TEXTE AMPLIFIÉ ICI DESSALINES RÉFLEXIONS EN CE 20 JANVIER 2017, DOUBLE ANNIVERSAIRE : 20 JANVIER 1758, IMMOLATION DU GRAND RÉSISTANT FRANÇOIS MAKQDAL PAR LA FRANCE

Cette étude si pointue est une courtoisie de la Maison Impériale Dessalines et s'inscrit dans la contre-guerre que mènent nos Ancêtres, depuis la première razzia, comme la Distinguée Famille Impériale d'Ayiti, depuis le parricide, le 17 octobre 1806, contre l'hommalité et toutes formes de prédation qui en découlent, surtout le blancisme, sa plus haute expression et verte épidémie. Le blancisme, civilisation de la criminalité positive, est une section du chapitre de l'hommalité dans l'existentialisme vudun, dont l'auteur est HRH Weber Tiécoura Dessalines D'Orléans Charles Jean Baptiste, Le Prince de l'Éternel Empire Toya-Dessalinien Déployé, et la horde républicaine ou le peuple exogène d'Ayiti, qui s'y inscrit, en est un paragraphe. Tout ce qui est dit plus bas, dans la Lettre, ce dans les moindres détails, est tiré de la pensée politique exposée dans la philosophie existentialiste vudun du Prince Tiécoura. La campagne de contre-violence de la Famille Impériale est nourrie et salutaire et déjà a débouché sur le Rétablissement de L'Administration Impériale le 17 octobre 2016, deux-cents-dix ans plus tard. Ce n'est pas son seul objectif. Elle vise aussi à faire échec total-capital à la pratique blanciste de se réintroduire, tôt ou tard, dans les Nqhsoit par la cruauté ouverte ou par ruse, comme celle de la horde républicaine, pour bloquer l'évolution positive de la Victoire, qui est sa chute spectaculaire aux yeux du monde, ce qui met aussi en relief l'illusion de sa substance idéologique. Comme tout animal de proie traqué est cent-une fois plus violent, le blancisme ne fait pas exception. Aussi les caméras de l'Empire s'ouvrent sur lui et le projettent sur l'écran de la télévision des peuples, notre indéfectible soutien dans cette lutte contre la Bactérie mangeuse de Négro-jelefwennes et Négro-jelefweens.   Dessalines pi wrd!   le jeudi 20 janvier 2017

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = f © Tous droits réservés


ICI DESSALINES
RÉFLEXIONS EN CE 20 JANVIER 2017,  DOUBLE ANNIVERSAIRE : 20 JANVIER 1758, IMMOLATION DU GRAND RÉSISTANT FRANÇOIS MAKQDAL PAR LA FRANCE

ET 20 JANVIER 1802, ARRIVÉE DE L’EXPÉDITION DE NAPOLÉON BONAPARTE EN AYTI,
TERRE ARAWAK, PRÉLUDE À LA NAISSANCE DE L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYITI

POUR L’ÉTERNITÉ DE LA GRANDE VICTOIRE,
  L’ADMINISTRATION IMPÉRIALE RÉTABLIE : GESTION DE SOI PAR SOI ET NÉCESSAIRE COUP DE BALAI IRRELATIF



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q = an
u = ou
w = r
 = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é


UN PEUPLE, UN PAYS, UN EMPIRE ENRACINÉS DANS L’ANCESTRALITÉ : FORCE DE VIVRE ET FORCE DE VAINCRE.
EST À JAMAIS VAINCUE LA PRÉDATION












On parle un peu partout, et de plus en plus, du Rétablissement de l’Administration Impériale. Plusieurs, sans le vouloir, ne remontent pas encore le fil de la chose même si cela fait surgir une lueur d’espoir. L’Empire d’Ayiti ne va pas sans une décharge émotionnelle, le pic de l’horreur qui était le quotidien de nos Nobles Ancêtres, ni leur Résistance épique, la Victoire incisive et décisive sur le plus grand Mal qui soit, ni une projection glorieuse, la vie bonne, en accord avec notre être ofowu, le mun. L’Empire est le souffle de notre être, malgré tout, pour force gens, la voie conduisant à l’Administration Impériale Rétablie n’est pas pleinement sensible.


