TEXTE AMPLIFIÉ ICI DESSALINES RÉFLEXIONS EN CE 20 JANVIER 2017, DOUBLE ANNIVERSAIRE : 20 JANVIER 1758, IMMOLATION DU GRAND RÉSISTANT FRANÇOIS MAKQDAL PAR LA FRANCE
Cette étude si pointue est une courtoisie de la Maison Impériale Dessalines et s'inscrit dans la contre-guerre que mènent nos Ancêtres, depuis la première razzia, comme la Distinguée Famille Impériale d'Ayiti, depuis le parricide, le 17 octobre 1806, contre l'hommalité et toutes formes de prédation qui en découlent, surtout le blancisme, sa plus haute expression et verte épidémie. Le blancisme, civilisation de la criminalité positive, est une section du chapitre de l'hommalité dans l'existentialisme vudun, dont l'auteur est HRH Weber Tiécoura Dessalines D'Orléans Charles Jean Baptiste, Le Prince de l'Éternel Empire Toya-Dessalinien Déployé, et la horde républicaine ou le peuple exogène d'Ayiti, qui s'y inscrit, en est un paragraphe. Tout ce qui est dit plus bas, dans la Lettre, ce dans les moindres détails, est tiré de la pensée politique exposée dans la philosophie existentialiste vudun du Prince Tiécoura. La campagne de contre-violence de la Famille Impériale est nourrie et salutaire et déjà a débouché sur le Rétablissement de L'Administration Impériale le 17 octobre 2016, deux-cents-dix ans plus tard. Ce n'est pas son seul objectif. Elle vise aussi à faire échec total-capital à la pratique blanciste de se réintroduire, tôt ou tard, dans les Nqh⊗, soit par la cruauté ouverte ou par ruse, comme celle de la horde républicaine, pour bloquer l'évolution positive de la Victoire, qui est sa chute spectaculaire aux yeux du monde, ce qui met aussi en relief l'illusion de sa substance idéologique. Comme tout animal de proie traqué est cent-une fois plus violent, le blancisme ne fait pas exception. Aussi les caméras de l'Empire s'ouvrent sur lui et le projettent sur l'écran de la télévision des peuples, notre indéfectible soutien dans cette lutte contre la Bactérie mangeuse de Négro-jelefwennes et Négro-jelefweens. Dessalines pi wrd! le jeudi 20 janvier 2017
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = f © Tous droits réservés
La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = f © Tous droits réservés
ICI DESSALINES
RÉFLEXIONS EN CE 20 JANVIER 2017,
DOUBLE ANNIVERSAIRE : 20 JANVIER 1758, IMMOLATION DU GRAND RÉSISTANT FRANÇOIS
MAKQDAL PAR LA FRANCE
ET 20 JANVIER 1802, ARRIVÉE DE L’EXPÉDITION
DE NAPOLÉON BONAPARTE EN AYTI,
TERRE ARAWAK, PRÉLUDE À LA
NAISSANCE DE L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYITI
POUR L’ÉTERNITÉ DE LA GRANDE
VICTOIRE,
L’ADMINISTRATION IMPÉRIALE RÉTABLIE
: GESTION DE SOI PAR SOI ET NÉCESSAIRE COUP DE BALAI IRRELATIF
PARTAGER MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
UN PEUPLE, UN PAYS, UN EMPIRE
ENRACINÉS DANS L’ANCESTRALITÉ : FORCE DE VIVRE ET FORCE DE VAINCRE.
EST À JAMAIS VAINCUE LA PRÉDATION
On parle un peu partout, et de plus en plus, du
Rétablissement de l’Administration Impériale. Plusieurs, sans le vouloir, ne
remontent pas encore le fil de la chose même si cela fait surgir une lueur
d’espoir. L’Empire d’Ayiti ne va pas sans une décharge émotionnelle, le pic de
l’horreur qui était le quotidien de nos Nobles Ancêtres, ni leur Résistance
épique, la Victoire incisive et décisive sur le plus grand Mal qui soit, ni une
projection glorieuse, la vie bonne, en accord avec notre être ofowu, le mun. L’Empire
est le souffle de notre être, malgré tout, pour force gens, la voie conduisant à l’Administration
Impériale Rétablie n’est pas pleinement sensible.
