L'ONU ll'Organisme de l'indécence et le nouveau terrain de la conquête dite la plus naturelle au monde
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines
prennent la parole 7 - 7 p = © Tous droits réservés
q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch,
e = é, Ä= on, ñ
Décret
00000007ONU organisme
de l’indécence16052024
L’ONU,
un nouveau terrain
de la « conquête dite la plus
naturelle », celle des « esclaves », mais Tifi est l’Empire
d’AYITI, faut-il avoir à la pensée.
Sans l’ombre d’un
doute, l’ONU, par sa substance blanciste, est devenue la bactérie mangeuse de
Négresses et Nègres. En effet dominé par le blancisme, l’organisme s’est, de
façon éhontée, institué en instrument officiel de « la conquête des
esclaves », décrétée par le blancisme, « la chose la plus naturelle
au monde », dont les Nègres et Négresses sont les principales victimes.
Comment cela
s’explique-t-il ? En effet la vision du monde régnant au sein de l’Organisation
des Nations Unies est la dualité du monde, à savoir qu’un groupe, au sein des
gens, à savoir les peuples, est pour commander et l’autre pour être commandé et
que le groupe principal est le teint clair, ce qui va devenir le blancisme. Il
y a une sous-division dans le dualisme blanciste, les Négresses et Nègres sont
la quantité non fondamentale, c’est-à-dire non nécessaire ou dont la présence n’est
pas indispensable. Ils peuvent disparaître sans aucune conséquence, si
minime-soit-elle, pour le monde, voire l’univers. Cela explique les paroles et expressions
fortement négatives définissant, de l’extérieur, bien sûr, les Nègres et Négresses, notamment « bien
meuble » (de Louis XIV), « déchets humains » (de Daniel Trump), « indifférence
à une possible disparition - parce que souhaitée - des Négresses et Nègres »
de Joe Biden). Ce sont des mots qui impliquent l’assassinat programmé des
Nègres et Négresses. Faut-il qu’ils (les blancistes) commencent par détruire la
Victoire de Jean Jacques Dessalines, commandée par les Ancêtres, sur l’homme,
le blancisme, parce qu’elle a mis en échec la campagne de dualisation du
blancisme sur la planète terre. Une grande partie de l’activité onusienne est
consacrée à cet objectif, soit la destruction de la négrité, laquelle est habitée
dans l’essence de l’Empire d’AYTI.
Que l’ONU sache que
nous, Négresses et Nègres, sommes les indigènes de la planète Terre, qu’à ce
titre nous sommes le porteur de la Volonté Divine, Notre Dieu, Bon-Dieu, que
nous sommes donc les Maîtres et Maîtresses de nous-mêmes et que, par
conséquent, nous sommes le garant de l’ordre et du Katel, équilibre holistique,
de la planète, ce qui signifie la limite de l’homme
Nous mettons donc en
état d’arrestation les citoyens et citoyennes de tous les pays, quel que soit
leur teint, principalement, les Canadiennes et Canadiens, qui, dans le cadre de
l’esclavage (esclavagisation), soit la dualisation, foulent le Territoire Impérial et qui
commettent le génocide sur le Peuple Endogène comme le Peuple Ancestral de la
planète Terre.
L’Éternel Empire
d’AYTI est Gwqmun, alors « Libre,
Souverain et Indépendante de toutes les puissances de l’univers », plus
précisément du La; il s’ensuit que « l’esclavage
(esclavagisation » est à jamais aboli et que, surtout, aucun blanc
(blanciste), qu’elle que soit sa nation, ne peut mettre le pied sur notre
Territoire en maitre et propriétaire; cette résolution est la base fondamentale
de notre Constitution », promulguée le 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale
Impériale. Il est évident, par ces paroles, que le SOI MUNAL, SOI NÈGRE, NOTRE
CONSTITUTION INTERNE, est à l’origine de l’Éternel Empire d’AYITI et que devant
lui, alors chacun-chacune, s’évaporent toutes velléités de dualisation puisque Nous
sommes irrévocablement et irréversiblement le CENTRE de NOUS-MÊMES et aussi la
VOIE, NOTRE VOIE. Cela est INFAILLIBLE.
