Enfin ! Le Procès de l'assassinat de Sa Majesté l'Empereur Jean Jacques Dessalines, Le Mapu
Le procès de l’assassinat physique de Sa Majesté Jacques 1er
Le Décret 700000007 le procès de l’assassinat physique de Sa Majesté l’Empereur Jean Jacques Dessalines, Jacques 1er, 12 2025
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - r = © Tous droits réservés
q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, ¼ = on, ñ
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Administration impérial rétabli
L’esclavagisation est le crime contre Busa ou contre le Nègre et la Négresse.
AYIBOBO !
Le Mapu de la planète terre, Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, depuis le 2 septembre 1804
Le 2 septembre, une journée d’une grande signification dans l’histoire de la planète terre car Jean Jacques Dessalines est, le 2 septembre 1804, officiellement entré dans sa Fonction d’Empereur d’AYITI, Éternel Empereur, à la suite d’une cérémonie organisée par sa garde d’honneur, à Dessalines, Quartier-Général devenu Capitale, cela au retour, fin d’août, des gens chargés d’instruire le Peuple-État, vivant un peu plus éloigné, de la décision d’une grande partie de lui-même. Avec la confirmation pleine et entière celui en qui l’Empire d’AYITI est a priori, se manifeste dans le monde sensible. Le 2 septembre 2025, célébrons notre Être Munal se faisant Empire d’AYITI !
Lekba
Enfin le Procès de l’assassinat physique de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jacques 1er, le Crime, le Crime de l’univers le La) sur la terre. Alors soyons prêts, prêts !
Une pluie d’horreurs, d’extrêmes horreurs, s’abat sur la terre, particulièrement sur les Négresses et Nègres, dénommés Terriennes et Terriens. Sous cet évènement inédit, au lieu de faiblir, raison de la cime de la cruauté, la Négrité de nos Ancêtres se renforce de plus en plus. Cette force insoumise et indomptable habitant en nous, celle que nous appelons la Gwqmunalité, la Voix nous parlant de l’intérieur, est en pleine et infatigable activité. Elle ne se meut que suivant la trajectoire ofowu inscrite en elle-même. En plus d’être vive, elle est insatiable en elle-même. Les Terriens et Terriennes, Négresses et Nègres, pénétrés d’eux-mêmes, à travers la Gwqmunalité, travaillent sans relâche en vue d’accéder à la Négro-divinité, Être en soi, par soi, pour soi, effectif, dont la finalité, à ce stade-ci, la plus immédiate, est de se yuniser, la yunité seconde, dans le but de bouter hors de notre sphère existentielle, l’obstacle à notre substance d’être, soit, la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, soit Terriennes et Terriens.
Le Phénomène
Toute cette intense et constante activité, dans un océan de douleurs aigues indescriptibles et de résistances proportionnelles, finit par déboucher sur le Phénomène; Jean Jacques Dessalines. En effet, en ce jour sacré, l’une des Terriennes actives, dans les Bras des Mornes Cahos, lieux de prédilection des marrons et marronnes, parfois temporaires, une sorte de repos, rencontre, de manière impromptue, la Soldate Toya, dont le titre est Agbawaya, dit-on, pendant que, seule, elle accouche de son Bébé elle lui prête son assistance. La clarté du jour accueille le Bébé et la Négresse active, la génitrice, le confie à la Soldate, dont elle ne sait rien, pour l’accompagner dans la Mission du déblaiement de la Voie du Je, l’Ofowu, bien évidemment, à savoir Être en soi, par soi et pour soi, puis elle se retire en passant au kuola, l’autre monde. Le Bébé, dont le Nom sera Jean Jacques Dessalines, entre dès ce jour dans sa réalité propre, qui est la Manifestation d’un monde de choses, ce qui fait de lui non pas un soi singulier, le sien, mais une multitude instituée à l’image de l’Ubuntu, qui est le préalable nécessaire à la yunité seconde, l’élémént suivant.
