Texte maximalisé ICI DESSALINES ORIGINES ET OBJECTIFS DE LA HORDE RÉPUBLICAINE RÉFLEXIONS pour le 12 JANVIER 2017, SOUVENIR D'UN JOUR À JAMAIS TRISTE, 12 JANVIER 2010

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = e © Tous droits réservés


Texte maximalisé ICI DESSALINES
 ORIGINES ET OBJECTIFS DE LA HORDE RÉPUBLICAINE
RÉFLEXIONS pour le 12 JANVIER 2017, SOUVENIR D'UN JOUR À JAMAIS TRISTE, 12 JANVIER 2010 




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TOUS LES HORDE-RÉPUBLICAINES ET HORDE-RÉPUBLICAINS SONT DES PARRICIDES ET PARTANT DE FAROUCHES ADVERSAIRES DE SA MAJESTÉ L’ÉTERNEL EMPEREUR JEAN-JACQUES DESSALINES. CEUX ET CELLES QUI PARLENT EN BIEN DE LUI FONT, DE TOUTE ÉVIDENCE, DU KASE-KUVWI, CAMOUFLAGE SINISTRE, CAR ON NE PEUT PAS SERVIR DIEU ET MAMMON EN MÊME TEMPS. DE CETTE PENSÉE JE RETIENS LA LOGIQUE NON LES RÉFÉRENCES.


Le savoir est indispensable à la vie bonne. Par celle-ci il faut entendre l’acte d’être et exister conformément à sa constitution interne. Le savoir n’est pas un luxe, on ne peut pas en faire du snobisme non plus. Il est une nécessité pratique.


Le savoir s’acquiert par un effort, la mise en exercice des facultés du bÄnqy, tribunal divin en nous. Il n’est donc pas transmis et acquis dans le sommeil, comme la tendance semble le suggérer.


Il faut aussi ajouter à cela que le savoir est une question de méthode, une invention, nécessité de l’acte de bÄnqyer. Et ce préalable nécessaire forcément s’acquiert.


Seul un esprit médiocre peut penser pouvoir éviter cette voie, une voie tracée par l’être que nous sommes.


On se demandera peut-être pourquoi faut-il savoir tout cela? La réponse est claire, je vais parler de la science de la horde républicaine. Ce qui sera dit résultera d’un calcul bÄnqyel, donc d’une approche méthodologique. La science d’une chose, c’est-à-dire le savoir, ne s’acquiert pas par la sensibilité. La raison est simple, elle n’est pas sensible. Elle est tirée de la connaissance sensible. L’expérience est alors importante et indispensable dans une telle démarche mais la science ne s’y réduit pas. J’invite alors les gens à différencier ce qui se donne par les sens de ce qui s’obtient par la méthode. Je leur dis aussi, il n’y a que le savoir qui peut contester le savoir. La connaissance sensible n’a pas cette vocation. Alors qu’on se garde de dire n’importe quoi.


Ceci étant dit, j’énoncerai que la république d’Haïti n’est qu’une horde à vocation destructrice et qu’il est impératif de la fuir sans délai pour notre sécurité et la vie en accord avec notre constitution interne et l’Ancestralité, prenant la forme de la Dessalinienne, qui en est le dépôt.  

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La république est un pouvoir mais le pouvoir de l’un. Ce qui est particulier, c’est qu’il n’a pas de visées collectivistes. Le pouvoir fondant la république s’accompagne certes d’alliances mais cela n’est pas une collectivité proprement dite. Les alliances sont imposées par le contexte d’apparition de la république.   


Le contexte s’explique comme suit. Les gens, qui sont à l’origine de la république, sont sans lien entre eux. Ils sont seulement amarrés à un arbre commun, le blancisme. Ils sont liés au blancisme. C’est un lien parallèle. Pour une question d’efficacité et de sécurité le blancisme privilégie le lien parallèle au détriment du lien d’ensemble, source d'unité ou de solidarité mais aussi de résistance, de désobéissance, de rébellion, de complot, etc., un risque à ne pas prendre. Chacune-chacun, est et reste une prédatrice, un prédateur vis-à-vis des autres. Alors, au sein de la multitude de prédateurs et prédatrices, personne n’est invincible. On cherche à se protéger par des alliances, lesquelles sont certes temporaires à cause de l’objectif de chacune-chacun.