Cela se comprend parce qu’ils et elles sont sous l’effet de deux-cents-dix ans d’obscurité dense et tumultueuse. On a perdu le cap quoique l’Empire bouillonne sans cesse en nous.


Pourtant la situation est, depuis toujours, on ne peut plus claire et tranchée. La confusion chez ces personnes, vivant à proximité des protagonistes de la république, s’explique par le fait que ceux-ci nagent dans des eaux boueuses sans la conscience de la condition qui est leur, laquelle condition est originaire de  l’amateurisme politique qui émane de l’absence de science de l’être, la situation prévalant dans le monde et la chose politique elle-même. Le remodelage de leur animalité et leur raison par le blancisme, et les œillères qu’il implique, est la cause de cet état de choses. Une telle situation ne peut pas ne pas ennuager le phénomène. C’est pourquoi les gens n’arrivent pas à le voir, le phénomène, avec netteté. Et cela a forcément une incidence sur l’Empire, leur mode d’être dans le monde sensible.


Il suffit d’y faire le ménage pour qu’enfin ce qu’on croyait être un mur noir se dissipe et qu’on appréhende sans difficulté aucune le lieu de l’Administration Impériale Rétablie.

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Au préalable il faut savoir que les choses, bien qu’elles aient une origine commune et qu’elles se ressemblent dans certains cas, diffèrent des unes des autres et, dans plusieurs cas, se distinguent des unes des autres. C’est ce qui explique leur nom propre. Un manguier n’est pas un pommier, ni Jacques n’est fido, ni fido n’est gros-toutou, ni Pierre n’est Jacques, ni Jocelyne n’est Lysane ni un chevreuil n’est un cabri. Pourtant ce sont tous des êtres vivants et plusieurs d’entre eux sont doués de sensibilité, ce qui fait d’eux des animaux. Leur particularité, ainsi que leur singularité, est tributaire de leur cause, ce qui les produit, et leur essence, ce sans quoi ils ne sont pas ce qu’ils sont. C’est la règle. L’acte de penser consister à tout découper afin de tout dénommer par leur spécificité et leur unicité. Ce qu’il faut retenir de tout ça, ce n’est pas parce qu’il y a une ressemblance entre deux choses qu’elles sont pareilles ou les mêmes ni une ou deux propriétés entre deux éléments que l’un peut passer pour l’autre. Cela débouche sur l’objet de ma préoccupation, une république n’est pas un Empire. Pour qu’il y ait identité entre les deux, il faut que la cause et l’essence des deux soient pareilles. Tel n’est pas le cas, l’appellation même donne déjà un indice. Il y a plus. Pour spécifier mon sujet, il n’y a aucun lien entre la républicaine d’Haïti, une horde, et l’Empire d’Ayiti.
   
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Durant trois siècles nos Ancêtres ont lutté contre le blancisme, l’envahisseur. Je parle, bien sûr, de l’Île d’Ayiti, là où une partie de nos Ancêtres est implantée. La Résistance a une cause, GwqmrtLa, Notre Dieu, Bon Dieu et la Gwqmunalité de notre être munal dont Il est le Producteur, et une essence, l’Ancestralité, laquelle est une vision du monde, de la cause, et un mode existentiel, façon de vivre, se vivre en tant produit de la cause. L’Ancestralité est un ensemble de théorèmes tirés de la cause et des inventions intégrées ou conformes aux théorèmes. L’Ancestralité est alors le fruit de la pensée, de l’acte de bÄnqyer, qui est formé d’une foule de pensées ainsi que du support matériel de celles-ci. Par exemple, n’être qu’avec les autres (un soi collectif ofowu), la nécessaire prise en charge des uns des autres, la solidarité munale effective par l’institution familiale, celle du voisinage et celle de munpa, l’objectif lakortal (ordre du Nous) de la famille, la forme des relations au sein de la famille, la collaboration collective globale en vue du parachèvement du munal, la musique comme voie de la communication profonde et collective et les instruments de musique, le Guide de la collectivité et son objectif ou ses responsabilités communautaires (une sorte d’alter ego pour les membres), la Un-ité comme mode de relations entre le monde visible et le monde invisible, etc.