Cela se comprend parce qu’ils et elles sont sous
l’effet de deux-cents-dix ans d’obscurité dense et tumultueuse. On a perdu le
cap quoique l’Empire bouillonne sans cesse en nous.
Pourtant la situation est, depuis toujours, on ne peut
plus claire et tranchée. La confusion chez ces personnes, vivant à proximité
des protagonistes de la république, s’explique par le fait que ceux-ci nagent
dans des eaux boueuses sans la conscience de la condition qui est leur,
laquelle condition est originaire de
l’amateurisme politique qui émane de l’absence de science de l’être, la
situation prévalant dans le monde et la chose politique elle-même. Le
remodelage de leur animalité et leur raison par le blancisme, et les œillères
qu’il implique, est la cause de cet état de choses. Une telle situation ne peut
pas ne pas ennuager le phénomène. C’est pourquoi les gens n’arrivent pas à le
voir, le phénomène, avec netteté. Et cela a forcément une incidence sur l’Empire, leur
mode d’être dans le monde sensible.
Il suffit d’y faire le ménage pour qu’enfin ce qu’on
croyait être un mur noir se dissipe et qu’on appréhende sans difficulté aucune
le lieu de l’Administration Impériale Rétablie.
1
Au préalable il faut savoir que les choses, bien
qu’elles aient une origine commune et qu’elles se ressemblent dans certains
cas, diffèrent des unes des autres et, dans plusieurs cas, se distinguent des
unes des autres. C’est ce qui explique leur nom propre. Un manguier n’est pas
un pommier, ni Jacques n’est fido, ni fido n’est gros-toutou, ni Pierre n’est
Jacques, ni Jocelyne n’est Lysane ni un chevreuil n’est un
cabri. Pourtant ce sont tous des êtres vivants et
plusieurs d’entre eux sont doués de sensibilité, ce qui fait d’eux des animaux.
Leur particularité, ainsi que leur singularité, est tributaire de leur cause,
ce qui les produit, et leur essence, ce sans quoi ils ne sont pas ce qu’ils
sont. C’est la règle. L’acte de penser consister à tout découper afin de tout dénommer
par leur spécificité et leur unicité. Ce qu’il faut retenir de tout ça, ce
n’est pas parce qu’il y a une ressemblance entre deux choses qu’elles sont
pareilles ou les mêmes ni une ou deux propriétés entre deux éléments que l’un
peut passer pour l’autre. Cela débouche sur l’objet de ma préoccupation, une
république n’est pas un Empire. Pour qu’il y ait identité entre les deux, il
faut que la cause et l’essence des deux soient pareilles. Tel n’est pas le cas,
l’appellation même donne déjà un indice. Il y a plus. Pour spécifier mon sujet, il n’y a
aucun lien entre la républicaine d’Haïti, une horde, et l’Empire d’Ayiti.
1, 1
Durant trois siècles nos Ancêtres ont lutté contre le
blancisme, l’envahisseur. Je parle, bien sûr, de l’Île d’Ayiti, là où une
partie de nos Ancêtres est implantée. La Résistance a une cause, GwqmrtLa,
Notre Dieu, Bon Dieu et la Gwqmunalité de notre être munal dont Il est le
Producteur, et une essence, l’Ancestralité, laquelle est une vision du monde,
de la cause, et un mode existentiel, façon de vivre, se vivre en tant produit
de la cause. L’Ancestralité est un ensemble de théorèmes tirés de la cause et
des inventions intégrées ou conformes aux théorèmes. L’Ancestralité est alors le
fruit de la pensée, de l’acte de bÄnqyer,
qui est formé d’une foule de pensées ainsi que du support matériel de
celles-ci. Par exemple, n’être qu’avec les autres (un soi collectif ofowu), la nécessaire
prise en charge des uns des autres, la solidarité munale effective par
l’institution familiale, celle du voisinage et celle de munpa, l’objectif lakortal
(ordre du Nous) de la famille, la forme des relations au sein de la famille, la
collaboration collective globale en vue du parachèvement du munal, la musique comme
voie de la communication profonde et collective et les instruments de musique, le
Guide de la collectivité et son objectif ou ses responsabilités communautaires
(une sorte d’alter ego pour les membres), la Un-ité comme mode de relations
entre le monde visible et le monde invisible, etc.
