Texte augmenté 12 OCTOBRE 1800 – 22 ET 23 AOÛT 2017 ICI DESSALINES CE QU’IL FAUT SE RAPPELER
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Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = p © Tous droits
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12 OCTOBRE 1800 – 22 ET 23 AOÛT 2017
ICI DESSALINES
CE QU’IL FAUT SE RAPPELER
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LE MARDI 6 JUIN 2017
À L’APPROCHE DE LA TRADITIONNELLE
CÉLÉBRATION DU 14 AOÛT 1791
Pour accéder à l=intelligence de la
proclamation, par Toussaint L=Ouverture, de l=abolition de la
Victoire ancestrale sur la France, il faut se rappeler qu=il s=adresse directement aux
Nègres et Négresses qui ont vaincu la France en 1791 et qui, par conséquent,
sont gwqmun. Bien évidemment la France ne reconnaît pas sa défaite et continue
d=agir comme si elle
était maîtresse des lieux. Elle a remplacé l=appellation d=esclave par
cultivateurs et cultivatrices. Voyant en Toussaint L=Ouverture - parce qu=il s=était opposé, avec ses
amis, notamment Jean François Papillon, Jeannot Bullet et Georges Biassou, à l=éviction de la France
dans la vie des Ancêtres - le moyen de berner les Ancêtres, elle le place en
avant-scène.
Regardons comment L=Ouverture s=y prend pour rétablir
la colonie de Saint-Domingue et placer nos Ancêtres sous la domination de la
France, Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres.
Comparez le rôle de la république d=Haïti, de nos jours Ade Haïti@ - les choses ne
changent jamais sans raison -, une horde et une colonie, dont Toussaint L=Ouverture est le
fondateur, au dire du blancisme et des histo-à-riens, pour reprendre la
terminologie du grand Résistant karukeran (Guadeloupe), Léopold Edward-Lesaint,
avec celui de Saint-Domingue, celui de Toussaint, comme dirigeant poupée-toile.
Vous verrez, à l=opposé de celles et
ceux, dont les facultés sont déficientes, que les deux états font fonction de
moyen par lequel le blancisme piétine les Nègres et Négresses et, surtout,
pille leurs biens et ressources.
Si, à l=approche de l=Anniversaire du 14 août
1791, le dernier congrès gwqmunal avant la contre-offensive générale et la
Victoire qui en émane, laquelle est visée par l=abolition de Toussaint
L=Ouverture, vous vous
sentez être en soi, par soi et pour soi, que la démarche de Toussaint et celle
de la Horde-républicaine, vous blessent au plus profond de vous-même et que
vous voulez vous ranger du côté de nos Ancêtres, les Nègres et Négresses,
joignez-vous sans tarder au Rétablissement de l=Administration
Impériale du Pays de nos Ancêtres, Érigé par l=Opération Dessalines,
laquelle est à jamais VICTORIEUSE.
Certaines personnes disent du texte qui suit
qu’il est l=oeuvre de Sonthonax, d=autres soutiennent qu=il est plutôt l=oeuvre du colon Bernard
Borgella, vivant à Port-au-Prince, un des membres du conseil-gouverneur, monté
par Sonthonax, et ami personnel de Toussaint.
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La proclamation, dans le cadre de sa promesse de Asoumettre à la France
ses frères les noirs@, de Toussaint L=Ouverture, le 12
octobre 1800, de l=abolition de la Victoire ancestrale sur le
blancisme au cours de la contre-offensive générale des Ancêtres, les
Négro-gelefweennes et Négro-gelefweens, débutant dans la nuit du 22 et 23 août
1791
AToussaint L=Ouverture, général en
chef de l=armée de
Saint-Domingue,
À toutes les autorités
civiles et militaires
Citoyens,
Notre premier devoir,
après avoir terminé la guerre du Sud, a été d=en remercier le
Tout-Puissant, nous nous en sommes acquitté avec la ferveur qu=exigeait ce grand
bienfait. Maintenant, citoyens, il importe que tous nos momens ne soient
consacrés qu=à la prospérité, à la
tranquillité publique, par conséquent au bonheur de tous nos concitoyens.
Mais pour y parvenir d=une manière solide, il
faut que toutes les autorités civiles et militaires s=occupent, chacun en ce
qui le concerne, de remplir avec zèle, dévouement et en amis de la chose
publique, les devoirs que sa place lui impose.
Vous vous pénétrerez
aisément, citoyens, que la culture est le soutien des gouvernements, parce qu=elle procure le
commerce, l=aisance et l=abondance, qu=elle fait naître les
arts et l=industrie, qu=elle occupe tous les
bras, étant le mécanisme de tous les états; et alors que chaque individu s=utilise, la
tranquillité publique en est le résultat, les troubles disparaissent avec l=oisiveté qui en est la
mère, et chacun jouit paisiblement du fruit de ses travaux.
