ALERTE !
ALERTE ! ALERTE À LA BLANCISMIQUE!
La Famille
Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 o = J © Tous droits
réservés
Prenons le cas du Canada, une des associations des bandits qui
sèment l’horreur sur la planète.
PARTAGER
MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
L’esprit des bandits est en tous sens sinueux,
d’où l’impossibilité de les fréquenter de quelque manière que ce
soit.
Sa Majesté Jacques 1er est une divinité en matière de connaissance de soi
et la vie collective qui en dérive. Il maîtrise parfaitement bien la substance
de l’homme, de l’homme blancismisé et du mode d’être dans le monde qu’il se
donne pour se réifier, particulièrement ces associations blancistes, mieux
connues sous les appellations de société, nation, république, religion, etc.,
dont les véritables dénominations sont association de bandits et organisation
criminelle. Son message est clair, sans ambiguïté. Ces choses en apparence mun,
a compris l’Invincible Général et Éternel Empereur, l’Infiniment Grand, ne
doivent ni ne peuvent, en aucun cas, ce, quelles que soient les circonstances,
inspirer confiance. Chacun de leurs gestes, quelle que soit sa nature, est une
flèche empoisonnée. Ce sont des choses qui ne sommeillent ni ne dorment. Ces
faux êtres sont des « tigres altérés de sang », de morts, pour
employer une terminologie du Plus Que Grand, Jean Jacques Dessalines. Ils ne
sont que cela, rien que cela. Ils sont irréversiblement faits de gènes destructeurs,
pour parler de façon imagée parce qu’ils sont des pensées-êtres. N’essayez pas
de les ramener à la Concordance, ce niveau de pensée et bÄnqyelisation est trop élevé parce que leur
logique est tortueuse. Il leur est, par conséquent, inaccessible. Rien ni
personne n’y peut quelque chose. Ils sont inconditionnellement et
irrelativement infréquentables. Ce sont des « gens » à jamais perdus.
Ce ne sont plus des êtres proprement dits, des êtres comme nous, mais
simplement des formes de je ne sais quoi.
Pour préserver les Enfants de l’Éternel Empire de ces
« monstres », comme le Super Soldat, Dessalines, aime à les décrire, Sa
Majesté, conformément au contenu paternel de l’Empire d’Ayti, Éternel Empire de
Toya-Dessalines, prend le décret suivant :
Gwqmunalité ou la Mort
N0 19. - Défense aux Haïtiens et Haïtiennes de sortir du
Pays
Au Cap le 22 octobre 1804, an 1er
JACQUES 1er, Empereur d’Ayti
Art 1 – Tout bâtiment étranger, armé ou non, à
bord duquel il se trouvera une ou plusieurs personnes indigènes, (…) le
capitaine sera arrêté (…)
Signé : Jacques.
Il y a un autre décret qui complètement
celui-là.
Le 14 janvier 1804, an 1er
Considérant qu’un grand nombre de noir(e)s et
hommes de couleur, indigènes, souffrent aux États-Unis d’Amérique, faute de
moyens pour retourner dans leur patrie :
Art. 1. Il sera accordé aux capitaines de
bâtiments la somme de 40 gourdes pour chaque individu qu’ils ramèneront dans ce
pays.
Signé :
Dessalines
Ces mesures prises par Jean Jacques
Dessalines ne sont pas valables pour un temps. Elles sont éternelles car vivre
au pays blanciste est incompatible à tout être supérieur. On y voit de trop
près la bassesse, la vilenie, des « gens » faits pour tuer et vivre
du sang ou la vie des autres. Puisqu’ils ne sont que cela, ils y pensent plus
qu’ils respirent. On les voit qui marchent avec leurs lèvres dégouttant de sang.
Quoi de plus répugnant, de tels « êtres » ! L’Éternel Empire d’Ayti ne peut pas permettre
à ses Enfants de faire de telles expériences.
