Texte renforcé à cause de la trop grande appréciation LA RÉPUBLIQUE CERTAINEMENT EST UNE COLONIE

Texte renforcé à cause de la trop grande appréciation

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 p = f © Tous droits réservés

LA RÉPUBLIQUE 

CERTAINEMENT UNE COLONIE

q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é

LE SAVIEZ-VOUS, SINON ON VOUS A EU

Ils étaient des milliers, voire des dizaines de milliers, à prendre fait et cause pour le blancisme, idéologie selon laquelle le nègre est naturellement esclave, c’est-à-dire né pour être sous l’autorité de l’homme, l’Européen. Ils étaient des milliers, certains disent 6000, à se ranger du côté de l’armée de Napoléon Bonaparte contre l’Armée Ancestrale de Dessalines. Aujourd’hui les descendantes et descendants de ces nègres et négresses à blanciste sont des millions à marcher dans les pas de leurs ancêtres et ils se présentent sous le vocable de républicains, républicaines en guise de contestation de la Nation Ancestrale Victorieuse, érigée le 29 novembre 1803 à Dessalines, Ville Quartier-Général de l'infatigable Résistance, par l'Invincible Général Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand. Le comportement des républicaines et républicains va dans la droite ligne de leurs allégeances faites au blancisme et leur vision dépréciative d'eux-mêmes, c'est-à-dire gens incapables de se gouverner eux-mêmes, un verdict de la nature, dont, par conséquent, la conduite dépend de l'esclavagiste. 

Il s'ensuit que la Constitution impériale, publiée le 20 Mai 1805 à Dessalines, Capitale Impériale, n’est sûrement pas celle de la république parce que, d'entrée de jeu, il est clairement dit dans l’ « Article 1er: « Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti » et que le blancisme de tout poil nomme et révoque le chef de la république.   

Ce qui m’amène à poser la question : Qu’est-ce que la république ? La république est un retour à l'ancien système, inlassablement combattu et Vaincu par nos Respectables et Adorables Ancêtres, gens dont nous, Enfants de l'Éternel Empire de la Gwqmunalité, sommes la continuité génétique et idéelle. Quelle est l'origine de la république puisque Notre Histoire est Celle de l'Empire de Toya-Dessalines? La réponse se trouve dans l’histoire qu’on y enseigne, l’histoire dont le blancisme est l’auteur. Notez bien ceci : l'histoire enseignée dans les écoles en Ayiti devait être soumise d'abord au Vatican, auteur de la conquête, pour obtenir son approbation? Il est évident que cette histoire n'est pas celle de nos Ancêtres, Notre Histoire à Nous. Que dit-elle, cette histoire au sujet de la république ? Toussaint L’Ouverture en est le père. La réponse appelle une autre interrogation : Qui est ce Toussaint L’Ouverture ? Il était un des gouverneurs de la colonie française de Saint-Domingue, colonie, comme toutes les autres, qui a fait connaître le pic de l'horreur à nos Distingué(e)s Ancêtres, colonie que combattaient nos Ancêtres. C’est Félicité-Léger Sonthonax qui le nomma à ce poste. Sonthonax ? Qui était-ce ? Sonthonax était un commissaire français et il fut envoyé à Saint-Domingue, après la contre-attaque fructueuse du 22 août 1791 dirigée par Bukmqn, pour sauver la colonie, c’est-à-dire empêcher son démantèlement par les Négro-jelefweennes et Négro-jelefweens. 


Je rappelle que l'esclavagiste de Libertad, maître de Toussaint L'Ouverture, et sa famille n'ont pas pu goûter à la médecine ancestrale durant cette frappe concertée parce que, lorsque le rouleau compresseur se rendit en vain chez eux pour la leur administrer, Toussaint lui-même les cachait. Alors nommer un nègre, pas n'importe lequel, comme gouverneur fut une des tactiques du commissaire Sonthonax pour s’acquitter de sa tâche. Napoléon Bonaparte avouera en 1816 dans ses confessions qu'il gouvernait par Toussaint, chose encore courante aujourd'hui. Toussaint L'Ouverture, avant même la prononciation de ces mots par Napoléon, les avait pré-confirmés : "J'ai toujours bien servi ma patrie", dit-il. La constitution publiée en juillet 1801 par les colons français pendant que Napoléon Bonaparte gouvernait par Toussaint dit clairement que Saint-Domingue est une colonie française et qu'il n'y a plus de classe de fils d'africains parce que tous sont citoyens français, donc intégrés dans la structure française de domination, nos Ancêtres dont l'intention proclamée depuis toujours, ce qui est logique, est l'expulsion du blancisme dans leur sein. Toute Notre Histoire en témoigne.


Cela est tellement vrai que, lorsque Napoléon Bonaparte, suite "aux criailleries des blancs" - des blancs de Saint-Domingue qui ne voulaient plus de Toussaint -, se consentit à le déposer, les grands canons littéraires de l'époque, tous esclavagistes convaincus, notamment Victor Hugo, s'y étaient opposés. Ils critiquaient sévèrement le Consul français, Bonaparte, Napo-le-con Bon-à-rien, comme on dit en Guadeloupe. Victor Hugo pour qui le nègre est inférieur, parce que dépourvu de capacités intellectuelles, vit sans doute dans le coup de Sonthonax quelque chose de conforme à la conception européenne des Négresses et Nègres, gens simples et partant inaptes à comprendre. Victor Hugo, comme les autres, était satisfait du résultat puisque ce fut le moment, celui de Toussaint Gouverneur, où il y avait moins de turbulences dans la colonie. On comprend la réticence de Napoléon Bonaparte à s'en défaire. Le Général à jamais Vainqueur du blancisme, Jean-Jacques Dessalines, qualifie ce triste moment de victoire du blancisme contre la Résistance, une victoire par de fausses paroles. 