Le pouvoir de la république ne s’institue pas mais s’énonce. Les moyens dont on se sert pour y arriver sont la ruse ou la force parfois les deux en même temps. Un tel pouvoir se maintient majoritairement par la force brute. Ce qui fait du pouvoir un jeu extrêmement dangereux.


Il découle de cela que la république est en soi conflit, un conflit permanent et insoluble.


Le pouvoir de la république a cette particularité qu’il ne commande pas. Il en est ainsi parce qu’il n’assemble pas. En d’autres mots il n’institue pas un peuple ni une nation propres. C’est le monde de la multitude informe. Cela s’explique par le fait qu’il n’a pas vocation de régner mais de posséder ni de posséder en extension, conformément à l’hommalité, cause de l’homme, inclination à tout subordonner.

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Cela mène à une inférence surprenante, à savoir que les gens de la république ne sont pas, au sens plein du mot être. La raison de ce qui précède réside dans le fait de leur imbrication dans le blancisme. Celui-ci, par un procédé anthropologique, a transformé leur hommalité primitive. De l’homme plein ils sont passés à l’homme considérablement réduit. C’est l’effet de l’absorption du discours blanciste. Celui-ci en eux les a esclavagisé(e)s, soit en gens imbriqués dans un ensemble plus grand, ici le blancisme, où l’initiative, même l’acte de penser par soi, leur est retirée à l’avantage d’une autre, distincte par nature. L’autre initiative, celle qui est officiellement privilégiée par le prédateur, le blancisme, dans un tel contexte, celui de conquérir pour être ce qu’on être, c’est de se faire l’apôtre des idéaux européens, donc blancistes, lesquels idéaux implique subtilement une image négative d’eux-mêmes, c’est-dire gens dont l’évolution est liée au blancisme. C’est la pilule de l’idéologie de l’esclave naturel, être fait pour recevoir sa conduite d’un autre, qui est ici dorée par le prédateur à nul autre pareil. Ignorant tout cela, ils voient ce lien comme une évolution positive. Toute leur activité de calculer, qui par sa colonisation est devenu l’acte de la raison, a lieu à l’intérieur de l’idéologie blanciste. Ils ne connaissent que les schèmes posés par le blancisme. Toutes les idéologies qu’ils intègrent dans leur vie praxique sont pensées par l’Europe et ses enfants dispersés. Qu'on les écoute parler au niveau religieux, leurs croyances, principes de leur conduite, sont blancistes. Il en est de même sur le plan politique. Ce comportement est contraire à être en soi, par soi et pour soi, donc être vraiment. Tout contexte parasitaire à ce chapitre, l’art de vivre, esclavagise, c’est-à-dire reproduire en vrai l’esclave discursif. C’est cette situation qu’a dénoncée le Général Vainqueur, Invincible Jean-Jacques Dessalines, dans le discours du 1er janvier 1804 : « Nos lois, nos mœurs, nos villes, tout porte encore l'empreinte française. … Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes. … Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. Esclaves !... Laissons aux Français cette épithète qualificative. Marchons sur d'autres traces» Dessalines, le Vainqueur de Napoléon Bonaparte, en mettant, d’entrée de jeu, en relief ce phénomène à contresens, voulait déprogrammer plusieurs en vue du succès continu de la Grande Victoire, celle des Ancêtres, son œuvre incontestée et incontestable, sur l’adversaire, dont tout l’être est prédation. L’Invincible Général n’y est pas parvenu. Ce qu’Il redoutait fortement est arrivé, l’indigne coup. Les auteurs de la république sont chacune-chacun transformés en instrument du blancisme. D’où la déformation de leur être et sa négation.

