Sans portée criminelle Décret 00719032023000

 

Sans portée criminelle

      Décret 00719032023000

 

La


Grandeur Nègre

À l’approche du 20 mai 2023, Journée de la Grandeur Manifestée : la Constitution Impériale

A

Ce qui indubitablement fait l’Incontestable Supériorité des Négresses et Nègres, c’est l’accession au dqmbala de la constitution interne munale, notamment l’Ubuntu de l’être, et l’engagement, sans réserve, à la manifester dans le monde sensible en Empire ďAYTI, tel que cela y est inscrit. Dans la Constitution, promulguée le 20 mai 1805 à Dessalines, Ville-Quartier-Général, fondée par Dessalines lui-même en 1802, et Éternelle Capitale de l’Éternel Empire ďAYTI, d’entrée de jeu notre Source d’être est posée, comme le veut l’usage, soit GwqmrtLa, Notre Dieu, Bon-Dieu, pour introduire, tout de suite après cela, le Peuple accompli, dans sa première phase, par son invariable et irréversible munité, lequel vaillamment entre dans la seconde, le déphasage positif, laquelle est sa formation en État, soit l’Empire ďAYTI, en vue, par sa Gwqmunité désentravée, de cheminer, au mépris positif, de toutes les puissances, surtout les délétères, du La, vers son parachèvement sensible, ce qui a évidemment fait définitivement sauter ľesclavagisation et qui, du même coup, a réduit en cent-un morceau ľhommalité et son dérivé, le blancisme, dont l’idéologie de maitre et propriétaire est le substrat. Quelle indicible élégance, une gqgqs, diraient nos Ancêtres ! Il y a plus de quoi s’agenouiller et se prosterner devant soi-même, par la conscience de soi.     

 

Nous voici, Nègres et Négresses, auprès de l’être munal, auprès de nous-mêmes, notre soi ! Immergé(e)s dans l’essence de ce que nous sommes, cela nous amène  à braver, sans conscience sacrificielle, les difficultés pour arriver à la Negro-divinité, perfection dans la sensibilité, c’est-à-dire la concorde au plus haut point, et partant le succès dans toutes nos activités, puis le Blrz sans fin. 

 

B

Alors que nos ennemis naturels, particulièrement les blancistes, écartés de l’être ofowu, être munal, pour cause d’hommalité, principe de l’homme, une entité mentale, dont le substrat est la tendance politique, qui est la volonté de se subordonner les autres, laquelle tendance a pour corollaire le refus de se laisser subordonner, donc une essence vide ou un vide êtral, se cherchent forcément à l’extérieur pour se faire en défaisant les autres. De tels êtres, les hommes ou les blancistes, qui ne sont que des wrs-mun, parce que dominés d’abord par un être de pensée, sont irrésistiblement portés, par ce que j’appelle les choses de l’homme, pensées logiques, à tout raser pour se faire advenir, par exemple, dépouiller jusqu’à voler, piller, appauvrir, assassiner, tuer massivement, génocider, tout cela à l’avantage de leur propre vie dans la démarche de se chosifier. Cela signifie clairement se nourrir des autres, des autres vies. C’est pour cela que le Savant Jean Jacques Dessalines les nomme <<les vrais cannibales >>. Ils se nourrissent de la vie des autres dans le but de se faire chose, une chose (être) pragmatique, si cela était possible. Ils ont élaboré une théorie de la criminalité positive pour y parvenir. Leur quotidien est fait de crimes positifs de toutes sortes. Leur vertu morale met en valeur le crime positif. Ça va sans dire, ils ne s’en cachent pas. Leur nourriture de tous les jours est d’en tuer de plus en plus. Alors ils s’en donnent des moyens et travaillent constamment sur leur efficacité. Leur objectif immédiat est de multiplier à l’infini leurs capacités pour parvenir à la possession de toutes choses et en retour procéder aux inventions d’autres choses, un environnement qui leur est propre et qui est leur substance produite, leur soi, externe, certes. Il s’ensuit que pour être comme pour se maintenir dans leur être artificiel, ils tuent massivement. Ils tuent les êtres et les choses.