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Comme d’autres Résistantes et Résistants d’ailleurs nos Ancêtres de l’Île d’Ayti, sous le Guide de l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines, ont vaincu le Mal blanciste et ont, par l’organe du Général Vainqueur, érigé la NqhÄ  le 29 novembre 1803, au Quartier-Général, la Ville de Dessalines, NqhÄ à laquelle ils donneront le Nom d’Empire d’Ayiti. L’Empire d’Ayti, rappelons-nous ce qui est dit ci-devant au sujet de la différence et la distinction entre les choses, est une NqhÄ parce qu’elle a pour cause la Cause et l’Essence de la Résistance et une essence particulière qui est le Guide Jean-Jacques Dessalines, la Somme totale de trois siècles de Résistants et Résistantes par la consécration de tout son être à la noble lutte, une continuité génétique et idéelle – Il faut ajouter au dernier prédicat le retour de François Makqdal, prédit par Makqdal lui-même, soit 20 janvier 1758 et 20 septembre 1758 -, le Mandataire sui generis, le Messie par les phénomènes positifs de l’auto-conservation du La, ce qui fait de Lui (Dessalines) le porteur du lakort munal, soit sans nuances épidermiques dans un contexte où la norme est la discrimination par les caractéristiques différentielles observables, et le Vainqueur par décision sans appel, ce qui Lui vaut l’Éternel Nom de "le Vengeur et le Libérateur" par le Peuple-mandant et à qui vient naturellement le titre d’Empereur. Par la pensée de Couple, signe de Perfection et Génération, qui cimente l’Ancestralité, Sa Compagne Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur, est tout bonnement l’Impératrice, les Enfants Princesses et Princes et le Peuple enfants de l’Empereur. Et le Blrz, son plus Grand Bien, de Sa Majesté Jacques 1er en tant qu’Empereur ou Guide réside dans le blrz de l’Ensemble Impérial dans lequel Il EST. Ce n’est pas là une subordination, un contresens dans ce contexte, de l’Empereur à la NqhÄ mais une interpénétration irrelative des deux éléments générateurs de l’Empire. La dernière propriété de l’Essence Impériale est son incessibilité par l’Impérialité (leur intégration) de la Famille génétique de l’Empereur Dessalines, Couple et Enfants, comme Gardiens et Gardiennes de l’Institution – c’est cela le rôle des Princesses et Princes -, et par la nomination du Successeur de l’Empereur par l’Empereur, désignation qui forcément, par l’implacabilité de la logique de la Chose Impériale, se fait sous l’égide de la Cause et Essence premières et l’Essence particulière, une chose, pour ce qui est de cette dernière, qui se complète ou se parachèvement en se roulant sur elle-même, soit vivre d’elle-même ou en soi. L’Essence de l’Empire d’Ayti est quelque chose de massif. Cela fait de l’Éternel Empire d’Ayiti, Empire de la Gwqmunalité, une forteresse imprenable. « Le sort des peuples ingrats » n’évoque pas la fin possible de l’Empire pour cause d’infraction mais les tourments que cela entraînerait, lesquels tourments dévoreraient les gens. Il est question des gens non de l’institution fortement et irrémédiablement enracinée dans la légitimité, soit la Divinité, et la légalité, laquelle est la continuité de la légitimité. Le fait que ce soit les gens, non l’Empire, qui seraient frappés consolide Icelui et, du même coup, met en lumière sa pérennité. Il faut y comprendre que L’Empire résiste à l’infraction.   

