dit Jean Jacques Dessalines, Grand Savant en la matière.   

Devant l’Invincibilité du Général et de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, le blancisme recourt à son assassinat physique, ainsi que celui de ceux et celles qui sont autour de lui. Il s’institue ensuite, du dehors, en république d’Haïti, une fausse appellation, alors une république de paravent, pour accomplir, dans l’obscurité, ses atrocités contre l’Éternel Empire d’AYITI, dont voici quelques exemples : point n’est besoin de revenir sur l’assassinat physique de Sa Majesté Jacques Ier, un acte lâche de la part de Napoléon Bonaparte; le même appelle le même, pour en revenir aux atrocités, le vol régulier des récoltes depuis 1806; le vol des biens et ressources jusqu’au jour d’aujourd’hui; le vol des réserves d’or, par exemple nos mines, notamment par le Canada, dont une mine d’or en pleine exploitation directe par la population, les seules et uniques propriétaires, pour répondre aux besoins de leur famille; déménagement des industries vers la Dominicanie; empestés les gens d’églises; les missions militaires sans fin comme couverture du mal; le viol; la destruction volontaire d’une agriculture florissante; frapper une partie développée d’un tremblement de terre artificiel; le choléra; le génocide; l’injection massive du virus du SIDA; les blancistes n’accordent aux lois ni à la constitution aucune valeur, seule leur volonté compte; équiper des gens, particulièrement des centaines de milliers d’armes de guerre de pointe; la formation de plusieurs groupes de fantassins, les tueries à n’en plus finir; les cadavres livrés aux chiens et cochons, réduire presque à zéro le commerce, etc., etc. etc., l’état de nature réel. C’est effrayant ! La situation qui prévaut sur le Territoire de l’Empire d’AYITI nécessite, sous la surveillance du Peuple-État, une commission d’enquête du tribunal pénal international car les désastres et les morts sont légion.    

Que veulent-ils, nos ennemis naturels?

Qui sommes-nous ?

C’est la première chose à savoir. Les Ancêtres, Nos Ancêtres, ont parlé, leur parole est irrévocable parce qu’ils sont infaillibles en cette matière. La science, Dqmbala, c’est-à-dire connaissance vraie, du La, mise en forme par les Ancêtres, nous a révélé que Nous Sommes dans une Yunité, là où toutes Choses sont par leur inter-relation, directe et indirecte, une sorte d’immanence, et par leur indépendance, une sorte de transcendance, d’où elles tiennent, sans exception, irréversiblement et irrelativement, leur individualité, le terme est ici multiple et massif. Le La, Yunité des Choses, est tissé d’Éternité, un de ses Mbwa, ce par quoi la Chose Est, et, par conséquent, il tend, à travers les Choses, à se maintenir, forcément tel qu’il est. Ça va de soi, les Choses, par l’expression du La qui les habite, portent en elles-mêmes l’élan de se perpétuer, évidemment en elles-mêmes, donc en Soi, ce qu’elles sont, c’est-à-dire indépendamment des autres, tout en étant en inter-relation incessible avec elles. Il découle de cela que leur maintien dans l’être, ce qu’elles sont, en Essence, s’effectue en soi, par soi et pour soi, ce qui signifie sans intervention des autres, même pas Notre Dieu, Bon-Dieu, GwqmrtLa, même si, par leur inter-relation, leur immanence, elles bénéficient de l’oeuvre individuelle. Par là chaque Chose, selon sa nature, soit ce qu’elle est, s’accomplit, la part de l’individuel par excellence, ce qui est la finalité immédiate de chaque Chose. La réalité de chaque Chose, ce qui s’appelle lakort ou w¼nbadr, en territoire munal,  est celle, invariablement, de chaque singulier, à l’intérieur de la Chose ou l’Individu, lequel singulier porte le nom de Badr, s’agit-il toujours du Mun. C’est ici l’avenir du La, particulièrement la planète terre.    

Ce que nous venons voir est la pensée, plus précisément b¼nqyée, pour marquer son adéquation avec le réel, c’est-à-dire sa vérité, Ancestrale qui est à l’origine de la Résistance Gwqmunale, la Gwqmunité, l’Éternel Empire d’AYITI, mode d’être de l’Essence munale dans le monde sensible, et le maintien fermement, aujourd’hui encore, de l’Empire d’AYTI, Empire de Toya-Dessalines, contre le kokcn hcn dewqjmq. En d’autres mots il y a une logique implacable entre la science du Nous, le Mun, qui est brièvement ci haut exposée, et la Parole de Jean Jacques Dessalines, soit ce qui suit : 

 “Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes!

