Le drapeau bi-tricolore de la republique du 17 octobre 1806, symbole de malheurs
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7
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Le Message de Sa Majesté le
lundi 18 mai 2020
à
l’occasion du regroupement des parricides
autour du drapeau du refus de
la Gwqmunalité
À
PARTAGER MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h
= ch
e
= é
Ä
= on
Exilé sur l’Île Sainte-Hélène,
l’empereur déchu de France, Napoléon Bonaparte, révèle, en 1816, une chose,
pourtant gravissime, mais qui ne déplaira pas les citoyennes et citoyens de la
république d’Haïti, ces parricides qui, de 17 octobre 1806 à nos jours,
occupent le territoire ancestral. Bonaparte écrit dans ses Confessions :
« J’ai une confession à faire au sujet de cette colonie ». Il est
question d’Haïti puisqu’Il continue en ces termes : «Je devais continuer
de gouverner par Toussaint ». Toussaint, pour celles et ceux qui ne le
savent pas, est le général en chef de l’armée de Saint-Domingue. Il est désigné
par Léger-Félicité Santhonax, commissaire français, et nommé par Gabriel de
Hédouville, au dire même de celui dans une lettre qu’il a adressée à Toussaint
qui lui avait demandé l’adresse postale du gouvernement français afin de
remettre sa démission, démission refusée par le gouverneur Hédouville sous
prétexte qu’il a encore besoin « des services » de Toussaint, qui,
suite à cela, continuait à faire ses rapports au gouvernement, puis au Premier
Consul, Napoléon Bonaparte, jusqu’à l’arrivée du général Emmanuel Leclerc comme
gouverneur et chef de l’armée de Saint-Domingue.
Les paroles de l’empereur
déchu, Bonaparte, datent de 1816, soit dix après l’empoisonnement de Sa Majesté
Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines par Alexandre Pétion et la religion
catholique apostolique romaine, et aussi dix ans depuis l’institution de la
république, tout cela sous le règne de Napoléon Bonaparte. L’empereur régurgité,
comme le montrent plusieurs textes et plusieurs déclarations faites par
lui-même, était, pendant tout ce temps, très actif sur la scène de la
république, la scène du crime innommable. Sur l’Île Sainte-Hélène, Napoléon
Bonaparte parle d’Haïti au présent. Ce n’est pas un présent historique
puisqu’il s’agit d’état actuel des choses, comme le témoigne avec fracas la
suite du discours, notamment la présence française en Haïti. Le texte que
signeront plus tard Charles X et Boyer en est une éclatante révélation, ce qui,
lorsqu’il sera su plus tard par une bonne partie des combattants et
combattantes, provoquera une vive réaction légitime contre Boyer. Bonaparte
affirme, sans ambages, que la république d’Haïti est une « colonie ».
La république elle-même le confirmera en préconisant au jour d’aujourd’hui que
la première constitution d’Haïti date du 3 juillet 1801, laquelle constitution
clame tout haut que cette terre est une « colonie », une
« colonie française ». Il y a concordance de pensées entre la république,
les parricides l’ayant constituée sous les manœuvres de l’Ouverture, Toussaint
et Bonaparte. La république d’Haïti, qui s’appelle officiellement et en secret
La partie française de Saint-Domingue, avec Toussaint, son père fondateur
officiel ou selon le discours officiel de la république, réintégré dans le jeu
politique et colonial par les propos mêmes de Napoléon Bonaparte, est une
colonie depuis 1806 à l’assassinat physique de Sa Majesté, Principe fondateur
de l’éternel Empire d’AYITI. C’est là ce qui explique les paroles
suivant : “Alors, dit Frederick Nolte, enivré de
son triomphe, Toussaint-Louverture … rendit à l'île son ancien nom caraïbe
de Haïti (pays montagneux), donna une constitution à ses compatriotes ... » Il
y a une confusion sur bien des points – il en est toujours ainsi quand on nage
à contre courant – mais pas sur la nature coloniale de la république.
Il y a cinq propriétés
nécessaires pour qu’il y ait domination blanciste effective ou constituée, la
première est l’église ou la religion chrétienne, la deuxième est, en union avec
la religion, le pouvoir ou la politique pratique blanciste comme bras de fer,
ce qui, au niveau local ou national, inclut la législation, particulièrement le
code civil, et l’appareil oppressif d’État, la troisième est un ensemble de
gens soumis par l’adhésion à la pensée ou théorie blanciste, souvent par unité
d’être – hommalité - ainsi que la blancismesque, praxis, la quatrième est
l’économie, qui est la mainmise sur toutes les activités lucratives et enfin
la cinquième est le drapeau. La république d’Haïti comprend toutes ces
propriétés, notamment la quatrième qui prend forme dans le code noir de
Toussaint, le code civil de Napoléon et, plus tard, le code noir de Boyer,
ainsi que la cinquième, le drapeau.
Dans la vie, tout se fait dans
un cadre philosophique (le sens profond des choses), historique (le
développement praxique) et logique (la compréhension). Quiconque déserte ce
cadre n’accédera à l’intelligence de rien. Il ne faut pas non plus manquer
de sens philosophique ni historique ni logique pour être un être bÄnqyant ou
pensant.
