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La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 p = g © Tous droits réservés


LE DEVOIR
PRISE DE POSITION ÉVIDENTE ET MALADROITE



q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é


L’article du Devoir, un journal canadien, est, de toute évidence, un obus lancé en direction de l’Empire d’Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, dans le cadre de la contre-guerre qui l’oppose au blancisme, prédateur à nul autre pareil, agent avéré des cimes de l’horreur sur la planète et surtout Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. 

I
Qu’un quotidien d’un pays blanciste tire à boulets rouges sur un peuple qui ne se laisse pas rayer, il n’y a là rien d’étonnant car la presse, dans ce monde étrange, est une presse-soldate, dont la fonction est de couvrir l’opération sinistre de l’Ange de la mort.

L’article du Devoir dont il est ici question est titré « Haïti Le vide politique suscite de grandes inquiétudes », jeudi 16 juin 2016. C’est là un énoncé asémantique. En effet parler du vide au sein du néant, et, en sus, là où le lieu est pleinement occupé, est certes une contradiction dans les termes. La vacuité du discours – parce que le discours n’est jamais en soi mais toujours par rapport à une extériorité; d’où sa complexité naturelle et son sens - débouche, sans doute, sur l’absence de signifié au niveau locutionnaire, malgré la disposition grammaticale des mots, comme au niveau illocutionnaire, son sens second. C’est un piège qu’on sait rarement éviter.  Cependant le « jugement », usage par infraction, n’est pas dénué d’intention. Cette intention compense sa pauvreté sémantique en lui accordant un sens extra-discursif, savoir contextuel. Ce que j’appelle le rationnel, dans la démarche hommale, acte de se donner un devenir effectif. Voilà ce que je veux mettre en relief ici. 

Tout d’abord il faut voir dans la publication du Devoir un soutien idéologique apporté à la république, qui, au vu et au su de tout le monde, est plus que jamais contestée parce que sans assise légale au Pays de Dessalines et qui, par le fait même, dépourvue de toute légitimité, dont Notre-Dieu, Bon-Dieu, soit Celui qui EST, et le Peuple, fruit de l’Ancestralité, sont le Principe conjugué, parce que d’elle jaillit la légalité. Pour le dire de façon canonique, il y a une interdépendance entre la légitimité et la légalité bien que ce ne soit pas réversible. Ce couple se dresse en obstacle invincible à l’institutionnalité de la république et en est alors le fossoyeur. Plus que jamais ses jours sont comptés. Il ne peut pas ne pas en être ainsi. N’étant pas doué de perfectibilité, l’Empire d’Ayti ne peut nullement accoucher de la république ni d’autres formes de vie collective politisée, d’ailleurs. Le grand réveil du Peuple de Dessalines a renvoyé le blancisme, principe de la république, à la case départ. D’où l’urgent besoin de propulser en avant-scène la république, cette coquille vide, une tâche à laquelle souscrit naturellement le Devoir.

Il est clair que, pour la direction du journal Le Devoir, force fait droit. Sa vocation, mise en lumière ici par sa prise de position, le clame tout haut. Il ne peut pas en être autrement pour celui ou celle qui voit la réalité à travers le prisme de l’idéologie blanciste. Mais le droit, à cause de son fondement éclaté et la terrifiante dictature qui en résulte – dans un monde où règne la propagande, il n’est pas donné à n’importe quel esprit de le comprendre -, n’a pas cours sur le Territoire Ancestral, Ayiti, où tout s’enracine dans une conception holiste du monde et partant de soi, la seule qui vaille à cause de son adéquation à la réalité. 

