La politique une escroquerie avérée, prenez bien note
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines
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La politique une escroquerie avérée
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Sachez que la politique est pure escroquerie.
Tout discours politique, quelle que soit sa nature, soit théorique ou
pratique, est en soi vide et a pour fonction de faire obstacle à votre aptitude
à comprendre en ennuageant votre sensibilité et en truquant votre capacité de
rétention en vue de vous amener à vous dresser contre vous-mêmes, c’est-à-dire
ce qui est bon pour vous, bref, votre intérêt.
En humanité, lieu de la création de l’homme, être enfermé en lui-même,
on ne peut pas procéder autrement pour vous vaincre car, si paradoxal que cela
puisse paraître, vous êtes la seule et unique porte d’entrée de vous-même et la
seule et unique voix à laquelle vous vous soumettez. Pour le dire de façon
canonique, on vous transforme en votre propre oppresseur en politique.
Dans son premier moment la politique, structure de la substance de
l’homme, pensée-être ou idée-être, donc une vacuité êtrale, soit une illusion,
est une mauvaise intelligence de soi-même, la production d’un mauvais calcul.
Pour opacifier cela, ce qui est un impératif de la réussite, elle fait appel,
dans son second moment, à un fondement chimérique, la divinité (la fausse car
le même appelle le même) et la raison. Ce n’est pas ce qu’on dit de la divinité
et la raison qui est la valeur fondamentale en politique mais le fait que ce
sont deux idées universellement acceptées. On s’en sert comme appas, faire
accepter l’inacceptable, autrement dit, filer aux gens, à travers les idées de
divinité et raison, ce qu’ils n’accepteraient jamais autrement. Une exploitation
de la croyance au désavantage des gens.
En politique, discours ou fait, on s’approprie la vertu de la divinité
et la raison pour la finalité propre de la chose, la politique elle-même. Le
pouvoir se fait divin, car tout pouvoir, dit-on, vient de dieux, et, par
conséquent, s’impose en Super Raison parce qu’il verse, par la législation,
dans la raison de chacune-chacun leur contenu. Le pouvoir, par sa divinité qui
est l’acte de dicter aux autres leur conduite, s’érige en obstacle
infranchissable à la raison préalablement définie comme capacité de comprendre
par soi et de se gouverner.
La politique est échec à la
divinité et la raison au profit de l’hommalité, vision hiérarchique de la
réalité. Il s’ensuit que la base immédiate de la politique, savoir dieux et
raison, est une coquille vide.
Voilà pourquoi Jean-Jacques Dessalines, Éminent savant, à inviter son
peuple à marcher « sur d’autres traces », lesquelles sont sans détour
l’IMPÉRIALITÉ, lieu du développement de toutes et tous indistinctement.
La
politique, dans le sens le plus complet du mot, est comme une chambre ou pièce
étroite qui ne peut invariablement accueillir que très peu de gens au sein de
la population. Le reste en est son irrelative victime. Seul(e)s les non
averti(e)s, les médiocres et les criminel(le)s peuvent opter pour la politique.
En sus ce jeu sinistre est complètement dominé par le blancisme parce
qu’il est l’auteur de sa nouvelle mise en forme. Qui y entre meurt
nécessairement, c’est un jeu sans issue.
Place à
l’Éternel Empire Dessalinien
Pour la Maison Impériale Dessalines
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse
Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, partant
l’Empire Toya-Dessalinien, et spécialiste et théoricien de la science de
la politique
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