2
Comme d’autres Résistantes et Résistants d’ailleurs
nos Ancêtres de l’Île d’Ayti, sous le Guide de l’Invincible Général
Jean-Jacques Dessalines, ont vaincu le Mal blanciste et ont, par l’organe du
Général Vainqueur, érigé la NqhÄ le 29 novembre 1803, au
Quartier-Général, la Ville de Dessalines, NqhÄ à
laquelle ils donneront le Nom d’Empire d’Ayiti. L’Empire d’Ayti, rappelons-nous
ce qui est dit ci-devant au sujet de la différence et la distinction entre les
choses, est une NqhÄ parce qu’elle a pour cause la Cause et l’Essence de la Résistance et une
essence particulière qui est le Guide Jean-Jacques Dessalines, la Somme totale
de trois siècles de Résistants et Résistantes par la consécration de tout son
être à la noble lutte, une continuité génétique et idéelle – Il faut ajouter au dernier prédicat le retour de
François Makqdal, prédit par Makqdal lui-même, soit 20 janvier 1758 et 20
septembre 1758 -, le Mandataire sui generis, le Messie par les phénomènes
positifs de l’auto-conservation du La, ce qui fait de Lui (Dessalines) le porteur du lakort
munal, soit sans nuances épidermiques dans un contexte où la norme est la
discrimination par les caractéristiques différentielles observables, et le
Vainqueur par décision sans appel, ce qui Lui vaut l’Éternel Nom de "le Vengeur
et le Libérateur" par le Peuple-mandant et à qui vient naturellement le titre
d’Empereur. Par la pensée de Couple, signe de Perfection et Génération, qui
cimente l’Ancestralité, Sa Compagne Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur, est
tout bonnement l’Impératrice, les Enfants Princesses et Princes et le Peuple
enfants de l’Empereur. Et le Blrz, son plus Grand Bien, de Sa Majesté
Jacques 1er en tant qu’Empereur ou Guide réside dans le blrz de l’Ensemble Impérial
dans lequel Il EST. Ce n’est pas là une subordination, un contresens dans ce
contexte, de l’Empereur à la NqhÄ mais une
interpénétration irrelative des deux éléments générateurs de l’Empire. La
dernière propriété de l’Essence Impériale est son incessibilité par l’Impérialité
(leur intégration) de la Famille génétique de l’Empereur Dessalines, Couple et
Enfants, comme Gardiens et Gardiennes de l’Institution – c’est cela le rôle des
Princesses et Princes -, et par la nomination du Successeur de l’Empereur par
l’Empereur, désignation qui forcément, par l’implacabilité de la logique de la
Chose Impériale, se fait sous l’égide de la Cause et Essence premières et
l’Essence particulière, une chose, pour ce qui est de cette dernière, qui se
complète ou se parachèvement en se roulant sur elle-même, soit vivre
d’elle-même ou en soi. L’Essence de l’Empire d’Ayti est quelque chose de
massif. Cela fait de l’Éternel Empire d’Ayiti, Empire de la Gwqmunalité, une
forteresse imprenable. « Le sort des peuples ingrats » n’évoque pas
la fin possible de l’Empire pour cause d’infraction mais les tourments que cela
entraînerait, lesquels tourments dévoreraient les gens. Il est question des
gens non de l’institution fortement et irrémédiablement enracinée dans la
légitimité, soit la Divinité, et la légalité, laquelle est la continuité de la
légitimité. Le fait que ce soit les gens, non l’Empire, qui seraient frappés
consolide Icelui et, du même coup, met en lumière sa pérennité. Il faut y
comprendre que L’Empire résiste à l’infraction.