 

Ils tuent par le discours en tournant à l’envers le soi des autres pour les réduire à son contraire, par exemple, ľesclavagisation. Là où ils le peuvent, les blancistes tuent massivement les gens et les peuples qui ne se laissent pas faire. Des peuples disparaissent, entendons-nous !

 

La blancismité s’exerce en diverses étapes. Par la blancismique, elle est une nuisance, une violence dans le sens de détruire sans aucune attention pour se faire, elle est amère mais simple, puis quotidienne ; elle est blancismesque, quand son intensité, toujours par rapport au renforcement de la rage d’être, augmente, ensuite redouble ; elle est alors extensionnelle à ľhommalasse, là où les conditions sont remplies. La blancismesque, comme ľhommalasse, est une violence fumante. La planète terre en est témoin dans <<la conquête des esclaves>>, plus particulièrement au Gelefwe, le continent ancestral, les colonies au Masuana (Amérique), les guerres intra-européennes, plus précisément les deux plus grandes, l’invasion de l’Irak (de Saddam Hussein), la Palestine, le génocide programme au Wanda, le génocide en Somalie, l’invention des virus de destruction massive, notamment Ebola et SIDA, la guerre au Vietnam et au Japon, le génocide des années 1990 en Ayiti (Haïti), le séisme du 12 janvier 2010, le choléra, le tremblement de terre de 2021, les missions étrangères, etc., tout cela en Ayiti. Ce qui précède n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan. La planète retient son souffle devant les horreurs en perspective. La blancismité dans la vie terrestre est une malheur terrible et ineffable, le plus grand Mal qui soit. Les blancistes sont dans tous les conflits et ils sont les principes de tous les conflits. Faut-il une compagnie de fatras extraterrestreɁ Ce qu’il faut savoir, tout cela ne se fait pas par cou ou sur le coup. C’est cela l’ordre normal des choses en production. Il n’est pas possible de se reprendre. Les blancistes ne se rassemblent pas en pays mais en organisations criminelles.

 

Les blancistes interviennent, en se foutant des risques, sur ce qu’ils appellent la nature pour en extraire des matières qui leur permettent de renforcer leur soi externe. L’aspect le plus effarant de ces êtres vides, c’est leur caractère irréductible un, autrement dit, on n’est que pour soi-même. La morale individualiste leur permet de dévorer les autres en toute bonne conscience, ceux et celles qui ne sont pas de leur <<race>>, des gens-comme-nous, disent-ils, mais aussi de s’entredéchirer, s’entretuer, à l’intérieur, pour advenir à ce qui est au bout, le soi, le soi seul. Ici chacun-chacune se replie sur soi ; en fait, on n’est que soi. Ce soi est construit sur son instinct de durer. On se réduit à soi, rien qu’à soi. Le crime positif interne y trouve bien sa place. La société blanciste arme les gens les uns contre les autres. Il faut le dire d’une autre façon. L’État positif, leur lieu d’ensemble, met à la disposition de toutes et tous des armes pour s’entretuer au besoin et ils s’en servent généreusement. C’est qu’ils n’ont pas de lien entre eux (interne), leurs intérêts seuls les tiennent en respect. Pour cela ils n’ont recours à un obstacle, toujours externe, c’est l’État, une terreur, puissance artificielle, qui leur impose leur manière d’être et agir. Ils sont toutes et tous liés à sa parole mais non pas entre eux. L’État blanciste, pour s’assurer que le pli de la domination par les prescriptions prendra, ordonne le mauvais traitement, la torture et le meurtre des citoyens et citoyennes non soumis, par ces bras armés. Tout cela est une exigence logique du soi externe. Les gens s’y soumettent dans l’intérêt de celui-ci. C’est de la que viennent la forme et, en partie, le contenu du soi. Le blancisme, le seul peuple qui parcourt la planète en volant, violant, pillant, tuant, massacrant, génocidant sans relâche, se fait comme on construit une maison. Il est une œuvre sensible qui s’inscrit dans ce que j’appelle la civilisation de la matière.    