La yunité seconde est l’effet du développement de la phénoménalité, figure missionnaire de Jean Jacques Dessalines, Ce développement est dans ses gènes par la Gwqmunalité. La yunité seconde prend forme au moment où les groupes de Résistantes et Résistants font appel à l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines pour succéder à leur chef respectif afin de déblayer notre espace d’être et exister pour permettre et assurer le plein exercice de la Subjectivité Gwqmunale, dont le contenu est leur Divinité, ce que plusieurs appellent l’indépendance, malheureusement un concept fourre-tout. L’invitation lui est faite dans l’Artibonite tout de suite après qu’il a expulsé du fort de la Crête à Pierrot, en octobre 1802, les blancistes, sous la direction de la France, laquelle prétend être le général en chef de l’organisme en question. La yunitalité des forces accouche de la yunité seconde, la réplique de l’Ubuntu, laquelle, en considérant la source génératrice qui est la volonté, est le Peuple, compte tenu de son mouvement propre, et le Peuple de Dessalines, pour le Support Missionnaire. Alors un Peuple est né et par lequel le combat pour la Gwqmunité est encadré et de ce fait renforcé.
Comme il fallait s’y attendre, la Victoire Décisive et Éternelle du Peuple ou de l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines, l’un implique l’autre, sur le monstre et l’ennemi naturel, termes de Jean Jacques Dessalines, est scellée par les Décrets Immortels Divins qui ont ordonné l’Affirmation de Soi, la Résistance Gwqmunale, l’affrontement et l’Érection de l’Empire d’AYITI : “Écoutez la Vois (la Gwqmunalité, expression et protection de ce que nous sommes, alors notre essence) qui nous parle de l’intérieur!”; le dieux des blancs (blancistes) étant une entité mentale, est source de malheurs, ici nos malheurs, ne le recevez pas”; “Notre Dieu, Bon-Dieu, poursuit-il, voit tout, il nous ordonne de le combattre et le vaincre”, Bukmqn, la nuit du 14 août 1791. Plus tard, le 28 avril 1804, l’Invincible Jean Jacques Dessalines, Éternel Vainqueur du blancisme, s’écrit : “Quel est ce vil Ayitien, cette vile Ayitienne, si peu digne de sa régénération, qui ne croit point avoir rempli les Décrets Divins, Décrets Immortels, en exterminant ces tigres altérés de sang!”. cet objectif accompli : “ Indigènes d’AYITI ! Mon heureuse destinée me réservait à être un jour la sentinelle qui dût veiller à la garde de l’idole à laquelle vous sacrifiez; (...) Et si j’ai été assez heureux pour remettre en vos mains le Dépôt sacré que vous m’avez confié”, Songez que c’est à vous maintenant de le conserver”. Le Peuple Ancestral peut désormais pratiquer sans entrave et sans fin sa Gwqmunité car est à jamais vaincu tout obstacle. Bien évidemment c’est ce qu’il fait : “ Le Peuple habitant l’Ile ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État Libre, Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l’univers sous le Nom d’Empire d’AYITI. “
Ce qui est ici affiché, c’est le Muc, la Subjectivité Munale, ce qu’il convient d’appeler la Gwqmunité, laquelle consiste à se mener soi-même et qui est sous les assauts constants de l’homme, le blancisme, son point le plus actif et le plus cruel. En absence de l’hommalité, la Dessalinienne, action-réponse au désordre initié par l’homme, y compris le blancisme, ne serait pas à l’état de possible, si l’on pense à la Gwqmunalité. La phénoménalité arrive, non pas pour restaurer, mais comme garantie de l’Éternité de la Gwqmunité, le Muc du Mun. C’est ce qui est exprimé dans la citation de l’article de la Constitution.
L’affirmation du Muc débouche sur la suppression de l’action gordrm, étranger au La : “ L’esclavage (l’esclavagisation) est à jamais aboli”. C’est cela même l’objet de l’Érection de l’Éternel Empire d’AYITI par l’Affirmation de Soi. Le Soi ne répond qu’à lui-même. La mise en échec définitive de l’esclavagisation a, d’abord, une dimension extensionnelle par le positionnement du Muc, en face de l’univers, soit le La, et, ensuite, elle a une extensité, l’homme, dont le blancisme est actuellement le plus haut point : “Aucun blanc (blanciste), quelle que soit sa nation, ne mettra les pieds sur ce Territoire comme maître et propriétaire”. Cela érige l’Ancestralité, à travers le Phénomène, Jean Jacques Dessalines, parce que l’un comporte l’autre, en protection du La, le Grand-Tout, sur la planète terre. C’est là ce qui explique les paroles suivantes : “ L’Empire d’AYITI n’est pas seulement celui de ceux et celles qui sont sur l’Ile mais aussi de tous les Terriens et Terriennes (Négresses et Nègres) razziés, déportés et implantés ici, au Masuana, ridiculement appelé Amérique, de ceux et celles qui sont sur le continent des Ancêtres, Gelefwe, et de tous ceux et celles qui sont des autres nations se cherchant et optant pour leur être munal, soit actuellement l’Éternel Empire d’AYITI”. Ainsi le plein de l’être est fait par le Fondateur même de l’Empire d’AYITI, le fils elevé par Agbawaya Toya, Jean Jacques Dessalines, le Missionnaire Divin. L’Empire d’AYITI se révèle le Salut de l’Être Munal et Jean Jacques Dessalines en est le Porteur. Nous sommes désormais à l’Ère Dessalinienne !
