La dictature sauvage chez les blancistes
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La dictature sauvage des blancistes
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La
dictature sauvage chez les blancistes
Il n’y a pas de pays dans le monde
blanciste mais de grandes organisations criminelles. Pourquoi? Un pays est l’organisation
d’un ensemble de singuliers reposée sur une conception de soi et du grand
ensemble dans lequel ils sont en vue de marcher dans l’unité et la concorde. L’organisation
peut être l’extensité qui rejoint l’extension – dans ce sens elle est tout ce
qu’elle doit être – comme elle peut être une extensité, soit une partie de l’extension.
Elle a, en ce sens, un bon bout de chemin encore à faire car sa compréhension
de soi, l’être ofowu, c’est-à-dire conforme à la volonté de Notre Dieu, ainsi
que du Grand ensemble est imparfaite ou limitée. Cependant une grande organisation
criminelle est la réunion, autour de l’idée de proie et tout ce que cela
comporte, d’une multitude de gens disparates dans le but de l’emporter les uns
sur les autres. Les règles instauratives d’une telle organisation font d’elle
une savqnie ou savqnerie, dans le sens de sauvagerie en système.
Une telle organisation n’arrive pas comme
un cheveu sur la soupe. Elle est pensée par une ou plusieurs personnes et prend
forme autour d’une idée vide par le kidnapping physique et intellectuel de
plusieurs autres. Cette idée est celle du pouvoir qui joue le rôle d’agent
structurant par une définition arbitraire de la finalité de l’ensemble.
Le pouvoir est indivisible et il est le
centre de ralliement. Tout se rapporte au pouvoir, il n’y a pas de marge. Tout
ce qui se fait est autorisé par lui, et même ce qui ne l’est pas est faisable
par son autorisation jusqu’à ce qu’il s’y prononce.
Pour pouvoir exercer cette fonction de
faire et défaire, il se donne une propriété nécessaire, laquelle n’est pas
arbitraire à cause de l’objectif même du rassemblement, qui est le droit sur
tout, même sur la vie des gens. Ce n’est pas la seule propriété de cette nature
mais elle est ce sans quoi les autres seront inefficaces, ce qui rendrait l’organisation
infructueuse et nulle. Cette propriété indispensable porte, à l’interne, le nom
de « forces de l’ordre », lesquelles sont l’invariable et irrelative insécurité
publique. Par cet appareil oppressif sans pareil, il insère, dans les gens, une
nouvelle structure de pensée, un nouveau sens à leur vie et une attitude de
soumis(e) inconditionnelle, maltraite ceux et celles qui trébuchent, maintient,
non sans la renforcer quand le besoin se fait sentir, l’animosité entre les
gens afin qu’il se fasse passer pour seul rempart et enfin impose dans la
conscience des gens le sentiment de satisfaction de leur état contraire et
contradictoire. C’est le régime de victimes volontaires.
Puisque la prédation n’a pas de
bornes, à l’externe, le pouvoir prend la forme d’agresseur, soit rejet et haine
viscérale des autres, invasion, massacre, viol, vol, kidnapping, indescriptible
torture, prise de contrôle, là où cela est possible, imbrication, etc. Parce que
l’ordre interne est constitué dans la pensée de prédation naturelle, le
comportement d’Ange de la mort à l’extérieur entre, pour les citoyennes et
citoyens, dans la logique des choses.
Il découle de tout ce qui est raconté
plus haut que le vrai fondement de toute grande organisation criminelle est le
rejet ou le non respect irréversible de la vie. L’autre n’est plus celle ou
celui qui mène sa vie, une révocation incontestable de la Gwqmuntrt – la transcendance
dans son immanence êtrale qui fait de soi, chacune-chacun, l’auteur de sa
pensée et son action – de la vie dans sa forme singulière, alors une
destruction sans conteste de la vie singulière; la soumission, ça va de soi,
sans condition à un autre que soi; la révocation du trait de sujet et son remplacement
par une raison exécutante – vis-à-vis de la Super Raison, qui est le pouvoir;
on pense et agit à partir des idées de l’ensemble, qui sont toutes inspirées de
la criminalité positive, pensée maîtresse -; l’agression par le représentant,
la représentante, de l’ordre, soit le pouvoir, en guise d’exemple, prenons l’arrestation
policière qui débute spontanément par le renversement du citoyen, de la
citoyenne, par terre ou contre un objet, souvent nourrie d’un regard méprisant,
de coup et d’immobilisation d’une partie du corps de la victime; cela peut
aller jusqu’à son assassinat;en prison, la victime peut développer des
maladies dues à des injections nocives de toutes sortes dans l’unique but de
provoquer, à court ou à long terme, sa mort certaine; parfois elle y est
assassinée purement et simplement et on attribue au suicide ou au refus d’obtempérer
la cause de sa mort, dans le dernier cas la mort est alors justifiée par la
toute-puissance du pouvoir, qui est sa souveraineté; comploter contre une vie pour la soumettre à tout
ce qu’on vient de voir, à la torture et à la mort, sans être coupable de rien.
