Décret: le 14 août est désormais consacrée à la réflexion en souvenir du 14 août 1791, journée de la planète terre
Le Décret 0000000La journée du 10 août 2024 en l’honneur du 14 août 1791 par l’équipe Eritye PaPa Desalin et KO?OKODA et le gangan Granbois00000007
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 w = © Tous droits réservés
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Le Décret 0000000La journée du 12 août 2024 en l’honneur du 14 août 1791 par l’équipe Eritye PaPa Desalin et KOMOKODA et le gangan Granbois00000007
Le kokcn hcn dewqjmq
Nombreux sont-ils ceux et celles qui ne peuvent pas ne pas se demander : Est-ce cela, la vie? en observant la réalité. Cette interrogation n‘est pas sans raison, premièrement l’étonnement est l’effet du bon sens et, deuxièmement, une chose d’une valeur aussi inestimable ne peut pas être telle. Quelque chose d’irrégulier a eu lieu, sans l’ombre d’un doute, sont-ils d’avis.. Pour celles et ceux qui ne sont pas du nombre de ces gens; ce qui n’est pas à blamer, décrivons brièvement l’état en question dans le but de le sensibiliser.
Se placer, dans les moindres détails, au-dessus des autres, les êtres et les choses, est l’inclination incontestée et incontestable de tout le monde ou presque. En effet on se pose, cela, de façon éhontée, en seul juge de la conduite des autres. Tout ce qu’on désaprouve, parce qu’il ne va pas dans notre sens, est blamable et, par conséquent, doit être immédiatement abandonné. Là où on a les moyens, on l’impose, cela, souvent, après maintes critiques. Il n’y a pas de limite. Tous les coups sont bons, quand il s’agit de soi, et on est son seul juge. Ceux et celles qui sont avec soi vont dans le même sens.On a, ça va de soi, leur support. Ce comportement est propre aux groupes comme aux individus. Cette attitude, à elle seule, révèle, sans ambages, un déséquilibre sur la planète et le rôle ou la part de responsabilité de chacune-chacun dans ce qui est en cours. Elle met également en lumière ce que les autres, au moins majoritairement, représantent aux yeux de leurs semblables, dans le sens qu’ils ne sont pas en eux-mêmes, par conséquent pour eux-mêmes, parce qu’ils sont, toujours selon ces semblables, inaptes à se diriger eux-mêmes.
Bien évidemment cela fait voir que la vie sur terre, du point de vue mental, repose sur une structure dominant/dominé et que ce point de vue, découlant du fait de se placer en juge exclusif de la conduite des autres, par conséquent des autres mêmes, leur être, ce qui est le signe incontestable d’un malaise profond ou une tension paroxystique entre les gens, est ce qui irréfutablement structure les choses. Malgré tout il faut éviter d’y voir un effet mono causal. Une chose est sûre, le soi individuel de tous et toutes ou presque que nous venons de voir, le soi symbolisé par la queue de paon en prestance, soit redressée et déployée, est inscrit en filigrane en tout, les comportements comme les activités qui pavent le quotidien. Par exemple il y a des éléments - ne voyons pas les gens mais l’état suggéré - qui sont dépourvus de tout ou presque tandis que d’autres en ont de tout, ce qui explique les riches, les moyens et les pauvres. N’oublions pas que toutes ces catégories ne sont pas homogènes, elles sont subdivisés. Il y en a qui disposent de tous les droits alors que les autres en subissent. Faut-il l’exemplifier, invasion, guerre; vol; guerre civile; pillage; fabrication d’armes; achat et vente d’armes; s’armer; usage de ses armes; génocide; déstabilisation; viol; faire force; tuerie; insulte verbale et/ou physique, etc. Nous n’en dirons pas plus, cela suffit à bien montrer la réalité telle qu’elle est vraiment.