Ceci étant dit, je poursuis la
mise en lumière des faits. Le drapeau haïtien, qui est le symbole de la colonie
française, découle du drapeau français, le tricolore bleu, blanc, rouge.
Toussaint L’Ouverture, représentant colonial ou « agent de la
république », comme le désignait le ministre de la colonie français,
hissait tout naturellement le tricolore. Mais la situation n’était plus la même
du temps d’Alexandre Pétion. La volatilité des choses a contraint les
parricides intérieurs comme extérieures à faire usage de la ruse, laquelle, on
le sait, est une des choses de l’homme, produit de l’hommalité.
Pour bien comprendre la
situation, il faut jeter un coup d’œil sur le sens du drapeau français. Tout
d’abord, la France, telle qu’elle est aujourd’hui, est catholique. C’est
Clovis, un roi barbare et le roi des Francs qui s’est d’abord converti à la
religion catholique, une religion chrétienne. Alors le pouvoir et la religion
forment une seule chose. La raison de la conversion du roi Clovis est d’abord
l’influence de sa femme et ensuite une demande faite au dieux de
celle-ci : si celui-ci lui permet de gagner la guerre ou la conquête, il
se convertira. Sa demande a été exhaussée, il a changé de dieux. Avant lui,
pour la même raison, il y avait l’empereur romain Constantin, le 34e empereur
romain. Le dieux chrétien a entendu sa demande et il l’a exhaussé. Alors il est
converti en 326. Tout comme Constantin, Clovis a entrepris de conquérir et
convertir rois et sujets, ce qui a donné la France actuelle.
Les rois de France, tout au
cours de l’histoire, avaient, par groupes, leur couleur propre qui les unissait
avec leur dieux, dieux de la guerre et de l’esclavagisation éternelle.
Charlemagne qui fut couronné en 800, portait le bleu,. Il en était de même de
Clovis. Le roi Hugues Capet, ainsi que sa descendance, choisit la couleur rouge
de Saint-Denis. Henry IV, Louis XIV, Louis XVI, c’est le blanc. La couleur
blanche est liée à l’église catholique, plus précisément à la vierge Marie sous
laquelle est placée la protection du royaume; la couleur bleue remplace le
noir, signe de deuil de la Sainte Vierge; La couleur rouge est tirée de la bannière de Saint-Denis.
La ville de Paris retient le bleu et le rouge tandis que le roi Louis XVI
maintient le blanc. C’est de là qu’est né le tricolore français le lendemain de
la prise de la Bastille. On a fait porter au roi, Louis XVI, la cocarde
tricolore. C’est la convention
nationale qui donnera la forme définitive au drapeau le 15 février 1794.
Le premier drapeau de
Dessalines est accidentellement né du tricolore français mais dépourvu de tout
sens français. C’est au Quartier-Général, à Dessalines, que, plus précisément
en février 1803, le Général Dessalines a créé le drapeau. Il est instruit de
l’article de la Gazette, que Pétion lui avait fait parvenir, qui affirmait que
les Négresses et Nègres ne combattaient pas pour leur Gwqmunité parce qu’ils se
servaient encore du tricolore. Le Super Soldat est entré dans une vive colère
et il est aussitôt monté par lua. Il sortit son épée, puis d’un coup il coupa
le blanc. Catherine Flon, son Unborn, qui était là, a cousu les deux autres
morceaux de tissu avec ses cheveux. Ainsi est né le drapeau bleu et rouge
dessalinien. À l’Érection de l’Empire, l’unique Fondateur du Pays de la
Gwqmunalité, a remplacé le bleu par le noir, avec une signification propre,
savoir que le Pays est celui de tous ceux et celles qui en feront le choix.
Le 17 octobre 1806, le
blancisme, pouvoir et religion réunis, a empoisonné Sa Majesté. Ils ont aussi
assassiné, par des embuscades, tous ceux qui auraient pu mobiliser les forces
du Peuple Impérial pour passer à la contre-attaque. Le lendemain du jour à
jamais sombre, ils ont entrepris d’instituer leur propre pays. Immédiatement
l’église et le pouvoir colonisateur ont repris leur droit. Leurs couleurs, le
drapeau, ne sont pas en reste. Les trois couleurs bleu et rouge, placées de
façon horizontale, et le blanc au milieu. L’eau retourne à sa source.
En 1915 les États-Unis
d’Amérique ont envahi le pays de la république parricide. La résistance est
forte, elle n’épargne pas les pro-envahisseurs. Philippe Sudre Dartiguenave,
poussé par les États-Unis qui l’ont placé au pouvoir, par un décret proclamait
le 18 mai fête du drapeau. Ce qu’il faut lire dans ce geste, c’est la nature
coloniale d’Haïti. Le message est destiné à ceux et celles qui prétendait que
leur pays était indépendant et qu’ils combattraient tous ceux qui voulaient
entraver son indépendance.