Autorités civiles et
militaires, voilà le plan qu=il faut suivre, voilà le but qu=il faut atteindre, c=est celui que je vais
vous prescrire, et je promets de tenir la main à son exécution; mon pays exige
cette mesure salutaire; les devoirs de ma place m=en imposent l=obligation, et la
sûreté de la liberté l=exige impérieusement.
Mais considérant que
pour assurer la liberté sans laquelle l=homme ne peut être
heureux, il faut que tous s=occupent utilement de manière à coopérer au
bien public et à la tranquillité générale;
Considérant que le
militaire qui a des devoirs sacrés à remplir, puisqu=il est la sentinelle du
peuple, qu=il est perpétuellement
en activité, pour exécuter les ordres qu=il reçoit de son chef,
soit pour maintenir la tranquillité intérieure, soit pour combattre les ennemis
de la république au dehors, est essentiellement obéissant à ses chefs - et qu=il importe que les
gérans, des conducteurs et cultivateurs qui ont également des chefs, se
comportent comme les officiers, sous-officiers et soldats pour tout ce qui a
rapport à leurs devoirs ;
Considérant que lorsqu=un officier, sous-officier et soldat s=écartes de se devoirs,
il est traduit à un conseil de guerre, pour y être jugé et puni conformément
aux lois de la république, parce que dans le service on ne peut passer de faute
pour tel grade que ce soit - les gérans, conducteurs et cultivateurs devant
être subordonnés à leurs chefs et assidûment attachés à leurs travaux, seront
également punis, s=ils manquent à leurs devoirs;
Considérant qu=un soldat, sans
encourir la punition la plus sévère, ne peut quitter sa compagnie, son
bataillon, sa demi-brigade pour passer dans une autre, sans une permission bien
en règle de ses chefs - et qu=il doit être également défendu aux
cultivateurs de quitter leurs habitations pour aller dans une autre sans une
permission légale: ce qui ne se surveille pas, puisqu=ils changent d=habitations à volonté,
vont et viennent, ne s=occupent nullement de la culture, seul moyen
cependant de venir au secours des militaires, leur soutien, se cachent même
dans les villes, bourgs et dans les mornes où ils sont attirés par des
personnes ennemies du bon ordre, et ne s=y occupent que de voler
et qu=au libertinage;
Considérant que depuis
la révolution, des cultivateurs et cultivatrices qui, parce qu=ils étaient jeunes
alors, ne s=occupaient pas encore de
la culture, ne veulent pas aujourd=hui s=y livrer, parce que,
disent-ils, ils sont libres, et ne passent les journées qu=à courir et vagabonder,
ne donnent qu=un très mauvais exemple
aux autres cultivateurs, alors cependant que tous les jours - les généraux, les
officiers, les sous-officiers et soldats sont en activité permanentes, pour
assurer les droits sacrés de tous;
Considérant enfin, que
ma proclamation du 25 Brumaire an 7 (15 novembre 1798), au peuple de
Saint-Domingue, aurait dû le porter à un travail actif et assidu, en même temps
qu=elle disait à tous les
citoyens indistinctement, que pour parvenir à la restauration de
Saint-Domingue, le concours de l=agriculteur, du
militaire et de toutes les autorités civiles était indispensable;
En conséquence, voulant
absolument que ma proclamation ci-dessus relatée, ait son entière exécution, et
que tous les abus qui se sont glissés parmi les cultivateurs cessent dès la publication
du présent règlement;
J=ordonne très
positivement ce qui suit :
Article 1er
Tous les gérans, conducteurs et cultivateurs seront tenus de remplir avec
exactitude, soumission et obéissance, leurs devoirs - comme le font les
militaires;
Article 2r Tous les gérans,
conducteurs et cultivateurs qui ne rempliront pas avec assiduité les devoirs
que leur impose la culture, seront arrêtés et punis avec la même
sévérité que les militaires qui s=écartent des leurs; et après la punition
subie, si c=est un gérant, il sera
mis dans un des corps composant l=armée de Saint-Domingue; si c=est un conducteur, il
sera cassé de son emploi, remis simple cultivateur pour travailler à la culture,
et ne pourra plus prétendre à l=emploi de conducteur; si c=est un cultivateur ou
une cultivatrice, il sera puni avec la même sévérité qu=un simple soldat,
suivant l=exigence des cas;
3 Tous les cultivateurs
et cultivatrices qui sont dans l=oisiveté, retirés dans les villes, bourgs ou
dans d=autres habitations que
les leurs, pour se soustraire au travail de la culture, même ceux ou celles
qui depuis la révolution ne s=en seraient pas
occupés, seront tenus de rentrer immédiatement sur leurs habitations
respectives. Si dans huit jours, à compter de la promulgation du
présent règlement, ils n=ont pas justifié aux commandans des places
ou militaires des lieux où ils résident, qu=ils professent un état
utile qui les fait exister (bien entendu que l=état de domesticité n=est point considéré
comme état utile), en conséquence, ceux des cultivateurs e cultivatrices qui
quittèrent la culture pour louer leur service, seront tenus de rentrer sur
leurs habitations, sous la responsabilité personnelle des personnes qu=ils servent.
