L'État démocratique, une dictature sauvage au plus haut point Place à l'Empire de Toya-Dessalines Texte renforcé
LES ÉTATS DÉMOCRATIQUES
SONT, par leur essence, DES ASSASSINS
q = an
u = ou
w = r
Ä = on
r =
ê
c = in
e = é
h = ch
Gardons-nous de rendre directement
responsables les policières et policiers des assassinats des gens de tout
teint, et particulièrement des Négresses et Nègres. Ce sont des exécutions dont
l=État démocratique est directement
responsable.
L=une des propriétés de l=État
démocratique est le Tueur. C=est un type d=État
constitutionnellement meurtrier, assassin. En mettant les policières et
policiers, qui n=en sont pas moins coupables, en avant de
la scène, on opacifie involontairement la réalité démocratique, qui est un
système tyrannique au plus haut point ou dictatorial extrêmement sauvage. Il
s'agit d'une mauvaise compréhension de la démocratie, qui est un système archi
complexe, en ne voyant que le comportement policier. Je m'explique.
Ce à quoi nous assistons présentement dans
le mondeB le mauvais traitement infligé aux
citoyennes et citoyens, les assassinats publics et froids aux États-Unis comme
au Canada, plus précisément dans la province du Québec - n'est pas une affaire
de POLICE mais d'ÉTAT, dont le fondement est le POUVOIR. Ce n'est pas la POLICE
qui assassine les gens, plus particulièrement les Négresses et Nègres, mais
l'ÉTAT, le POUVOIR. La police est un exécutant, le bras assassin de celui-ci.
Le corps policier est soumis à la loi. Un policier, une policière, ne peut pas
y déroger sans faire face aux conséquences, qui accompagnent la loi. Les
assassinats systématiques auxquels nous assistons sont directement ordonnés et
encadrés par l'ÉTAT au moyen de la loi, expression de sa VOLONTÉ. Dans le cas
contraire les policiers et policières feraient face à la loi. Non ils sont dans
leur droit, droit politique, lequel est énoncé par le pouvoir.
Ce qu’il faut savoir, c=est
que, dans les États démocratiques, l'escadron de la mort, une propriété
nécessaire de cette sorte de collectivité, est les corps policiers, les juges et
les forces armées, qui n=agissent pas sous la puissance de leur
volonté mais l’ordre du POUVOIR, un cadre prédéterminé dont l’unique
bénéficiaire est le POUVOIR lui-même. La violence est le moyen par lequel le
POUVOIR s’institue et se maintient. En démocratie les gens n’ont pas de droits
naturels, ils y ont renoncés au profit du pouvoir. C’est la pensée maîtresse
préalable génératrice du système démocratique. Les droits des citoyennes et
citoyens sont des droits politiques, c’est-à-dire énoncés par le POUVOIR. Et
ces droits ne protègent pas leur corps ni leur vie contre ce dernier. Il est
naturel de fuir quand on se sent en danger. Même les bêtes prennent la fuite
quand il y a un obstacle à leur mouvement. Cela est tout à fait naturel mais le
POUVOIR DÉMOCRATIQUE n’en fait pas un droit politique. Dans le cas contraire
les corps de police peuvent appliquer la peine de mort sur le citoyen ou la
citoyenne, cela impunément. Les juges vont dans le même sens. Il n'y a pas de
peinière pour ces meurtres parce qu’ils sont légaux. Là où la police ne
parvient pas appliquer la loi, qui est, une fois de plus, la VOLONTÉ du
POUVOIR, les juges punissent la personne pour avoir fui. Quand on parle de
légalité, il est question de la VOLONTÉ du POUVOIR formulée par les
gouvernantes et gouvernants, des gens comme vous et moi. Il n'y a donc pas de
faute commise. Quand un agent ou une agente comparaît devant un tribunal,
premièrement c’est du théâtre sinistre et deuxièmement pour s’assurer que le
mauvais traitement ou le meurtre est conforme à la prescription du POUVOIR non
pour le mauvais traitement ni l’assassinat. Cela s=explique
par le fait que l'État démocratique a droit de vie et de mort sur tous les
citoyennes et citoyens. Autrement dit, les citoyens et citoyennes ne
s’appartiennent pas mais à l’état, de la même façon que ceux et celles que ces
mêmes gens appellent les « esclaves ».
Au Canada, un des États démocratiques,
donc une des dictatures démocratiques, on exécute les gens comme aux
États-Unis. Partout c'est le même scénario. L=une des provinces du Canada qui sont
friandes de cette sorte d'assassinat est bien sûr le Québec, c=est-à-dire
le SOUS-ÉTAT et le GOUVERNEMENT QUÉBECOIS. L'État québécois assassine les
citoyens et citoyennes, quel que soit l’âge, bébé ou adulte.
