Quand Cuba, le pays de Fidel Castro, nous perd, se perd et se maintient, ici dans le général Rochambeau.
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Quand
Cuba, le pays de Fidel Castro, nous perd, se perd et se maintient, ici dans le
général Rochambeau.
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Cuba, c’est le pays où les marchands
de produits de jardin, faute de magnifiques marchés publics comme on en voit en
AYITI et dans les autres Îles dignes de ce nom - s’il y en a ici, ils ne sont
pas accessibles à la vue -, pavent les coins de rue. Il y a de la nourriture
locale pour nourrir tout le pays. La puissance musculaire! Mais les prix
dépassent les bourses. On ne sait pas jusqu’où cela arrivera. Les gens ont le
commerce dans le sang, ce sont des petits frères et petites sœurs des gens
d’AYTI sur ce point. Il suffit de douze cigares pour ouvrir boutique, jeunes et
vieux-vieilles. En avant de chez soi.
Cependant, Cuba, ce n’est pas
seulement cela. Il y a le Cuba qui nous perd, qui se perd et qui se maintient
contre vents et marées.
Je suis actuellement en train de faire
une expérience phénoménale de ce tourbillon. En effet je suis à Cuba pour
pouvoir, pensais-je, voyager plus facilement dans la Karaïbe. Malheureusement
les lignes aériennes ne fonctionnent pas toutes. Cela ralentit considérablement
les mouvements.
En plus de cela je fais face à un
autre problème, prévu mais pas préoccupant. Je veux partir mais je n’y parviens
pas. Bientôt ce sera le temps de partir, une exigence d’immigration. Cela est
très intéressant. Je dois partir mais on m’empêche de partir. Sur certaines
lignes il ne reste plus de sièges, me dit-on, au moins sur une ligne, on me dit
que je ne peux pas aller ailleurs pour revenir dans la Karaïbe. Il faut que ce
soit fait à partir d’ici. En d’autres mots, on me refuse le siège. Alors qu’ici
il n’y a pas moyen de voyager. Je suis allé m’informer à une ligne aérienne, on
me donne de fausses conditions d’entrée, des informations vraiment erronées.
Est-ce vraiment un problème? Oui, c’en est un car si je ne les remplis pas
toutes, ces conditions, on ne me laissera pas embarquer. Et je ne les ai pas
toutes effectivement. D’après ces fausses informations je ne peux ni sortir ni
revenir. Revenir, je peux toujours m’en passer; mais sortir, c’est impossible.
Je suis allé m’informer auprès d’une
ligne aérienne au sujet d’une destination spécifique. La ligne ne relie Cuba
qu’à une destination. Ce n’est pas la mienne. Je suis revenu pour en savoir un
peu plus afin de voir dans quelle mesure cette destination peut m’être utile.
Cela a provoqué la colère de l'agent parce que, selon elle, les informations,
qui sont seulement la destination, suffisaient pour me faire une idée et que
maintenant elle était à ma disposition seulement pour acheter. Je l’invitais à
m’écouter, moi, et elle dirait après cela si je pouvais, d’abord adopter sa
destination et ensuite acheter. Ce qu’elle a fait. À la fin elle n’admettait
pas avoir tort, je lui ai dit : « Vous voyez? Ce n’était pas si
difficile. Je ne pouvais pas vouloir partir en sachant seulement dans quel pays
allez-vous. Je ne connaissais même pas le prix du voyage» Pour toute
réponse : « Êtes-vous prêt à acheter maintenant, me
demanda-t-elle? » « Non, lui répondis-je car il y a des informations
négatives, par exemple : « Vais-je pouvoir trouver une ligne pour
aller à ma destination? Vous ne le savez pas. Je peux avoir les mêmes problèmes
là-bas ». Je suis parti. Quelques jours après cela, toujours rien, et
selon la loi je serai obligé de partir. Pour éviter d’être en infraction, j’ai
décidé de prendre sa ligne aérienne. Cela signifie que je pars à l’aventure.
Avant elle voulait que j'achète, maintenant elle me dit de prendre mon temps
parce qu’il y a plein de sièges sur ce vol. Deux jours après, soit hier, le
vendredi 11 mars 22, j’ai dit : « Non, je n’ai pas confiance, j’achète
le billet ». Je suis entrée dans le bureau, j’ai clairement manifesté mon
intention d’acheter tout de suite le billet. Sa réponse : « Non, on
ne vous vend pas de billet, vous passiez votre temps à demander des
informations. Nous, ici, nous travaillons. Nous ne perdons pas notre
temps ». Comme il y a des fous et folles partout, j’ai pris soin de
répéter ce que j’étais venu faire. La réponse n’a pas changé et, pour faire
court, elle m’a jeté dehors. Cela veut dire qu’elle voulait me vendre pendant
que je n’avais aucune information, elle sait que cela est impossible, quand je
voulais acheter grâce aux informations qu’elle m’a données, elle ne voulait
plus vendre. Du jamais vu. Le seul moyen de quitter l’Île dans légalité m’est
refusé.
Je me suis rendu tout de suite à
l’immigration pour les informer que je ne pouvais plus partir le mois prochain
faute de vol. On m’a envoyé à un endroit qui serait capable de solutionner le
problème. Le rendez-vous est fixé à lundi 14 mars à 10h Am. Ce moyen est encore
un autre problème car sur la carte où est inscrit l’endroit il y a le nom
peut-être de l’édifice ou la maison, la raison (un seul mot), je suppose car je
ne parle pas la langue, et la ville. Il n’y a ni le nom de la rue ni le numéro
de l’édifice. Est-ce une adresse? Par où je commence?
Est-ce volontaire ou une erreur?
Veut-on que je m’y présente? Si je n’y parviens pas, que se passera-t-il?
Faut-il y voir un coup du Premier
ministre du Canada, le très Honorable Justin Trudeau, qui, sachant que je suis
dans la Karaïbe pour trouver du soutien à notre cause, cherche à entrer avec
lui devant le tribunal pénal international les autorités de Cuba, le pays
domestique des États-Unis qui se dit ami de Cuba?
Attendons lundi pour la suite. En
attendant restons mobilisé(e)s!
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la
Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial,
croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince
Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération
du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du
lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur
de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du
blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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