Tout cela est jugé
inadmissible par tout le monde, sauf ceux et celles qui s’en chargent – une chance
inouïe d’être en accord avec eux-mêmes -, mais, du même coup, déclaré
acceptable par tout le monde sous un autre rapport, la criminalité de leur
être, essence d’icelui, à cause de la positivité qu’elle gagne – effet d’hommalité
- à travers la criminalité positive dont le pouvoir est le générateur. D’où la
victime volontaire.
La vie est la seule chose qui vaille.
Tout ce qu’on fait se fait au bénéfice de la vie, sa vie. Il n’y a que dans les
grandes organisations criminelles que la vie, en tant que singulier, n’est
rien.
Bien évidemment, si c’est ça le
traitement réservé aux victimes volontaires, point n’est besoin de se demander
qu’en est-il de celles et ceux qui sont déjà définis comme gens-pas-comme-nous.
Les centres organisationnels des ensembles blancistes,
partout dans le monde, supportent, d’un commun accord, l’assassin de George
Floyd parce qu’il a fait la volonté du pouvoir, à savoir beaucoup plus de
mauvais traitements pour les Noir(e)s. Il n’y a rien de plus normal car le
pouvoir, leur pouvoir, vient de dieux, celui que les blancistes ont créé à leur
image pour se l’approprier ensuite. Les chefs n’ont jamais de commentaires à ce
sujet, ils ne peuvent pas se trahir. Même les gens qui sont d’apparence nègre
et dont la triste vie est de servir d’atha au blancisme, n’ont pas de
commentaires.
Cependant plusieurs citoyens et
citoyennes, probablement tous des blancs-tout-court, prennent ouvertement
position contre cet acte indescriptible, innommable, et ils exigent que cela
prenne fin immédiatement. Ceux et celles qui occupent une fonction leur permettant
de prendre certaines décision dans la société, interdisent les œuvres qui
comportent cette idéologie.
La réaction des blancistes ne se fait
pas attendre, ils crient : « Oh meurtre! ». Pour ne citer que
quelques-unes de ces odeurs méphitiques, de France, le quotidien la Lettre
Patriote, Yann Moix, Eric Naulleau. Tous ils sont scandalisés par ces mesures.
La raison est simple, ils ne voient aucun inconvénient aux massacres continus
des Négresses et Nègres par des blancistes. Ce sont là, à leur sens, des actes
vertueux.
On peut comprendre facilement la
position du pouvoir au Canada qui, selon ce qu’on raconte partout dans le
monde, a autorisé l’invention, dans les laboratoires au pays, du virus du SIDA
pour la réduction des Nègres et Négresses sur la planète, qui, en toute bonne
conscience, a monté un blocus naval dans les eaux d’Haïti pour tuer des
dizaines de milliers de gens, qui est au cœur du génocide aussi sur le
continent ancestral, qui pille les mines d’Haïti pendant que les gens meurent de
privation de toutes sortes, qui ….., et qui s’en offusque du fait que MOI, le
troisième EMPEREUR de l’ÉTERNEL EMPIRE d’AYITI, dénonce et ordonne des
poursuites judiciaires, en temps et lieu, contre lui. Il se sent, comme La
Lettre Patriote, Yann Moix, Eric Naulleau, brimer dans ses droits de blanc
(blanciste) par ces mesures impériales.