Aveuglé par la blancismité, automaticité instinctuelle de mort, l’auteur fait naturellement fi de cette difficulté insurmontable, attitude de tout prédateur, faut-il le souligner  - ici la Louperie, prédation blanciste -, pour se plier aux impératifs de son être enfermé en lui-même, en vue de poursuivre dans la droite ligne de pensée du droit par la force, une sauvagerie systématisée, afin de légitimer la présence et l’action d’une certaine association d’impitoyables bandits, divisée en deux groupes complémentaires, « communauté internationale », ordre des blancistes, et « Core group», toujours les mêmes, dans l’axe impérial à la faveur de la république squelettique et, en dernière analyse, à la prédation blanciste, son principe générateur.
II
Ce qui s’exonde en plus, c’est la préparation de la population, car l’article s’adresse aux gens d’ici, à l’imminence d’une action prochaine sur le terrain qui sera, bien sûr, menée par le principe du désordre, c’est-à-dire le blancisme. Celui-ci est présenté comme hostile à la violence et défenseur des intérêts des gens de là-bas qui ne parviennent pas à s’organiser en vue de la prospérité. C’est l’objectif qui est mis en avant. On voit pointer la silhouette du droit naturel d’intervention qu’il s’est donné dans de tel contexte pour remettre les choses en « ordre », un discours sans fondement, terne et vieilli depuis déjà belle lurette mais toujours tout neuf dans l’esprit des prédatrices et prédateurs coincés dans leur être chimérique.

Dans un tel contexte le rôle de la presse, on l’a vu, est de salir pour camoufler la croisade blanciste. Chose intéressante, elle utilise la parole comme arme non contre le peuple que la logique blanciste désigne comme proie naturelle mais contre ses congénères, concitoyennes et concitoyens du Canada. Pourtant la population n’est pas dupe, elle sait très bien ce qui sous-tend l’agression.  Elle soutient majoritairement les opérations de cet ordre à cause du pillage de ressources qui s’ensuit toujours, finalité immédiate. Elle espère toujours en tirer profit, elle aussi. L’arme de la parole s’impose pour deux raisons. La première raison est le partage disproportionné des fruits du vol, au mieux, du crime, ce qui peut occasionner une certaine dissidence au sein des semblants si les preuves sont éclatantes. La deuxième est la critique certaine des blancs-tout-court, farouches opposants et opposantes à l’idéologie blanciste. La tâche de la presse consiste précisément à placer ailleurs la raison de la violence, qui est de démanteler l’autre à son profit, pour ne pas menacer l’équilibre interne ou social, force incontestée et incontestable du blancisme.

L’intervention ne peut avoir lieu qu’à la condition qu’il y ait affrontement interne. Le prédateur à nul autre pareil, soit la Bactérie, sait comment s’y prendre. C’est sa noble profession. La stratégie à laquelle recourt la Bactérie mangeuse de Nègres et Négresses est la mise en place de deux groupes protagonistes, des gens qu’elle recrute au sein de ses dangereux séides. Elle en dispose présentement deux sur le terrain et ces sbires sont prêts à en découdre pour ouvrir la barrière au plus grand Mal qui soit à l’heure qu’il est, le blancisme, en vue du génocide d’un Peuple dont la finalité immédiate est d’être En Soi, Par Soi et Pour Soi. Ce qui est un crime impardonnable dans la logique de la Louperie, prédation blanciste.
Il y a actuellement plusieurs foyers de violence de cette sorte, tous initiés par le blancisme, élément déstabilisateur dans le monde, soit en suscitant la différence, soit en l’exploitant. Tout le monde le sait et en parle jour et nuit, excepté la presse. Cela en dit long. Alors transmettre les propos des acteurs relevant de cette infâme stratégie d’horreur continuelle est une prise de position sans ambages, ce en toute bonne conscience, en faveur de cet horrible état de choses rendant indigne la vie.
III
Le texte publié dans le Devoir est en tous points une campagne de désinformation, préalable nécessaire au pic de l’horreur habituel, parce qu’il projette sciemment sur l’écran mental des fanatiques du blancisme composant la vaste majorité de la population, gens ayant incessamment soif de l’écrabouillement des opposantes et opposants à la prédation, de quelque nature que ce soit, une image fondamentalement contraire à la situation qui prévaut en Ayti. Aux yeux du blancisme cette publication est un travail de première. Je n’en disconviens pas, suivant la logique de la chose. Cependant en quoi cela diffère-t-il d’une activité terroriste? Je laisse au Devoir le soin d’y répondre.