On entend par état
utile, cela qui paye ou pourrait payer une rétribution à la république.
4 Cette mesure
nécessitée pour le bien général, prescrit positivement à tout individu
quelconque, qui n=est ni cultivateur ni cultivatrice, de
justifier incessamment qu=il professe un état utile qui le fasse
subsister et qu=il est susceptible de
payer une rétribution quelconque à la république: sinon et faute de ce
faire, tous ceux ou celles qui seront trouvés en contravention, seront
immédiatement arrêtés, pour être, s=ils en sont trouvés
coupables, incorporés dans un des régimens de l=armée; dans le cas
contraire, envoyés à la culture, où ils seront contraints de travailler.
Cette mesure à laquelle il importe de tenir sévèrement la main, empêchera le
vagabondage, puisqu’elle forcera tout un chacun à s=occuper utilement.
5 Les pères et mères
sont fortement invités de se pénétrer de leurs devoirs envers leurs enfans,
qui sont d=en faire de bons
citoyens; et pour cela, il faut les élever par de bonnes moeurs, dans la
religion chrétienne et dans la crainte de Dieu: sur toute chose,
indépendamment de l=éducation qu=ils devront leur
donner, ils devront encore leur faire apprendre un état quelconque, qui puisse,
non-seulement les mettre à même de gagner leur vie, mais encore de pouvoir
venir, au besoin, au secours de leur pays.
6 Tous domiciliés des
villes et bourgs qui recèleront des cultivateurs ou cultivatrices; tous
propriétaires et fermiers qui souffriront sur leurs habitions, des cultivateurs
ou cultivatrices attachés à d=autres habitations, et n=en auront pas sur le
champ rendu compte aux commandans des places ou militaires des quartiers où ils
résident, seront condamnés à une amande de 2, 4 ou 800 livres, selon les moyens
des contrevenans, et à une triple en cas de récidive. Si les contrevenans,
faute de moyens, ne pouvaient payer cette amende, ils seraient mis en prison
pour un mois; et en cas de récidive, pour trois mois.
7 Les gérans et
conducteurs de chaque habitation, seront tenus de rendre compte au commandant
militaire de leur quartier, et au commandant de l=arrondissement, de la
conduite des cultivateurs et cultivatrices sous leurs ordres, de même que de
ceux qui s=absenteraient de leur
habitation sans permis, comme de ceux des cultivateurs et cultivatrices qui,
quoique résidant sur les habitations, ne voudraient pas travailler à la
culture; ils y seront immédiatement appelés et contraints au travail;
sinon et faute de ce faire, ils seront arrêtés et conduits au commandant
militaire, pour être punis, comme il est dit plus haut, suivant l=exigence des cas. Les
commandans militaires qui ne rendront pas ces comptes aux commandans d=arrondissement, et ces
derniers aux généraux sous les ordres desquels ils sont, seront sévèrement
punis, à la diligence desdits généraux.
8 Les généraux
commandant les départemens, me répondront dorénavant des négligences qui seront
apportées dans la culture, et alors que parcourant les divers communes et
départemens, je m=apercevrais, je n=actionnerais
directement qu=eux, qui les auront
tolérés.
9 Je défends
expressément à tous militaires quelconques, sous la responsabilité des chefs de
corps, de souffrir aucune femme dans les casernes, sous peine de punition
sévère, à l=exception cependant des
femmes des militaires mariés ou celles qui porteraient à manger à quelques
militaires, lesquels, par punition, seraient consignés au quartier; mais elles
seront, ces dernières, tenues d=en sortir de suite : bien entendu que les
cultivatrices en sont totalement exceptées. Les commandans des places et
militaires me répondront aussi de l=exécution de cet
article.