La dictature blanciste, qui n’accepte
pas de critique, se tient devant moi et montre les crocs. Elle mobilise son
appareil oppressif d’État. Les actes terroristes et les actes illégaux sont
légion. En voici quelques-uns : Je suis victime de vol, l’assistance des
compétences de l’État m’est refusée; pendant ce temps une enquête est ouverte
contre moi car j’accuse un blanc de vol; un membre des forces de l’ordre
téléphone à la personne responsable de mon logement pour lui demander pourquoi
elle me loue l’appartement; « Avez-vous cédé aux pressions », lui
demande-t-elle; l’invasion illégale de mon domicile; introduire des choses
inconnues dans mes effets, dans mon appartement; le vol de la moitié des livres
de ma grande bibliothèque, par exemple, ma bibliothèque de lettres en entier a
disparu; le vol de mes effets strictement personnels, vraiment qui ne
représentent rien pour quelqu’un d’autre; la
destruction des pièces à conviction contre lui et ses espions; se servir de simples citoyennes et
citoyens pour des actes terroristes. Les
faits de ce genre sont, sans l’ombre d’un doute, inscrits dans un cadre systémique
car un nombre massif de jeunes Négresses et Nègres d’ici en font l’expérience
et les témoignages sont nombreux. En sus des témoignages de cette sorte
abondent chez les Négresses et Nègres d’ailleurs qui, comme moi, marchent dans
les pas de nos Invincibles Ancêtres. Une chose est sûre, les commandos terroristes
blancistes, qui constituent l’appareil oppressif du blancisme, n’ignorent pas
que nous les voyons agir. Il faut ajouter à cela que nous partageons les
expériences à travers la planète. Alors espèrent-ils vraiment trouver, chez des
gens avertis, quelque chose de compromettant dans nos résidences? Par exemple
mon appartement ne peut pas être une cachette pour quoi que ce soit parce que,
depuis plus de vingt ans – et je n’arrête pas, à chaque fois, d’en parler dans mes
publications, livres et articles -, le lieu est presque quotidiennement violé.
Pourquoi m’enlever mes disques externes et bousiller des fichiers et vidéos? La
raison de la constante et inlassable persécution raciale et politique est tout
autre. Il en est de même pour les Nègres et Négresses vivant dans toutes les
communautés blancistes.
La
force du pouvoir blanciste est son appareil oppressif local car toutes les
institutions concernées ont leur partition. Le verdict est prédéterminé pour
tous ceux et celles qui osent critiquer et entreprendre des moyens pour faire
échec à la démarche sinistre. Il a
tout le support des Médias et de la population blanciste. Dans ce cas il sort
toujours gagnant.
Heureusement les choses ont changé. Ce
ne sont pas les chefs d’État que le blancisme place lui-même au pouvoir qui ont la
responsabilité de le juger, mais les populations de la planète, cela à l’extérieur de son soi-disant pays. Elles
dirigeront les bras de ces vendu(e)s. Ainsi les criminel(le)s, les assassins de
Nègres et de Négresses devront s’attendre à faire face, en temps et lieu, à
leurs actes, cela du plus haut chef du pouvoir aux simples citoyens et
citoyennes qui travaillent avec les dirigeantes et dirigeants pour l’accomplissement
de ces actes terroristes. La loi doit être respectée.
Pour mieux avoir les blancistes, ces voraces assassins de Négresses et Nègres, il faut leur laisser toute la liberté d'agir. Ils se feront certainement prendre sans problème parce qu'ils sont idiotes et idiots par l'excessive confiance qu'ils ont en leur prétendue puissance naturelle d'agir impunément contre les gens-pas-comme-nous, particulièrement les Nègres et Négresses, laquelle puissance, toujours selon eux, relève de leurs droits naturels et imprescriptibles, droits sur toutes choses et de tout faire sans exception aucune.
Pour mieux avoir les blancistes, ces voraces assassins de Négresses et Nègres, il faut leur laisser toute la liberté d'agir. Ils se feront certainement prendre sans problème parce qu'ils sont idiotes et idiots par l'excessive confiance qu'ils ont en leur prétendue puissance naturelle d'agir impunément contre les gens-pas-comme-nous, particulièrement les Nègres et Négresses, laquelle puissance, toujours selon eux, relève de leurs droits naturels et imprescriptibles, droits sur toutes choses et de tout faire sans exception aucune.
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la
Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial,
croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince
Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération
du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité
du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et
professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment
du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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