La voie de la perdition et la destruction
Le Général à Jamais Vainqueur de l’homme et la Porte d’entrée à la Régénération résume en ces termes l’essence du blancisme en regard de la France : “Si nous les laissons dans notre sein, ils seront toujours en train de nous diviser”. Cela met en lumière le caractère stable et inchangé de l’homme. Ils sont pour détruire. Cette vérité anthropologique se vérifie dans la critique de la révolution : “Esclave ! Laissons cet épithète qualificatif aux Français ! Ils ont vaincu pour être esclaves. “ Les paroles de Jean Jacques Dessalines, Savant en la matière, font référence à la révolution qui n’apporte rien de neuf aux Français. C’est le statu quo, l’esclavage, que les Français appelle “la domesticité”: “La loi ne reconnaît point de domesticité; il ne peut exister qu’un engagement de soins et de reconnaissance, entre l’homme qui travaille et celui qui emploie”, La déclaration française. La relation entre le maître et l’esclave devient nominalement relation de travail. Les Français n’appréhendent pas la relation de dominé et dominant qui cimente ce dont ils parlent et qui pousse Jean Jacques Dessalines à dire que la révolution maintient l’esclavagisation par le travail pour quelqu’un d’autre. Le blancisme ne renoncera jamais à cela, non pas qu’il soit l’esclavagisation, parce que le travail pour d’autres que soi y est indispensable. En d’autres mots cette situation ne fait pas “l’esclavage” ou “la domesticité” mais plutôt ce fait n’est que dans l’esclavagisation. “Ils ont vaincu pour être esclaves” définit l’entièreté de la condition des gens. L’esclavagisation est une domination, là où des gens sont proclamés être pour les autres, soit faits pour servir. Qui va travailler pour l’autre, dans la logique de la déclaration ? C’est de toute évidence, le ou la domestique, alors le même tableau. Pour entrer dans la soi-disant nouvelle réalité, il faut renoncer à ses droits de nature de se gouverner au profit d’un tiers, une instance, ce qui institue d’emblée la structure de domination parce que l’autorité qui en est résultée subordonne tout le monde. Ils s’unissent tous et toutes à l’autorité, en faisant sienne leur volonté, sans être unis entre eux, cela à cause de leurs droits de nature, source d’animosité non maîtrisable et principe de la politique. La structure politisative, affrontement effectif par opposition d’intérêts, est un désordre. Jean Jacques Dessalines est on ne peut plus clair la-dessus. La révolution est une dégénération à plat, une esclavagisation confirmée. Au regard de l’Empire d’AYITI, tout renoncement à la Gwqmunité, l’Art de se gouverner soi-même, est contraire et contradictoire à l’Essence Munale. De ce fait, tout mun, à l’exceptions des Mbwa précis, par exemple fournir les moyens nécessaires aux activités korbiques et autres et parler avec le dehors, doit être, et est effectivement, le sujet de sa vie, c’est-à-dire celui ou celle qui la gouverne directement. L’activité productive est assurée par chacun-chacune et se fait en collaboration avec chacune-chacun pour tous et toutes sans que nul mun soit à l’emploi d’un autre. Elle ne peut pas être autrement car elle est le lieu du cheminement vers la perfection, la Négro-divinité, qui est la pratique de l’Ubuntu, le Soi. Cela se fait dans la pleine conscience de soi, l’immanence et la transcendance de l’être munal, notre être à nous toutes et tous. C’est là la toute beauté, attirance en soi pour soi, de la Gwqmunité, acte de se mener soi-même, et sa conservation par soi-même. Disons-le tout haut, le Peuple-État est en action. Il calcule, mesure et exécute, tout ça lui-même, une gestion globale de son Être.