2,1
Ce qui distingue les Ancêtres des féroces prédateurs
et prédatrices blancistes, c’est le caractère éclaté de leur monde, une foule
de kuku, soi, encore soi et toujours soi, des êtres disparates, sans dimension
universelle, des gens profondément ancrés en eux-mêmes, dont la vision du monde
est de se créer ou se bailler un devenir effectif en soumettant les autres à
soi dans l’intérêt exclusif et irrelatif de soi. Ce principe anthropologique
est à l’origine de ce qu’il convient d’appeler le pouvoir, une force à vocation
de dompter, subordonner, par le siège de la raison et la sensibilité, une
nouvelle substance hommale. La genèse du pouvoir est la vision hiérarchique
constitutive de la nature mentale de l’homme. C’est pourquoi la première collectivité
politique se fonde autour du pouvoir de l’un, c’est-dire-du prince, le
conquérant. Plus tard, sans changer de nature et fonction, le pouvoir, comme
principe générateur de la vie-collective-politisée, la nation ou l’État, se
donnera un nouveau fondement, les « individus », via le renoncement à
certains droits, appelés droits naturels de l’homme, et l’approbation par le
vote, générale nécessaire au début et majoritaire par la suite, système dénommé
démocratie, soit le pouvoir par soi dont la fonction est de créer un lieu
social où chacune-chacun, tel que défini par la nouvelle anthropologie des
droits, pourra, par le droit de liberté, facultés intellectuelles, entreprendre
en vue de la possession totale qui donnera droit au pouvoir de l’un, tel que mis
en place par les faits de l’histoire et consolidé par la science de la
politique, soit la philosophie politique. Faut-il le souligner, le pouvoir
démocratique n’est pas en soi populaire mais celui des individus, membres véritables
du match social. Cette doctrine politique initiera une révolution
intellectuelle comme une révolution violente, pour reprendre le vocabulaire de
la discipline, c’est-à-dire affrontement par les armes, contre la domination héréditaire
ou génétique déterminée par la divinité de l’homme, dira le Messie Jean-Jacques
Dessalines. Le lieu social est le match dont l’objet est
production/consommation. En somme chez l’adversaire tout tourne autour de la
domination par le commandement, dicter aux autres leur conduite, et la
possession, mainmise sur ressources et richesses. La démocratie, qui s’est
érigée en système, est la porte d’entrée au jeu sinistre du pouvoir de l’un. La
société des droits est un terrain sur lequel de féroces prédatrices et
prédateurs affrontent de féroces prédateurs et prédatrices. Elle parcourt la
terre afin de dévorer d’autres vies. C’est un duel de la vie puisqu’il s’agit
d’engloutir les autres vies au profit de la sienne propre. C’est une sauvagerie
en système car le crime, l’acte de la prédation, est utile et nécessaire. La
criminalité n’est alors ni bonne ni mauvaise en soi. C’est la loi qui détermine
le bon et le mauvais crimes par son efficacité et son inefficacité. C’est ce
qui explique, par exemple, le massacre moral et le massacre légal qui font, chacun, l’objet d’une grande gloire, d’une grande fierté, de grandes
réjouissances et de grandes conversations civilisées. Le blancisme est le règne
de la prédation positive.
2, 2
Le blancisme, l’adversaire, par identité de nature, soit
l’hommalité, se prolonge dans notre sein par la classe des affranchi(e)s,
hommes et femmes de couleur libres ainsi que noir(e)s libres, les vaincu(e)s de
la Louperie, prédation blanciste. La prise est minime mais elle est réelle et extrêmement dangereuse.
À la chute du blancisme la classe des vaincu(e)s de la
Louperie veut tout naturellement instituer la sauvagerie en système sur notre
terre ancestrale. Elle bute contre l’intégrité et invincibilité de l’Éternel
Empereur d’Ayiti, Jacques 1er. Étant des criminel(le)s de constitution,
quoique mentale, les vaincu(e)s de la Louperie concevront tout bonnement le plan de l’assassiner. Cela ne pose
aucun problème de conscience morale ou collective car ils ne sont pas soumis à
la loi, de quelque nature que ce soit, morale ou artificielle, énoncée en
dehors du blancisme, la sauvagerie en système. Ce qui sera fait. C’est, quelle
que soit leur évaluation de la chose, l’infraction et elle les éjecte hors de
l’Empire en ce sens qu’ils sont maintenant des adversaires non voilés de la
négro-jelefweité. Ils s’en foutent, bien évidemment, car ils n’avaient aucun
sentiment d’appartenance à l’Empire et partant aucune conscience impériale. Leur
extériorité est désormais comme un ciel sans nuage. Tout ce qu’ils font, ils le
font en gens extérieurs, des bandits, selon l’ofowuité, l’ordre divin, Cause et
Essence premières de l’Empire d’Ayti.
