L’EMPIRE D’AYITI, EMPIRE DE DESSALINES, CONTRE LES MENACES ET ACTES DE ADVERSAIRE DE TOUJOURS,
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 t = v © Tous droits réservés
L’EMPIRE D’AYITI, EMPIRE DE DESSALINES,
CONTRE LES MENACES ET ACTES DE ADVERSAIRE DE TOUJOURS, SPÉCIALEMENT
INTIMIDATION, VIOLATION DE DOMICILE ET DE BIENS PRIVÉS, EMPOISONNEMENT, EXILS, ENLÈVEMENTS
ET ASSASSINATS POLITIQUES ET RACIAUX PAR LES COMMANDOS DE TERRORISTES DU
POUVOIR, DÉTENTIONS, MORTS EN INCARCÉRATION ARBITRAIRE (KIDNAPPINGS), PENDAISONS
SOUS FORME DE SUICIDE, INJECTIONS DE TOUTES SORTES DE MALADIES, ACCIDENTS
PROVOQUÉS, MORTS SUBITES À DOMICILES, PERTES D’EMPLOI, ETC.
I
À PARTAGER MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Ä = on
Le blancisme est un Mal indescriptible
Il y a plus de
cinq cents ans depuis que la planète
terre est en proie à un Mal indicible. Ce Mal s’est ouvertement défini soi-même
en blancisme. Le blancisme est une épidémie (un pian) à nul autre pareil. Dans
l’allégresse il pille et appauvrit les autres. Il ne reconnaît aucune frontière,
tout est à lui. Partout, sans distinction aucune, il fait régner la cime de la
cruauté. C’est en cela même que consiste son être, une chimère sans pareille. En
d’autres mots il a émergé pour cela. Il est l’auteur de tous les crimes massifs
et innommables de la planète. Tous les jours cherchent-ils, non sans grande fierté,
des moyens plus efficaces et plus prolifiques en morts. Tous ces crimes, il les
commet pour pouvoir s’enrichir, manger, boire, se saouler, fumer, danser,
fourrer (le sexe), déféquer et péter (des odeurs méphitiques), bref la pure
passion. Le blancisme trouve en lui-même son plus grand Bien (bonheur). Le
blancisme est un monstre ineffable. Soit dit en passant ces paroles resteront à
jamais gravées dans les annales du crime à cause de leur vérité.
Nous, les
Négresses et Nègres, qui sommes les indigènes de la planète et porteurs de la
pureté de la vie, dont notre mode d’être dans le monde est l’essence, bien
évidemment, à cause de cela, la supériorité de notre contenu d’être manifesté
qui, sans cesse, renvoie le blancisme à sa vacuité, d’où sa rage incontrôlée et
incontrôlable, nous sommes les premiers visés et les plus touchés.
Voici
un rappel succinct des actes sordides de cette force toute destructrice sur
notre Grande Maison! Au début du XVe siècle il y a déjà une forte présence
européenne au Jelefwe (Gelefwe), des gens razziés pour servir dans les maisons
des Princes et travailler pour d’autres personnes. Les Européens y allaient
razzier des Négresses et Nègres comme à la chasse pour les amener chez eux en
Europe. Les hommes organisaient des raids pour en capturer au nom de leur
conception d’eux-mêmes. La présence portugaise était plus forte en nombre. En
plus les portugais colonisent une partie du territoire, par exemple, le Madère
en 1418, les Açores en 1432, 1446-1447 le Cap Vert, le Sénégal et la Sierra
Leone, 1475 le long du golf de Guinée, etc. Vers le continent appelé bêtement
Amérique, l’horreur est à son comble : 200 000 000 de
razzié(e)s, traumatisme-la chez les gens qui restent et traumatisme-la au sein
des razzié(e)s; déportation; occupation de la Cour; chute provoquée des rois;
durant la traversée largage massive de Négresses et Nègres à la mer; en
regrouper dans la soute à charbon en vue de les asphyxier dans la fumée du
bateau; sur le continent, couper une oreille
de celle ou celui qui refuse d’obéir, couper parfois la langue; les violer avec
rage; suant sang et eau sous les coups de fouet; les enterrer vivants debout
jusqu’au cou et la tête imbibée de graisse pour être mangé(e)s par les fourmis;
les bourrer de poudre à canon pour être explosé(e)s ensuite; les enflammer
vivants; les livrer aux chiens anthropophages; châtiment du blanchiment, lequel
consiste à enlever la peau foncée jusqu’à ce que mort s’ensuive; les livrer
vivant(e)s aux chiens anthropophages pour être mangé(e)s vivants; abandonner des gens
aux arthropodes venimeux; immolation des gens; en fusiller par centaines à la
fois; supplice de la roue; les écarteler vivant(e)s; les larguer dans une
chaudière d’eau bouillante; les broyer vivant(e)s, etc., etc., etc.