L’activité productive comprend la korbi (korbie), ce qui se rapporte à l’argent. De même que la gouverne est badrale, une affaire de chacune-chacun sous la direction de la Divinité Munale, la korbie, qui est de même nature, est forcément pareille. Il s’ensuit qu’à chaque Badr sa korbique propre, autrement dit, il est illogique que des Badr dépendent d’autres Badr pour sa korbi. En sus la transcendance (indépendance), qui est le Mbwa de la Badrité, relève, discursivement, de la Divinité Munale, sa capacité de calculer. Cependant certaines korbiques exigent plusieurs mains, comme certaines exigences pour leur formation comme leur satisfaction. C’est le cas de la présence ou de la faim par la sensation. Dans le cas d’une korbicité plurielle, les Badr peuvent s’associer pour compléter. Tout ce qu’il faut au Peuple est l’objet de la productivité, ce qui exige un investissement de soi sans réserve dans le Blrz (Bien-être Munal) du Peuple-État. La korbie relève de l’interdépendance et se pratique sous le même modèle.
Pour le démarrage de la korbi, l’Autorité, soit l’Empereur ou l’Impératrice, ici Jacques 1er, distribue aux badr les biens et ressources disponibles, voir à ce sujet mon ouvrage: L’Administration Impériale Rétablie. Éditions LOF, 2019.
Jean Jacques Dessalines, en sa qualité d’exceptionnel savant en l’Organisationnelle, a élevé à la compréhension de tout le Peuple-État la nature d’interdépendance de l’activité productive, ce qui lui donne la forme de korbi, travail en soi, par soi, pour soi et, du même souffle, pour le Soi Munal, le Soi Substantiel. Cela propulse infiniment ou presque la capacité générative de l’activité productive, ce à quoi fait référence son vocabulaire “la prospérité”, cela au détriment irrévocable de l’activité économique, laquelle est d’essence esclavagisationnelle et, partant,paupérisante.
L’assassinat physique de Sa Majesté Jacques 1er :
le plus grand crime de la terre
Mécontentement, protestation, haine, réconciliation, cruauté, tout cela s’érige autour du Phénomène-Porteur de l’Empire d’AYITI, Vive Expression de la Divinité Munal et Salut de la planète terre, Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines. Là-bas, de l’autre côté de la frontière, le p’tit empereur français, Napoléon Bonaparte, complote contre le Centre de respiration de l’univers (le La) sur la terre, Jean Jacques Dessalines, délègue, dans l’Empire d’AYITI, des espions français sous de fausses nationalités en vue de se rallier les mécontentes et mécontents, dont la majorité d’entre eux, quoique livrée à la blancismité, était sous le coup de génocide. C’est à l’Invincible Soldat Jean Jacques Dessalines qu’ils doivent la vie. En eux-mêmes, ils sont et restent fidèles à la France. Ils sont là, avec les Enfants de l’Empire d’AYITI, alors à l’ombre de Jean Jacques Dessalines, non pas par vocation, Volonté d’être en soi, par soi et pour soi, donc enflammés par la Gwqmunalité, mais pour se protéger contre la colère génocidaire du petit empereur. Ils restent sourds à l’invitation sans cesse répétée de l’Éternel Vainqueur, Dessalines, à savoir : “Renoncez à la France”. L’Inégalable anthropologue, élevé par Tante Toya, connaît le coeur des hommes, notamment les blancistes, et leurs faiblesses. Il fait tout, dans le domaine du possible, pour les empêcher de sombrer sous le poids de l’hommalité, particulièrement la blancismité. Il veut, en tant que Missionnaire Divin, les protéger contre le plus grand Mal qui soit, le blancisme, l’incroyable monstre de la terre. Cependant, unis culturellement avec lui, ils veulent nécessairement l’esclavagisation, eux aussi. Ils s’apprêtent donc à commettre l’irréparable. Avec les espions l’eau retourne enfin à sa source et ils assassinent physiquement, avec leur aide, celui qui les a sauvés du génocide, en faveur du génocidaire même. Le crime est hautement nécessaire parce qu’il est d’une logique implacable. C’est le résultat quand le multiple est, en plusieurs points, l’un et que de la discordance émerge la concordance pour le bien de la cause, laquelle est l’assassinat physique de Sa Majesté, à cause de l’idée de l’Empire d’AYITI, et la vengeance contre le Peuple-État.