Alors de l’infraction, leur lieu
propre, ils se regroupent sous la bannière de la sauvagerie en système, le
blancisme, règne de la criminalité innommable, leur lieu d’origine. Selon la logique de la
criminalité blanciste, cette infraction n’est pas un crime négatif parce qu’il
est utile et nécessaire. Telle est la conscience citoyenne des parricides. Ils s’affairent
à imposer le désordre institutionnel de la prédation blanciste dans ses grandes
lignes, celles qui n’entrent pas en conflit avec leur situation d’esclavagisé(e)s, sur notre territoire ancestral.
Ainsi ils ont un pouvoir de l’un qui, premièrement, ne s’institue pas par absence de consensus et, deuxièmement, parce qu’ils sont déjà sous le pouvoir de l’un du blancisme, maître-réalisé – n’est-ce pas l’initiateur de la horde républicaine, Alexandre Pétion, qui saluait le roi de France, Louis XVIII en sujet : « … son très humble et très obéissant serviteur » -, mais qui se proclame, « se prend », disent- ils. C’est une imposition. Le pouvoir de la horde pour la même raison n’a pas vocation à rassembler ni par conséquent à commander. Il est limité à l’un dans le but de s’enrichir, toujours par la criminalité et l’infraction, comme mode de fonctionner. Ne dit-on pas que « voler l’État n’est pas voler ». Le propriétaire du pouvoir est l’État et celui-ci est le moyen par lequel on s’enrichit et se nourrit de la vie des autres.
Le pouvoir, parce que pouvoir de l’un en acte en
opposition à pouvoir de l’un en puissance des sociétés des droits de l’homme, n’est
pas une porte ouverte sur les « individus » encore moins sur le
peuple, une entité inexistante dans la horde républicaine, à cause de leur enchâssement dans
le blancisme. Qui ne veut pas
périr se débrouille seul(e).
3
La comparaison est une compétence d’une très grande
utilité dans l’acte de comprendre. Elle permet d’isoler et de définir. Les deux
modes de vie exposés ici s’opposent farouchement par leur cause et leur essence ainsi que leurs
objectifs réciproques. Ils sont inconciliables. Le
premier, c’est-à-dire l’Ancestral, a pour vocation le blrz de tout le monde par
la gestion de soi. C’est la raison du vivre ensemble ancestral.
Le dernier est exactement ce que l’autre n’est pas. Sa
préoccupation n’est pas le peuple, il n’y en a même pas un – le Peuple de
l’Empire est repoussé vers l’arrière-pays pour autre et ennemi -, mais soi et
sa gang, qui forcément fait temporairement partie de soi. La loi, c’est pour l’autre,
la généralité du contexte la supprime. On y tue massivement pour arriver à ses
fins. Cela révèle que l’autre n’est pas une valeur. On y ouvre largement la
porte du territoire au pillage par le blancisme. Le pouvoir prend ses ordres de
celui-ci. L’expression projet collectif est inconnue de ces milieux. C’est,
sans l’ombre d’un doute, une horde.
Aussi la horde républicaine et l’Empire de Dessalines
sont deux réalités distinctes non différentes, donc parallèles. La horde n’est évidemment
pas enracinée dans la Résistance des 300 ans d’Histoire, dont Makqdal est un
des piliers, qui ont débouché sur l’Érection de l’Empire d’Ayti, ci haut exposée.
Les principes ne sont pas les mêmes. Il en est ainsi parce que les Cause et
Essence premières ainsi que les Cause et Essence de l’Empire et les principes
de la république, qui sont les principes générateurs du blancisme et qui ont
engendré la classe des libres comme continuité de celui-ci, des colons ou
prédatrices et prédateurs justifiés, ne sont pas les mêmes et qu’ils sont même
antipodiques. L’Empire de Dessalines et la république sont deux réalités
foncièrement distinctes et s’excluent mutuellement parce qu’ils n’ont ni la
même source, pensée maîtresse, ni la même histoire. Ce dernier point est d’une
importance dessalinienne, soit le plus haut point.