Tout d’abord ce qui se passe au Pays de Dessalines n’est pas, comme l’article le laisse clairement entendre, une question de vote populaire méprisé par un groupe de gens. Avant ce soi-disant vote il y a eu un ras-le-bol du Peuple Ancestral exprimé à travers un mouvement politique se présentant sous le vocable de Plateforme Pitit Dessalines, terme ne signifiant pas les descendantes et descendants ou continuité génétique de Jean-Jacques Dessalines mais les héritiers et héritières de certaines de Ses idées. Ce n’est pas nouveau dans l’histoire des deux peuples, l’Endogène et l’exogène, se trouvant sur le territoire ancestral parce que Dessalines n’a jamais quitté la pensée et les lèvres de Son Peuple. Il est même la personnification d’un des éléments constitutifs de notre être, toujours prêt à émerger. L’insertion de quelques idées propres au Plus Que Grand, Jean-Jacques Dessalines, suffit pour aller chercher la collaboration du Peuple de Dessalines, le Peuple que le blancisme a voulu marginaliser en propulsant en avant-scène la république, écran de fumée. Bien longtemps avant l’avènement de Pitit Dessalines, cela depuis quelques années, il y a la Famille Impériale, garante, légitimement et légalement, du maintien de l’Empire d’Ayti, qui, par Hrh Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Celui qui a accédé à la plus haute compréhension de la Dessalinienne – il est question de Celui qui est en train de répliquer au texte du Devoir -, a conceptualisé les démarches à faire de manière à permettre le rétablissement de l’Administration Impériale brutalement interrompue le 17 octobre 1806 par le parricide. Une œuvre colossale et de toute beauté, adaptée à la Grandeur inexprimable du Grand Peuple Nègre ainsi qu’à la situation du Peuple de Dessalines, Peuple à jamais Victorieux. Dans le monde, nécessairement en Ayti, il suffit de dire Jean-Jacques Dessalines pour remonter aussitôt à la genèse des faits car DESSALINES, le Messie, est la somme totale des Résistantes et Résistants à la Bêtise irrelative, toujours le blancisme. Il s’ensuit que les « élections présidentielles » de 2015 ont mis le blancisme devant le fait accompli, l’émergence cyclonique de Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand, Celui qui l’a mis (le blancisme) en porte-à-faux avec lui-même. Le blancisme pensait avoir affaibli ce Grand Nom, un Nom à nul autre pareil. Alors c’est la panique dans le camp de la Bactérie. Pourquoi ? Il a du flair, cet animal. Il voit que l’accession de Pitit Dessalines à la tête de l’attroupement, dénommé république, servira de tremplin au rétablissement de l’Administration Impériale parce que le Dessalines en nous ira sans cesse croissant.

Cauchemar, bien évidemment, mais pas encore outre mesure, on dispose des moyens de tout bloquer, croit le blancisme. Lorsque ce qu’il redoutait tant est arrivé, et il devait arriver, c’est-à-dire l’élection tout de bon de la Plate-forme Pitit Dessalines, le blancisme a fait comme à l’accoutumé, soit tricher, comportement propre à tout prédateur, toute prédatrice. Cependant cela ne passe plus comme une lettre à la poste, ce à quoi le blancisme ne s’attendait pas. Le Peuple de Dessalines, qui ne bat pas encore plein, s’y oppose farouchement. Alors la Louperie commence à comprendre la profondeur et l’ampleur, et surtout la postériorité, du réveil. L’enjeu n’est pas électoral mais gwqmunal, c’est-à-dire être En Soi, Par Soi et Pour Soi. Évident est le message : Fini, la colonie par la république. C’est cela l’ordre du jour au Pays de Dessalines.
IV
La direction du Devoir le sait fort bien parce que c’est, au dire de la population ayitienne, au Canadien Sylvain Côté que la « communauté internationale », problématique appellation, et le Core group ont confié le mandat de préparer ce que plusieurs appellent le « coup d’État électoral ». Le Canadien mandaté, disent les témoins, est à l’origine des fraudes massives aux élections dites présidentielles. La chose, le sale coup, éclatée au grand jour, le délinquant identifié, toujours selon la population, a pris ses jambes à son cou pour aller se réfugier au Canada, son pays d’origine.