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Ce qui distingue les Ancêtres des féroces prédateurs et prédatrices blancistes, c’est le caractère éclaté de leur monde, une foule de kuku, soi, encore soi et toujours soi, des êtres disparates, sans dimension universelle, des gens profondément ancrés en eux-mêmes, dont la vision du monde est de se créer ou se bailler un devenir effectif en soumettant les autres à soi dans l’intérêt exclusif et irrelatif de soi. Ce principe anthropologique est à l’origine de ce qu’il convient d’appeler le pouvoir, une force à vocation de dompter, subordonner, par le siège de la raison et la sensibilité, une nouvelle substance hommale. La genèse du pouvoir est la vision hiérarchique constitutive de la nature mentale de l’homme. C’est pourquoi la première collectivité politique se fonde autour du pouvoir de l’un, c’est-dire-du prince, le conquérant. Plus tard, sans changer de nature et fonction, le pouvoir, comme principe générateur de la vie-collective-politisée, la nation ou l’État, se donnera un nouveau fondement, les « individus », via le renoncement à certains droits, appelés droits naturels de l’homme, et l’approbation par le vote, générale nécessaire au début et majoritaire par la suite, système dénommé démocratie, soit le pouvoir par soi dont la fonction est de créer un lieu social où chacune-chacun, tel que défini par la nouvelle anthropologie des droits, pourra, par le droit de liberté, facultés intellectuelles, entreprendre en vue de la possession totale qui donnera droit au pouvoir de l’un, tel que mis en place par les faits de l’histoire et consolidé par la science de la politique, soit la philosophie politique. Faut-il le souligner, le pouvoir démocratique n’est pas en soi populaire mais celui des individus, membres véritables du match social. Cette doctrine politique initiera une révolution intellectuelle comme une révolution violente, pour reprendre le vocabulaire de la discipline, c’est-à-dire affrontement par les armes, contre la domination héréditaire ou génétique déterminée par la divinité de l’homme, dira le Messie Jean-Jacques Dessalines. Le lieu social est le match dont l’objet est production/consommation. En somme chez l’adversaire tout tourne autour de la domination par le commandement, dicter aux autres leur conduite, et la possession, mainmise sur ressources et richesses. La démocratie, qui s’est érigée en système, est la porte d’entrée au jeu sinistre du pouvoir de l’un. La société des droits est un terrain sur lequel de féroces prédatrices et prédateurs affrontent de féroces prédateurs et prédatrices. Elle parcourt la terre afin de dévorer d’autres vies. C’est un duel de la vie puisqu’il s’agit d’engloutir les autres vies au profit de la sienne propre. C’est une sauvagerie en système car le crime, l’acte de la prédation, est utile et nécessaire. La criminalité n’est alors ni bonne ni mauvaise en soi. C’est la loi qui détermine le bon et le mauvais crimes par son efficacité et son inefficacité. C’est ce qui explique, par exemple, le massacre moral et le massacre légal qui font, chacun, l’objet d’une grande gloire, d’une grande fierté, de grandes réjouissances et de grandes conversations civilisées. Le blancisme est le règne de la prédation positive.

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Le blancisme, l’adversaire, par identité de nature, soit l’hommalité, se prolonge dans notre sein par la classe des affranchi(e)s, hommes et femmes de couleur libres ainsi que noir(e)s libres, les vaincu(e)s de la Louperie, prédation blanciste. La prise est minime mais elle est réelle et extrêmement dangereuse.



À la chute du blancisme la classe des vaincu(e)s de la Louperie veut tout naturellement instituer la sauvagerie en système sur notre terre ancestrale. Elle bute contre l’intégrité et invincibilité de l’Éternel Empereur d’Ayiti, Jacques 1er. Étant des criminel(le)s de constitution, quoique mentale, les vaincu(e)s de la Louperie concevront tout bonnement le plan de l’assassiner. Cela ne pose aucun problème de conscience morale ou collective car ils ne sont pas soumis à la loi, de quelque nature que ce soit, morale ou artificielle, énoncée en dehors du blancisme, la sauvagerie en système. Ce qui sera fait. C’est, quelle que soit leur évaluation de la chose, l’infraction et elle les éjecte hors de l’Empire en ce sens qu’ils sont maintenant des adversaires non voilés de la négro-jelefweité. Ils s’en foutent, bien évidemment, car ils n’avaient aucun sentiment d’appartenance à l’Empire et partant aucune conscience impériale. Leur extériorité est désormais comme un ciel sans nuage. Tout ce qu’ils font, ils le font en gens extérieurs, des bandits, selon l’ofowuité, l’ordre divin, Cause et Essence premières de l’Empire d’Ayti.  