Les parricides ou horde-républicains et
horde-républicaines, gens d’une autre histoire – des intégré(e)s du blancisme,
adeptes de l’esclavagisation et colons effectifs -, une histoire parallèle et
franchement hostile à la négro-jelefweité, pour marquer la rupture du
faux-semblant, ont banni le Grand et Saint Nom de Jean-Jacques Dessalines dans
leur sein, la république, une mesure très révélatrice. En effet le message est
clair : le « pays » de la république n’est pas le Pays de
Dessalines.
Pétion, initiateur de la horde républicaine, et sa
gang n’ont pas tort. La légitimité et la légalité sont très claires là-dessus :
le Pays de Dessalines est un Empire :
Constitution d’Ayiti publiée
le lundi 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale Impériale :
« Article1er:
Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti. » Nous avons là la définition du Pays qui vient de naître, un Empire. La Gwqmunité, appelée l’indépendance, ici posée ou proclamée est celle de l’Empire d’Ayti. Il n’y a pas à sortir de-là. La Gwqmunité, c’est être en soi, par soi et pour soi. La position du Fondateur, Dessalines, est très claire là-dessus : « Nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française. (…) Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche. (…) Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. … Marchons sur d'autres traces » Ces paroles s’adressent aux membres de l’Empire de la Gwqmunalité. Il y a une interpénétration entre l’Empire d’Ayti, les membres et la conduite qu’ils et elles se donnent.
Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti. » Nous avons là la définition du Pays qui vient de naître, un Empire. La Gwqmunité, appelée l’indépendance, ici posée ou proclamée est celle de l’Empire d’Ayti. Il n’y a pas à sortir de-là. La Gwqmunité, c’est être en soi, par soi et pour soi. La position du Fondateur, Dessalines, est très claire là-dessus : « Nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française. (…) Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche. (…) Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. … Marchons sur d'autres traces » Ces paroles s’adressent aux membres de l’Empire de la Gwqmunalité. Il y a une interpénétration entre l’Empire d’Ayti, les membres et la conduite qu’ils et elles se donnent.
L’existence en soi, par soi et pour soi n’a pas de
rapport de concordance avec la république, dont l’émergence est impossible à
partir de l’Éternel Empire, parce qu’elle est une réalité distincte par son
apparition, infraction, sa cause, l’hommalité et l’hommalité blancisme et son
essence, l’imbriqué(e)) et l’esclavagiste. Les gens de la république ont toujours marché avec le
blancisme, notamment le blancisme français. Même quand ils sont repoussés par
les blancistes, ils mettent toujours le cap vers la France. La France les
rejette, ils y reviennent toujours. Toussaint L’Ouverture l’appelle mère-patrie. Ils
n’ont pas d’autres lieux, les libres-parricides. Ils sont des
colons, c’est leur vision du monde, leur culture, leur manière d’être dans la
vie. Ce sont de véritables prédatrices et prédateurs à la manière du blancisme,
leur créateur. Ils ont refusé d’intégrer l’Éternel Empire, malgré l’invitation
sans cesse répétée de l’Éternel Vainqueur du blancisme, Jean-Jacques Dessalines
Plus Que Grand, à cause du teint de la très vaste majorité de ses membres et de
sa substance négro-jelefweenne. Leur être est tout blanciste. Comment pourraient-ils
se former en un lot indépendant de leur source d’être et nourricière? Cela est
impossible. Alexandre Pétion lui-même, leur chef, se définit comme soumis à la France
qui, à plusieurs reprises, a tenté de le gober, se nourrir de sa vie. C’est le
code Napoléon qu’il applique dans la république. Plusieurs se plaisent à dire
que cela ne correspond pas à la réalité du peuple. Cela est archi-faux car le
groupe d’hommes et de femmes de la république sont de culture blanciste. C’est
le Peuple Ancestral qui n’a rien à voir avec la réalité européenne. Le code Napoléon ne le vise car il est exclu
de la horde. Pétion est témoin de son affinité avec Dessalines, l’un vit dans l’autre.