En ma qualité de Le Prince de l’Éternel Empire de Dessalines, j’ai adressé une lettre au Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, pour réclamer une enquête publique, lettre qu’il a bien sûr ignorée. Ce qui constitue la preuve irréfutable de la participation officielle de l’État canadien dans le désordre institué en Ayiti et partant l’irrelative culpabilité du Premier Ministre. De tout cela j’ai personnellement instruit le journal le Devoir, comme bien d’autres. 

Le Canada s’est engagé dans ce jeu morbide en Ayti à l’aube même de l’Érection de la Nation Ancestrale parce qu’il s’oppose à la présence de toute Nation Nègre sur le continent Masuana, appelé Amérique.

V
L’article paru dans le Devoir, pour justifier l’offensive bactérienne qui se prépare, présente Ayti dans un décor misérabiliste et le blancisme comme un bon samaritain, « …. faible économie du pays le plus pauvre de la Caraïbe. …. budget des élections avortées …. largement financé grâce à l’aide des pays étrangers ». Ce qui ne se dit pas, et à dessein, le Pays de Dessalines regorge de ressources, parmi les plus rares, faut-il le souligner, et le blancisme, qui vit largement de ces ressources, s’oppose ouvertement à tout développement économique du Pays, lequel développement passe nécessairement par l’exploitation locale des ressources. C’est comme avoir son réfrigérateur rempli de toutes sortes de nourriture sans pouvoir s’en nourrir parce qu’on a une arme collée sur la tempe. Le bandit est ostensiblement le blancisme. Le blancisme pille quotidiennement les ressources du Peuple de Dessalines sous prétexte qu’elles sont à lui. Le Canada est l’un de ces pays que fait vivre involontairement Ayiti par ce moyen si vil. Voler ouvertement les gens que l’on déclare pauvres, non sans les ridiculiser, est un acte vertueux chez le blancisme. Voilà pourquoi le Devoir n’y voit aucun problème. Quelle morale, la morale des bandits de grand-chemin !


Ce qu’il faut particulièrement retenir de cette manière de présenter la situation prévalant sur le Territoire Impérial, c’est la vulgarisation de l’idéologie de l’esclave, génératrice du blancisme, idéologie selon laquelle le « nègre », parce qu’il n’est pas doué de facultés supérieures ou de toutes ces soi-disant facultés – la chose n’est pas tranchée -, est un sous-homme, soit être fait pour recevoir sa conduite d’un autre, se laisser diriger par un autre que soi. En d’autres mots, à cause de la pauvreté de ses facultés ou pour pallier à cette déficience, la nature, pour les uns, et le dieu du blancisme, pour les autres,  place le « nègre » sous la domination des blancs pour qu’ils le dirigent. Alors la situation dans laquelle se trouve Haïti  résulte de son insubordination.