10 Les commandans des
places ou militaires dans les bourgs ne souffriront pas que les cultivateurs et
cultivatrices restent en ville pendant les décades; ils surveilleront même à ce
qu=ils ne puissent s=y cacher: dans le cas
contraire, ceux qui ne se conformeront pas à cette défense impérative, seront
punis, la première fois, de six jours d=arrêt, d=un mois en cas de
récidive, destitués s=ils retombent dans la même faute pour la
troisième fois. Ils rendront compte des cultivateurs et cultivatrices trouvés
pendant la décade, aux commandans d=arrondissement qui
devront également connaître les personnes chez lesquelles ils auraient été
trouvés, pour iceux contrevenans, payer l=amende énoncée dans l=article du présent
règlement. Les cultivateurs et cultivatrices qui parviendront ainsi, aux
commandans d=arrondissement, seront
renvoyés par lui sur leurs habitations, après punition subie, comme je le
prescris dans l=article 2 ci-dessus, en
les annonçant au commandans de leur quartier pour les surveiller à l=avenir.
11 Toutes les
administrations municipales de Saint-Domingue sont chargées de prendre les
mesures les plus sages, de concert avec les commandans de place et militaires,
de même qu=avec les commandans d=arrondissement, pour s=assurer que ceux ou
celles qui se disent domestiques, le soient réellement, en observant que les
cultivateurs ni les cultivatrices ne peuvent l=être; les personnes qui
en conserveraient en cette qualité, et iceux reconnus cultivateurs ou
cultivatrices, ces mêmes personnes seraient condamnées à l=amende précitée; il en
serait de même de tous ceux qui soutireraient des cultivateurs ou
cultivatrices, auxquels ils donneraient toute autre dénomination d=emploi.
12 Tous les
commissaires du gouvernement près les administration municipales, sont chargés
de m=instruire de tous les
abus qui existeraient de la non-exécution du présent règlement, comme d=en aviser les généraux
commandant les départements.
13 Chargeons les
généraux commandant les départements, les généraux et officiers supérieurs
commandant les arrondissemens, de surveiller l=exécution du présent
règlement, de laquelle je les rends personnellement responsables. J=aime à me persuader que
leur dévouement à me seconder pour la prospérité publique, ne sera pas
momentané, convaincus qu=ils sont, que la liberté ne peut subsister
sans le travail.
Le présent règlement sera imprimé, lu, publié
et affiché surtout où besoin sera, même sur les habitations, pour que qui que
ce soit n=en puisse prétendre
cause d=ignorance; il sera de
plus envoyé avec ma publication du 25 brumaire an 7 précitée, qui sera à cet
effet réimprimée, à toutes les autorités civiles et militaires, pour que chacun
se conforme positivement aux devoirs qui lui sont imposés.
Délivré au quartier
général du Port-Républicain, le 20 vendémiaire an 9 de la République française,
une et indivisible
Le général en chef,
Toussaint Louverture.»
-------------------------
Pensez-y
bien! D'après ce que vous venez de lire, par l'abolition Toussaint L'Ouverture
a introduit, à Saint-Domingue même, la situation sévissant dans le continent
ancestral, le Gelefwe. Toussaint ne leur reconnaît pas l'essence d'être doué de
volonté ni celle d’être pensant. Le noir libre voit nos Ancêtres comme des
êtres faits pour servir les blancs et qu’il s’applique à le faire passer de la
puissance à l’acte. Autrement dit, Toussaint L'Ouverture perçoit les Négresses
et Nègres à travers le prisme de la mégalomanie du blancisme. Il ordonne la
razzia de Négresses et Nègres et leur réduction en esclavagisation, conformément à l'idéologie génératrice du blancisme. Il les
contraint, par une cruauté inouïe, à servir les blancistes. Il ne respecte pas
leur volonté d'être gwqmun et, par conséquent, leur Gwqmunité à travers leur Gwqmunalité.
Toussaint protège les femmes blanches mais livre les Négresses, contre leur
gré, aux blancistes pour assouvir leurs soifs sexuelles et vivre concrètement
leurs fantasmes de même nature, autrement dit, pour qu’ils puissent exercer sur
elles toutes sortes de sévices sexuels. C'est effrayant, dégoûtant et
enrageant.
Voilà l=idole de plusieurs au jour d=aujourd=hui! La chose est très claire, ces gens sont des noir(e)s libres, descendants et descendantes des premiers noirs libres.
La Horde-républicaine, qui regroupe les libres de
couleur et les noir(e)s libres, a ouvert la porte au blancisme qui crache sur
NOUS CHEZ NOUS, nous assassine à sa guise et pille toutes nos ressources. La
situation n=a pas changé. C=est comme si nous n=avions pas vaincu le blancisme, Bactérie mangeuse de
Négresses et Nègres. Ils reviennent à la quintessence de la situation initiée
par Toussaint L’Ouverture ainsi que les blancistes et font même de celui-ci le
fondateur de ce qu’ils appellent inadéquatement pays.
Pour la Maison Impériale
Dessalines
HRH Sa Majesté Prince Tiécoura Jean Dessalines
D’Orléans
7e de
la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire
Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et
professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment
du blancisme
Blog de Tiécoura
Dessalines :
Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
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