Pourquoi ce comportement des États
démocratiques, se demandera-t-on ? La réponse est simple. Le droit de vie et de
mort sur les citoyennes et citoyens de ce type d'État est jugé naturel et
trouve sa justification dans les principes de son fondement, soit l'homme
disparate, individu jouissant, par le droit naturel, d'indépendante et égale
liberté, c'est-à-dire des « libertés absolues ».
Ce
qu'il faut savoir de cette anthropologie pour bien comprendre tout cela, c'est
qu'un tel individu ou homme - les deux termes sont interchangeables - a
naturellement droit de vie et de mort sur les autres. Les hommes ou individus,
en se constituant en société politique, inventent le POUVOIR auquel ils
transmettent tous leurs « droits naturels », y compris le droit de
vie et de mort. C'est désormais le POUVOIR qui jouit de ces droits dits
naturels, y compris le droit de vie et de mort, sur tous et toutes. Les bras
armés de l'ÉTAT, dont le POUVOIR est l'essence ou la substance, sont les forces
armées et les corps policiers. Autrement dit, l'ÉTAT exerce son droit de vie et
de mort par l'intermédiaire de ces institutions de l'INSÉCURITÉ PUBLIQUE, donc
de la MORT avant le temps.
Bien sûr, quand on est policier ou
policière, on sait qu'on est appelé(e) à tuer, assassiner impunément. Si on est
là, dans les corps de la MORT, c'est qu'on accepte la situation. On n’y voit
aucun inconvénient. Il y a alors une identité entre le soi et cet élément de l=essence
du POUVOIR. Dans le cas contraire, on abandonnera l=institution.
On est donc tortionnaire, assassin, tueur ou tueuse au même titre que l'ÉTAT.
L'erreur
qu'il ne faut pas commettre, et que l'on commet malheureusement tous les jours, c'est de lier directement et uniquement
les policières et policiers aux assassinats comme aux mauvais traitements. Cela
a pour conséquence immédiate d=opacifier le premier auteur, c'est-à-dire
l'ÉTAT, lequel est personnifié par les membres du GOUVERNEMENT. Alors les
membres du GOUVERNEMENT assassinent les gens au nom d’un certain principe,
artificiel certes, qui fait voir leur nature. Pour le dire d=une
autre façon, les GOUVERNANTS et GOUVERNANTES sont IRRÉFUTABLEMENT des
ASSASSINS.
L'autre point. Les gens qui, depuis
toujours, sont les principales victimes du droit naturel de vie et de mort dont
jouit l'ÉTAT DÉMOCRATIQUE sont les Négresses et Nègres. Il en a été ainsi avant
même l=avènement de l=ÉTAT
DÉMOCRATIQUE. C’est le même principe qui est à l’origine de l’ÉTAT DÉMOCRATIQUE
qui est responsable de ces assassinats. Que l=on sache bien que le spectacle de tueries
de Nègres et Négresses auquel il nous est donné d'assister presque
quotidiennement, nous qui vivons présentement, quel que soit notre teint, n'est
en rien nouveau. Il se passait la même chose, mais beaucoup plus massivement,
voire VERTIGINEUSEMENT MASSIF, du temps des plantations. Nous sommes dans la
même logique, une logique d=assassinat des semblants ainsi que de l=autre,
une logique irréversible, à cause du socle de l=ÉTAT, soit l=homme ou l=individu. Dans l=esclavagisation,
ce sont les colons et les troupes coloniales qui exécutaient les Nègres et
Négresses, des gens de tout âge.
Depuis plus de cinq cents ans, les
BLANCISTES (États et simples citoyens et citoyennes) nous ASSASSINENT
spectaculairement, NOUS, les Négresses et Nègres - cela, au nom de dieu, le
dieu de l’homme, et des DROITS DE L=HOMME depuis le dix-septième siècle -, et
interdisent aux BLANCS-TOUT-COURT, les gens qui n=adhèrent pas à l=idéologie
blanciste, de les critiquer sous peine de leur infliger le même sort.
L=ÉTAT DÉMOCRATIQUE UN MEURTRIER D=ESSENCE
!
Pour une nouvelle planète terre
http://youtu.be/BdMNHtwT8Us
NOUS SOMMES À L=ÈRE DESSALINIENNE
Plus que jamais la terre a soif de la
Dessalinienne
Place à l'Empire Dessalinien pour le respect total-capital de chacune-chacun
Hrh Prince Tiécoura Jean Dessalines D=Orléans
7ème de la Génération de Jean-Jacques
Dessalines et de Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur,
Théoricien de la politique
Et spécialiste de la science de la politique
c.c.
Gouvernement du Canada et gouvernement du Québec, la Presse (parlée et écrite),
les réseaux sociaux, etc.
Commentaires