Il ne l’accepterait jamais dans son sein. Il vient de lui porter un coup dur, compromettre
pour un certain temps sa sortie dans l’état déplorable. Alexandre
Pétion s’adresse à son monde. Ce sont, avec et même après lui, les doctrines
politiques blancistes qui sont en vigueur dans la république. Aujourd’hui,
comme de son vivant, il y a un défilé d’hommes et de femmes politiques
blancistes sur le territoire. Ce groupe de gens n’est pas indépendant et ne
voudra jamais l’être. L’Éternel Empire d’Ayti, dont l’Invincible Général
Jean-Jacques Dessalines est le Fondateur, est à des années-lumière de la
république, un prolongement du blancisme et le retour sur notre sol ancestral d’un
régime vaincu. La république est une colonie du blancisme.
C’est pour éviter toute confusion que les parricides
ont frappé d’anathème le Nom de Jean-Jacques Dessalines, la puissance
personnifiée. Toute la classe des affranchi(e)s, tous teints confondus, des
colons et des parricides, n’y voyaient aucun inconvénient jusqu’au moment où
les teints clairs voulaient marginaliser les teints foncés comme ils avaient, d’un
commun accord, les deux teints, expulsé le Peuple de Dessalines vers l’arrière-pays
parce que ce soi-disant pays n’est pas le leur. Là, en 1844-45, le teint menacé
a fait, de façon éhontée, entrer le Nom de Dessalines sur la scène de la république - un contresens mais ça
passe parmi les gens non cérébraux - non pour la chasser au profit de l’Administration
Impériale – l’Impératrice est là, l’Empereur Jacques Dessalines aussi -, mais
pour envoyer un message clair aux teints clairs, qui étaient en chien au moment
où le Pays allait naître – puisqu’ils étaient sur la liste des gens à exécuter
par le général Leclerc pour haute trahison, qu’ils n’étaient pas des ami(e)s de
Dessalines, le Mandataire du Peuple Ancestral, Peuple qu’ils rejetaient au nom
du blancisme et dont, comme colons, ils exploitaient la force et le savoir-faire
et qu’ils ne pouvaient pas même espérer se défendre; ils se joignaient à l’Invincible
Général Dessalines non comme des bras utiles, car ils étaient beaucoup trop
faibles, mais pour se protéger contre le génocide programmé de la France -, à
savoir que le Pays est l’œuvre de Dessalines, un teint foncé, non d’un teint
clair. Ces parricides, comme ceux et celles d’aujourd’hui, réclamaient le droit
d’être là, sur le lieu de l’infraction et du retour du
système d’esclavagisation, une réclamation qui ne va pas dans le sens de la Dessalinienne parce qu’elle y est invariablement
hostile et que l'idéologie du teint est exclue dans l’Essence spécifique de l’Empire de Dessalines. L'Éternel Empire d'Ayti est lakortal munal. Tout le monde y a sa place. En
fait c’est le teint de Dessalines qu’on a introduit dans la guerre non le
Vengeur et le Libérateur naturellement nommé Empereur parce que cette initiative anti-blanciste est
contestée et rejetée par les parricides. La Dessalinienne est
éternellement Impériale. Cet usage du Nom du Plus Que Grand dans le contexte de
la république est carrément illogique.
Ainsi la république est et reste une autre réalité,
distincte certes, contraire et contradictoire à l’Empire de Toya-Dessalines,
Éternel Empire de la Gwqmunalité. Les parricides au teint foncé n’ont pas trahi
la Résistance Gwqmunale, ni les teints clairs libres fidèles au blancisme
français non plus, ils n’y ont jamais fait partie. Ils étaient eux aussi des libres. Ces deux groupes, chacun à son tour, formaient "le boulevard de la sûreté de la colonie. Voilà, ils ont fait leur temps et le blancisme n'avait plus besoin de leurs services. Ils ont été remerciés, ils n'ont pas révolté contre leur maître-réalisé. Leur vie était menacée, combattre était leur seule planche de salut. Comme il n'y avait que Dessalines, ils s'accrochaient à Lui. Plusieurs même pensaient déjà revenir avec la colonie en main, après la Victoire certaine de Dessalines et son assassinat ensuite, comme gage de leur amour filial et leur fidélité pour retrouver leur place auprès du bon maître-réalisé, le blancisme français. Le choc des teints les a conduits à
faire une exploitation malhonnête, vile et plate de leur propre victime, une Munité d’une
exceptionnelle envergure, Jean-Jacques Dessalines.