Pourquoi Toussaint L’Ouverture? Toussaint était royaliste, affranchi et fervent catholique, la religion qui a ordonné l’invasion de la terre ancestrale et la mise en esclavage des Négresses et Nègres. Toussaint possédait, lui aussi, des esclaves, une récompense de son maître de Libertad. Alors Toussaint était un esclavagiste avéré. Un choix avenant par Sonthonax.

La république, en ayant pour père Toussaint L’Ouverture, est et demeure alors une colonie. Sonthonax a trouvé la recette miracle, celle qui a tout évincé pour garder Haïti dans le giron blanciste, aujourd'hui encore.


Il n'est pas difficile d'identifier les citoyennes et citoyens de la république, descendants et descendantes des soumis(e)s au blancisme et des milliers de combattants nègres dans l'armée de Napoléon Bonaparte. Les voici qui sont furieux à la lecture de cet article; les voici qui le méprisent même; les voici qui crachent leur venin sur Jean-Jacques Dessalines et moi, Sa continuité génétique et idéelle; les voici qui voient le pouvoir comme moyen de s'enrichir et d'abuser des autres; les voici qui se font absentes, absents devant la circulation de ce puissant texte; les voici qui crient à tout bout de champ que nous ne pouvons pas vivre loin du blancisme; les voici qui préconisent l'incapacité des Négresses et Nègres de se diriger; les voici qui préfèrent discuter d'autres préoccupations terre à terre, etc.

Cela explique bien de choses, tout d’abord, pourquoi les blancistes, ennemis inconditionnels de l’« Empire d’Haïti » et Son Fondateur, rendent continuellement gloire à Toussaint L’Ouverture, par exemple la France l’honore pour service rendu, Hillary Clinton, à l’occasion d’un premier janvier, l’a vanté pour avoir fondé Haïti, le Canada lui a dédié un parc municipal, etc., etc., etc., etc. Ces pays sont très actifs sur la scène politique haïtienne et pillent ouvertement les ressources. Et ce n’est pas tout. Les partisanes et partisans de la république exaltent avec excès Toussaint L’Ouverture. Ils s’identifient à lui et ne peuvent pas s’imaginer séparés du blancisme. C’est cela une colonie. 


La république est de toute évidence une colonie. Elle a rétabli l'ancien régime, 1) la classe des blancistes qui dominent en nommant et révoquant et à laquelle appartiennent toutes les ressources, 2) la classe des Affranchis, par l'intermédiaire de laquelle agit la classe des blancistes, jouissant des droits politiques et des droits économiques, 3) la classe des fils d'Africains, identifiée au Peuple de Dessalines, Peuple de l'Éternel Empire d'Ayti, laquelle classe n'a ni les droits économiques ni les droits politiques. On leur enlève leurs ressources, particulièrement leur or qu'ils et elles exploitent quotidiennement pour vivre, au bénéfice des blancistes. Ils n'ont pas de droits politiques non plus parce que, s'ils choisissent un leader pour défendre leurs intérêts, les classes des blancistes et des Affranchis conjuguées ne le reconnaissent pas. Les esclavagistes dénient leur choix sans avoir à s'expliquer parce qu'ils sont vus comme des gens du dehors. Ce qui n'est pas faux. 


Voilà, la même structure de domination. Le blancisme n'innove pas et il en est incapable.

Comme le stipule la seule et unique Constitution d’Ayiti, la colonie, c’est fini. 


Au rétablissement de l’Administration Impériale il y aura un grand nettoyage : la république s’évaporera et ses éléments, les gens qu’elle comprend, seront contraints à vider les lieux en direction des pays blancistes, notamment le Canada qui dispose de l’espace à cet effet, qui les accueilleront les bras ouverts.

L’exode sera massif et permettra la répartition encore plus avantageuse des ressources au Peuple Impérial qui en est le propriétaire exclusif, ce pourquoi l'Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines est physiquement assassiné, il y a deux-cents-dix ans cette année.


Deux-cents-dix ans, 17 octobre 1806 - 17 octobre 2016, pour le rétablissement de l'ADMINISTRATION IMPÉRIALE, c'est le temps de réagir et de chasser hors de nos murs ceux et celles, blancistes et exogénistes (les partisanes et partisans de la république), qui nous font incessamment connaître le pic des cruautés. 


S'il le faut, nous reviendront aux 380 000 habitantes et habitants selon le recensement commandé par l'Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines.


Nous l'avons, Notre Pays. Que les autres aillent chercher le leur ailleurs.    

Pour la Maison Impériale Dessalines

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans

7^e de la Génération du Couple Impérial,

Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, partant l’Empire Toya-Dessalinien, et spécialiste et théoricien de la science de la politique