Voilà la république d’Haïti,
unie avec la religion, le pouvoir et les malheurs de toutes sortes qui en
résultent! Bukmqn l’a dit : « N’acceptez pas le dieux des blancs! Il
est la sources de tous les maux ». Dessalines prévient que toute
désobéissance à la Parole que Notre Dieu, Bon-Dieu, lui dicte,
entraîne illico votre chute dans le camp adverse et que ce sera l’horreur.
La religion pousse comme des champignons, le pouvoir blanciste dirige. Alors
les malheurs sans nombre sont au rendez-vous.
Le
drapeau haïtien est l’emblème de tous les malheurs. Le saviez-vous?
Le 18 mai, fête du drapeau,
est le rappel de ce que vous êtes, aux yeux du blancisme, certes. Qui suis-je,
vous demanderez-vous peut-être? Des riens, répond certainement le blancisme,
cela équivaut à des proies, selon sa logique. Comme l’a dit Sa Majesté Éternel
Empereur Jean Jacques Dessalines, le blancisme, ce sont « des tigres
dégouttant de sang ». La logique blanciste, qui est à l’origine du rappel
de ce que vous êtes, vous situe parmi le nombre de gens qui sont là pour eux,
et pour eux seuls. Vous êtes leurs propriétés. Il faut entendre par là que
votre présence dans la vie trouve sa justification dans le désir ardent de
dévorer, soit tuer sauvagement, pour être, qui habite en eux. Ils portent la
guerre, c’est-à-dire la cime de l’horreur, en eux. La guerre est un élan
brûlant qui ne peut être amoindri par rien. Dans le feu de l’action comme dans
la satisfaction de l’écrabouillement, il est encore fumant. Ce désir est ce
dieux qui, de l’intérieur, anime leur corps comme partie intégrante de soi. Il
est son principe créateur et sa source de maintien, et la guerre en est le
mode. Le blancisme, par son hommalité, est tout vertueux, un mouvement
instinctuel.
Regardez-les, dans leur
pâturage, ceux qui sont ses premiers constituants, au mieux, ceux qui président
à sa formation. Constantin n’a qu’un objectif, mettre sous tutelle, par la
destruction inouïe, les pays des autres. Comme ceux qui l’ont précédé, il
dresse une liste de gens et de pays à écrabouiller pour agrandir le sien et en
devenir le seul. Clovis en fait autant, il agresse et massacre pour absorber.
Ils n’ont presque rien à manger, ces gens. Pourtant leur priorité n’est pas
l’agriculture. Ils cultivent plutôt la violence, laquelle consiste à tuer
massivement pour être le plus grand pays, et même le seul, c’est-à-dire l’un.
C’est leur nourriture l’écrabouillement des autres. C’est leur être mental
d’abord. L’autre suit après. Le dieux en eux en est tout satisfait. Jean
Jacques Dessalines Plus que Grand les nomme cannibales. C’est de là que vient
le sens profond de ce concept. Quel mun de grand savoir, Jean Jacques
Dessalines, Enfant élevé par Agbawaya Tóya ! Leur profession est de se nourrir
du sang et de la chair des autres. Que l’on pense à un steak saignant hautement
prisé !
Le blancisme naît de
l’expansion et la multiplication de ces actes du début, ces actes de la vertu
innée, une automaticité instinctuelle, sur toute la planète. Plus la résistance
est grande, plus le dieux en eux multiplie jusqu’à maximaliser l’horreur à
l’extérieur. La religion et la politique, dans leur unité, transforment la
terre en un lieu de tourments indicibles. Elles se donnent des moyens de
détruire massivement les gens. Le sentiment d’unicité, qui est l’expression de
leur être vide parce que mental, impose une limite à la situation d’inétralité,
leur inétralité. Il veut, ce vertueux sentiment, que ce soit maintenant, hic et
nunc, le moment de se réifier, soit de créer enfin l’homme. Le glas de la
presque totalité des gens de la terre sonne. C’est l’hommalasse qui commence.
Ainsi quand vous célébrez le
drapeau de la république, vous fêtez votre enracinement dans le blancisme, mais
aussi une cruauté indicible, un feu inextinguible qui vous accueille
impitoyablement. Que c’est idiot(e) de chanter et danser devant un feu
dévorant, un feu qui vous définit en moyen d’apaiser sa faim et sa soif d’être,
en un mot, en proie. Vous qui, sur les Négresses et Nègres, appliquez, pour
plaire aux blancistes et aussi pour de l’argent, les tests du coronavirus, avec
des kits volontairement contaminés à la source; vous, les noir(e)s libres et
les libres de couleur, qui conseillez les blancistes sur la manière de manger
les Êtres Gwqmun, soit indépendantes et indépendants de toutes puissances de
l’univers, pensez à Toussaint L’Ouverture votre égal, soit traître et
lâche, et bien d’autres encore, avant et après lui. Dites, dans quel estomac
ont-ils fini?
« Vive le 18 mai, fête du
drapeau de la république colonialisée, la république du 17 octobre 1806, dont
aujourd’hui, 19 mai 1920-19 mai 2020, marque le centième anniversaire »,
CRIEZ-VOUS?
Pour
la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de
Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents
sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH
Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste
7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur
et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant
de la wÄnité du lakort, l’ordre du
Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de
la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien
de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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