L’Administration Impériale Rétablie cautionne ces mesures
d’interdiction et rapatriement car l’expérience nous contraint à n’établir aucune
relation, de quelque nature que ce soit, avec les pays blancistes, ces
associations de bandits, et les blancistes, agents de la criminalité positive.
À la simple vue des nôtres, spécifiquement les Négresses
et Nègres, les blancistes, quel que soit leur rang social, du plus haut jusqu’au
simple fatras (la scrap), et quelles que soient leurs fonctions, étatiques,
publiques, administratives, etc., au vu et au su de tout le monde ces criminel(le)s
fieffés montrent les crocs et sous l’impulsion savqn de l’hommalité en eux,
sautent et dévorent. Parfois, c’est le regard, d’autres des mots, d’autres des
coups de poing, d’autres des coups de poignards, d’autres des coups de feu, d’autres
la razzia (enlèvement politique ou persécution raciale), c’est le cas ici des
corps de police de l’insécurité publique sous couvert de l’arrestation sans
offense à aucune loi ni à aucun règlement, laquelle razzia est confirmée par le
corps des magistrats, appelé juges. Au travail ou ailleurs, c’est partout
pareil. Ces associations de bandits sont des lieux de tourments constants pour
celles et ceux qui n’ont pas encore accédé à la science du plus grand Mal, l’homme
et partant le blancisme, son produit dérivé.
Au Canada le temps est on ne peut plus kwibih. Des
agentes et agents de police vous observent de très près pour concocter un piège,
finalement une razzia, à votre mesure et qui sera consolidé, en toute
connaissance de cause, par les juges. Les jeunes sont cent fois plus à risque
car la tendance est de nous éliminer, en tout genre, très tôt. Les bandits se
préparent à une bonne récolte.
Moi, Sa Majesté, Je nage dans une mer pavée de requins
les plus brusques – il s’agit du Canada - mais, Enfant de la Victoire Certaine,
J’y vais calmement et sereinement. Je les vois, les odeurs méphitiques, quelles
que soient leurs distances, les plus proches, extrêmement proches, comme les
plus éloignés. La vue de ces savqn se tournant autour de moi me gonfle de force
comme eua et Je fais avec plus de puissance encore le Travail Ancestral, le
Seul qui Vaille. À tous ceux et celles qui ne nous aiment pas, en ma qualité de
Sa Majesté, Je leur dis, sans ambages : La planète est à nous car nous
sommes les indigènes; ici, il n’est pas permis de faire comme chez soi; s’il y
en a qui ne peuvent pas le digérer, ils connaissent la porte.
À vous toutes et tous, Enfants de Jacques 1er
formant le Peuple Impérial, la persécution blanciste, qui est, en fait, une
persécution politique, redouble d’ardeur. Le blancisme infiltre les familles,
les connaissances, les amitiés, les relations de travail, les camarades de
classe, les institutions de toutes sortes, les voisinages, etc., etc., etc., pour tenter de camoufler ses coups, le pic de
l’horreur. Où que vous soyez, ici comme ailleurs, dans un pays blanciste comme
dans un pays nègre, dans tous vos déplacements, le blancisme est directement
responsable, sans intermédiaire, de ce qui de mal vous arriverait. La puissance
de la loi s’appliquera sans hésitation aucune et sans détour.
Que chacune-chacun ramasse et conserve tous ses
croisements avec le blancisme, soit relations de travail, relations
administratives scolaires, quel que soit le niveau, relations de services,
privées et étatiques, les provocations, les interpellations, les kidnappings
sous forme d’arrestation, les condamnations par les tribunaux, les
emprisonnements, les refus administratifs de toutes sortes, les révocations de
travail, enfin, tout, tout, tout. Ce sont des pièces à conviction.
Nous travaillons à faire échec total-capital à l’eliminrgyo.
ALERTE !
ALERTE ! ALERTE !
LES PEUPLES DE LA TERRE NOUS SOUTIENNENT
INCONDITIONNELLEMENT.
Pour
la Maison Impériale Dessalines
HRH Sa Majesté Prince
Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de
la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et
Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort,
l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la
politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de
la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
Commentaires