La république d’Haïti est l’institution de la négrophobie

 





La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 – 6 c = © Tous droits réservés

 

La république d’Haïti

est l’institution de la négrophobie

et l’instrument blanciste des malheurs sans nombre ou du broyage sans cesse croissant et infini des Négresses et Nègres 

 

 

À PARTAGER MASSIVEMENT

 

q = an

u = ou

w = r

r = ê

c = in

h = ch

e = é

Ä= on

 

 

En 1806, date du retour de l’appellation Partie française de Saint-Domingue sous le couvert de la république d’Haïti en vue de masquer ce retour pour ne pas provoquer la rage de la Gwqmunalité, le mot d’ordre était de bannir le Grand et Indicible Nom de Jean Jacques Dessalines, Éternel Vainqueur du blancisme et du petit empereur français, Napoléon Bonaparte. L’assassinat, en collaboration avec le blancisme, du physique de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand, ce à quoi les assassins ne s’attendaient pas du tout, et la mise en quarantaine immédiate de son Ineffable Nom sont la mise en relief de son appartenance non négro-gelefweenne, celle des parricides, et partant la prise de ses distances publiquement de l’Éternel Empire d’AYITI, dont la substance est toute nègre, ancestrale. Ces actes sont l’appropriation de soi et l’affirmation de son hommalité, son essence, pour éviter toute pensée tendant à confondre les deux groupes d’être en présence.

 

L’entrée en action du Peuple Impérial, après avoir eu vent de la chose, a contraint, par crainte de voir arriver ce que l’on redoutait tant, les hommes, blancistes et irréductibles libres, à modifier leur stratégie en acceptant les conditions du Peuple Endogène, Peuple Ancestral, le Peuple-État et Peuple de Dessalines, notamment le rétablissement de l’Indicible Nom de Jean Jacques Dessalines. Comme le peuple exogène ne peut pas ne pas être en accord avec lui-même, le Nom de Dessalines auquel il a consenti est sans Dessalinité, une coquille vide.

 

Depuis lors tous négrophobes font spontanément usage du Nom de Dessalines sans renoncer à eux-mêmes.

 

Comment reconnaît-on les négrophobes? Il n’y a rien de plus facile. Les dirigeants et dirigeantes, ça va de soi, et les activistes. Ils parlent d’Haïti comme le pays qui découle de la Résistance Ancestrale, dès la première razzia à aujourd’hui. En effet ceux et celles qui critiquent la situation actuelle ne s’en prennent pas au système, c’est-à-dire à la république comme institution reposant sur l’assassinat physique de Dessalines et par le fait même comme antiancestrale, un fait contraire et contradictoire au Pays d’AYTI, Pays de Toya-Dessalines, Peuple qui s’est État, dont le Nom est l’Éternel Empire d’AYITI, Puissance Gwqmun face à toutes les autres, ce qui revient à dire le rejet, comme du vide, de la notion d’esclavage, dont le terme exact est l’esclavagisation. C’est l’équipe au pouvoir qu’ils désapprouvent. C’est pourquoi toutes leurs idées, leurs propositions (sans profondeur) s’adressent à la république, source de tous les malheurs. Leur culture d’hostilité est une guerre clanique. Derrière cela il y a l’idée de pouvoir mieux servir le sale coup du 1806, l’arrivée de la république et son auteur, qui est le blancisme. Quand ils se plaignent, à voix basse, du chef, le blancisme, c’est pour lui faire des reproches, particulièrement les laisser à terre au profit des autres, même si dans certains cas ils ont déjà eu leur chance, la chance de lui servir. Ce sont des égoïstes. Cela ne pouvait pas être autrement car ils sont des hommes, insatiablement tournés vers soi-même. Tous ces gens, quelles que soient leurs activités, religieuses, étatiques, laïques, etc., sont des défenseurs du 17 octobre 1806. Ils préconisent la négrophobie.

 

Nous, le Peuple Impérial, Peuple Ancestral, nous ne nous fions pas aux paroles, qui se révèlent souvent trompeuses, mais aux actes.

 

Nous félicitons sans cesse les gens qui prennent fait et cause pour l’Éternel Empire d’AYITI, Empire de Dessalines.

 

Préparons-nous à déverser tous les négrophobes, constituants de la république d’Haïti, dans la rivière conduisant aux territoires blancistes.

 

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

 

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.

 

lekbaogfweda@gmail.com

 

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