L’enchâssement a réduit de beaucoup l’élan de leur hommalité primitive. Le blancisme en eux modère constamment leur hommalité primitive, qui est de tout subjuguer, en la réorientant, vers une hommalité dont le sommet, soit la volonté d’être unique en tout et partout, est dompté. Ils sont mi-homme mi-néant. Ils sont maintenant des esclavagisé(e)s.Tout en étant réduit à la servitude, qui est ici porteur du projet blanciste, le sujet de la république est et demeure homme, la base, qui est la tendance à s’élever au-dessus des autres, mais limitée. Le sujet est intégré dans l’espace blanciste avec la possibilité d’être auprès du penchant en question, substance de l’homme. Il n’y a pas de rupture complète avec lui-même, ce qui serait un obstacle majeur à son absorption. Être auprès de son hommalité, lui donne l’impression d’être, quoique dans les fers, c’est-à-dire son amputation. Il le fallait pour que l’opération Mise sous tutelle (physique et intellectuelle) soit réussie. Être ou être homme par la base n’est pas l’hommalité pleine.

Les conséquences de cela, le sujet de la république ne se dissocie pas du blancisme et ne peut même pas l’envisager. Il y a une union par le socle, là où il continue à être présent à lui-même (en tant qu’homme) – la démonstration ne peut pas se faire ici parce qu’elle est très complexe -, ainsi que la cime, là où il est absorbé par l’hommalité blanciste – une unité par la pensée, la vision du monde, bien que bornée pour l’esclavagisé(e). Par cette tactique le blancisme se donne à lui comme moyen de réalisation de soi, mais un soi partiellement nuageux, soit pleinement inaccessible. Ce n’est pas une mince affaire, l’acte de vivre.

C’est un processus extrêmement complexe et difficile mais il est ici réussi. Cela débouche sur ceci. L’ensemble de la république n’est pas la république, ce qui serait, si tel était le cas, la souveraineté du pouvoir, mais le blancisme. Autrement dit, celui-ci est son lieu d’être. Se trompe qui pense observer une volonté d’être esclave chez les gens de la république. Premièrement aucun être ne répond à l’appellation esclave, être naturellement placé sous la tutelle d’un autre que soi par incomplétude, deuxièmement les gens dont il est ici question sont des esclavagisé(e)s et la volonté est postérieure à l’être ou ce qu’on est. Ils peuvent alors vouloir conformément à leur être, des gens soumis, non ce qu’ils sont déjà. La république est à l’ombre du blancisme. Alors les propriétés de peuple et nation lui sont indigestes, soit étrangères et contradictoires. Considérée en elle-même, la république est une horde.

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Suivons la voie de l’avènement de la horde républicaine. L’hommalité travaillée, bien sûr par le blancisme, des hommes et femmes de couleur comme les noir(e)s libres a conduit au parricide, assassinat physique de l’Éternel Empereur Jean-Jacques Dessalines. On veut par là faire échec à une présence qui fait obstacle à la prétention blanciste, être fait, selon l’idéologie, pour se diriger et diriger les autres. Le principe dessalinien  d’être en soi, par soi et pour soi, qu’on a vu plus haut, dérange au plus haut point. Ainsi l’acte est posé sous l’influence du blancisme en eux, plus précisément son hommalité en eux. L’acte d’assassinat est la contestation de l’affirmation de soi, le soi ancestral munal, dont Jean-Jacques Dessalines est la figure.


Pour y songer seulement, mettre en échec la Résistance Victorieuse dont l’Empire est la forme sensible dans le monde, il faut que la légitimité et la légalité en dehors du blancisme soient jugées sans valeur aucune dans l’esprit de ces gens. Il n’y a ni légitimité ni légalité dans le monde nègre. Telle est l’attitude du blancisme à notre égard, un comportement qu’il a forcément transmis aux esclavagisé(es. Le parricide est le rejet conjugué du non-blancisme. L’être est ici le blancisme qui est vécu par les parricides sous le mode de soi-même, une union de deux groupes d’êtres distincts. Le biologique est ici opacifié au profit de la pensée, laquelle est la conscience qu’on a de soi-même.