L’ONU,
la politique et la conquête
Si paradoxal que cela
puisse paraître, l’Organisation des Nations-Unies est l’ennemie irréversible
des peuples. Par quel biais pouvons-nous expliquer le phénomène sinistre
onusien? La trilogie L’ONU, la politique et la conquête s’explique sans nul
doute par l’esprit de contradiction qui a fondé l’Organisme, à savoir le moyen
de faire échec aux guerres continues intereuropéennes. L’Organisme devait être
le moyen d’assurer la sécurité de l’indépendance des peuples. Cette assurance
est extrinsèque. Elle laisse donc entendre que le problème a sa source à
l’extérieur. Toute étude sérieuse de la chose présente la difficulté comme un
élément intrinsèque. Pour être plus clair, ce qui invite les peuples à
s’affronter fait partie de la constitution de ceux-ci, c’est-à-dire leur vision
du monde ou la manière dont ils se définissent dans le monde. C’est la dualité
du monde, dont chacun s’approprie le principal. Ça va de soi, le subordonné est
accordé aux autres. C’est une vision naturelle des choses, rapporte le
discours, mais dans les faits il n’y a rien de tel. D’où la nécessité, comme
partie ajoutée ou rationnelle de la vision en question, de « la
conquête », comme moyen de faire de advenir le discours, ce qui serait une
vérité pragmatique, même s’il n’est pas présenté pour telle. L’objectif est
partagé par les peuples européens mais il est privé de valeur unificatrice. Cela
s’explique par la logique. La mise en échec de la vocation onusienne publiquement
énoncée est constitutive de l’Organisme. Elle est irréversible. Il ne lui reste
qu’à travailler pour le penchant le plus puissant, le dualisme blanciste. Pour
cela il a fallu piéger la structure de l’Organisme comme les traités ou textes
qu’il produira. Ainsi l’Organisation des Nations Unies s’est transformée en
terrain de « conquête naturelle des esclaves », les subordonné(e)s.
Comme on ne peut pas
changer sa nature, les blancistes, purs esclavagiseurs (esclavagistes), ont subtilement
modifié l’objectif d’une organisation internationale, l’ONU, contre les guerres
entre les nations, dont ils sont presque toujours responsables, en son
contraire, assujettir les autres à son avantage. Ils y appliquent l’idéologie
de toujours, à savoir que « la politique est l’organisation de
l’esclavage », dont le mot juste est l’esclavagisation, tentative de
rendre les autres semblables à la pensée de l’esclave, un terme vide de sens. En
effet des purs pays blancistes s’y sont placés en dirigeant (stables) dotés
d’un incontestable droit d’orientation des décisions ou de la politique. Ça va
de soi, les autres, particulièrement les pays des gens-pas-comme-nous, pour
reprendre leur vocabulaire, leur sont soumis. Ils se donnent tous les droits et,
par conséquent, dépouillent littéralement les autres du droit de se mener
soi-même puisque leur volonté réciproque n’est pas nécessairement loi même sur
leur propre territoire respectif, qu’ils sont obligés, et c’est là le point
fort, de se plier à celle du régnant sur l’Organisme, qu’ils peuvent être
contraints ou châtiés par celui-ci dans
le cas contraire, mission qui doit être assurée par les esclavagistes mêmes, et
qu’ils ne sont pas en mesure de se défendre parce que le droit de disposer d’un
armement pareil à celui des esclavagisateurs, même si leurs moyens le leur
permettent ou telle est leur volonté, ne leur est pas reconnu. Ils ne peuvent
donc pas protéger leur territoire et leurs citoyens et citoyennes contre les
conquérants, soit les esclavagiseurs, qui souvent, très souvent, se font
accorder l’autorisation, par eux-mêmes, à travers l’organisme, de prendre
contrôle de la destinée du pays, leur pays. Cette page sombre et mortifère
n’est pas tout.
Il faut y ajouter une
autre. Pour cela il faut se poser la question à savoir quel est le but
idéologique de l’Organisme. Pour le savoir, la connaissance de la pensée
directrice s’impose. Nous y arriverons par les principes de base qui dirigent
l’institution. Ces principes sont les mêmes que nous trouvons dans les notions
de base qui orientent les nations européennes. Pour faire simple les notions
européennes de soi et la vie en société sont celles de l’Organisme, par
exemple, les idéologies politiques, les anthropologies, les morales, les
modèles économiques. Cela ne se fait pas subtilement, bien au contraire, de
façon éhontée. C’est le cas de la Déclaration des droits de l’homme de 1948,
tirée d’une des anthropologies européennes, soit les droits naturels de l’homme.