 Alors de l’infraction, leur lieu propre, ils se regroupent sous la bannière de la sauvagerie en système, le blancisme, règne de la criminalité innommable, leur lieu d’origine. Selon la logique de la criminalité blanciste, cette infraction n’est pas un crime négatif parce qu’il est utile et nécessaire. Telle est la conscience citoyenne des parricides. Ils s’affairent à imposer le désordre institutionnel de la prédation blanciste dans ses grandes lignes, celles qui n’entrent pas en conflit avec leur situation d’esclavagisé(e)s, sur notre territoire ancestral.   


Ainsi ils ont un pouvoir de l’un qui, premièrement, ne s’institue pas par absence de consensus et, deuxièmement, parce qu’ils sont déjà sous le pouvoir de l’un du blancisme, maître-réalisé – n’est-ce pas l’initiateur de la horde républicaine, Alexandre Pétion, qui saluait le roi de France, Louis XVIII en sujet : « … son très humble et très obéissant serviteur » -, mais qui se proclame, « se prend », disent- ils. C’est une imposition. Le pouvoir de la horde pour la même raison n’a pas vocation à rassembler ni par conséquent à commander. Il est limité à l’un dans le but de s’enrichir, toujours par la criminalité et l’infraction, comme mode de fonctionner. Ne dit-on pas que « voler l’État n’est pas voler ». Le propriétaire du pouvoir est l’État et celui-ci est le moyen par lequel on s’enrichit et se nourrit de la vie des autres.


Le pouvoir, parce que pouvoir de l’un en acte en opposition à pouvoir de l’un en puissance des sociétés des droits de l’homme, n’est pas une porte ouverte sur les « individus » encore moins sur le peuple, une entité inexistante dans la horde républicaine, à cause de leur enchâssement dans le blancisme. Qui ne veut pas périr se débrouille seul(e).  

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La comparaison est une compétence d’une très grande utilité dans l’acte de comprendre. Elle permet d’isoler et de définir. Les deux modes de vie exposés ici s’opposent farouchement par leur cause et leur essence ainsi que leurs objectifs réciproques. Ils sont inconciliables. Le premier, c’est-à-dire l’Ancestral, a pour vocation le blrz de tout le monde par la gestion de soi. C’est la raison du vivre ensemble ancestral.


Le dernier est exactement ce que l’autre n’est pas. Sa préoccupation n’est pas le peuple, il n’y en a même pas un – le Peuple de l’Empire est repoussé vers l’arrière-pays pour autre et ennemi -, mais soi et sa gang, qui forcément fait temporairement partie de soi. La loi, c’est pour l’autre, la généralité du contexte la supprime. On y tue massivement pour arriver à ses fins. Cela révèle que l’autre n’est pas une valeur. On y ouvre largement la porte du territoire au pillage par le blancisme. Le pouvoir prend ses ordres de celui-ci. L’expression projet collectif est inconnue de ces milieux. C’est, sans l’ombre d’un doute, une horde.


Aussi la horde républicaine et l’Empire de Dessalines sont deux réalités distinctes non différentes, donc parallèles. La horde n’est évidemment pas enracinée dans la Résistance des 300 ans d’Histoire, dont Makqdal est un des piliers, qui ont débouché sur l’Érection de l’Empire d’Ayti, ci haut exposée. Les principes ne sont pas les mêmes. Il en est ainsi parce que les Cause et Essence premières ainsi que les Cause et Essence de l’Empire et les principes de la république, qui sont les principes générateurs du blancisme et qui ont engendré la classe des libres comme continuité de celui-ci, des colons ou prédatrices et prédateurs justifiés, ne sont pas les mêmes et qu’ils sont même antipodiques. L’Empire de Dessalines et la république sont deux réalités foncièrement distinctes et s’excluent mutuellement parce qu’ils n’ont ni la même source, pensée maîtresse, ni la même histoire. Ce dernier point est d’une importance dessalinienne, soit le plus haut point.