Si paradoxal que cela puisse paraître, ce tableau jouit d’une appréciation hautement positive dans le monde. Nous avons sous les yeux l’état communément appelé positif, ce qui laisse clairement entendre un état prépositif. Celui-ci a sans doute conduit à ce que nous observons. Faut-il comprendre, d’après ce qui vient d’être dit, que ce précédent état est pire que ce à quoi nous assistons. Est-ce possible? C’est la question qui forcément se précipite à notre bÄnqy parce que nous sommes témoins du pic de l’horreur, cela, dans l’état positif. Prenons l’exemple de l’esclavagisation appelée à tort l’esclavage, fait du positif, oú des Négresses et Nègres se font notamment sciés, brûlés, blanchis, cuits, enterrés vivants parce qu’ils refusent, sans appel, de se soumettre à un autre que soi, autrement dit, l’état actuel des choses. Ce ne sont pas les blancistes qui nous contrediront. La justification donnée est l’absence de structure qui caractérise la prépositivité. À cause de cela il est baptisé d’état de nature, par conséquent, état de guerre. Ça va de soi, à l’intérieur d’un cadre normatif le nom d’état positif lui est donné. Cela veut dire que les choses ne sont plus laissées à elles-mêmes. Elles sont prises en charges par une intelligence collective. Ce qui est intéressant, cela ne signifie pas que les choses ne sont plus. Sans cesser d’être les mêmes, voire renforcées et augmentées, par la mise en collaboration de plusieurs intelligences singulières, elles atteignent le plus haut point. Chacun-chacune a un récit d’horreur à raconter. Nous qui sommes ici présentement, nous n’avons pas connu l’état prépositif. C’est plutôt la positivité qui est notre champ d’expériences. Elle est notre enseignante en atrocités. Franchement il n’y a évidemment pas de plus bas que ce que nous venons de voir. Elle est surpeuplée en barrières et en horreurs. Nous n’hésiterons nullement, hors de toute influence malicieuse, à exprimer sans retenu et publiquement notre pleine insatisfaction de l’état positif, le fait que nous avons sous les yeux.
La différence fondamentale, qui est l’oeuvre d’une construction de l’esprit, ne modifie pas la nature de la réalité prévalant sur la terre car les faits sont et restent les mêmes. Sauf, dans certains cas, il y en a qui sont officiellement autorisés à y recourir, ce qu’on ne peut, certes, pas avoir dans l’état de nature. Nous avons l’exemple de victimes des riches, et aussi des enfants de riches dans certains pays; des gens d’un certain teint, sur la planète; d’un groupe de pays, jouissant du droit de se protéger au dépens des autres, soit en les massacrant sous n’importe quel prétexte et sous n’importe quelle forme, tandis que d’autres pas; des pays qui, sans raison aucune, commettent le génocide sur d’autres, qui volent et pillent leurs ressources, qui s’emparent de leur territoire et qui appauvrissent leurs citoyennes et citoyens au bénéfice dès leurs; de la mise à mort par le pouvoir, à travers les juges, les militaires, les policiers et policières; des riches, des pauvres, créés par des systèmes économiques bien pensées; des gens, massifs, dont la vie, qualité de vie, dit-on, dépend de leur soumission aux conditions de travail imposées, donc à des propriétaires, soit d’autres gens, faut-il le noter; des rapports de force économiques et académiques; particulièrement des écoles de langue, de théologie, de philosophie, d’ingénierie; de partis politiques; des relations conflictuelles, de toutes sortes de nature, entre tous et toutes, des fréquentations prédéfinies, etc. On ne cherche pas à s’ouvrir aux autres, au contraire, on s’ingénie à inhiber toute sphère d’influence mise en avant par ses adversaires au service de leur soi, autrement dit, pour atteindre leur objectif. C’est un état de guerre féroce, impitoyable et indomptable. Il n’y a et ne peut pas y avoir rien de pire.
Ce qu’il faut déduire d’un tel sénario, le prépositif comme le positif sont le théâtre des mêmes comportements avec cette différence le positif consolide par des règles lourdes et écrasantes l’indésirable ainsi que le désirable, relatif. Faut-il alors conclure que la substance de l’état de nature, qui n’est, certes, pas la règle, est alors indépassable.
Ainsi nous sommes en droit de dire que plus ça change, plus c’est pareil. Dans la prépositivité comme dans la positivité l’insatisfaction est la norme, elle est grande et générale.