Nous pouvons dire que les dirigeants et dirigeantes présents dans
l’Organisation au titre d’ambassadeurs et ambassadrices de leur chef d’État ou
de gouvernement respectif, subissent la volonté des esclavagistes mais pire que
cela. Par ces idéologies ils sont absorbés par ceux-ci. Les deux groupes ne
forment qu’un tout. Il s’ensuit que ce que défendent les blancistes par la
pratique de ces pensées insensées est aussi le projet des subordonnés
idéologiquement. Puisque ces pratiques sont le tout de l’Organisme, la finalité
qu’elles comportent est la sienne propre non pas en tant qu’unité
institutionnelle mais comme instrument des blancistes et leur subordonnés.
Voilà incontestablement le but idéologique de l’Organisation des Nations Unies
! Passe tout comportement mettant à l’abri les esclavagistes.
L’ONU
un état de désordre effarant
Les blancistes ont
une compréhension de la vie, une seule, la hiérarchie des choses, dont la
forme, au sein des gens, porte le nom d’esclavagisation, en bref, domination
des autres par l’un ou les hommes. L’être unidirectionnel, l’homme, est incapable
de tout mouvement contraire et contradictoire. Il le sait mais il peut faire
semblant puisqu’il est fait de ruse, l’une des choses initiales – voir à ce
sujet la pathologie de l’homme. Nous avons l’exemple de « l’esclavage
comme crime contre l’humanité ». Les blancistes qui prétendent avoir aboli
l’esclavage et l’avoir ensuite décrété « crime contre l’humanité »,
gardent la même structure sociale, celle d’Aristote, laquelle est renforcée par
l’anthropologie des droits naturels de l’homme, laquelle anthropologie est
initiée par l’Anglais, Thomas Hobbes, et ils n’ont pas renvoyé les Négresses et
Nègres, ainsi que les autres, enlevés sous l’effet de l’idéologie en question,
n’ont pas quitté non plus les lieux envahis dans le cadre de la conquête des esclaves
mais, au contraire, continuent la même pratique, au niveau bilatéral, à travers
les accords de toutes sortes, les multiples organisations et surtout
l’Organisation des Nations Unies. Ce n’est pas brillant. Ce sont toujours les
mêmes qui sont à la base de ce grand désordre, les blancistes en tête et leur
dieux-homme créé par l’homme à son image pour se l’approprier ensuite à cette
fin. Les esclavagistes (esclavagisateurs, esclavagisatrices) ne peuvent pas revenir
sur leur être, soit renoncer à leur être chimérique, sous aucun prétexte. Ce
qu’il leur reste à faire, c’est de se servir de cette ouverture, cette faille,
qui met en évidence leur grande faiblesse au niveau de ce qu’ils appellent
esprit ou intellect. Les esclavagisatrices et esclavagisateurs sont pris, sans
en être conscients, faut-il le souligner, à leur propre jeu. Ils ne le voient
toujours pas venir. L’Éternel Empire d’AYITI les accuse de « crime contre
l’humanité » et il fait tout ce qui est nécessaire pour qu’ils soient
livrés au tribunal pénal international; le principe de justice sera devant la
justice.
L’Être
Munal
Dans le cadre de vie
qui est le nôtre, sur cette terre, dont nous, Négresses et Nègres, sommes les
Indigènes, la seule chose qui vaille est le MUN, soit NOUS. Tout part de son
ÊTRE et revient à son ÊTRE. L’ÊTRE MUNAL est de lui-même la seule aune. Le
munal, par la connaissance sensible, est un Badr mais, sous la puissance du bÄnqy, il se révèle
sous une forme multiple, laquelle est, par la dépendance mutuelle, et
l’indépendance, une sorte de transcendance dans l’immanence, qui se solde par
la Gwqmuntrt de tous les Badr, ce qui signifie que tout part de chaque Badr et
que cela est pris en charge par le Badr lui-même, rien que lui-même, ce
directement, et ensuite par l’autre qui est concerné, pour être pris en charge
par lui de la même façon, cela pour la satisfaction. C’est le jeu de la
dépendance réciproque et l’indépendance, substance de l’être munale. Il résulte
de cela que chaque Badr est en soi, par soi et pour soi, le Mun ou le Lakort
munal, et que, par conséquent, chaque Badr se dirige soi-même au profit de
l’Être munal, le soi-munal, appelé ubuntu. Il découle de cela que tout Badr,
singulier munal, est inaliénable. Chaque Badr n’EST qu’en SOI, c’est ce qui
s’appelle Gwqmuntrt. Tout Ensemble munal, parce qu’il sort du Badr, n’est qu’en
soi, ubuntu, et se gouverne par l’aune munale, le Soi Lakortal. Toute
organisation, il en est de même de tout groupe ou organisme, qui ne respecte
pas l’aune munale, est despotique ou tyrannique, au sens dessalinien du terme,
et son activité n’engage aucun être munal, le Badr. Si l’ONU prend une
disposition qui transgresse l’inaliénabilité d’un(e) Badr ou son Ensemble qui
en est le produit, ce qui revient au même, cela est sans effet, nul et non
avenu.