“le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance.

“il faut, par un dernier acte d'autorité nationale, assurer à jamais l'Empire de la liberté - la Gwqmunalité -, dans le pays qui nous a vus naître”.

“Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes, il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable, et que le plus sûr moyen d’atteindre ce but est de décerner au seul chef capable de représenter et de gouverner dignement la nation, un titre auguste et sacré qui concentre en lui les forces de l’État, qui en dispose au dehors et qui en est au dedans la gage de la tranquillité.” La nomination de Jean Jacques Dessalines met en évidence “l’Éternité” et la “tranquillité”, la vie douce, celle qui est conforme à son Soi, le Soi Munal.

“Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti. 

“L'esclavage est à jamais aboli

“Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété.” 

L’Éternel Empire d’AYITI est en soi, par soi, pour soi et la Manifestation de Soi, le Soi Munal, dans le monde sensible. D’où sa Valeur Inestimable ! 

Voilà le Pays d’AYITI, le Pays de Jean Jacques Dessalines !

“Le pays est en friche”, dit Sylvain Coté, l’envoyé du gouvernement canadien. 

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Le projet blanciste

Tout ce qui précède met en évidence le fait que nous sommes en nous-mêmes, par nous-mêmes et pour nous-mêmes, tout cela conformément à la réalité de Notre Dieu, Bon-Dieu, GwqmrtLa. Les choses sont telles, elles resteront telles quelles. 

Cela dérange grandement les blancistes Ils ne l’entendent pas ainsi. Les blancistes mettent en branle toutes leurs capacités pour tenter de renverser les choses, telles que l’Empire d’AYITI les présente et les représente. Leur plus grand objectif est de kidnapper l’être que nous sommes à l’avantage du leur propre, ce qu’ils sont, soit le “monstre”, au dire de Jean Jacques Dessalines, le grand Savant en la matière. Kidnapper notre Être Nègre signifie le retenir en otage en le saoulant de leur définition d’eux-mêmes, du blancisme, tel qu’ils se voient dans le monde, c’est-à-dire “le maître et le propriétaire” de toutes choses, ce qui forcément exige le recours à la violence indescriptible. Le lakort munal ne porte pas en lui l’inscription du “blancisme”. C’est tout le contraire, il est en lui-même et lui seul. Si la cime de l’horreur ne conduit pas à l’objectif blanciste, c’est le génocide, la phase ultime. Il n’y a pas d’autre solution, selon l’anthropologie blanciste. Les faits sont là pour le prouver. Le blancisme est un dérangeur, un paquet de trouble. C’est là ce qui explique le fait qu’ils nous encerclent partout. 

Partout ils nous suivent dans l’espoir de parvenir à anéantir notre voie propre, l’Ancestralité. Ils se donnent pour moyens l’encerclement de notre corps et l’invasion de notre b¼nqy afin de le saouler de paroles vides, particulièrement de l’anthropologie et la religion, lesquelles sont construites majoritairement de discours insanes.  Il est intéressant de noter ce qui suit, tiré de notre ouvrage, Weber Tiécoura D’Orléans Jean Baptiste, “Je prends la parole, les droits de l’homme sont antinègres”, : “En parlant des pays négro-africains d’Afrique, Jean-Louis Roy, secrétaire général de l’ACCT, affirme, de façon éhontée : “Il y a une chose qui n’est pas négociable, c’est le respect des droits de l’homme. Sur cela, la communauté internationale doit partager les mêmes normes, droits politiques, doits économiques et droits sociaux”, Éditeur LOF 1993, PP 85,86 ISBN - 2-9801-302-7-3 La chose est évidente, nous ne sommes pas en nous-mêmes, comme Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines l’a enseigné. C’est de toute évidence une attaque contre l’Ancestralité.  