Nous entendons souvent encenser la démocratie, un système qui est arrivé dans la savqnie du positif, sauvagerie en système, via le renoncement à se mener soi-même à l’avantage d’un autre que soi, chute confirmée de soi-même, système le plus bas, le plus dégradant, le plus avilisant qui soit, à cause de la mise en avant, au pinacle, du rien qui caractérise le soi des uns, des autres et qui, par conséquent, est à l’origine de la cime de l’atrocité qui prévaut sur la planète terre. Un tel encensement enhardit l’implantation de plus en plus ferme le rien dans la conscience de chacune-chacun. Vanter la positivité, c’est louer la substance de son contraire, la prépositivité. Ériger une situation cataclysmique en objet de désir et de gloire, c’est, en fin de compte, le mépris corsé de l’être munal au profit du néant, le non être. Par conséquent on édifie la vie réelle en tourments, une soif de quelque chose, qui semble être sensible et accessible mais qui, dans le fond, est chimérique parce qu’inatteignable.
Étant donné qu’il n’y a aucun moyen de s’en sortir, les mieux positionné(e)s, pour cacher leur mal, le mal d’être, ont eu recours à une pilule, douce et amère, une invention de circontance, qui est la promesse d’un jour meilleur; un insaisissable futur. C’est comme si le mal était un fait mental.
Les gens; massivement, finissent par croire que la vie est bien l’expérience quotidienne, ce qu’ils et elles sont en train de faire.
La positivité est la consolidation du fait de soi centré sur lui-même et étendu sur les autres comme son lieu d’exercice.
Ce n’est plus l’être ofowu, le MUN, dont la quintessence est Ubuntu, une Yunité. Cet être en action sous nos yeux est une masse sensorielle pénétrée d’une conscience d’elle-même. Il est, sur le plan du savoir, au niveau de l’expérience saisie, seconde étape de l’activité de l’être au sujet de lui-même. À ce stade-ci le mun est une conscience, dont l’activité est en voie de déboucher sur l’expérience salvatrice, troisième et dernière étape de son développement, activité bÄnqyelle en vue de cheminer vers la Négro-divinité, soit la Perfection, qui est le point culminant du mun en tant qu’être et qui est du même coup sa finalité seconde - la première est ce stade même -, laquelle consiste, par son mouvement ou activité régulière, à manifester l’Être-La de GwqmrtLa, comme celui-ci, par la Production des choses, notamment le mun, au moyen du Mouvement, une de ses propriétés, manifeste sa Présence, et aussi à participer, par la production ou son activité propre, au Mouvement Continue, production par la production, second souffle de la Manifestation de la Présence de NOTRE DIEU, BON-DIEU. Mais comme la chose en action n’est pas parvenue au bout du procesus, ce qui a pour résultat ce qu’il est et ce que nous observons, elle est une conception de soi. La conception de soi, laquelle est ici le type de conscience en question, oriente tout projet de vie, quelle que soit sa dimension, particulièrement le projet qui se déploie sous nos yeux et qui s’empètre dans le soi problématique, la brouille de la prépositivité et la positivité. Une horreur !
Le kokcn hcn dewqjmq est bien ce que nous venons de voir.
L’Ancestralité
Non, la vie sur terre n’est pas ce à quoi on vous habitue. En sus il n’y a ni un avant ni un après dans la contrariété et l’insatisfaction de la vie mais une tentative d’ajustement sans fin. On tourne en rond jusqu’à ce que tout saute et s’effondre, d’une manière ou d’une autre, si cela était possible. Il n’y a rien à offrir ni rien à espérer du désordre systématisé. La vie sur terre est un piège.
L’émergence de l’Ancestralité va alors tout boulverser en mettant en évidence le leurre de la réalité et en lui donnant un nom propre le kokcn hcn dewqjmq. Ce qui se donne à votre sens et à votre capacité de connaître est contraire et contradictoire à l’être que vous êtes vraiment, l’ofowu. L’Ancestralité met en exergue l’identité de l’avant comme l’après de l’actuel système ainsi que son inadéquation avec le réel. D’où le kokcn hcn dewqjmq!