Il est révolu le
temps où les esclavagistes, au mieux, esclavagisateurs et esclavagisatrices, se
servent de l’organe de l’ONU et des autres organismes comme terrain de conquête
des « esclaves », même quand nous, l’Empire d’AYITI, ne sommes pas
concernés. Avec quelques mots jetés sur du papier, nos ennemis naturels, comme
ceux des autres, se permettent de fouler le sol national, pour violer, voler,
maltraiter, insulter, génocider, s’établir, piller, bref, esclavagiser. Tout
mun, partant tout peuple, repousse toute disposition, de quelque nature que ce
soit, autorisant un pays, un organisme, l’ONU, par son envoyé(e) respectif(ve),
civil(e) ou militaire, de fouler le sol d’autres pays, comme autorité, maitre
ou propriétaire, et lui ferme la porte d’entrée.
L’ONU n’est ni un
pays ni l’instance suprême des pays, alors elle n’est dotée d’aucun pouvoir sur
les gens, les pays, ni ne peut transgresser la loi, proprement promulguée, des
pays. L’Organisme n’est pas à proprement parler une forme juridique non plus.
Il est plutôt une sorte d’état de nature, sur le plan des représentantes et
représentants, faute d’accord général, préalable nécessaire à tout pour être
exécutable. Au niveau des peuples la division intempestive est encore plus
féroce qu’entre les habitants de l’état naturel parce que les peuples ne
relèvent pas d’un procédé méthodique. C’est le règne kuku, « chacun pour
soi », et, par conséquent, ils sont sans lien entre eux. L’état des
peuples est, en vrai, un pur état de guerre. La politique, telle que conçue,
n’est pas un dépassement de ces états naturels mais plutôt leur consolidation. Ainsi
l’ONU, qui est l’image parfaite de cet état de choses, ne peut être ni une ni
alors une autorité. L’Organisme, qui se présente sous l’aspect de l’état
positif, est, dans l’ordre logique, un état prépositif parce qu’il est privé
d’un élément nécessaire de celui-là, soit le peuple, tel que conçu dans
l’hommalité, ensemble d’individus dépouillés en grande partie de leurs éléments
primitifs, dont l’acte est la source de l’autorité du même genre. L’ONU est le
maintien de l’état prépositif. Elle est une morale à obligation insuffisante,
une morale en accord avec ses propriétés, parce que ses mesures peuvent être en
faveur de l’un et, ça va de soi, en défaveur de l’autre sur une question que ni
l’un ni l’autre ne peut rien céder. Par conséquent les prétendues mesures
n’appellent pas la soumission réelle. La violence, comme solution, vient
envenimer la chose.
Ce qui précède laisse
clairement entendre qu’à l’ONU les peuples sont absents et qu’il n’y a que des
dirigeants et dirigeantes et des diplomates, qui sont les représentants et
représentantes de ceux-ci. La discussion se fait entre eux suivant l’ordre reçu.
L’entente comme la mésentente sont entre eux, suivant leurs intérêts ou leur
conception personnelle des choses, là où le tout n’est pas dicté par les chefs
d’état qu’ils représentent. C’est là le point difficultueux car l’entente ou la
mésentente ne reposent pas sur quelque chose de neutre et surtout stable mais
un accord occasionnel de pensées et/ou d’intérêts entre deux singuliers ou
plus. La représentation n’est pas l’affaire des gens (des peuples). Cela ne
peut pas être autrement puisque c’est un état de nature à ce niveau- là aussi.
Les décisions ont forcément écho au sein des peuples, qui réagissent violemment
contre l’Organisme.
La
représentation
La représentation à
l’ONU est l’affaire de quelques personnes. L’Organisme est coupé des peuples.