Tout cela, depuis le dix-septième
siècle avec l’entrée en scène de l’anthropologie des droits de l’homme de
Thomas Hobbes, relève du droit et, par le fait même, se trouve justifié. Le droit
et la raison, c’est la même chose. Il y a une interpénétration des deux. Le
droit, tel que défini, est sans limites. Nous avons appris que, si nous sommes
en dehors de la société blanciste, nous sommes dans l’état de nature. Alors les
hommes, en ayant droit sur toutes choses, et même sur le corps des autres,
peuvent tout nous faire. Tout homme « a
droit de faire tout ce qu'il voudra et à qui il le voudra, de posséder et de
jouir de toutes choses dont il voudra et pourra jouir. » Tout est
permis. Le seul paramètre de l'action est la vie : « Il n'est pas contre la raison qu'un homme fasse tout ce qu'il peut pour
préserver son existence et son être. » Voilà la doctrine des droits de
l’homme, droits du blancisme, doctrine, dans son aspect de terreur, reprise par
Kant et Hegel.
La Résistance à l’offensive hommale, de la part des
Nègres et Négresses, est proportionnelle à la nécessité de l’homme de se faire,
soit à la violence, pour établir ensuite, de façon permanente, un régime du pic
de l’horreur. C’est un Impératif Divin inscrit dans la Structure du La contre
la voie du vide, l’illusion. Partout cette Résistance a atteint son point
culminant; en Ayiti elle culmine en Jean-Jacques Dessalines, celui qui a accédé
à la plus haute compréhension du La et du Mal blanciste.
Malgré la
Dessalinienne le pic de l’horreur, par une fissure, s’est manifesté le 17
octobre 1806. Nombreux sont les Bras Victorieux qui sont tombés dans des
embuscades.
Toute la
signification de la chose se trouve consignée ici, l’assassinat d’une multitude
de gens en même temps. C’est que ces gens sont d’un Grand Ensemble. Ils sont en
avant par la nécessité de leurs talents en ce moment. Ce n’est pas eux qui sont
visés, par les assassinats massifs, mais le groupe auquel ils appartiennent
tous et toutes. On veut le démantèlement du Grand Ensemble en question. On
croit pouvoir y arriver par l’assassinat de ces talents. Cela fait voir leur
unité indivise avec l’Ensemble.
L’échec est
alors total, d’autres Bras, voire le Grand Ensemble même, se tiennent debout
pour faire face aux commandos de terroristes blancistes. Le général Goman s’y est
appliqué sans réserve. Bien que ennemi personnel de Dessalines, il a répondu
par ces mots à la lettre de Cappois (François) Lamort : « Dessalines
nous a donné un Pays ». Cela prouve que c’est l’Ensemble qui a réagi.
C’est par là un modèle qui nous est donné. Une attaque contre Sa Majesté,
Fondateur, Libérateur et Fondement de l’ENSEMBLE IMPÉRIAL, donc le PAYS, engage
toutes et tous.
Aujourd’hui le
blanciste se déchaîne autant que hier, il refuse toutes contestations, toutes
critiques, toutes oppositions sur la terre qui est Nôtre. Pour toute réponse il
fait, particulièrement, pleuvoir des tremblements de terre, des génocides, des
virus (par exemple le SIDA et l’Ébola), des tueries, des maladies, par exemple
le choléra, des kidnappings (enlèvement politique et/ou racial); là où il les détient,
les victimes, il injecte à plusieurs toutes sortes de maladies hautement
mortelle et en assassine d’autres par pendaison, et toutes sortes de moyens,
pour annoncer lui-même au monde leur mort sous forme de suicide. Quel crétin!
Aujourd’hui
encore, selon les MBWA établis, l’Empire, soit le Peuple qui forme un tout
indivis, EST UN, il est le Garant de la sûreté de tous ses membres. Il se
prépare sans cesse à toute éventualité et il en a fait ses preuves, ce qui
explique sa présence aujourd’hui et demain. Il ordonne à toutes et tous de
parler, où qu’il soit, sans craindre les machinations et les manœuvres immondes
de l’ennemi irréversible de notre être.
Bientôt, sur
toute la planète, s’élèvera la VOIX de tous les MEMBRES de l’ÉTERNEL EMPIRE
contre le pian et ses effets nocifs. Sous la protection de l’EMPIRE ANCESTRAL
et par lui, tout sera révélé.
Pour
la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de
Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents
sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH
Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste
7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant
de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines,
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la
politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit
l’Existentialisme VudUn.
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