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FINI LE BLUFF MACABRE DE L’UNICEF ET LES AUTRES ORGANISATIONS QUI SONT LES ORGANES DU BLANCISME

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 3 T 8 Tous droits réservés

FINI LE BLUFF MACABRE DE L’UNICEF  ET LES AUTRES ORGANISATIONS QUI SONT LES ORGANES DU BLANCISME
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DE LA POUDRE AUX YEUX, L’UNICEF
Toujours dans le but de détourner l’attention des victimes du blancisme de la source unique de leurs malheurs, l’UNICEF, avec la collaboration des autres organisations du même genre, vient de publier un rapport visiblement triste sur les conditions de vie des enfants d’Ayiti, comme d’habitude non sans glisser le blâme vers les victimes elles-mêmes, la population concernée, et mettre en relief le bon cœur de ces organismes-paravents, le vent méphitique et hautement toxique.

Que l’UNICEF, comme les autres organisations impliquées dans cette soi-disant étude - manœuvre commandée par les agents du blancisme dans un but précis, justification du démantèlement de la Grande Nation - , sache que ce dont les enfants d’Ayiti ont toujours besoin, hier comme aujourd’hui, cela de façon pressante, est la fin du génocide par le pillage des ressources, leurs ressources, par les nominations de l’extérieur (de l’ennemi de ce que nous sommes) de faux dirigeants et dirigeantes au Pays de Toya-Dessalines.

Ce n’est que par l’exploitation directe des ressources, qui sont les leurs propres, cela irréversiblement, que les gens d’Ayiti peuvent changer leurs conditions d’existence, ce qui implique nécessairement celles des enfants.    

Tous les descendantes et descendants de nos Ancêtres sur cette planète, où qu’ils soient, connaissent ce même problème.

Les gens du dehors en ont besoin pour vivre, alors NOUS AUSSI. En plus de cela, elles sont exclusivement à NOUS.

Sur ce génocide largement répandu sur les territoires ancestraux, l’UNICEF garde religieusement le silence, ce depuis toujours.

Si l’UNICEF s’en soucie vraiment, comme il l’affiche publiquement, qu’il rejoigne les rangs de la RÉVOLUTION DÉJÀ EN MARCHE en Ayiti, laquelle RÉVOLUTION gagnera sous peu tous nos territoires ancestraux de la planète, cela pour les mêmes raisons, et qu’il entreprenne urgemment les démarches visant à traduire devant le tribunal international les pillards de nos RESSOURCES et les chefs ainsi que les membres de gouvernement qui leur facilitent la tâche.

Dans le cas contraire que l’UNICEF ferme sa gueule.

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme
Voici l'article :
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Haïti: plus de 200.000 enfants exploités comme domestiques


Des enfants jouent à Port-au-Prince, le 28 mai 2015 (c) AfpDes enfants jouent à Port-au-Prince, le 28 mai 2015 (c) Afp

Port-au-Prince (AFP) - Plus de 200.000 enfants haïtiens de moins de 15 ans, séparés de leurs parents biologiques, travaillent dans des conditions inacceptables révèle une étude menée par une vingtaine d'organisations nationales et internationales sous la direction du ministère des Affaires sociales.
"Ce chiffre de 207.000 enfants est insupportable", affirme Ariel Henry. "C'est une problématique complexe qui fait appel à des habitudes culturelles et changer les mentalités ne se fait pas à coup de décret", a reconnu vendredi le ministre haïtien des Affaires sociales et du travail.

Le phénomène des enfants en domesticité, les "restaveks" (mot créole qualifiant ces jeunes "qui restent avec" une famille autre que la leur), est une solidarité traditionnelle en Haïti où les parents les plus pauvres, majoritairement vivant en zone rurale, placent leurs enfants chez un proche ou un tiers dans l'espoir qu'ils aient de meilleures conditions de vie et notamment accès à l'éducation.
Ainsi, un enfant haïtien sur quatre ne vit pas avec ses parents biologiques. Si beaucoup de jeunes bénéficient réellement d'un meilleur environnement de vie, trop se retrouvent abusés, devenus domestiques du foyer d'accueil dans des conditions analogues à l'esclavage.

Les conventions internationales et le droit haïtien fixent à 15 ans l'âge minimum d'accès à l'emploi et à 14 heures hebdomadaires la limite acceptable qu'un enfant passe à effectuer des tâches ménagères dans son foyer.

Mais l'étude publiée vendredi montre que parmi les 207.000 mineurs exploités (âgés de moins de 15 ans et travaillant plus de 14 heures par semaine), 24% travaillent même parfois la nuit.
Au-delà des peines physiques et de la charge de travail empêchant l'enfant de suivre sa scolarité, les autorités et partenaires internationaux s'inquiètent des souffrances psychologiques vécues par ces enfants.

"Les violations des droits de l'enfant arrivent avant même que l'enfant ne commence à travailler", explique Inah Kaloga, responsable de la protection de l'enfance à l'Unicef. "La séparation est un premier choc qui est suivi d'un deuxième qui est la différence de traitement avec les enfants de la famille d'accueil. Et la situation peut se détériorer avec des brimades et des châtiments corporels", s'alarme-t-elle.

Faire condamner ces abus est le crédo de la directrice de l'Institut du bien-être social et de recherches (IBESR), l'administration nationale en charge de la protection de l'enfance.

"Ces enfants sont exploités par des citoyens haïtiens qui ont l'impression d'aider", s'insurge Arielle Jeanty Villedrouin. "Nous devons tous nous révolter car c'est une perte non seulement pour l'enfant mais pour la société toute entière", affirme la directrice de l'IBESR.

L'éradication du travail des enfants est un défi de taille pour Haïti car près de 60% des habitants vivent sous le seuil de pauvreté, avec moins de 2.44 dollars par jour.

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