L’Administration Impériale Ayitienne Rétablie
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L’Administration
Impériale Rétablie
Disponible
À Travers Le Monde Depuis l’Hiver 2018 – 19
L’Invincible Général
et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, Missionnaire Divin a, À Jamais,
aboli l’esclavage, dont le terme raisonné, au mieux, bÄnqyé,
l’esclavagisation, sur la planète terre et, du même souffle, y a fondé
l’Éternel Empire D’AYITI comme lieu ofowu de s’accomplir.
Tout homme qui, à
cause de l’unidirectionnalité de son être chimérique, cherche à revenir en
arrière, même si cela est impossible, fera inconditionnellement face à
l’Implacable Loi Impériale, laquelle est un théorème.
Nous avons combattu
et nous avons remporté la Victoire, une Victoire incisive et décisive sur
l’indésirable, l’ignoble et la laideur innomée et innommable. C’est maintenant
le règne sans fin de la Grandeur indicible et la légalité.
L’Éternel Empire
d’AYTI, contre vents et marées, accomplira toujours sa Mission Divine sur la
planète terre.
L’Empire d’AYITI,
notre Ancestralité, extrême contentement et satisfaction de soi !
Un extrait :
En guise de Lekba
Et le pic de l’horreur s’est
fait chair!
Dans un monde en effervescence le fidèle portrait des
déséquilibré(e)s, qui en sont la cause, s’impose ici. Cela, car il ne faut pas
y aller de main morte, ne va pas sans l’exposé de la prédominance de l’Éternel
Empire de Dessalines, arrêtoir de cet état de choses malsain, par l’Être Sacré
de son Fondateur, afin d’aider les victimes à tout comprendre. Enfin se
dissipent les nuages sales et délétères sur ce monde qui est NOUS et ipso facto
à NOUS. Je pose, d’entrée de jeu, la cause de cette situation si triste.
L’enfer, venant de la culture blanciste, n’est pas un mot vide. Il a bien
évidemment un visage, c’est sans doute celui du blancisme. Le blancisme, son
contenu idéologique, est certainement une vacuité mais, de fait, il est une
criminalité sans égale. Il est le pic de l’horreur
qui s’est fait chair. La planète terre est un lieu splendide et l’être munal,
l’ordre du Nous, est un indescriptible délice. Il y a de tout pour que nous,
particulièrement le mun, puissions être, jour et nuit, presque soûl(e)s d’eua,
ce qui est la belle vie. Cependant, par un mauvais calcul b⊗nqyel, qui
normalement est provisoire, est entrée dans notre monde, ce que, par
expérience, on appelle l’hommalité, un contresens, dont le produit est l’homme,
une épidémie d’une impétuosité indicible, laquelle, pour une raison ou pour une
autre, a atteint son plus haut point en Europe, là où vit, accidentellement, le
groupe de gens connu sous le vocable de blanc, et elle, l’hommalité, s’est
aujourd’hui soldée en blancisme, qui est, à l’heure qu’il est, la plus haute
expression de l’homme, dont l’agir est la blancismique, un mouvement qui est de
loin plus amer que le fiel, et l’ire, qui est toujours à fleur des yeux, est la
blancismesque ou hommalasse, une sorte de rage qui beugle et bave. La présence
de ces êtres dépouillés de leur êtralité originelle, donc privés de guide
holistique, remplit la terre d’une odeur méphitique, la rendant impropre à la
vie.
Cette odeur infecte et asphyxiante, à l’égal de
tout corps volatil de cette espèce, est appelée, faut-il se serrer les dents, à
se répandre. Tous les endroits qu’elle envahit, les dégâts sont monstrueux, ce
à quoi on s’attend, compte tenu de la nature sismique et lugubre de la chose.
Elle n’épargne rien ni personne. Y résiste seul(e) celui ou celle qui prend
momentanément sa forme et son contenu pour l’affronter, soit se faire racaille
pour braver racaille : « Oui, nous avons
rendu, à ces vrais cannibales, guerre pour guerre, crimes pour crimes, outrages
pour outrages », Dessalines. Un
regard furtif vous présente les blancistes comme des êtres normaux, soit de
simples êtres de teint clair. Cependant sous un regard prolongé et pénétrant, à
la manière d’un scanner, puis additionné de ses pensées, se révèle un être
excessivement froid et invariable. Par exemple il est le seul qui soit, tout se
rapporte à lui et à lui seul. Les autres ne sont que ses valets. À toute
violation de cette loi, sa loi, il déploie sa foudre. Il torture et écrabouille
calmement, ce, en souriant parfois. Il se moque même de ses victimes. Dans
certains cas il joue et danse, il les baise même, avec ses victimes avant de
les foudroyer. Souvent il les diabolise avant comme après le coup fatal, cela en
toute bonne conscience. Une étrange bête, qui, en tous points, est hors de
notre système, est parmi nous.
Les blancistes ont pour renommée d’être
imperturbables. Ils n’obéissent qu’à leur être de pensée, l’homme, donc
eux-mêmes. Ils se comportent en chat qui, à la vue d’une souris, entend
carillonner sans arrêt en lui et avec une intensité allant en augmentant :
“Saute! Saute! Saute! ...”, jusqu’à ce qu’il saute, même s’il n’a pas fin. Ce
qu’il faut tirer de cela, c’est que les blancistes ne sont irrésistiblement
mené(e)s que par leur être de cime de la cruauté. Puisque tout accord de ses
actes avec sa nature est source d’équilibre, et partant de bien-être, les
blancistes ne sont donc bien balancé(e)s et rempli(e)s de bonheur que dans le
pic de l’horreur les caractérisant.
(…)
Il n’y a point de doute, leur essence criminelle
les fait voir les choses à contresens.
Voici un autre exemple des comportements de ces
gens psychiquement déséquilibrés. La superficie du Canada est de 9.985 millions
km²; la superficie des États-Unis est de 9.834 millions km²; la superficie de
la France est de 643,801 km²; la superficie de l’Allemagne est de 357,386 km²;
la superficie d’AYITI est de 27,750 km². Ces quatre pays disposent, par
l’agression, d’une partie de ce tout petit territoire, qui, soit dit en
passant, abrite 11 000 000 d’habitantes et habitants. Les États-Unis ont la plus grande part. Le
Canada qui compte la plus petite population des hordes criminelles, soit 36 000
000, s’installe en toute bonne confiance sur une partie du Territoire de
l’Empire. Ils ont même chassé des résidents et résidentes pour le faire.
N’est-ce pas là des têtes qui roulent en carré! Leurs cerveaux sont à l’envers.
D’où leur dangerosité extrême.
(…)
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