Comme nous l’avons déjà dit plus haut, ils veulent nous maintenir à l’ombre de leurs ailes par de paroles insensées et la violence illimitée. Là où ils ne parviennent pas à nous entrer dans leur parc, c’est le cas des Négresses et Nègres mun, non uniquement de caractéristiques différentielles observables, ils recourent tout bonnement au génocide, sans faire attention à celles et ceux qui le sont en apparence et dont l’essence est, comme la leur, hommale et qui, par le fait même, sont sous leur obédience. Elle se fout de la différence, la blancismique, rage de l’homme auto-proclamé et limitée dans son horreur comparée à la blancismesque qui, elle, est sans limite, cime de l’horreur. Par exemple l’objectif du virus du SIDA est l’hommalasse mais par un concours de circonstance il est réduit à la blancismesque, voire à la blancismique. C’est le cas du tremblement de terre du 12 janvier 2010 qui prévoyait la destruction totale du Territoire Impérial; il en est de même du choléra en AYITI, qui devait terminer le travail. Cependant la razzia, qui est suivie de la déportation et l’esclavagisation, a eu l’effet de l’hommalasse parce qu’elle a touché 200 000 000 de Négresses et Nègres, particulièrement de jeunes. Ils en sont friands, les blancistes. De ce nombre, ils en sont peut-être restés moins de deux millions. Plus de la moitié sont volontairement jetés à la mer, les autres, surtout ceux et celles qui n’ont pas pu se sauver pour aller marronner, ont été livré-e-s vivants aux flammes; scié-e-s vivants, ont été enterré-e-s vivants jusqu’au cou et la tête imbibée de graisse pour être mangé-e-s par des fourmis; soumis-e-s au châtiment de blanchiment, soit enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive; les livrer vivantes, vivants, aux chiens anthropophages, etc., etc., etc. ..., l’horreur au point paroxystique. C’est le sort qui est réservé à tous celles et ceux qui rejettent le blancisme. Le blancisme est incontestablement la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres et il mérite bien son nom, celui que Jean Jacques Dessalines lui a donné: “le vrai cannibale” ou “un monstre que la terre engloutit trop lentement”.     

La stratégie blanciste vise à conserver vivants, parmi les gens à assassiner, quelques-un-e-s mais qui sont, comme lui, de l’hommalité. Ce n’est pas par grandeur d’âme, comme on dit dans ce monde odieux, mais pour s’en servir comme éléments, dont la responsabilité première est de couvrir ses actes, ses sales actes, donc pour faire du kase-kuvwi, dans le but de continuer à appliquer son plan de génocide, loin des yeux, croit-il. Plusieurs de ces négresses et nègres en apparence servent de double pour les blancistes. Ce sont les fonctions de mort qu’occupent dans l’ombre les blancistes qu’ils portent en plein jour. Ils exécutent sous le soleil les pensées des génocidaires. Ils jouent le rôle d’instrument du Mal, du plus grand Mal qui soit. Dans la tête des blancistes, de leur territoire du dehors porté par les organismes internationaux à travers les paroles vides qu’ils présentent sous l’appellation de règles, de droits, de lois, etc., ils sont effectivement couverts. Ce sont, certes, ces poteaux imaginaires qui tiennent leur monde délétère. Mais ils ne les protègent pas du tout. Tout le monde les connaît tels qu’ils sont, surtout là où ils opèrent, chez les Nègres et Négresses, particulièrement.

Dans le monde des apparences, rien ne se fait sans l’accord des blancistes. Elles sont toutes conscientes de ce qui se fait ainsi que les raisons pour lesquelles se fait ce qui se fait. Aucun nègre, aucune négresse, en apparence n’occupe une position dans ce monde de mort sans qu’il ou elle ne porte, d’une manière ou d’une autre, l’idéologie sinistre, le blancisme, et qu’il ou elle ne s’y adonne totalement. Il n’y a pas de soi soi-disant au-dessous des autres. Le soi inventé par le blancisme n’est pas parce qu’il se perd complètement en celui-ci. Ainsi tout ce qui se fait dans le monde de mort porte la signature blanciste. Ça va de soi car c’est la politique blanciste qui y est en marche. Tout crime, comme tout acte, est celui des blancistes. On n’agit pas par soi et pour soi mais comme envoyé-e- du blancisme. Il ne peut pas se rapporter aux tubabu parce qu’ils ne sont pas en dehors des blancistes. Ils sont tout autant responsables que les blancistes à cause de leur volonté du début, la première qui a accepté de faire le voeu de n’être qu’en la bêtise irrelative, le blancisme. Cependant le premier responsable de tout acte commis par mes bunda qmr, est le blanciste qui appuie, en commandant la chose, sur le bouton. Il est, en tant que maître, celui qui tire le plein avantage de l’acte qui se pose.     