Le pic du crime
Le complot ne se limite pas à la privation du corps physique de son élan vital. Il est extensionnel dans le sens qu’il va jusqu’au ravissement du Phénomène-Porteur du Salut en l’effaçant, s’il était possible, par la privation de son discours salutaire au b¼nqy de son Peuple, à tout autre entendement, et de son Corps matière de tout espace périphérique.
Enfin, pour revenir à la république française, mère patrie, ce qu’on appelle “accéder à l’humanité”, le bruit court, comme preuve de sa disparition certaine, le Corps sans vie (kadav-kor) de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines est envoyé en France comme l’avait ordonné l’empereur nain, Napoléon Bonaparte, “...”La Terrienne (Négresse) qui travaille au presbytère informe qu’elle voit sortir des individus transportant jusqu’à la maison d’Alexandre Pétion, le corps inerte de Sa Majesté l’Invincible Jean Jacques Dessalines, le Missionnaire Divin; celui en qui réside le Salut de la planète terre et ce qu’elle comprend; celui qui est la Manifestation du Katrl de l’univers (du La) sur la terre, celui qui dit tout haut : J’ai veillé, combattu, quelque fois seul ...; celui qui dit : “en combattant pour votre liberté (Gwqmunalité), j’ai travaillé à mon propre bonheur; maintenant je ne suis riche que de ta liberté”, terme signifiant ici Gwqmunalité; celui de qui le général Goman, pourtant avec qui il a un différend, dira, lors qu’il apprendra la nouvelle de son assassinat par Capois Lamor : “Le Général Dessalines vient de nous donner un Pays”; celui qui dit de lui-même : “Je suis Soldat ..., je vous protégerai, je tiendrai ma parole tant que j’aurai un souffle de vie en moi ; celui qui s’affirme en Grand Créateur : “Si quelques considérations justifient à mes yeux le Titre auguste que votre confiance me décerne, c’est mon zèle, sans doute, à veiller sur le salut de l’Empire, c’est ma volonté à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté non l’opinion d’un amas d’esclaves, mais celle d’hommes qui prédilectent leur indépendance aux préjudices de cette considération que les puissances n’accordent jamais aux peuples qui, comme vous, sont partisans de leur propre liberté, (Gwqmunalité) qui n’ont pas eu besoin de mendier des secours étrangers pour briser l’idole à laquelle nous sacrifions”; celui qui affime, sans ambages, “Un souverain dont la gloire réside dans celle de son pays, qui n’a incessamment pour objet que les intérêts et la prospérité de ceux dont il tient sa puissance »; celui qui dit : “Le moment approche où vous allez moissonner de nouveaux lauriers. Ne vous enivrez pas de quelques succès peu dignes de votre valeur, obtenus sur des hommes abâtardis et dégénérés; songez que vous avez à combattre des ennemis entreprenants, fameux par les forfaits dont ils se sont noircis, mais qui ont plus d’une fois senti la pesanteur de votre bras, et dont la destinée sera toujours vaincue par votre constance héroïque”; celui qui clame tout haut : “celui qui dit fermement “ et s’il nous faut périr victimes de la plus juste des causes, laissons après nous le souvenir honorable de ce que peut l’énergie d’un peuple luttant contre les fers, l’injustice et le despotisme.”; celui qui dit : « Oui, nous avons rendu, à ces vrais cannibales, guerre pour guerre, crimes pour crimes, outrages pour outrages », etc., etc., etc. Oui, celui qui est le Phare, Unique Phare de la planète terre
Et si la boisson qui était servie à sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines par les ennemis naturels des Terriennes et Terriens, Négresses et Nègres, notamment le curé français et son ami Alexandre Pétion, celui que Jean Jacques Dessalines a sauvé de la mort certaine en refusant de l’executer sous l’ordre express du général français Emmanuel Leclerc, avait pour but de le plonger, pour un certain temps, dans un état léthargique !
