Le modèle de collettes d'informations pour la plainte qui sera déposé au tribunal pénal international contre le Canada
Dimanche 14 janvier 2024
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 k
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L’eliminrgyo : objet du génocide
sporadique,
dont le Canada est l’instrument choisi
par ses pairs
Le texte est le modèle de collecte
d’informations pour la plainte qui sera remise aux avocats pour la poursuite en
génocide devant le tribunal pénal international contre le Canada. La situation
est intenable. La mort s’installe en face de NOUS et la mort certaine au bout
de l’opération si NOUS ne réagissons pas maintenant, sans délai. Pour renforcer
votre savoir en la matière, lisez les plaintes pour génocide déposées contre
Israël devant la cour de justice international par l’Afrique du Sud et celle
devant le tribunal pénal international par d’autres avocats, toujours contre
Israël.
Le choix de ces grands criminels,
Canadiens et Canadiennes, au sein du blancisme, n’est pas arbitraire. Ils se
sont faits connaître par une rare criminalité et ont marqué l’histoire dans ce
domaine. En effet ces hommes ont réussi, dans leur système d’esclavagisation, à
supprimer dans les Nègres et Négresses qu’ils avaient kidnappés la mémoire des
leurs, une mort atroce. Il y a plus. Pour ce qui est de leurs compatriotes, ces
assassins notoires sont parvenus à tenir éloignés de leur conscience la cime de
l’horreur, jusqu’ici inconnue à la terre. Je me souviens de l’étudiant, un
adolescent de 17 à 18 ans, qui, à la fin du cours, me disait en sortant :
« Monsieur je ne savais pas que les négros avaient tant souffert ».
La réaction n’est certes pas pareille chez toutes et tous mais le sens est le
même. Quand je parlais de l’esclavagisation au Canada, plusieurs étudiants et
étudiantes me reprochaient, à moi, d’enseigner des faussetés, dans le sens
qu’il n’y a jamais eu de telles choses dans l’histoire. Pourtant le Canada s’est
imposé dans la conscience de sa population comme lieu de salut pour les
Négresses et Nègres qui fuyaient cette pratique aux États-Unis. Quelle
contradiction ! Mais stérile, dans le sens que cela ne porte nullement à des
interrogations. C’est être et néant, ignorance et savoir sous le même rapport.
Ce fait s’explique par l’appropriation
d’une partie de la capacité des gens, pour la transformer ensuite en terre
brulée où les gens ne sont ni sensitifs, ni d’intelligence, ni doués de
conscience. Pour le dire de façon laconique, la majorité des gens ne sont pas
entièrement là. Ce n’est pas un petit phénomène. L’expression qui définirait ce
mode de tuer, est, comme on dit en gelefwo-masuana, langue de l’Empire d’AYTI,
« Wat morde sufle ». en finir sans tambour ni trompette. Ce coup de
poignard est beaucoup plus puissant que
celui d’un athapika, pour reprendre un vocabulaire gelefwo-masuana, une sorte
de poignard très puissant. En bref, c’est le mode d’opération qui a favorisé le
choix du Canada.
2
Nos
Ancêtres-contre-frappent, l’emportent, tombent mais restent debout en eux, se
relèvent, maintiennent le cap vers le SOI-MÊME, bravant la mort généreuse des
blancistes. Nos ennemis naturels s’en offusquent et ils changent de projet. À
en juger par les faits, ils voient en nous, les Nègres et Négresses, un
obstacle à leur devenir et décide de notre extermination totale en passant par
le dénigrement, l’humiliation, l’infantilisation, l’absorption, le commandement,
les massacres, le génocide …
Au
milieu de cet océan de haine viscérale, émerge Le Soldat, l’ARRÊTOIR, l’Invincible
Général Jean Jacques Dessalines, et il fonde l’Éternel Empire d’AYITI, sous
« l’Immortel Décret Divin », comme instrument de travail. Au même
moment, l’une des organisations constitutives du blancisme en acte, bactérie mangeuse
de Négresses et Nègres, le Canada, se dresse contre toute reconnaissance du
Peuple-État et son organe, l’Empire d’AYTI, l’Organisationnelle, Bras Puissant
de NOTRE DIEU, GWQMRTLA. Les plus grandes et longues dents du blancisme, la
bactérie, ont salué l’opération jugée fructueuse du Canada et elles lui ont donc
confié le rôle d’exécutant de l’eliminrgyo.