 

Cela signifie que l’œuvre, qui est le soi ou l’être externe, est dessinée dans la matière. Passion et pensée sont collées ou tirées de celle-ci. Elle est au centre des projets, lesquels découlent de la matière, même l’essence de l’homme est matière. Elle est leur substance d’être. Il s’ensuit que la valeur de l’homme, au mieux, d’un homme, se mesure par ce qu’il possède (en termes de biens), qui est forcément matière. Cette valeur est sa qualité d’être, le point où il est arrivé dans sa construction, celle de son soi externe, alors hommal. La civilisation de la matière est un cadre matériel pour la création non pas d’un être pragmatique mais praxique, une action qui ne peut en rien déboucher sur une chose parce qu’aucun être de pensée ni de passion ne peut se substituer à un être ofowu (Volonté Divine).   

 

Retenons bien l’inférence qui suit : le fer de lance du soi externe que l’homme, ici le blancisme, est irrésistiblement, invariablement et irréversiblement appelé à créer pour être (une chose) est la violence. D’où le MONSTRE !

 

C’est vers cette puissance dévorante, dénommée le monstre par Dessalines, que se tournent les bras du 17 octobre 1806, les parricides, qui forment la république d’Haïti. L’institution est le fruit et l’héritière du blancisme, donc l’ennemie naturelle de l’Ancestralité, le corps des Négresses et Nègres, somme toute le Pays ďAYITI, qui est l’Empire ďAYTI. Aujourd’hui encore, dans la violence vertigineuse, leurs descendantes et descendants cherchent inlassablement à maintenir sous son obédience un grand nombre de gens et à en intégrer d’autres. Par exemple, ils camouflent ses origines et prétendent prendre la parole au nom des gens qui ne sont membres que du Peuple-État, le Peuple de Dessalines. Tous les malheurs que connaissent les gens viennent évidemment de cette présence blanciste, les vrais cannibales, dans leur sein parce que l’être externe pour lequel il travaille d’arrache-pied dépend uniquement de la violence. On enferme les gens dans la cheminée blanciste, ľesclavagisation. Point n’est besoin de dire que c’est à la gueule venimeuse du blancisme que le Savant Dessalines fait référence lorsqu’il affirme que tout écart de l’Éternel Empire vous jette dans les bras des malheurs sans fin, conclusion reposant sur une nécessité logique. C’est ce que nous venons de voir ci haut.

 

Le blancisme, de par son hommalité, est le Mal de la terre, principe du Grand Désordre de celle-ci.

 

Tenons-nous éloigner du blancisme ! Lui aussi, il doit en faire autant, très loin de nous. S’il persiste à écouter son être destructeur et que, par n’importe quel moyen, il s’approche de nous, s’impose alors le renforcement du recours au tribunal pénal international pour crime contre l’humanité par la Population Nègre de la planète. Nous connaissons très bien le processus de mise en accusation, notre arme de destruction massive sans portée criminelle, car il en a commis des crimes positifs, le blancisme.

 

Quiconque trainerait les pieds, marche avec eux et est tout de suite expulsé physiquement de notre camp, non sans être figuré sur la liste des accusé(e )s.

 

Nous, les Négro-gelefweens et Négro-gelefweennes, nous sommes ce que nous sommes et nous resterons toujours ce que nous sommes, l’Arrêtoir de tout Mal, surtout le blancisme.

 

Se trompent grandement ceux et celles qui croient que nous nous laisserons faire. Nous sommes les INDIGÈNES et le SALUT de la planète terre. Aucun groupe de criminel(le)s ne pourra tenir en face de NOUS.

 

Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 

Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.

 

19 mars 2023   

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