L’action de l’Ancestralité a un long parcours mais elle s’ est donnée la forme finale le 14 août 1791 par la mise en avant inconditionnelle et irréversible du soi, dont Notre Dieu, Bon Dieu, est le Producteur, et surtout la cause; ce qui place cet évènement au coeur de l’histoire ofowu; suivant le tracé divin, voie qu’on ne peut pas ne pas suivre sans conséquences facheuses, de la planète terre.
Nos Ancêtre ont toujours tenu tête à l’inofowu, ce qu’il convient d’appeler le kokcn hcn dewqjmq. En AYITI, Terre appelée Saint-Domingue par les blancistes, agents avérés du plus grand Mal qui soit, la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, il est, sans détour, identifié la cause profonde du dewqjmq en cours et il est aussi donné la raison de la résistence négro-gelefweenne au Mal. La science de la vie, la vie sur terre, est enfin à notre portée, schématiquement, certes, elle nous est tout de même livrée.
Bukmqn commence, comme c’est propre au monde nègre, par un hommage à GwqmrtLa, Notre Dieu. Le discours n’est pas anodin, il rappelle le Centre des Choses, les premières, plus précisément leur provenance. Deux points sont ici posés. Le premier est, de toute évidence, Notre Dieu pour signifier qu’il est le Seul et qu’en dehors de lui c’est le vide, soit le néant. Pourquoi cela est si important ? L’intention du locuteur est claire. En effet dans le contexte de la prise de la parole, il juge nécessaire de mettre en exergue l’Ordre des choses pour faire émerger leur objectivité afin de balayer toute tendance à la subjectivité, qui, à l’heure qu’il est, semble prendre de plus en plus de place, ce qui, sans doute, entraîne le si grand chaos prévalant sur la terre. Bukmqn reprend à son compte la bÄnqyée Ancestrale, pensée vraie, portée par Jean Jacques Dessalines. Avant toutes choses, met-il de l’avant, il y a Dieu, Notre Dieu, précise-t-il, parce que le son n’est pas étranger et qu’il devient un concept fourre-tout. Il lui faut le délimiter et ensuite il complète l’idée comme suit : Bon Dieu, terme signifiant Dieu véritable. Le choix des mots témoigne de la maîtise du sujet et du contexte. Le hasard et l’opportunisme sont balayés au profit du principe.
La Porte Divine s’ouvre sur les Choses. En effet Notre Dieu Est et Avec. Il ne s’agit pas de deux choses mais d’une Seule yunifiée par la même origine et la dépendance réciproque. Les Choses sont le prédicat de Notre Dieu. Le point soulevé par Bukmqn est fort. Il rend compte de la présence des Choses, autrement dit, de leur sens. En effet par le Mouvement, un des attributs de Notre Dieu, celui-ci tend à Manifester sa Présence. Cela est un Mbwa de l’Être, Son Être. Par Mbwa, il faut entendre ce qui fait partie de la Chose en vue de sa constitution ou son êtralité. Notre Dieu est, de ce fait; en soi Producteur. La Production est une propriété de Notre Dieu car c’est par elle qu’il peut être pensé. En d’autres termes les Choses instruisent de la Présence de Notre Dieu. C’est pourquoi tout de suite après avoir dit GwqmrtLa, Notre Dieu, le grand orateur; Bukmqn, énonce les Choses pour les lier inexorablement à Bon-Dieu.