L’avènement
de la république d’Haïti en 1806, dont l’empereur français, Napoléon Bonaparte,
est le principe institutionnel, a favorisé, par sa stratégie de disparition, le
jeu sinistre du blancisme, notamment la démarche annihilatoire du Canada.
Nous
le voyons, le délégué du blancisme, qui contourne le théorème impérial, à
savoir « ni maître ni propriétaire », par la république pour arriver,
suivant l’idéologie blanciste, à piller nos ressources et à nous génocider.
Pour ce qui est de ce dernier, nous le voyons à l’œuvre en mer pendant
l’embargo du début des années 1990, en train d’empêcher le bateau transportant
des médicaments d’arriver au port d’AYITI pour la livraison de sa cargaison. L’objectif
visé est de provoquer des morts au sein de la population nécessitant des soins
médicaux. Cela a marché car les morts sont légion. Malgré l’alerte du personnel
de la santé, les religieuses en tête, le tueur silencieux, le Canada, fait du
zèle. Le bateau du programme Feed the children connaît, lui aussi, la même contrainte
par les militaires canadiens. Il se voit obligé de faire volte face avec son
chargement de nourriture. La majorité des centaines et des centaines de morts
journellement sont des enfants, viennent tout de suite après les personnes
âgées. Ce n’est pas rien. Le personnel de la santé regarde impuissant mourir
les enfants, soulignent les religieuses. La république, pilotée par les
blancistes, reste indifférente face à tout cela.
Nous
retrouvons le Canada au Rwanda en 1994, année grasse pour le criminel. Il est
là comme chargé d’opération. Nous ne savons pas exactement ce que cela signifie
puisque ce pays ne parle ni n’agit en plein jour. C’est le mutisme complet et
l’inaction pendant que se déroulent aussi les affrontements interethniques. En
d’autres mots il laisse aller les choses, cela se voit. Cela ne peut pas être
contraire à ses responsabilités, s’il se comporte de cette façon. L’opérateur
communiquait dans l’obscurité car il « a
serré la main du diable ».
Les
militaires canadiens engagés dans l’eliminrgyo, nous les rencontrons en Somalie
sur un pied de guerre. Interrogés par des journalistes canadiens sur la raison
de leur présence dans ce pays, un des militaires, loin de la civilisation, par
son parler, a répondu sans détour : « Nous sommes ici pour tuer des nègres, j’ai pas tué encore ».
L’Europe
a révélé, certainement par un blanc tout court, que le virus du SIDA, que l’on
savait déjà qu’il était un produit des laboratoires, a été fabriqué au Canada
et transmis ensuite par une campagne de vaccination contre la poliomyélite, à
100 millions de gens, dont la très vaste majorité d’entre eux est des Négresses
et Nègres. Les autres font partie d’une stratégie de subterfuge.
Pour
camoufler l’origine du virus du SIDA, des journalistes de partout,
particulièrement blancistes, lancent tambour battant, une grande opération de
détournement d’attention en rendant responsables les Négresses et Nègres d’AYTI
ainsi que du Gelefwe, le continent ancestral, de l’arrivée du virus. Nous nous
souvenons de la très grande mobilisation ayitienne de N Y, aux États-Unis,
contre cette campagne macabre. Notons bien que l’arrivée est nègre, une mise en
danger de la vie des habitantes et habitants de la planète.
Le
Canada n’est pas en reste. De son côté, il fallait s’y attendre, il a produit
un long documentaire sur la question d’origine avec le concours d’un spécialiste
en médecine, pour finalement dire que les responsables sont un singe porteur du
virus, chassé et consommé par un nègre, qui l’a introduit au sein de ses proches.
La bactérie mangeuse de Négresses et Nègres cherche à faire passer la victime
pour le vecteur du mal qui le détruit.