C’est ce que rapportent plusieurs. Leurs paroles ne sont pas dénuées de sens car c’est la pratique régulière du blancisme, particulièrement les Français, de voler les corps sans vie de ceux et celles qui les ont à jamais vaincus. Qu’est-ce qui se cache derrière cet acte odieux? La sorcellerie chrétienne dont une page consisterait, dans la plus stricte intimité, à manger de la chair du mort éternellement vainqueur et boire de la poudre dérivée de ses os pour s’introjecter sa science et sa force. Quelle horreur ! Ils se livrent à de tels actes de sorcellerie même sur les vivants en les achevant lentement. C’est de ce crime innommable que sont coupables des ennemi(e)s naturel(le)s de l’Éternel Empire d’AYITI
Debout.!
Le monstre de toujours rode autour de Nous. Nous, l’Éternel Empire d’AYTI, debout ! Nous sommes tressé(e)s de l’Éternelle Victoire! Nous sommes debout pour l’Éternité ! Notre Voie est à sens unique ! Rien ni personne ne peut se soustraire à la lumière infiniment puissante de l’Être que nous sommes, l’Être ofowu. Alors, allons ! Amarrons-les pour les traduire tous et toutes devant le Tribunal des Ancêtres, nos Ancêtres ! C’est le moment de sévir !
Le Tribunal Populaire
Le Peuple-État, attaqué, sous l’impulsion de sa Gwqmunalité, se forme en Tribunal, comme il sait si bien le faire, pour s’imposer avec force et fracas sans autre forme de procès. C’est à Nous, et à Nous Seul(e)s, qu’il revient, en ce jour précis et déterminé, de le faire. Le Tribunal est le fruit de notre Affirmation Éternelle de Soi, dont Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines est le multiple racine. Ainsi Nous, c’est Notre Empereur et Notre Empereur, c’est Nous. Nous sommes donc l’Invincible Général et le Général à Jamais Vainqueur. Nous sommes le Lieu de comparution de tous les criminel(le)s indistinctement.
Comme le Procès en question est l’affaire de l’Empire d’AYITI, toutes et tous, soit en badr, soit en s’associant avec d’autres, sont obligé de formuler des reproches spécifiques. Toute situation déplorable d’un mun, par exemple, vol, viol, perte de sa maison, son enfant, son commerce, etc., injure, ici ou ailleurs, malcité chronique, assassinat, maladie ou perte accidentelle des parents et parentes, tout de cet ordre-là arrive à cause de ce crime, le plus grand Crime de la planète terre, par conséquent est objet d’accusation criminelle. Tout est directement relié à la disparition physique de Sa Majesté Jacques 1e . La situation déplorable de nos gens d’ici et de ceux et celles qui sont sur le continent Ancestral et les autres îles comme d’autres territoires, est le but visé par cette disparition. Toute insulte, en parole ou gestuelles, à l’étranger, a celle-ci pour cause fondamentale. Tout doit être soumis au Tribunal. Il faut y travailler dès maintenant. Cela n’admet pas de traînage de pieds, il y va de notre Salut. Nous avons trop souffert du Crime, le Seul Grand Crime de cet ordre-là sur la planète terre, dont nous sommes les Indigènes. Cette horreur incommensurable pèse extrêmement lourd sur le La. Elle ouvre la voie à la déstabilisation incalculable sur la terre. Pensons au kokcn hcn dewqjmq, dont l’impact n’est qu’à ses débuts! Tout cela, et bien d’autres, est affaire de plainte.
Le profil des accusé(e)s
Le préalable nécessaire pour comprendre la disparition physique de Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines est ce qui est visé. Cela est bien la fin de l’esclavagisation par l’Affirmation de soi, la mise en évidence du Muc (le Je) de Jean Jacques Dessalines. Il faut donc faire échec à l’Empire d’AYITI, dont le Fils d’Agbawaya Toya est le Fondateur et le Porteur. Le Pays de Toya-Dessalines est l’arbre qu’il faut abattre, autrement dit, Jean Jacques Dessalines. En dernière analyse, c’est substituer un autre pays à l’Éternel Empire d’AYTI, lequel pays sera la continuité ou tiré du blancisme, alors le refus de mourir du Mal hommal. Ainsi arrive la république d’Haïti, sous le modèle de la république française, c’est-à-dire sa continuité. Nous en avons la preuve tangible, laquelle est l’absence du vocabulaire d’”indépendance” dans l’acte de naissance de cette chose, la constitution du 27 décembre 1806, en d’autres termes, la première constitution de la république. Ce qui est écrit résulte, surtout dans ce domaine, de ce qui a été décidé. Ce n’est pas du n’importe quoi. Ainsi ce qui est mis en exergue ici, c’est l’objectif du blancisme, à savoir dominer la planète et ce qu’elle comprend, dont la république d’Haïti est l’instrument. Pour cela il faut écarter l’Empire d’AYITI, par le seul moyen, la disparition de Jean Jacques Dessalines. Alors la république, par sa cause et sa finalité, livre les responsables, acteurs et actrices, de la disparition physique de Sa Majesté Jacques 1er. Cela veut dire que tous les partisans et partisanes de la république d’Haïti sont des assassins du Corps physique de Jean Jacques Dessalines.
