Comment les adeptes de la politique-pratique vous protégeront-ils de la Louperie, prédation blanciste






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LE FONDEMENT SECOND DU BLANCISME 
ET LA LOGIQUE DE LA LOUPERIE, PRÉDATION BLANCISTE



q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é


Le blancisme tue inévitablement parce qu’il se conçoit comme prédateur naturel. Il en est ainsi parce qu’il est homme dans tous ses détours. Celles et ceux qui marchent avec lui ne le sont pas moins. Le même appelle le même.


Le savoir n’est pas à la portée de tout le monde. Ce n’est pas une question ontologique mais de condition sociale. Nombreux sont-ils, ceux et celles qui discutent de la politique mais très peu de gens en ont une idée claire et distincte. C’est franchement un gaspillage d’énergie et par conséquent une perte de temps.

Le concept de politique n’est pas arbitraire mais le décalque de l’homme, plus précisément sa substance, soit ce qui fait de lui ce qu’il est. Cette science qu’on appelle anthropologie, une conception hiérarchique du réel, notamment de soi, est le premier fondement du blancisme, idéologie justifiant la mainmise de l’un ou d’un petit groupe sur les autres pour être ce qu’on prétend être, parce qu’il (le blancisme) se définit comme homme exclusif.

Le fondement immédiat du mode d’être dans le monde du blancisme, c’est-à-dire la politique-pratique ou la praxis de l’hommalité, est une anthropologie éclatée, soit une conception singulière ou « individuelle » de l’homme, pour reprendre une terminologie de la science de la politique ou la philosophie politique. L’homme est réduit au singulier agissant et n’a aucun lien d’ensemble avec les autres. L’homme ainsi défini est un monde de gens disparates, sans dimension universelle interne. Dans ce monde il n’y a que des semblants.

Dans l’univers hommal il y a une norme, une seule, le soi, communément appelé droit de vie ou élan vital ou amour de soi. Le droit de vie ramène tout à soi, et à soi seul. Alors la norme de la vie dans l’hommalité est impitoyable. Pour continuer à demeurer dans l’être, chacune-chacun se nourrit de la vie des autres, c’est-à-dire l’empêcher de vivre proprement. Dans le vocabulaire des hommes, cela s’appelle prédation naturelle.

Puisque la norme est telle, la prédation, qui est de se nourrir de la vie des autres, est le fondement de la morale et la morale fonde à son tour la politique-pratique ou la société, la politisation, l’humanité, etc. la loi morale comme la loi positive (politique) ont pour finalité réciproque la prédation, acte de vivre de la vie des autres.

La politique-pratique est la réglementation de la prédation, c’est-à-dire pourquoi, quand et comment s’accaparer de la vie des autres pour persévérer dans l’être, savoir rester en vie.

Ainsi la politique-pratique se présente comme le plus sûr moyen de dévorer les autres à son profit (personnel).

Ce match est une démocratie – il s’agit là d’une amélioration de la prédation, vielle de plusieurs millénaires, depuis le dix-septième siècle avec l’entrée en scène de l’anthropologie des droits naturelles initiée par le philosophe anglais, Thomas Hobbes - parce qu’il est ouvert à toutes et tous.

Sans l’ombre d’un doute la politique-pratique est une sauvagerie en système et nécessairement un jeu de mort.

Cela explique pourquoi le blancisme ne se gêne pas de piller les ressources des autres, ressources sans lesquelles ils (les autres) ne peuvent pas vivre, et pourquoi aussi il est les tue s’ils s’érigent en barrières devant lui en recourant à l’embargo, aux guerres, aux affrontements internes, aux maladies de toutes sortes, aux épidémies, notamment le cancer fulgurant, l’Ébola, le SIDA, le choléra, les cyclones et les tremblements de terre artificiels, etc.  

La question que, vous, vous tous et toutes qui ne sont pas du groupe blanciste, vous devez poser aux gens, des prédateurs et prédatrices au même titre que le blancisme, qui viennent vous parler de la vie politique à l’ombre du blancisme, comment feront-ils pour ne pas être gobé par ce prédateur à nul autre pareil ?

Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,

Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, partant l’Empire Toya-Dessalinien, et spécialiste et théoricien de la science de la politique

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