Les parricides ou horde-républicains et horde-républicaines, gens d’une autre histoire – des intégré(e)s du blancisme, adeptes de l’esclavagisation et colons effectifs -, une histoire parallèle et franchement hostile à la négro-jelefweité, pour marquer la rupture du faux-semblant, ont banni le Grand et Saint Nom de Jean-Jacques Dessalines dans leur sein, la république, une mesure très révélatrice. En effet le message est clair : le « pays » de la république n’est pas le Pays de Dessalines. 


Pétion, initiateur de la horde républicaine, et sa gang n’ont pas tort. La légitimité et la légalité sont très claires là-dessus : le Pays de Dessalines est un Empire :
Constitution d’Ayiti publiée le lundi 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale Impériale :
« Article1er:
Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti.
 » Nous avons là la définition du Pays qui vient de naître, un Empire. La Gwqmunité, appelée l’indépendance, ici posée ou proclamée est celle de l’Empire d’Ayti. Il n’y a pas à sortir de-là. La Gwqmunité, c’est être en soi, par soi et pour soi. La position du Fondateur, Dessalines, est très claire là-dessus : « Nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française. (…) Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche. (…) Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. … Marchons sur d'autres traces » Ces paroles s’adressent aux membres de l’Empire de la Gwqmunalité. Il y a une interpénétration entre l’Empire d’Ayti, les membres et la conduite qu’ils et elles se donnent.

L’existence en soi, par soi et pour soi n’a pas de rapport de concordance avec la république, dont l’émergence est impossible à partir de l’Éternel Empire, parce qu’elle est une réalité distincte par son apparition, infraction, sa cause, l’hommalité et l’hommalité blancisme et son essence, l’imbriqué(e)) et l’esclavagiste. Les gens de la république ont toujours marché avec le blancisme, notamment le blancisme français. Même quand ils sont repoussés par les blancistes, ils mettent toujours le cap vers la France. La France les rejette, ils y reviennent toujours. Toussaint L’Ouverture l’appelle mère-patrie. Ils n’ont pas d’autres lieux, les libres-parricides. Ils sont des colons, c’est leur vision du monde, leur culture, leur manière d’être dans la vie. Ce sont de véritables prédatrices et prédateurs à la manière du blancisme, leur créateur. Ils ont refusé d’intégrer l’Éternel Empire, malgré l’invitation sans cesse répétée de l’Éternel Vainqueur du blancisme, Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand, à cause du teint de la très vaste majorité de ses membres et de sa substance négro-jelefweenne. Leur être est tout blanciste. Comment pourraient-ils se former en un lot indépendant de leur source d’être et nourricière? Cela est impossible. Alexandre Pétion lui-même, leur chef, se définit comme soumis à la France qui, à plusieurs reprises, a tenté de le gober, se nourrir de sa vie. C’est le code Napoléon qu’il applique dans la république. Plusieurs se plaisent à dire que cela ne correspond pas à la réalité du peuple. Cela est archi-faux car le groupe d’hommes et de femmes de la république sont de culture blanciste. C’est le Peuple Ancestral qui n’a rien à voir avec la réalité européenne. Le code Napoléon ne le vise car il est exclu de la horde. Pétion est témoin de son affinité avec Dessalines, l’un vit dans l’autre. Il ne l’accepterait jamais dans son sein. Il vient de lui porter un coup dur, compromettre pour un certain temps sa sortie dans l’état déplorable. Alexandre Pétion s’adresse à son monde. Ce sont, avec et même après lui, les doctrines politiques blancistes qui sont en vigueur dans la république. Aujourd’hui, comme de son vivant, il y a un défilé d’hommes et de femmes politiques blancistes sur le territoire. Ce groupe de gens n’est pas indépendant et ne voudra jamais l’être. L’Éternel Empire d’Ayti, dont l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines est le Fondateur, est à des années-lumière de la république, un prolongement du blancisme et le retour sur notre sol ancestral d’un régime vaincu. La république est une colonie du blancisme.  