Il est évident que le Crime de la terre est strictement relié à la pensée non pas des visages proprement dit même s’il lui faut des instruments de cette sorte pour s’accomplir. Il en résulte qu’il n’est pas figé dans le temps mais qu’il s’inscrit dans une succession continuelle, ce qui lui permet, comme un aimant, d’attirer irrésistiblement vers son centre à lui toute pensée ainsi que tout discours ayant l’ADN de la source du Mal. Elle coule abondamment, cette source délétère, dans les veines de ses agents, agentes, pour alimenter le coeur et le cerveau afin que tout se maintienne suivant l’ordre foncier de la chose, autrice du Crime. C’est pourquoi le Crime est d’hier, d’aujourd’hui et de demain, un jour sans fin avec tout ce que cela comporte.
Les criminel(le)s
Le Crime est incontestablement le résultat d’un affrontement entre deux visions du monde, dont l’une est vraie et l’autre nécessairement fausse. Celle-ci, voyant venir sa fin dernière par la présence de la seule qui soit vraiment, réagit en tentant de la supprimer. D’où la première pile de criminel(le)s : tous ceux qui prônent, comme l’exprime si bien le professeur Jean-Pierre Le Glaunec, que la guerre est celle des hommes de couleur, dont l’objetif est “d’accéder à l’humanité”, vision du monde blanciste, que “les esclaves sont les derniers à se joindre au mouvement” et que, le 18 novembre 1803, à la victoire ou avant,”ils frédonnèrent la Marseillaise”. Il est clair que l’Ancestralité est expulsée et que l’église est rétablie dans son rôle primordial. Les criminel(le)s maintiennent l’état des choses.
La deuxième pile de criminel(le)s sont celles et ceux qui, comme les premiers, transforment le projet hommal, ici blanciste, en état de fait. Leur bistouri ici est Toussaint L’Ouverture, un plus catholique que le pape. Ils s’en servent comme moyen de donner une assise au blancisme. Ce n’est pas par son comportement qu’ils cherchent à les bluffer mais par son teint. Pour ce qui est de ses moeurs, il est tout blanciste. C’est là le piège, amener les Négresses et Nègres, donc les Terriennes et Terriens, à marcher dans ses pas, ainsi les conduire à l’abattoir, pour les soumettre au blancisme. On s’en souvient, après la nomination de Toussaint L’Ouverture à la tête de l’armée française, il écrit au Directoire, gouvernement français, : “ Je réponds sous ma responsabilité personnelle la soumission, de l’ordre et du dévouement à la France” de mes frères les noirs. Il n’y a pas de Soi Nègre, le Soi Terrien, qui tienne dans cet objectif. C’est la denqnqtisation, vider de leur substance, des Terriens et Terriennes au profit du blancisme, le monstre français, un gordrm, étranger au La. Quelle haine pour les Négresse et Nègre! Mais quel amour pour le blancisme, bactérie mangeuse de Nègres et négresses ! Là où le blancisme échoue, lamentablement selon son appréciation, même Napoléon Bonaparte reconnaît son impuissance, Toussaint veut réussir. En effet au sujet d’Ayiti, en 1816, sur l’île Sainte-Hélène, il écrit dans son livre Les confessions : <<J’ai à me reprocher une tentative sur cette colonie lors du consulat. C’était une grande faute que d’avoir voulu la soumettre par la force; je devais me contenter de la gouverner par Toussaint >. Toussaint, le soumis, est pleinement confiant de réussir. Il fournit l’effort nécessaire : “J’ai combattu pour imposer les couleurs de la France à Saint-Domingue”. Toussaint est dans les secrets de certaines décisions. En effet à la veille de l’arrivée de l’expédition, le 18 novembre 1801, Toussaint publie : “Recevez avec respect et amour filial tous les envoyés de la métropole!” Il est sans doute instruit à l’avance de l’envoi de l’expédition. C’est pourquoi il dira plus tard à l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines : “Faites votre soumission à la mère patrie !” . Toussaint L’Ouverture occupe la première place dans l’histoire de l’école, là où règnent les histo-à-rien. Le Français Borgella écrit un projet