Politiciens,
politiciennes, scientifiques et journalistes jouent bien leur rôle dans le
kase-kuvwi (casser-couvrir) du génocide en cours mais les règles du discours
mettent en évidence ce qu’ils cherchent à obscurcir. Ils ont très mal monté le
documentaire. Cependant, au niveau de la finalité de l’administration du virus
aux victimes, sans se mouiller, croient-ils, ils se laissent aller. En effet un
journaliste du Canada, bien instruit de ce qui est au bout du chemin,
prédisait, dans un reportage sur la vie politique et économique de
« l’Afrique », pour reprendre son vocabulaire, un avenir meilleur
mais pour finir, « si le SIDA,
disait-il, ne vient pas changer la
réalité », soit supprimer tout le monde.
Ce
n’est pas l’avancée de certains chercheurs et chercheuses dans le domaine du
SIDA qui peut limiter le désastre canadien sur les Nègres et Négresses parce
que la propagation du virus est et demeure effrayante. On a échoué dans la
préparation du vaccin contre le SIDA. Avant cela c’est l’avion qui transportait
les chercheuses et chercheurs dans le domaine de l’assaut du Canada contre la
population nègre de la terre, le SIDA, revenant d’un congrès, qui a été abattu
en plein vol. C’est effroyable. Il est clair qu’on ne veut nous laisser aucune
chance de nous en sortir.
Faut-il
nous poser clairement la question : Quel avenir le Canada veut-il NOUS
réserver ?
Il
est un fait certain que notre ennemi naturel ne pourra pas avoir tout le monde
par ces moyens. Il en est conscient. Il s’en donne d’autres, qui tuent aussi en
grand nombre, en vidant les gens de leur substance endogène, pour la remplacer
par une conduite au rabais à cause de son extensité à courte portée, un accès
limité et sans garantie. Ces êtres sont morts parce qu’ils ne sont pas en soi,
par soi et pour soi et que le soi qu’on leur a ingurgité ne leur a pas accordé
l’appartenance sociale de leur nouveau monde. Ils sont et continuent d’être vus
sans interruption comme gens du dehors par celui-ci. Pour tenter d’escalader
l’impossible montagne, ils doivent jouer sans cesse l’acte 1 de la pièce « Se
faire accepter » jusqu’à leur mise en terre. Il s’ensuit qu’ils sont
confinés à être sans être, un tourment psychologique ineffable, pour nos
ennemis naturels, bien sûr. Les tortionnaires utilisent les institutions
religieuses, scolaires et autres, puis le « confort social » ? et
l’effet de la mode pour les attirer dans ce guet-apens.
À
côté de l’abaissement, lequel est en soi leur fin en soi, il y a la tentative
de prise de contrôle de la direction de la vie collective des gens. Cela
signifie s’opposer à leur gouvernement de soi, en soi, par soi et pour soi, ce
qui est l’affirmation extensionnelle de soi, ce que l’on est jusqu’au dernier
point. Cette démarche repose sur une conception réduite de ce qu’on appelle,
dans le langage blanciste, « la nature » de l’autre, un être moins
que soi-même, dont la qualité de l’essence est minimale par rapport à la sienne
propre, ce qui le prive, ipso facto, de l’aptitude à se diriger soi-même et
qui, du même coup, le place sous son commandement, de l’être à caractère
supérieur. Cela s’appelle, en science de la politique,
« l’esclavage », une domination naturelle. C’est contre cette vision
des choses que s’est érigée la Résistance Gwqmunale et Mordante des Négresses
et Nègres. Le Canada, fidèle à lui-même, tueur silencieux des Nègres et
Négresses, œuvre durement, et sans arrêt, pour faire échec à toutes velléités de
Gwqmunalité, et par conséquent de Gwqmunité, même à la république d’Haïti, « le
pays en friche », disait Sylvain Coté, en revenant au Canada, après
l’organisation frauduleuse des élections scandaleuses et le démantèlement de
plusieurs institutions de la république en faveur du désir du Canada de prendre
en charge la destinée de celle-ci.