VI
La fameuse publication du Devoir dramatise en ces termes : « L’Union européenne a d’ores et déjà décidé de retirer ses équipes d’observateurs électoraux d’Haïti ». Cela donne à entendre que la population d’Ayiti est alors abandonnée à son sort. Que c’est triste. On perd les expertises des grands blancistes, les mêmes, sans oublier le Core group et la communauté internationale dédiés à la même tâche, qui, au crépuscule de la dénonciation du « coup d’État par les urnes », pour reprendre le vocabulaire des gens concernés, criaient haut et fort que tout s’était bien passé, soit selon les règles de l’art, qui s’opposaient farouchement pourtant à toute vérification et qui viennent d’être mis hors d’aplomb à tous égards, notamment par rapport à l’honnêteté, par la publication des résultats de la Commission d’évaluation électorale faisant état de « fraudes massives », à titre d’exemple, le nombre de gens qui ont exercé leur droit de vote dépasse largement, dit-on, le nombre officiel d’électeurs et électrices, coup de génie – moi qui pensais ne pas être bon en maths -, sans oublier que le gagnant des élections dès le premier tour arrive en troisième position, ce qui l’exclut d’office du second tour. Gagnant ou perdant, il n’y a pas de second tour pour lui, une logique implacable. Étant professeur de philosophie, je suis à la hauteur de cette cohérence. La chose est rarissime au point que la commission d’évaluation électorale a annulé le scrutin, qui s'était bien déroulé selon les règles de l'art, au dire de la Communauté internationale, du Core group et des équipes d’observateurs électoraux de l'Union européenne. Vous en conviendrez avec moi, ce sont là des expertises nécessaires et indispensables, voire et surtout enviables, pour se débarrasser à peu de frais de ses adversaires. Point de doute les « équipes d’observateurs électoraux » de l’Union européenne était d’une grande utilité sur le terrain. Pauvres eux autres, ils ont mis en forme et ont administré un si beau coup mais, contrairement aux « autorités », la population du Pays de Dessalines n’y a pas donné caution. Qui plus est, il n’y a rien qu’ils puissent faire. Franchement fâchant. Que c’est triste Venise …..


Sainte-Marie, mère de dieux, priez pour l’âme de vos serviteurs dépassés.


Qu’est-ce qu’il leur reste à faire, ces pauvres Diables ? Se retirer la mort dans l’âme non sans nourrir, pendant leur ascension en enfer, là-bas, chez soi, le désir d’un retour « à l’ordre constitutionnel », qui n’est rien d’autre que l’ordre blanciste traditionnel où la Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres fait la pluie et le beau temps. Il n’y a aucune autre possibilité, j’entends par là l’autorité de la loi, parce que le blancisme est par essence non lié. Les nostalgiques.


Les équipes d’observateurs électoraux de l’Union européenne ne partiront toutefois pas bredouilles car, par leurs expertises inégalées et inégalables, ils ont réussi à garder loin de la population le rapport détaillé de leur science de coups fourrés afin de mieux rebondir si par malchance il y aura prochainement des élections.   

VII
En guise de conclusion
Certaines personnes, et elles sont vertigineusement nombreuses, conçoivent la vie comme une prédation dont elles sont les prédatrices, la raison d’être des autres. Point n’est besoin de dire qu’elles ont du même coup attribué la nature de proie aux autres. Il découle de cette conscience que le soi est la finalité de la vie et qu’à ce titre il détermine l’action, soit le bien et la mal. Est mal l’action qui ne favorise pas le soi, est bien celle qui lui est avantageuse. La morale, qui est l’art de vivre en accord avec le principe premier, ici le soi, est subjective, donc kuku, c’est-à-dire soi, encore soi et toujours soi.


Quand on pense que la prédation consiste à se nourrir des autres, ses semblants, pour obtenir ce dont on a besoin pour continuer à être, le prédateur ou la prédatrice vit en toute bonne conscience de la mort de la proie, soit son expulsion de la vie ou de la catégorie des ayant droit à la vie. C’est cette pensée que j’appelle homme et qui a cours sur la planète terre


Là où les hommes, les prédateurs et prédatrices naturels, se constituent en groupe, la nature de prédateur et prédatrice y revient, et celle de proie aux autres. Le transfert ne modifie en rien le contenu d’homme de chacune-chacun car le groupe est l’ensemble des gens pris séparément.


Il y a, de toute évidence, beaucoup à dire là-dessus mais je me contenterai de souligner que la désinformation en vue de la prédation, ce que je dénomme Louperie dans ce cadre-ci, est un comportement moral. L’organe de presse blanciste se plie ainsi à une obligation morale. 


Le puissant article paru dans le quotidien Le Devoir le jeudi 16 juin 2016 est la preuve irrécusable que la presse s’acquitte bien de sa tâche.


La presse canadienne, à l’instar de la grande majorité du peuple, a du sang nègre sur les mains.


C’est effrayant et honteux !    
    

Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, partant l’Empire Toya-Dessalinien, et spécialiste et théoricien de la science de la politique






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