Le 28 mai 1790 - 28 mai 2016 une belle histoire texte renforcé le samedi 14 avril 2018
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 p = d © Tous
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28 mai 1790 –
28 mai 2016
28 mai 1790 l’Assemblée
de Saint-Marc vote « Une constitution de la partie française de
Saint-Domingue »
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
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Les colons français de Saint-Domingue et leur visée indépendantiste
Le 14 juillet 1789 la
Bastille est prise. Deux mois plus tard la nouvelle arrive à Saint-Domingue. C’est
le comte de Peynier qui est le gouverneur. La colonie est en effervescence.
De façon canonique les
Français de la partie française de l’Île d’Ayti est divisée en deux groupes
ennemis, les Pompons blancs, partisans de l’ancien régime, nommés aussi volontaires, et les Pompons rouges,
révolutionnaires et indépendantistes, dénommés aussi patriotes.
Comme le gouverneur perd
pratiquement le pouvoir dans la colonie, un nouveau pouvoir est en train de s’instituer.
Se constitue alors une Assemblée générale, qui compte quatre-vingts députés du
Nord, soixante-quatorze de l’Ouest et cinquante-huit du Sud. À Saint-Marc ils
siègent pour la première fois le 16 avril 1790.
La Constituante, en France,
publie le 8, et remanié le 28, mars 1790, le décret autorisant les assemblées
coloniales à élaborer des bases constitutionnelles en vue de les soumettre au
pouvoir français.
L’Assemblée de
Saint-Marc s’établissant en véritable pouvoir, en nommant et révoquant, se
saisit de l’occasion pour élaborer « une
constitution de la partie française de Saint-Domingue » dans laquelle
la France se voit pratiquement dépouillée de son autorité dans la colonie. Elle
est publiée un jour comme aujourd’hui, le 28 mai 1790 et le gouverneur est
invité à la signer, ce qu’il refuse de faire. Cette constitution à visée
indépendantiste est la première constitution coloniale française de l’Île. Évidemment
elle fait enrager la France.
Pour empêcher la
répétition de cette expérience, le consul Napoléon Bonaparte, que l’on appelle
présentement en Karukera (Guadeloupe) Napolecon Bon-à-rien, annule les décrets
des 8 et 28 mars 1790.
Cependant la deuxième
constitution coloniale du 3 juillet 1801, élaborée par un groupe de Français de
Saint-Domingue, reprend une bonne partie des revendications exprimées dans la « constitution de la partie française
de Saint-Domingue » et demande au général en chef de l'armée, Toussaint L’Ouverture, qui est désigné comme gouverneur non par la constitution en question, pour être plus précis, mais dans le projet de constitution - parce que, pour parler savamment, un projet de loi devient loi lorsqu'il sera voté et signé par les autorités compétentes, ce qui ne sera pas le cas du projet de constitution du 3 juillet 1801; alors Toussaint est et sera jusqu'à la fin de ses "services", comme on dit de son rôle, général en chef de l'armée, le titre qui figure dans le texte, secondé par Gros, Pascal, les prêtres, les colons émigrés et le régiment béarnais, donc les véritables
dirigeants de la colonie -, d’acheminer le texte en France pour approbation des consuls.
Point n’est besoin de
dire combien cela a frappé, choqué même, les consuls. Il y a risque certain de
perdre la colonie aux mains des blancs, pas de Toussaint. C'est une affaire entre les blancs, dont plusieurs veulent suivent l'exemple des colons anglais, qui viennent de se constituer en États-Unis, une association de savqn, un banditisme légal ou légalisé. Napoléon Bonaparte ne fait pas de reproche
à Toussaint L’Ouverture à ce sujet car c’est une affaire entre les Français. En
plus Toussaint participe au complot de Napoléon contre la Résistance
Ancestrale, Résistance Gwqmunale, qui consiste à assassiner tous les généraux
noirs, y compris les hommes de couleur, parce que, selon sa (Napoléon) compréhension de la
situation, ils sont responsables du « soulèvement des nègres et négresses ». Le projet de constitution est une idée des autorités françaises pour continuer, croient-elles, à berner les Ancêtres de l'illusion, de ce que le Premier Consul appelle ironiquement, "pouvoir noir" parce que, selon ses propres mots, il est celui qui "gouverne par Toussaint". L'exécution du projet soulève le Premier Consul parce que les "ennemis de l'intérieur" se sont emparés du projet pour y inscrire des prétentions inacceptables. Faut-il être clair, le texte, qui n'est pas une constitution parce que le pouvoir français n'y appose pas son sceau, n'est pas la promulgation de la séparation de la colonie. Icelle est et reste française, le texte est très clair là-dessus.