Les
gens, Négresses et Nègres, premiers habitants et habitantes de la terre, qui,
depuis des millénaires, ont toujours vécu sous la direction de leur Gwqmunalité,
sont, par la violence systémique, sur une terre où le chef de l’État est un
leucoderme, cela depuis plus de cinq cents ans à la suite du verdict « d’esclave »,
naturel, en plus, du dieux de la bible et de l’église de Rome, confirmé par
Louis XIV de France, fille aînée de l’église, sous la dénomination de « bien
meuble », soit être fait pour être gouverné, pour cause d’impuissance intellectuelle,
par le blancisme, homme véritable, réel. C’est ce que rappelle Sylvain Coté par
ses propos mais sans dire qu’il venait de travailler en ce sens, pour le faire advenir,
sous l’autorité de son pays, le Canada.
Nous
allons le voir, l’eliminrgyo n’est pas une affaire d’aujourd’hui. Le génocide
sporadique que dirige le Canada est la continuité, sans interruption, du
suicide logique de la parole vide du dieux de la bible et ses pairs, de
l’église de Rome et de la royauté française, adoptée par la royauté espagnole,
la royauté anglaise, dont le Canada est le fils légitime, la royauté portugaise
et toutes les autres, et de leurs actions concordantes, dont voici un bref
résumé :
3
Paroles des colons
Par son expérience personnelle, Cussy, en
1685, affirme ce qui suit : “Nous avons
dans les nègres de redoutables ennemis domestiques”. Un siècle plus tard
rien n’a changé, ce que révèlent les paroles suivantes : Rouvray (1785) : “Une colonie à esclaves est une ville menacée
d’assaut; on y marche sur des barils de poudre”. Que dire de ce colon de
Saint-Domingue : « les nègres, soutient-il, sont injustes, cruels, barbares à demi
humains, traîtres, hypocrites, voleurs, ivrognes, vaniteux, paresseux, sales,
sans vergogne, jaloux jusqu’à la furie, et lâches». « Il
faut traiter les nègres comme on traite les bêtes », dit le gouverneur de
Madinina (Martinique. C’est à quoi nous allons assister, base du génocide
auquel nous assistons.
Visionnons, en bref résumé, par
les capacités quasi magiques de la pensée, le bal blanciste sur une partie des
êtres munaux, les Négro-jelefweennes et Négro-jelefweens : 200 000 000 de
razzié(e)s, traumatisme-la chez les gens qui restent et traumatisme-la au sein
des razzié(e)s; déportation; occupation de la Cour; chute provoquée des rois;
guerres provoquées; razzia et assassinat des rois, kidnapping sur place des
rois; corruption de rois; tentatives de mise sous tutelle par le christianisme;
interdiction de vivre dans son mode existentiel; corruption par les sens;
priver quelques razzié(e)s de nourriture durant la traversée; en fouetter
d’autres au sang et arroser leurs blessures avec de l’eau de piment fort; en
écorcher vifs plusieurs, mâles ou femelles; les violer à répétition au vu et au
su de toutes et tous; choisir arbitrairement quelques-uns (femelles ou mâles)
pour être assassinés à fin d’arracher ensuite leur cœur et en contraindre
d’autres à le manger; pour chaque razzié(e) qui arrive en Amérique, six sont
assassiné(e)s en route après être torturé(e) parce qu’insoumis(es); séparation
à jamais d’une mère ou d’un père de son ou ses enfants, de l’époux de son
épouse; dans les colonies, la vente des kidnappé(e)s, la vente à la tonne des
rejets: chétifs et chétives, malades, malingres ; jeter à la mer le reste qui
ne trouve pas d’acheteurs; travaux forcés au bout des armes; fouetter jusqu’au
sang et souvent jusqu’à la mort; peine du carcan; vol; viol; fouetter les
pendu(e)s; pillage; les scier et les couper en deux vivants; donner des gens en
nourriture aux reptiles; bras coupé; jambe coupée; bras et jambe coupés; les
étrangler à mort; abandonner des gens aux arthropodes venimeux; immolation des
gens; en fusiller par centaines à la fois; en regrouper dans la soute à charbon
en vue de les asphyxier dans la fumée du bateau; supplice de la roue; les
écarteler vivant(e)s; les larguer dans une chaudière d’eau bouillante; les