C’est pour éviter toute confusion que les parricides ont frappé d’anathème le Nom de Jean-Jacques Dessalines, la puissance personnifiée. Toute la classe des affranchi(e)s, tous teints confondus, des colons et des parricides, n’y voyaient aucun inconvénient jusqu’au moment où les teints clairs voulaient marginaliser les teints foncés comme ils avaient, d’un commun accord, les deux teints, expulsé le Peuple de Dessalines vers l’arrière-pays parce que ce soi-disant pays n’est pas le leur. Là, en 1844-45, le teint menacé a fait, de façon éhontée, entrer le Nom de Dessalines sur la scène de la république - un contresens mais ça passe parmi les gens non cérébraux - non pour la chasser au profit de l’Administration Impériale – l’Impératrice est là, l’Empereur Jacques Dessalines aussi -, mais pour envoyer un message clair aux teints clairs, qui étaient en chien au moment où le Pays allait naître – puisqu’ils étaient sur la liste des gens à exécuter par le général Leclerc pour haute trahison, qu’ils n’étaient pas des ami(e)s de Dessalines, le Mandataire du Peuple Ancestral, Peuple qu’ils rejetaient au nom du blancisme et dont, comme colons, ils exploitaient la force et le savoir-faire et qu’ils ne pouvaient pas même espérer se défendre; ils se joignaient à l’Invincible Général Dessalines non comme des bras utiles, car ils étaient beaucoup trop faibles, mais pour se protéger contre le génocide programmé de la France -, à savoir que le Pays est l’œuvre de Dessalines, un teint foncé, non d’un teint clair. Ces parricides, comme ceux et celles d’aujourd’hui, réclamaient le droit d’être là, sur le lieu de l’infraction et du retour du système d’esclavagisation, une réclamation qui ne va pas dans le sens de la Dessalinienne parce qu’elle y est invariablement hostile et que l'idéologie du teint est exclue dans l’Essence spécifique de l’Empire de Dessalines. L'Éternel Empire d'Ayti est lakortal munal. Tout le monde y a sa place. En fait c’est le teint de Dessalines qu’on a introduit dans la guerre non le Vengeur et le Libérateur naturellement nommé Empereur parce que cette initiative anti-blanciste est contestée et rejetée par les parricides. La Dessalinienne est éternellement Impériale. Cet usage du Nom du Plus Que Grand dans le contexte de la république est carrément illogique.      


Ainsi la république est et reste une autre réalité, distincte certes, contraire et contradictoire à l’Empire de Toya-Dessalines, Éternel Empire de la Gwqmunalité. Les parricides au teint foncé n’ont pas trahi la Résistance Gwqmunale, ni les teints clairs libres fidèles au blancisme français non plus, ils n’y ont jamais fait partie. Ils étaient eux aussi des libres. Ces deux groupes, chacun à son tour, formaient "le boulevard de la sûreté de la colonie. Voilà, ils ont fait leur temps et le blancisme n'avait plus besoin de leurs services. Ils ont été remerciés, ils n'ont pas révolté contre leur maître-réalisé. Leur vie était menacée, combattre était leur seule planche de salut. Comme il n'y avait que Dessalines, ils s'accrochaient à Lui. Plusieurs même pensaient déjà revenir avec la colonie en main, après la Victoire certaine de Dessalines et son assassinat ensuite, comme gage de leur amour filial et leur fidélité pour retrouver leur place auprès du bon maître-réalisé, le blancisme français. Le choc des teints les a conduits à faire une exploitation malhonnête, vile et plate de leur propre victime, une Munité d’une exceptionnelle envergure, Jean-Jacques Dessalines.