Une fois de plus la horde républicaine n’est pas le
Pays de Dessalines, elle en est même la plus grande ennemie. Elle est une
réalité distincte et mortellement nuisible. C’est ce qui explique la débâcle du
Peuple endogène, Peuple Ancestral.
La république ne détruit pas l’Empire, l’un est à l’antipode
de l’autre. Ils sont nombreux à dire que Pétion a aboli l’Empire. Quelle
aberration! Par quelle autorité Pétion aurait-il supprimé le fruit de plus de 300 ans d’histoire
Ancestrale, une histoire tellement grandiose et exemplaire qu'elle se donne une silhouette sensible à travers l’Érection de l’Empire
d’Ayiti, modèle d'existence de la planète? Par quelle force Alexandre Pétion, qui est d’une insignifiance indescriptible,
aurait-il pu faire échec au mode d’être le plus ancien du monde, parce que le contenu de l’Empire d’Ayiti est la
royauté ancestrale? L’imbrication
blanciste a, de toute évidence, causé d’énormes dégâts aux facultés de ses
victimes.
L’Empire Est et Sera toujours. L'Empire Divin de Dessalines est là, et, pendant deux-cents-dix ans, était sans Administration Ancestrale. Toutes les activités de la Famille Impériale, et c'est cela la Fonction des Princesses et Princes, tournaient autour de son
maintien. L'Administration Impériale est maintenant Rétablie. Pour
mettre fin au « sort des peuples ingrats » qui sévit sur la Terre Ancestrale
depuis le 17 octobre 1806 et qui frappe nécessairement le Peuple Endogène parce
qu’il se trouve en périphérie du « peuple » exogène, , maladie contagieuse, il faut se
reposer sur l’Administration Impériale Rétablie depuis le 17 octobre 2016, soit
deux-cents-dix ans plus tard.
VOUS, êtes-vous du côté des
Ancêtres par le Dessalines en vous, l’Éternel Empereur, le Vengeur et le
Libérateur de ses concitoyennes et concitoyens? Si oui, portez votre concours à
l’Administration Impériale Rétablie pour la Grandeur maintenue de l’ordre du
Nous, produit de la Manifestation de la Présence de Notre Dieu, Bon-Dieu!
La Maison
Impériale Dessalines invite tous les gens du Peuple de Dessalines vivant en
Ayiti comme à l’extérieur, qu’ils y soient nés ou pas, à monter une liste de
préoccupations, c’est-à-dire ce
qu’ils veulent entreprendre comme activité korbique. Plus vite ils complètent
la liste de préoccupations, plus vite l’Administration Impériale, seul et
unique SALUT, pourra entreprendre ses activités en ce sens.
Qui ne le fait pas accepte la situation telle qu’elle
est. On ne brise pas le confort …..
Nous sommes soumis(e)s au principe dessalinien, nous
ne pouvons rien vous imposer. Vous devez prouver que vous voulez vivre vraiment
dans des conditions honorables pour que nous entreprenions nos activités. La
seule et unique façon de le faire est de vous réunir en petits groupes pour
monter les listes de préoccupations et choisir en même temps les premiers
Administratrices et Administrateurs. Le principe dessalinien est inviolable.
LE 20 JANVIER 1758, IMMOLATION DU GRAND RÉSISTANT FRANÇOIS
MAKQDAL PAR LA FRANCE,
LE 20 JANVIER 1802, ARRIVÉE
DE L’EXPÉDITION DE NAPOLÉON BONAPARTE EN AYTI,
QUEL EST, DANS CETTE
SITUATION PRÉDATIONNELLE, LE SIGNIFIÉ
DE VOTRE 20
JANVIER 2017?
LE 20
SEPTEMBRE 1758 EST NÉ JEAN-JACQUES DESSALINES, L’ARRÊTOIR DE LA BACTÉRIE
MANGEUSE DE NÉGRESSES ET NÈGRES, SOIT LE BLANCISME, CIVILISATION DE LA
CRIMINALITÉ POSITIVE.
QUEL SERA LE
SENS DU 20 DANS VOTRE VIE ?
Pour la Maison Impériale Dessalines
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du
Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du
lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science
de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme
Blog de Tiécoura Dessalines :
Commentaires