broyer vivant(e)s; arracher les enfants aux parents pour les vendre à des
colons d’autres plantations, lointaines; les enterrer vivant(e)s; érection de
clôture avec des têtes coupées; des gens vivants jetés à la mer boulets aux
pieds, fusiller celles et ceux qui refont surface; déposer vivants des gens
dans une grosse chaudière d’huile bouillante; lier les gens dos à dos pour les
larguer ensuite à la mer; les marquer au fer rouge de feu; couper une oreille
de celle ou celui qui refuse d’obéir, couper parfois la langue; les violer avec
rage; suant sang et eau sous les coups de fouet; les enterrer vivants debout
jusqu’au cou et la tête imbibée de graisse pour être mangé(e)s par les fourmis;
les bourrer de poudre à canon pour être explosé(e)s ensuite; les enflammer
vivants; les livrer aux chiens anthropophages; châtiment du blanchiment, lequel
consiste à enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive; les livrer
vivant(e)s aux chiens anthropophages pour être mangé(e)s vivants sous les
applaudissements des spectateurs et spectatrices en liesse, surtout des jeunes
filles sur leur trente et un. Pour chaque razzié(e) qui arrive au Masuana, 6
furent assassiné(e)s en route, par exemple, pour sa seule colonie de
Saint-Domingue (Ayti), la France en a razzié 15 millions, 4.5 millions ont vu
l’île. De ce nombre, selon le dernier recensement en Ayiti, juste avant les
dernières grandes batailles, il en restait 600 000. Tout cela, ce n’est pas
sous l’effet de la colère, sentiment passager, par conséquent des comportements
qui ne durent qu’un moment, mais non, un mode de vie quotidien durant trois
siècles. Tout acte est le reflet de l’intérieur, ce qu’on est, de façon stable.
Les actes du blancisme le définissent nettement et distinctement.
Le
21 octobre 1801la Guadeloupe a fait l’Indépendance et elle redevenue Karukera.
C’est la rage en France.
À ce sujet, Louis
Delgrès, né le 02 avril 1766 à Saint-Pierre de la Martinique a
dit ce qui suit : « Il
existe des hommes malheureusement trop puissants par leur éloignement de
l'autorité dont ils émanent, qui ne veulent voir d'hommes noirs, ou tirant leur
origine de cette couleur, que dans les fers de l'Esclavage ».
Écoutons les propos du
Vice-amiral
Denis, duc Decrés (1761-1820), ministre de la Marine en 1801 Décrès, alors ministre de la marine et des colonies déclare le 14 novembre 1801 : “Je veux
des esclaves dans les colonies. La liberté est un aliment pour lequel l'estomac
des Nègres n'est pas préparé. Je crois qu'il faut saisir toutes les occasions
pour leur rendre leur nourriture naturelle sauf les assaisonnements que
commandent la justice et l'humanité. Je crois qu'il faut envoyer une force
considérable en Guadeloupe, non pour la réduire à ce qu'elle
était mais à ce qu'elle doit être”.
Ce
sont là des idéologies et des actes incommensurables qu’elles appellent, C’est
une autorité sans fin. Idéologies et actes sont de tous les temps, donc
toujours actuels. C’est la logique du principe à conséquent. Dans ce champ
précisément se retrouve le Canada, fait et nourri de ces idéologies et actes.
On ne naît qu’une fois et sa nature est et reste invariable et irrévocable. Ainsi
cette organisation criminelle se faufile sans difficulté dans ce qui est son
monde naturel, celui qui porte la marque anglaise, pour se maintenir, par sa
nourriture nocive, sous l’égide du dévoreur naturel. Dans la Karaïbe il est
l’assurance du Mal bactérien. Les verbes du ministre de la colonie, Denis Decrès,
lui fournissent presque toute l’énergie qu’il lui faut pour travailler durement,
soit sans relâche, à garder la Karaïbe négro-gelefweenne sous la domination de
la bactérie et dans l’horreur comme dans son prédicat. Ces mêmes paroles
s’inscrivent sur son être comme la vérité, dans sa conformité à celui-ci. Le
Canada s’affirme être dans la droiture lorsqu’il s’est opposé à l’érection de
l’Empire d’AYITI.