La structure fondamentale du blancisme

Inspiré de l’hommalité, le blancisme, qui est une idéologie, faut-il le souligner, est une conception dualiste du monde. Cette vision du monde ou de la réalité tire son origine de la pensée grecque, en passant par l’israélisme biblique, puis l’empire romain, une partie supérieure et l’autre forcément inférieure, portée à cause de cela par la première pour pouvoir continuer à être, autrement dit, elle est naturellement dominée par la partie supérieure. Elle est relativement importante pour celle-ci parce que son excellence est en elle, ce qui la distingue de la partie inférieure. Tel n’est pas le cas de celle-ci, tout en elle dépend de la partie supérieure. Le dualisme du blancisme, au sein des gens, trouve sa justification dans la qualité des facultés, certaines sont excellentes, d’autres moindres. Celles-ci ne peuvent pas se tenir seules, elles ont donc besoin du support des facultés relevant de l’excellence. Il s’ensuit, toujours selon l’idéologie blanciste, une dépendance naturelle. Le blancisme, sous l’élan de la nature, est donc une mise en forme de cet ordre, lequel est naturel. 

La dualité blanciste est porteuse d’une grande difficulté logique. En effet le blancisme se présente comme une réalité distincte, dont dépend une multitude d’autres, notamment d’autres gens, dénommés aussi sous-hommes ou, autrefois, gens-pas-comme-nous. Cela sous-entend que le blancisme ne se trouve pas dans cette situation, dans le sens qu’il est non-lié, donc indépendant, parce que, fait à l’image de dieux, dieux idée, bien sûr, il est en dehors de la nature, selon son discours, vide de sens. Pour être plus limpide, il n’est pas pris dans la nature, selon lui, au contraire, il la domine. Cependant pour atteindre l’excellence hommale, soit se faire homme, il ne peut pas se passer de la sous-hommalité et la nature. Pour y rester, il doit se maintenir de la même façon puisqu’il a besoin de se contempler dans le miroir de l’infériorité. Il y a plus. L’excellence blanciste est l’altitude, laquelle est faite de la possession, jusqu’à la possession totale par l’un. 

Alors il n’y a pas que l’infériorité qui ne puisse se passer de la supériorité. Le blancisme, pour une raison ou pour une autre, n’a pas pu accéder à cet étage du discours, dont il est originaire. Il y a une interdépendance indépassable avec cette différence, la destruction, en toute bonne conscience, de certains éléments, vivants comme non vivants; concernant ces derniers, ce qui explique tous les problèmes du réchauffement de la planète, la déforestation, et la présence des climato-sceptiques, puis, au niveau du vivant, les génocides, particulièrement l’eliminrgyo, suppression en tous genres les Négresses et Nègres, objet du discours.  

Une assemblée réelle portée par un discours imaginaire

La république d’Haïti, dont le territoire est les institutions internationales où règnent les “pays” blancistes, est, par son fondement, une esclavagisation et, par son objectif, un instrument de vengeance blanciste. Par la république d’Haïti, le blancisme se donne pour mission d’effacer la Victoire des Ancêtres par Jean Jacques Dessalines sur le plus grand Mal qui soit, c’est-à-dire le blancisme même, parce qu’il tente de la présenter comme la continuité de l’Empire d’AYITI, et même, dans certains cas, comme le “vrai pays”, l’originel, dont l’Empire d’AYTI était une déviation, malgré la contradiction des textes officiels et l’histoire, et d’assassiner, jusqu’au génocide, le Peuple Ancestral, Peuple Impérial, donc l’eliminrgyo. Malgré la destitution de la république d’Haïti par l’Éternel Empire d’AYITI, par la multitude informe, les blancistes continuent, voire amplifient, le génocide. Ça presse, se disent-ils !    

C’est sur le territoire imaginaire ou du dehors que le blancisme et les bunda qmr campent pour mener leur campagne de mort contre l’Empire d’AYTI. Le discours générateur de cette esclavagisation est celui de “l’esclave”. Les blancistes sont habités par la pensée de l’hommalité dans laquelle ils sont tous égaux en substance. Sur ce plan ils forment une assemblée. Cependant ils sont différents en habilité d’application. Celle-ci sert de l’aune dans le choix pour l’exercice des fonctions. Ce qui est intéressant, la capacité de diriger n’a pas la priorité parce qu’ils dirigent ensemble. C’est plutôt l’habilité à ce qui prime en ce moment. Il faut reconnaître que certaines choses priment constamment. C’est là ce qui explique le choix du Canada à la tête de l’assemblée. Cette organisation a fait ses preuves dans l’art de tuer en silence, et même massivement, un choix tous azimuts parce que cet élément est très important dans l’axe du blancisme. Les grands acteurs de celui-ci ne peuvent pas s’en passer, ils le traînent avec eux partout. Ils l’élèvent même là où il n’est pas qualifié, leur club sélect. C’est le cas de sa présence dans des clubs où les moyens dont il dispose ne le permettent pas. C’est quand même un tout petit pays, faible en presque tout.   