Il est clair que l’origine première et commune  du parricide ou l’acte attentatoire contre le négro-jelefweisme est l’hommalité.


Le néant du négro-jelefweisme est suivi d’un autre point, le soi-fonceur, il en faut un, celui qui a pris l’initiative de faire échec à la colossale institution négro-jelefweenne, l’Empire de Toya-Dessalines. Il agit sous la dictée de l’hommalité travaillée avec la collaboration de ses pairs mais à son avantage. Rappelons-nous qu’ils sont des êtres disparates, sans dimension universelle, ce qui rassemble. Chacun-chacune ne veut que pour soi et l’inclination à s’élever au-dessus des hommes appartient uniquement à soi, un fait d’hommalitéC’est ce qui préside au pouvoir. Ce fait d’hommalité est à la base de l’avènement du pouvoir de l’un, son pouvoir à soi, comme propriété de la république, parce que, d’abord, la république n’est pas en soi – elle a le statut de pronom, soit un remplaçant -, et, ensuite, les gens sont sans lien entre eux. On l’a vu plus haut, c’est l’état de nature entre eux, pour reprendre une terminologie de la philosophie politique. Chacune-chacun est savqn vis-à-vis de chacun-chacune, voilà le vocabulaire approprié. Dans un tel contexte, absence de collectivité proprement dite, le pouvoir ne peut pas ne pas être le pouvoir de l’un. Le pouvoir de l’un est le second élément de l’avènement de la république.


Comme les esclavagisé(e)s ne sont pas reliés les uns aux autres mais uniquement au blancisme créateur, le pouvoir ne va pas sans conflit. La lutte que cela occasionne n’est pas une lutte d’institution, qui réclame des normes, mais un duel entre chats et souris, lequel duel appelle forcément des alliances pour survivre. C’est le cas de Pétion, sa gang et Christophe.


Dans cet état d’affrontement idéologique et interpersonnel, la seule règle qui vaille est la réussite, c’est-à-dire l’emporter. Ce n’est pas l’énonciation de l’inutilité de la norme. Le blancisme en eux leur impose la nécessité et l’obligation des règles. C’est l’espace non-blanciste qui en est dépourvu parce qu’il est unilatéralement proclamé néant. La république y est née et, bien qu’elle soit sous l’influence blanciste, donc sous ses normes, doit continuer à s’exercer dans cet espace, le négro-jelefweisme, donc le vide de la légitimité et la légalité, pour l’efficacité de l’entreprise. Idéologie de l’esclave exige. Il s’ensuit que même la loi que la horde républicaine se donne n’a pas valeur de loi, telle qu’on l’entend. Il n’y a de loi que dans la volonté blanciste. Il ne peut pas en être autrement puisque la horde républicaine est arrivée en périphérie de l’Éternel Empire d’Ayti par infraction. De l’eau salée il ne peut jaillir de l’eau douce. La réussite impose au fonctionnement de la république le mépris de la loi non-blanciste comme le blancisme piétine la loi des autres. La norme prévalant dans la république est l’infraction. C’est dire que, en dehors de la réussite, il n’y a pas de règle du tout. L’infraction, c’est la troisième origine de la république. 

On voit avec quelle aisance que les « chefs » et leurs partisanes et partisans se foutent de la loi, celle que se donne la horde républicaine. C’est même un acte vertueux que de ne pas respecter la loi. Une simple entente avec le blancisme refoule la loi et le blancisme ne se gêne pas d’imposer des choses contraires à la loi. On est dans un monde où l’infraction est la norme.       


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La république est arrivée sur notre territoire en vue de…. Qu’est-ce que c’est ? Les origines mêmes de la république le disent tout haut, faire échec à la NqhÄ, assurer au blancisme l’accès au Territoire Impérial que la Victoire Dessalinienne lui a interdit et aux ressources de celui-ci, de s’enrichir, puisqu’on est homme par intégration, et d’anéantir au bout du compte le Peuple Ancestral, Peuple de Dessalines, sujet de la Victoire à travers Jean-Jacques Dessalines, Messie et Mandataire.