Nous
le voyons d’une manière plus évidente dans ses actes sinistres. À titre
d’exemples, les gens affirment très clairement que le Canada dispose de ses propres
gangs en Ayti. Il s’est battu sur l’Artibonite avec un déchaînement à la
hauteur de son être. Cela trouve sa justification dans le fait qu’il y a au
cœur du département la Très Grande Ville Dessalines, Capitale de l’Éternel
Empire d’AYITI, fondée par l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean
Jacques Dessalines, Enfant d’Agbawaya Tóya. La route, ainsi que certains points
autour, de la Ville Majestueuse, est empestée d’embuscades et de groupes armés,
dont le statut véritable est mercenaire. Ils sont fabriqués par le manque de
plus en plus sévère provoqué par la
stratégie blanciste au bénéfice du génocide programmé. Il en est de même pour
la partie qui mène à Dessalines. C’est à dessein qu’on n’en parle pas. Gonaïves
est en périphérie nord de la Très Grande Ville Dessalines et Petite-rivière,
commune de l’arrondissement de Dessalines, est à l’ouest. La Ville Capitale,
Dessalines, se trouve au centre, au milieu des deux. Il faut passer par
Dessalines pour aller dans l’une comme dans l’autre. La Petite-Rivière est
limitrophe de celle-ci et la localité dont on parle tant est partagée entre les
deux, dit-on. Il y a toujours une dispute entre les deux communes au sujet de
leur frontière. Le silence vise à camoufler quelque chose, de gros, qui se prépare.
L’horreur est à la porte de la Ville Arrêtoir. Tous les mercenaires de
l’Artibonite sont affiliés aux groupes armés de Port-au-Prince. L’un travaille
de concert avec les autres. L’un passe à l’autre, si nécessaire, les
informations. Il y a entre eux une étroite collaboration dans les crimes. Le
Canada, rapporte-t-on toujours, a ses propres gangs opérant dans l’institution
policière. En plus de cela il est membre actif du gang-chef de Port-au-Prince.
Cependant, son bureau-chef, est en Dominicanie d’où il travaille avec la police
de la république d’Haïti. Cela rappelle le Rwanda. C’est le même comportement,
les génocidaires sont là sans être là. Les armes des mercenaires, toujours
selon la population, arrivent en AYTI, pour une grande partie, via la Dominicanie.
Ce qui résulte de tout cela, c’est que les gens, en plus des enlèvements à
rançon et des exactions innommables, meurent en grand nombre. Les citoyens et
citoyennes racontent aussi, ils sont catégoriques là-dessus, que les
kidnappé(e)s dont on n’est sans nouvelles, même après avoir payé les rançons, sont
victimes de trafique d’organes. Il y en a qui soutiennent sans ambages que le
point de passage est le bureau-chef à Saint-Domingue.
À
la base de ces activités sinistres, il y a un protocole d’entente de signé
entre les organisations criminelles, le Canada et la Dominicanie. Le gang
institutionnel de police sert de tremplin au corps criminel canadien.
Comment
ne pas trembler d’effroi en écoutant ces cruautés. La technologie avance, elle
permet, certes, beaucoup plus de choses, telles que faire d’une pierre deux
coups.
Cela
suffit pour la mise en forme du modèle de cueillettes des preuves pour le dépôt
des plaintes au tribunal pénal international. Il y a un océan d’avocats et
avocates qui, victimes comme nous toutes et tous, gens de la population nègre
de la planète terre, se chargeront de faire le reste en notre nom. Nous ne
craignons rien car le génocidaire est déjà identifié.
Continuons
à travailler durement tant et aussi longtemps que cela est nécessaire. Il
s’agit de NOTRE VIE, NOTRE AVENIR. Ne pas le faire serait signé notre ARRÊT DE
DISPARITION. Nous sommes face à une campagne d’extinction.
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la
Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial,
croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles
Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse
Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs
d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme
VudUn
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