29 NOVEMBRE 1803 – 29 NOVEMBRE 2019 Le Pays est sauvé et le Pays est à nettoyer




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29 NOVEMBRE 1803 – 29 NOVEMBRE 2019
Le Pays est sauvé et le Pays est à nettoyer

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« J’ai sauvé mon Pays », dit l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines. En 2019 il nous revient, à nous en qui vit le Libérateur et Vengeur, Toujours Jean Jacques Dessalines, de faire le grand nettoyage, un grand coup de balai. Ce sont toujours les mêmes car le blancisme ne peut pas renoncer à lui-même. C’est un être unidirectionnel. Lisez à ce sujet mon dernier livre : Les droits de l’homme sont antinègres II C’est le livre, le SEUL, qui met en lumière la nature et la fonction du blancisme sur la terre. Rien n’est intelligible en dehors de la lecture de ce livre.


« Oui, nous avons rendu, à ces vrais cannibales, guerre pour guerre, crimes pour crimes, outrages pour outrages », prononcera Dessalines, pour faire ce Pays qui est le NÔTRE et qui ne flirte pas avec le blancisme. C’est la rupture totale-capitale : « Marchons sur d’autres traces », dit le Vainqueur du blancisme. Le soldat français, Philippe Beaudoin, est assez honnête pour le reconnaître. À ce sujet il écrit : les esclaves de Saint-Domingue n’ont pas attendu qu’on leur octroie leur liberté”. M Beaudoin repousse ainsi la prétention selon laquelle Sonthonax et Paris, par la proclamation de l’abolition du 29 août 1793 et le décret du 4 février 1794, ont accordé la “liberté” aux Nègres et Négresses de Saint-Domingue. M Beaudouin se réfère à la contre-attaque du mois d’août 1791 qui a aéré le territoire et la sphère existentielle d’une multitude d’entre eux. L’adjudant général Boisrond Tonnerre va dans le même sens, à savoir que le pays est né : “J’ose assurer que si, sourd aux insinuations astucieuses des prêtres et des colons émigrés qui l’entouraient, Toussaint n’eut consulté que ses officiers-généraux, les Français eussent été contraints de renoncer à la conquête du pays ou de se tenir sur les vaisseaux qui les avaient apportés; mais il était décidé que nous devions acheter par la perte de vingt mille hommes l’expérience la plus cruelle et notre indépendance. Et c’est le pays que les blancistes et ses atha tentent, par ses manœuvres, de ravir.

L’Invincible Général Dessalines en a dit un mot le 1er janvier 1804 : « Eh quoi! victimes pendant quatorze ans de notre crédulité et de notre indulgence; vaincus, non par des armées françaises, mais par la piteuse éloquence des proclamations de leurs agents ». Dessalines a pourtant compris le jeu, il poursuit : « … aux factions toujours renaissantes qui se jouaient tour à tour du fantôme de liberté que la France exposait à vos yeux » et plus loin il dira : « J'ai veillé, combattu, quelquefois seul ». Oui, crie Dessalines : « J’ai sauvé mon pays ».


Les mêmes racailles sont intervenues le 17 octobre 1806. Elles ont, par la voie de l’amitié, empoisonné le Libérateur et Vengeur et, par les mêmes mensonges que Dessalines a dénoncés plus haut, elles ont cherché à justifier l’acte innommable.

Cela n’a pas marché puisque, lorsque le Peuple Impérial a appris le coup comme le retour des blancistes, le blancisme a immédiatement reculé en changeant de stratégie. Les manœuvres d’autrefois ont refait surface. Ils ont signé de nouveaux papiers.

Avant même de prendre le temps de vérifier les nouveaux papiers, c’est l’effervescence : « Lisait-on avec satisfaction dans les journaux de l'époque les vers suivants composés en l'honneur de Dessalines, le fondateur de l'indépendance, à l'occasion de la fête du 1er janvier 1839” :
« Dessalines! A ce nom, amis, découvrons-nous!
Je me sens le cœur battre à fléchir les genoux,
Et jaillir à ce nom un sang chaud dans mes veines.
Demain, quand le soleil reluira sur nos plaines,
Quand son disque, demain, ira de ses rayons
Réveiller l'harmonie et l'encens de nos monts,

Qu'au bruit de la fanfare et de l'artillerie,
Le peuple saluera le jour de la Patrie,
Suspendez vos plaisirs, recueillez votre cœur,
Songez à nos héros, songez à l'Empereur!

Quand cet aigle africain parut sur nos campagnes,
On dit avoir senti tressaillir les montagnes,
Déployer leurs sommets comme un noble coursier,
Et tout à coup le sol osciller sous les maîtres,
Les repoussant partout comme ennemis et traîtres.
A voir l'aigle promis que longtemps il rêva,
D'un seul cri, d'un seul bond l'esclave se leva,
Et surprenant l'impie au milieu de ses fêtes,
Rompit son joug de fer entre ses mille têtes.

Et ce peuple nouveau qui d'esclaves naquit,
Fier de sa liberté que sa force conquit,
Dédaigna de s'asseoir autour des mêmes tables
Pleines encore de vins et de mets délectables.
Ces orgies insultaient à ses mille douleurs;
 Le vin était son sang, et le pain ses sueurs.
Purifions le sol des péchés de l'impie,
Dit le peuple, et la torche alluma l'incendie,
Et Jean-Jacques semblable à quelque esprit de Dieu, Dicta l'indépendance à la lueur du feu.
Écoutez... Le canon!
La montagne en tressaille
Comme autrefois de joie aux sons de la bataille!
Oh! Demain le soleil se lèvera plus pur
Et plus majestueux dans sa courbe d'azur!
L'oiseau nous chantera des chants d'amour encore,
La voix de nos forêts redeviendra sonore,
Et nos fleuves taris jailliront en torrents,
Et nos lacs rouleront des flots plus transparents,
Et toi, peuple héroïque, et toi son beau génie,
Demain vous saluerez une ère d'harmonie. »

Tout le corps est pénétré de Sa Majesté et Son Invincible Général Jean Jacques Dessalines. Puissant se sent chacune-chacun.

Cependant nos gens se sont fait rouler car le blancisme est unidirectionnel. Il est toujours là sur notre territoire, semant la cime de la cruauté.

Les descendantes et descendants des irréductibles libres, ainsi que leur maître-réalisé, aujourd’hui encore, maintiennent le même discours, déjà dénoncé par Dessalines.

C’est nous qui vivons l’horreur. C’est à nous de luire comme le soleil en ce jour de la proclamation de Notre Gwqmunité en faisant le ménage chez NOUS. Sauvons Notre Pays ! Sauvons Notre EMPIRE !

Que ces vers soient nos vers et notre chanson !

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


https://docs.google.com/document/d/e/2PACX-1vT-LKnc0Ez2xCn5xPYSrrU-PnIDflG5DPbXL1YnCMv3dKWPJxfqSKGmTKD3ikqumiWgYqvR-nTGDNk9/pub





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