Les intérêts des dirigeants et dirigeantes ne coïncident pas toujours à ceux
des peuples. Ceux-ci sont souvent en opposition à leurs dirigeants et
dirigeantes. C’est le lot des organisations hommales. Mais dans l’Organisme on
les fait passer pour inexistants. Politique exige, on se repose sur les chefs,
ils sont donc la base de l’ONU. Le peuple est toujours perdant devant celle-ci
surtout quand il est en opposition aux chefs blancistes de l’Organisme. Que
l’on ne se laisse pas leurrer par certains dévouements mis en échecs par les
blancistes. Cela fait partie du jeu sinistre. C’est à la destination des gens
faciles à berner. Ce qu’il ne faut jamais oublier, c’est qu’il y a une
opposition inconciliable entre les peuples et leur dirigeante et dirigeants
respectif, précisément au niveau de l’Organisation des Nations Unies. Il n’y a
pas de lien fort, en dehors des antinomies, entre les peuples, faut-il le
souligner. Les blancistes veulent imposer leur idéologie, laquelle est en
opposition foncière aux pensées fondatrices de chaque peuple, comme point de
ralliement. C’est cela le jeu à l’ONU, c’est même cela l’ONU. Il ne faut pas
sortir les articles de nous ne savons pas quoi pour prouver le contraire. La
vérité des textes est mise en évidence par les études de textes. Ici ce qui
importe, ce sont les faits. La terre, dans cet Organisme, est incontestablement
un état de nature et, par conséquent, un état de guerre. L’ONU est donc un
instrument de désordre par la représentation.
Différence
entre gens et chefs
Il y a une différence
entre les gens et les chefs de pays. Ceux-ci sont des singuliers avec leurs
capacités, leurs pensées, leurs passions, leurs préjugés, leurs préférences
propres, etc. Il est impossible que les gens soient absorbés par leur
soi-disant autorité. Malgré le lavage de cerveau, la particularité des gens demeure.
Ils peuvent être, et le sont souvent, en opposition aux dirigeants et
dirigeantes. Pourtant ce que l’on prend en compte à l’ONU, c’est la position de
ceux-ci. Le pays qu’ils gouvernent n’est pas leur propriété comme ils le
souhaiteraient. Les pays sont faits de gens non de choses ou biens meubles
comme on le croit à l’ONU. Au niveau de l’Organisme, les gouvernants et
gouvernantes peuvent avoir telle position, les gens telle autre. La voix à
écouter, dans l’ordre normal des choses, est irrelativement celle des gens. Personne
ne peut passer par-dessus la tête du peuple. Aucun organisme, sous aucun
prétexte, ne peut se soumettre à la voix des dirigeants et dirigeantes ou
représentantes et représentants, au détriment de celle des gens car le pays est
celui des gens. Il suffirait d’une seule voix contre pour que l’organisme, quel
qu’il soit, recule. C’est le peuple, avec toutes ses différences, qui doit
l’emporter et qui effectivement l’emporte au niveau de l’organisme et des
autorités parce qu’il s’agit d’une question externe. Les gens du dehors ne sont
pas admis à l’interne car c’est l’état de nature chez eux. Ce principe est
irrévocable et indiscutable. L’ONU est une sorte d’état positif en miniature,
dont l’objectif est de consolider l’état prépositif, état de nature.
Si l’ONU va dans le
sens contraire à celui des gens, elle agit selon le principe de
l’esclavagisation. C’est comme si le peuple était des gens soumis ou vaincu,
esclavagisés. Par conséquent ils n’ont rien à dire. « L’esclavage » n’est
pas, et ne peut pas, être aboli, selon l’Organisation des Nations Unis. Cette
croyance est très répandue dans le monde religieux. Elle va à l’encontre de l’Empire
d’AYTI, Éternel Empire de Jean Jacques Dessalines. Cela fait de la vie pour
l’Organisation des Nations-Unies une malédiction, c’est-à-dire être pour subir
toutes sortes d‘humiliation, toutes sortes de cruauté, des êtres les plus bas,
les plus vils, soit les esclavagisateurs et esclavagisatrices. Quel est alors
le sens philosophique d’une telle vie, la vie esclavagisante, soit pouvoir et
vouloir incessamment et irrésistiblement de l’intérieur, être au plus haut
point SUPÉRIEUR, mais constamment empêché par des êtres orduriers, la vilénie,
la saleté, de l’extérieur ?