Il nous est donné d’assister au mépris d’une des Volontés exprimées de l’Éternel Vainqueur du blancisme, Dessalines, savoir que « Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété. Article 12 de la Constitution. La république a ouvert la porte à son maître-réalisé. Chaque pouvoir qui passe cède au maître-réalisé, le blancisme, une partie de Notre Territoire Ancestral via des traités complètement absurdes, des traités contraires à la pensée même de pays ou nation. L’objectif est clair. Les ressources du Peuple de Dessalines vont massivement ailleurs, chez le blancisme, et une partie est réservée aux parricides, qui sont aujourd’hui les partisans et partisanes de la république. Tout ce dont le Peuple de Dessalines a immédiatement besoin, et qu’il produisait abondamment, pour continuer à vivre, et bien vivre, est systématiquement détruit, en toute connaissance de cause, par le blancisme sous l’œil égayé des parricides. Le blancisme n’agit plus dans l’ombre et ne cache presque plus les actes sinistres qu’il pose contre le Peuple Impérial, par exemple, la destruction de l’agriculture, les cyclones et inondations artificiels, les maladies comme les épidémies, tel le choléra, les catastrophes provoquées, comme le tremblement de terre, dont aujourd’hui marque le septième anniversaire. Pour ce qui est de cette catastrophe provoquée, le séisme du 12 janvier 2010, une arme de destruction massive, certaines personnes de race blanche, notamment les autorités russes par le truchement de notre grand ami et frère, l’Illustre Vénézuélien Hugo Chavez, un Éternel, et d’autres spécialistes en la matière la dénoncent mais pas la république. Elle fait la sourde oreille. Elle a réédité la même attitude face aux victimes du choléra. Un complot public contre un Peuple, le Peuple de Dessalines, à travers lui une « race » entière, la Négro-jelefweenne, chapeauté par les horde-républicaines et horde-républicains.   

Franklin Delano Roosevelt l’a très clairement exprimé, ce Pays doit disparaître. Il n’y a aucun malaise. Au contraire les parricides sont de grand(e)s ami(e)s du pays de ce blanciste. Le Canada est devenu un grand ami aussi lorsqu’ils ont appris qu’il avait déchiré l’invitation qui lui avait été envoyée pour les célébrations du bicentenaire. 


Avec la république le Peuple de Dessalines vient de connaître 210 années morbides. Il y a des horde-républicains et horde-républicaines qui osent dire qu’ils vont redresser la situation, votre situation. Bien évidemment ils bluffent sciemment, ils cherchent à gagner du temps en faveur du processus d’eliminrgyo. Parmi les pires ennemi(e)s de ce que nous sommes, se comptent les gens qui physiquement nous ressemblent. 


VOUS, êtes-vous du côté des Ancêtres par le Dessalines en vous, l’Éternel Empereur, le Vengeur et le Libérateur de ses concitoyennes et concitoyens? Si oui, portez votre concours à l’Administration Impériale Rétablie pour la Grandeur maintenue de l’ordre du Nous, produit de la Manifestation de la Présence de Notre Dieu, Bon-Dieu!


La Maison Impériale Dessalines invite tous les gens du Peuple de Dessalines vivant en Ayiti comme à l’extérieur, qu’ils y soient nés ou pas, à monter une liste de préoccupations, c’est-à-dire ce qu’ils veulent entreprendre comme activité korbique. Plus vite ils complètent la liste de préoccupations, plus vite l’Administration Impériale, seul et unique SALUT, pourra entreprendre ses activités en ce sens.


Qui ne le fait pas accepte IPSO FACTO la situation telle qu’elle est. On ne brise pas le confort …..


Nous sommes soumis(e)s au principe dessalinien, nous ne pouvons rien vous imposer. Vous devez prouver que vous voulez vivre vraiment dans des conditions honorables pour que nous entreprenions nos activités. La seule et unique façon de le faire est de vous réunir en petits groupes pour monter les listes de préoccupations et choisir en même temps les premiers Administratrices et Administrateurs. Le principe dessalinien est inviolable.


Pour la Maison Impériale Dessalines


HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

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