Le Canada, pour garder sa position, au mieux ses relations, s’est fait une spécialité, le tueur de Négresses et Nègres. Nous le voyons partout où il y a des Nègres et Négresses, en train de conduire sa machine mortifère. Il travaille en étroite collaboration avec les bunda qmr, les gens d’apparence négro-gelefweenne, support physique des esclavagistes blancistes, lesquelles personnes continuent de servir, dans le vide, certes, par les fausses promesses de protection du blancisme, face à l’Empire d’AYITI, Empire Dessalines, l’incontournable danger qui les menace, alors que ces blancistes ont besoin, pour leur part, de se gîter contre la même fureur impériale, à moins qu’ils fassent fi de tout, au risque de détruire même ce dont ils ont besoin habituellement pour se venger de ses ennemis. Nous parlons des institutions étrangères bidon. Ils le peuvent en espérant se reconstruire plus tard, évidemment s’ils maîtrisent bien l’avenir.

L’organisation du Canada, en espérant réussir son coup, a déménagé une partie de son siège, au milieu des bunda qmr, en Dominicanie; Cela fait voir clairement une parfate entente entre lui et le chef rebelle de celle-ci dans la mission en cours. Au niveau de la multitude informe, les atha, sur le Territoire Impérial, il change et augmente ses effectifs pour un meilleur résultat, espère-t-il. Le Canada monte plusieurs scénarios pour pouvoir poursuivre son chemin en toute quiétude. Il obtient de l’aide de ses pairs, dits diplomates, et des tubabu. Il recourt, en se tenant dans l’obscurité, à la réédition du 17 octobre 1806. Si cela était payant une fois, croit-il, il peut l’être une seconde fois, pense-t-il. N’a-t-il pas affaire à des Nègres et Négresses, des “animaux”, comme l’a dit Voltaire. Il continue d’empêcher la libre circulation des gens, chez eux, les gens auxquels appartiennent le Pays, l’Éternel Empire d’AYITI, afin d’en étouffer par le manque prolongé de tout, biens et produits, et d’en assassiner d’autres, que le contrôle jette accidentellement dans ses bras. Par quel moyen accomplit-il tout cela ?  Il a établi des fantassins dans toutes les parties sensibles du Territoire pour contrôler physiquement les déplacements des gens. Le Territoire Impérial est encerclé d’Est en Ouest, du Nord au Sud, depuis déjà quelque temps. À tout cela il faut ajouter le recours à des commandos pour des assassinats ciblés, l’empoisonnement, par des moyens multiples, des enlèvements, etc., etc., etc.

Le Peuple-État 

Rien ni personne ne peut secouer le Peuple-État, l’Empire d’AYITI, car nous sommes et existons en nous-mêmes. Aucun vent, quelle que soit sa puissance, ne peut infléchir l’Arbre Impérial, parce que savoir et acte font en nous leur nid. Nous sommes en tous points Invincibles. 

Nous sommes en nous-mêmes, nous y restons forcément, surtout par nous-mêmes et pour nous-mêmes. Ainsi aucun mun ne peut renoncer à lui-même car rien n’égale l’être en soi. Même en proie à la folie, il n’y parviendra pas parce qu’elle n’y a pas accès. L’être en soi est le katel, en miniature, de l’invariabilité et l’irréversibilité de l’expression de la chose. Telle est la vive et chaude effectivité du membre de l”Éternel Empire de Dessalines.

Il revient à chaque membre de l’Empire d’AYITI de prendre en main l’arrestation de tout blanciste ainsi que tout bunda qmr agissant sur notre Territoire, le Territoire de l’Empire d’AYITI, sous quelque prétexte que ce soit, car “l’esclavage est à jamais aboli”, et de travailler à la mise sur pied de la mission internationale d’enquête par le tribunal pénal international sur ce qui se passe actuellement sur Notre Territoire.

Nous demandons à tous ceux et celles, sans nuances épidermiques, qui veulent s’engager dans la lutte contre le génocide nègre et l’esclavagisation, malgré son abolition évidente, de former une équipe pour entrer dans la course. 

Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le 31 janvier 2025.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

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