de constitution en 1801 dans laquelle il est dit : “Ici la colonie de l’empire français”. Le texte de Borgella du 3 juillet 1801, à la place des constitutions de la république en Haïti, est classé “première constitution d’Haïti”, Haïti de “la colonie de l’empire français”. C’est là ce qui explique l’absence du mot “d’indépendance” dans la constitution du 27 décembre 1806 et, plus tard, les paroles suivantes : “accorde la pleine indépendance du gouvernement”, l’entente entre Jean-Pierre Boyer et Charles X. Cela sous-entend qu’entre les deux dates il y a l’émergence d’une ‘relative indépendance ”du gouvernement”, non pas de l’État, faut-il le souligner, parce qu’il s’agit, dans les deux cas, “d’une colonie de l’empire français”. Cela met en lumière les propos suivants que nous lisons dans le Petit Robert, dictionnaire français : “Toussaint-Louverture, le libérateur d’Haïti”, Dépôt légal, mai 2012. Le texte est important, car il est un exemple de définition du mot de “Libérateur”. Cela est contraire et contradictoire à ce que nous lisons dans le texte dit “L’acte d’indépendance” et la Constitution de l’Éternel Empire d’AYITI. Il y a là une raison suffisante pour les criminel(le)s.
Tous ceux et celles qui entrent Toussaint L’Ouverture dans l’histoire de nos Ancêtres, comme c’est la tendance à l’école, sont des auteurs et autrices du Crime.
Il en est de même de ceux et celles qui propagent à tort et à travers que la “république d’Haïti” est “la première république noire” - ce qui va dans le sens de “ la première constitution d’Haïti” -, expression volontairement ambiguë, dans l’intérêt de la cause.
Les criminel(le)s sont tous ceux et celles qui prennent fait et cause pour la défunte “république d’Haïti.”
Les gens qui continuent de s’associer à la “république d’Haïti”, même défunte, travaillent volontairement pour “le maître et propriétaire”et ils sont, de ce fait, des criminelles, criminels.
Le pays dont les dirigeants, dirigeantes, et les citoyennes, citoyens, sont reconnus pour criminels, criminelles, mais qui les protège, d’une manière ou d’une autre, sera banni à jamais de nos relations extérieures et l’affaire sera confiée au tribunal pénal international, organe du monde extérieur, par rapport à l’Empire d’AYITI.
Les gens, où qu’ils soient, qui ignoraient les informations dont il est question dans le Décret, ne sont pas concernés par les mesures énoncées. Toutefois ils devront en faire la preuve et changer inconditionnellement de conduite, cela sans délai.
Celles et ceux qui s’en vont chantant par les rues que la république d’Haïti est la continuité du Pays Ancestral, Pays de Toya-Dessalines, l’Éternel Empire d’AYTI, font irréfutablement l’apologie du Crime en inscrivant Jean Jacques Dessalines dans le camp des soumises et soumis par le blancisme. Dans le cas contraire ils font preuve d’être extrêmement pauvres sur le plan logique, pourtant une capacité que l’on porte en naissant, ce qui, par conséquent, grille ou presque leur sens historique. Qu’on ne leur demande pas d’évaluer une oeuvre philosophique ni de considérer philosophiquement un fait ou un ensemble de faits, dont les deux instruments sont des préalables nécessaires, ce qui handicape leur sens philosophique. La mémoire est, certes, une faculté d’une grand importance mais elle est limitée dans ce champs d’activité. D’une manière ou d’une autre, ils tombent sous la corde.
La fin du Procès consolidera toutes les activités ancestrales de maintien et entrera toutes les Poulations Nègres de la planète dans la prospérité effective, telle que Sa Majesté l’Éternel Empereur jean Jacques Dessalines l’a énoncé.
Le Décret est en vigueur aujourd’hui même, le mardi 1er juillet 2025,
Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la w¼nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn
https://www.linkedin.com/pulse/enfin-le-proc%25C3%25A8s-de-lassassinat-physique-sa-majest%25C3%25A9-rqkne
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