L’Empire
d’AYITI
L’Empire d’AYITI EST
une fois pour toutes, Unique, Invariable et Éternel. Ni traité ni organisation
ne peut l’atteindre, d’une manière ou d’une autre, parce qu’il est Tifi, tel
qu’il sera éternellement. En d’autres mots il ne sera membre d’aucune organisation
ni ne signera aucun accord, de quelque nature que ce soit. Son Territoire est
interdit à tous les gens du dehors et il lui appartient exclusivement. Le Pays
d’AYITI, dont le Nom est Empire d’AYITI, Éternel par son ÊTRE, est Unique.
L’Empire Ancestral
assure la Gwqmunité de tous les Pays Négro-Gelefweens du continent ancestral,
ainsi que ceux qui sont ailleurs, par exemple, le continent Masuana, dénommé
Amérique par les savqn. Tous les accords
qui, dans le présent comme dans le futur, sont nuls et non avenus. L’action
judiciaire, en plus de celle en cours pour génocide, contre les esclavagistes (esclavagisateurs et esclavagisatrices)
pour maintien de l’esclavage (esclavagisation), à travers, les traités, les
organisations, le refus de se retirer sur les lieux envahis et de se former en
collectivités distinctes, le réseau d’assassins mis en place pour se débarrasser de tous ceux et celles qui
se tiennent en face d’eux, etc., etc.,
est en train de prendre forme.
L’Éternel
Empire d’AYTI, Empire Dessalines
L’Empire Ancestral,
Empire d’AYITI, n’est pas celui des Ayitiens et Ayitiennes mais celui de tous
les razzié(e)s et déporté(e)s, implanté(e)s au Masuana, appelé Amérique par les
savqn (blancistes). L’Éternel Empire d’AYTI est aussi celui de tous les
Négresses et Nègres, enfants de nos Ancêtres, du continent, le Nôtre, notre
continent ancestral, Gelefwe (Jelefwe); il est aussi l’Empire, au mieux, le
Pays de tous et toutes, où qu’ils soient, quel soit leur teint respectif,
pourvu que, épuisés du vide, l’hommalité, dont le blancisme est la forme la
plus populaire, ils prennent, d’une façon ou d’une autre, le chemin qui y
conduit, parce que l’Empire de Tóya-Dessalines est en Soi le Mun, leur Être, et
le Mun est l’Empire d’AYTI. …est celle de tous en tant qu’Ensemble Négro
jelefweens et chacun peut obligatoirement y prendre part au sein du gran
conseil responsable ou par la formation de comités séparés dans un premier
temps pour se réunir globalement ensuite. L’Empire de Dessalines est
l’achèvement de Être Munal, celui qui est NOUS TOUS et TOUTES.
Ce sont là les
paroles de Sa Majesté Jean Jacques Dessalines. Il s’ensuit que l’Éternel Empire
d’AYITI le Missionnaire de la planète Terre et que sa Mission consiste à y
faire régner.la VOLONTÉ de Notre Dieu, Bon-Dieu, dont le Nom est GWQMRTLA. Rien
ni personne ne peut le contrarier.
L’Éternel Empire
d’AYITI, Enfant de la Victoire Éternelle, a en partie, pour Substance
Éternelle : « Le Peuple … convient de se former en État Libre,
Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l’univers, sous le Nom
d’Empire d’AYTI.; l’esclavage est à jamais aboli; jamais aucun blanc, quelle
que soit sa nationalité, ne mettra le pied sur ce Territoire à titre de maitre
ou de propriétaire » ; Considérant qu’après une longue série
de malheurs et de vicissitudes, il convient d’assurer la garantie et la sûreté
des citoyens et citoyennes d’une manière immuable et irrévocable.
«
Il faut faire le
nettoyage sur notre sol, tel que l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean
Jacques Dessalines l’a énoncé et l’a fait, ainsi qu’à l’extérieur, toujours
pour la même raison donnée par lui.
Sur Notre Territoire
tous ceux et celles qui ne sont pas membres ou éléments de l’Éternel Empire
D’AYITI, tombent ipso facto et immédiatement sous le coup de la loi.
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire
d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que
l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort
avoir à jamais englouti :
HRH
Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste,
7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant
de la wÄnité du lakort,
l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la
science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et
théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn
https://www.linkedin.com/pulse/lonu-un-nouveau-terrain-de-la-conqu%25C3%25AAte-dite-chose-au-jt9ce
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