Décret 0000000122016 01 Le jugement et la punition des assassins de Sa Majesté Jacques 1er

 

Décembre 2016

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Décret 0000000122016       01

Le jugement et la punition des assassins de Sa Majesté Jacques 1er

de Sa Majesté Jacques 1^er, Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines

Jean Jacques Dessalines, à l’appel de son être munal, a consenti, conformément aux Mbwa de celui-ci, à marcher sous l’effet strict du Soi en entrant dans une yunité seconde avec la grande majorité des Négresses et Nègres, laquelle yunité, dont le nom est Peuple, a abouti à l’État, acte de se diriger collectivement soi-même, appelé l’Empire d’AYITI, instrument de la Perfection Munale, point culminent et finalité de l’être que nous sommes. Jean Jacques Dessalines, dès l’avènement du Peuple, est devenu l’Essence de l’Œuvre, dont il est l’Architecte. Très tôt il est physiquement assassiné par les wrsmun (les soumis et soumises au blancisme) dans un complot monté par Napoléon Bonaparte, le plus chef d’alors du blancisme, un produit de l’hommalité, un épiphénomène, pour tenter de contrecarrer la mise en échec total, heureusement irréversible, du grand Désordre initié par l’homme.

 

Contrairement aux funérailles de Sa Majesté Jacques 1^er, que réclamées, à cor et à cri, par les wrsmun, histoire sans doute d’en finir, consécration évidemment du Mal pour le plus grand bien de la cause, il est enfin venu le temps du jugement, et de la vindicte, du crime innommable, inégalé et inégalable, à cause, certes, de la fin de la Mission de l’Éternel Empereur, par l’Empire d’AYITI même.

 

Qu’on ne se trompe pas ! La main directement agissant n’est en aucun cas l’autrice de l’assassinat parce que la cause est portée par un collectif et que l’effet, le résultat, a débouché sur un ensemble préinstitué. Toutes et tous, si peu nombreux soient-ils, étaient mobilisés, au jour dit. Alors il n’y a pas lieu de parler d’affaires personnelles.

 

Il y a plus. L’institution qui résulte de l’assassinat physique de Sa Majesté Jacques 1^er est le retour à ce que celui-ci vient lui-même de supprimer. Le motif du crime est, de toute évidence, le désaveu de l’Éternel Empire d’AYTI. Il s’ensuit que l’autrice est l’institution, qui, au fil du temps, s’est cristallisée sous le nom externe de république d’Haïti.

 

Par conséquent tous et celles qui seront appelés à rendre compte de l’assassinat physique de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines sont, d’une manière ou d’une autre, profondément liés à la république d’Haïti, autrice incontestée et incontestable, du meurtre ineffable. Du temps, il n’en est nullement question. Il s’agit de l’acte et ses conséquences indicibles.

 

Toutes les lois de l’Éternel Empire d’AYTI, nécessairement la Constitution, s’appliquent.

 

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

 

Décembre 2016