L’intention de
Napolecon Bon-à-rien est de rétablir « l’esclavage », aboli le 29 août
1793 par Sonthonax - une autre blague blanciste, ces gens nous prennent pour des connes et cons; ils se projettent en parlant de nous - et confirmé par le décret du 4 février 1794 de la Convention,
pendant que la situation est relativement calme dans la colonie de
Saint-Domingue. C'est dans ce but que défilent les arrêtés. Les affrontements sont moins nombreux durant la période de mise
en avant-scène Toussaint L’Ouverture. C’est cela l’objectif visé par le
commissaire Sonthonax, fin politicien français, qui a placé Toussaint L'Ouverture à la tête de l'armée et confirmé par Gabriel de Hédouville, selon les propos mêmes d'icelui. Chose à signaler, la diminution des affrontements ne prouve pas que les gens ont marché dans la stratégie du "pouvoir noir". Le fait même qu'ils aient diminué non cessé en est la preuve. L'Invincible Général À Jamais Vainqueur de Napoléon Bonaparte, Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand, nous dit qu'il y en a qui attendaient la réalisation des promesses des "agents français". L'Infiniment Grand les considère comme vaincu(e)s par ces paroles vides. Pour l'Éternel Vainqueur du blancisme, à deux reprises - Leclerc et Rochambeau, puis au retour des Français, sous le commandement de Ferrand - il ne fallait pas y donner créance. Alors nos Ancêtres ont bien compris le jeu.
Jean-Jacques Dessalines
Plus Que Grand, le Général Vainqueur de Napoléon Bonaparte, comptabilise, dans
le texte du 1er janvier 1804, cette période dans les quatorze années
qu’Il qualifie de victoire du blancisme sur la Résistance « non par des
armes mais de vaines paroles ». Toussaint le dira lui-même plus tard, il
sert sans faute sa patrie, la France. Toussaint n’a rien à voir avec la reprise
des revendications à visées indépendantistes de la deuxième constitution
coloniale française, une affaire de colons blancs. Le consul l’a très bien compris. Seuls les idiotes et idiots veulent faire de Toussaint un séparatiste ou indépendantiste. Quel serait ce pays de Toussaint? Nègre ou blanciste? Quelle connerie! Non seulement les faits le prouvent avec fracas, l'adjudant général Boisrond Tonnerre rapporte que les officiers Nègres n'avaient pas l'oreille de Toussaint. Icelui n'écoutait que les blancs. J'en parle abondamment dans les deux volumes de mon livre d'Histoire Ancestrale. Le mensonge se fait rattraper par la vérité.
Cependant les blancs
qui sont fidèlement attachés à la France demandent à Napolecon Bon-à-rien de
remiser Toussaint et de prendre la direction de la colonie pour mieux faire
face aux indépendantistes. Conscient de l’utilisation bénéfique du visage de
Toussaint contre la Résistance Ancestrale, le consul refuse. Finalement il
cédera devant ce qu’il appelle lui-même « criailleries des blancs ». Toussaint est franchement devenu une figure inutile, les indépendantistes, les États-Unis et la Grande-Bretagne autour, la culture ne reprend pas, le refus des Négresses et Nègres de recevoir les envoyés de la métropole parce que fini la colonie depuis l'affrontement de 1791-92, à cause des arrêtés deux grands affrontements contre Toussaint, 1798 et 1801, etc. Il y a lieu de croire que le "pouvoir noir" ne prend pas et qu'il est temps de passer à autre chose. L'autre chose est l'action directe, sans la Conjonctionnelle.
La constitution de la partie française de Saint-Domingue, publiée le
28 mai 1790, joue un grand rôle dans la Naissance de l’Éternel Empire d’Ayti à
cause de l’insertion des revendications autonomistes dans la
deuxième constitution coloniale française de juillet 1801, ce qui conduit
Napoléon Bonaparte à acquiescer « aux criailleries des blancs »,
décision qui met fin au bluff blanciste de Toussaint L’Ouverture - le subordonnant (le nuage noir L'Ouverture) s'efface au profit du sujet principal - à l’avantage
de la Résistance Gwqmunale ayant à sa tête l’Invincible Général Jean-Jacques
Dessalines, Éternel Vainqueur du blancisme.
C’est à tout cela que
vous devez penser chaque 28 mai.
VIVE
JEAN-JACQUES DESSALINES !
VIVE L’EMPIRE
DE TOYA-DESSALINES !
Pour la
Maison Impériale Dessalines
HRH
Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de
la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse
Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre
du Nous, partant l’Empire Toya-Dessalinien, et
spécialiste
et théoricien de la science de la politique
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