Une fois de plus la horde républicaine n’est pas le Pays de Dessalines, elle en est même la plus grande ennemie. Elle est une réalité distincte et mortellement nuisible. C’est ce qui explique la débâcle du Peuple endogène, Peuple Ancestral.


La république ne détruit pas l’Empire, l’un est à l’antipode de l’autre. Ils sont nombreux à dire que Pétion a aboli l’Empire. Quelle aberration! Par quelle autorité Pétion aurait-il supprimé le fruit de plus de 300 ans d’histoire Ancestrale, une histoire tellement grandiose et exemplaire qu'elle se donne une silhouette sensible à travers l’Érection de l’Empire d’Ayiti, modèle d'existence de la planète? Par quelle force Alexandre Pétion, qui est d’une insignifiance indescriptible, aurait-il pu faire échec au mode d’être le plus ancien du monde, parce que le contenu de l’Empire d’Ayiti est la royauté ancestrale? L’imbrication blanciste a, de toute évidence, causé d’énormes dégâts aux facultés de ses victimes.  


L’Empire Est et Sera toujours. L'Empire Divin de Dessalines est là, et, pendant deux-cents-dix ans, était sans Administration Ancestrale. Toutes les activités de la Famille Impériale, et c'est cela la Fonction des Princesses et Princes, tournaient autour de son maintien. L'Administration Impériale est maintenant Rétablie. Pour mettre fin au « sort des peuples ingrats » qui sévit sur la Terre Ancestrale depuis le 17 octobre 1806 et qui frappe nécessairement le Peuple Endogène parce qu’il se trouve en périphérie du « peuple » exogène, , maladie contagieuse, il faut se reposer sur l’Administration Impériale Rétablie depuis le 17 octobre 2016, soit deux-cents-dix ans plus tard.  


VOUS, êtes-vous du côté des Ancêtres par le Dessalines en vous, l’Éternel Empereur, le Vengeur et le Libérateur de ses concitoyennes et concitoyens? Si oui, portez votre concours à l’Administration Impériale Rétablie pour la Grandeur maintenue de l’ordre du Nous, produit de la Manifestation de la Présence de Notre Dieu, Bon-Dieu!


La Maison Impériale Dessalines invite tous les gens du Peuple de Dessalines vivant en Ayiti comme à l’extérieur, qu’ils y soient nés ou pas, à monter une liste de préoccupations, c’est-à-dire ce qu’ils veulent entreprendre comme activité korbique. Plus vite ils complètent la liste de préoccupations, plus vite l’Administration Impériale, seul et unique SALUT, pourra entreprendre ses activités en ce sens.


Qui ne le fait pas accepte la situation telle qu’elle est. On ne brise pas le confort …..


Nous sommes soumis(e)s au principe dessalinien, nous ne pouvons rien vous imposer. Vous devez prouver que vous voulez vivre vraiment dans des conditions honorables pour que nous entreprenions nos activités. La seule et unique façon de le faire est de vous réunir en petits groupes pour monter les listes de préoccupations et choisir en même temps les premiers Administratrices et Administrateurs. Le principe dessalinien est inviolable.


LE 20 JANVIER 1758, IMMOLATION DU GRAND RÉSISTANT FRANÇOIS MAKQDAL PAR LA FRANCE,

LE 20 JANVIER 1802, ARRIVÉE DE L’EXPÉDITION DE NAPOLÉON BONAPARTE EN AYTI,

QUEL EST, DANS CETTE SITUATION PRÉDATIONNELLE, LE SIGNIFIÉ 
DE VOTRE 20 JANVIER 2017?

LE 20 SEPTEMBRE 1758 EST NÉ JEAN-JACQUES DESSALINES, L’ARRÊTOIR DE LA BACTÉRIE MANGEUSE DE NÉGRESSES ET NÈGRES, SOIT LE BLANCISME, CIVILISATION DE LA CRIMINALITÉ POSITIVE.

QUEL SERA LE SENS DU 20 DANS VOTRE VIE ?




Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

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