Qu’est-ce qui est ici visé dans cette tournure discursive? C’est sans détour leur stabilité irréversible car leur justification vient avec Notre Dieu. Elles sont en lui. En dehors de lui elles ne sont pas et sans elles il n’y a rien pour penser Notre Dieu. La Production et l’interdépendance sont la Source de la déterminité et l’invariabilité des Choses. Ainsi les Choses sont en soi non en dehors de soi parce qu’elles ne font qu’une avec GwqmrtLa. Pour en savoir plus, consulter nos deux ouvrages suivants : À la gloire de Carapha mon père, 1991, et DE
LA PRINCESSE EUGENIA DESSALINES ET SON ÉPOUX
D’ORLÉANS CHARLES:
LA VILLE DE DESSALINES VOUS RÉPOND: VOICI LE PRINCIPE VICTORIEUX DE NOTRE LUTTE EN CE MONDE
AVEC LA COLLABORATION DE GINO CLYFORD ET DU CQ VIZION MUNAL 2020 - LES ÉDITIONS LOF (LEKBA/OGU/FWEDA
Bukmqn enchaîne avec une ordonnance logique :. “Écoutons la Voix qui nous parle de l’intérieur !”. Cela met en lumière l’”en soi”. Pourquoi “en soi” ? Tout “en soi” est la mise en évidence de ce qui est en la Production Divine. La nécessité d’être en soi et auprè de soi est clairement posée. Bukmqn renforce l’idée en ceci : “Notre Dieu nous commande de nous battre et vaincre”. Il s’ensuit que l’”en soi” est irrévocable. Il est ce qu’il est en Notre Dieu, par Notre Dieu et pour Notre Dieu.
Le chemin de l’activité munale est déja tracé. Toute voie qui s’y oppose lui est forcément contraire et contradictoire. C’est le cas du dédale du droit ou l’état de droit. Le discoureur rejette sans détour “le dieux des blancs”- c’est ainsi qu’ils définissent l’homme - car, dit-il, “il n’est pas le créateur des choses”. Ça va de soi, il est une entité de l’esprit; alors néant.
Bukmqn ordonne fermement la mise à l’écart de ce faux dieux et soutient, sans ambages, qu’il est “la source de tous nos malheurs”. Les malheurs sont le kokcn hcn dewqjmq, le marasme de la prépositivité et la positivité. Il en sera toujours ainsi car le monde qui peuple cet état n’a rien de commun avec nous : “Qu'avons-nous de commun avec ce peuple bourreau; dit le Général Vainqueur Jean Jacques Dessqlines? Sa cruauté comparée à notre patiente modération ; sa couleur à la nôtre ; l'étendue des mers qui nous séparent, notre climat vengeur, nous disent assez qu'ils ne sont pas nos frères, qu'ils ne le deviendront jamais et que, s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions.”Il n’y a qu’une seule possibilité et c.est ce que feront les Ancêtres.
Le 14 août 1791 ils comme elles, sur tout le Territoire de la partie française de l’Île d’AYITI, se réunissent pour partager la date fixée. Frapper le désordre-ordre est ordonné le 14août 1791. C’est une décision ancestrale et ça va se passer tel que décidé. À ce sujet, le gouverneur français, de Blanchelande écrit à son homologue de Santo-Domingo, Don Joachim Garcia, dans laquelle il lui expose, sans détour, la situation :“Les forces insurgées étaient formées exclusivement de Noirs, et non de mulâtres ni d’autres libres de couleur” (...) « La race blanche, continue le gouverneur français, et la classe de gens de couleur, et les Noirs libres sont unis, il n’y a que les esclaves qui sont ouvertement soulevés, et qui tuent leurs patrons et incendient leurs habitations ». « Blanchelande au gouverneur de Santo Domingo (S.d.) », AGI, Santo Domingo, 1029, f. 1.
Le 14 août 1791 est désormais une journée consacrée à la réflexion au cours d’un pique-nique qui doit être organisé selon les modalités de chacun-chacune ou des familles. Cela peut être avant comme après suivant l’initiative de KOMOKODA le samedi 10 août 2024
Le 14 août 1791 est une journée importante dans l’histoire de la planète terre car en ce jour le sens des événements s’est révélé au monde entier.
Nos ennemis naturels, par la défunte république d’Haïti, ont choisi le 15 août pour continuer à afficher leur appartenance au plus grand Mal qui soit ainsi qu’à marquer leur haine comme leur opposition à l’êtralité et l’Ancestralité.
Rester attaché-e- à la république malgré sa disparition après tant de ravages dans notre sein, c’est témoigner de sa fidélité au dieux de l’homme, et par conséquent au 15 août, et au kokcn hcn dezqjmq.
Le Décret est effectif dès aujourd’hui
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn
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