La république d'Haïti, la honte indéniable et accomplie de l'univers

 



Samedi 23 mars 2024

De qui ou de quoi êtes-vous la propriété et l’instrument?

« « Quel est ce vil Haïtien, quelle est cette ville Haïtienne, si peu digne de sa régénération, qui ne croit point avoir rempli les décrets divins (donc éternels), en exterminant ces tigres altérés de sang? S’il en est un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature indignée le ou la repousse de notre sein; qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux : l’air qu’on y respire n’est point fait pour ses organes grossiers; c’est l’air pur de la Gwqmunalité, laquelle est auguste et triomphante. » Jean Jacques Dessalines

 

 

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 o = © Tous droits réservés

q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, Ä= on, ñ

 

À partager urgemment et massivement

 

La république d’Haïti et ses composantes, la honte accomplie et indéniable de l’univers

L’Île d’AYITI, par sa population négro-gelefweenne, laquelle est élevée à la plus haute conscience de Soi, le Soi Ofowu, bien sûr, a poussé le nec plus ultra du vivre ensemble. En effet sous la Direction de Jean Jacques Dessalines, Invincible Général et Savant Chevronné de l’Organisationnelle, la population s’est constituée en Peuple par la volonté de bouter le blancisme hors de son champ existentiel, laquelle volonté a pris forme dans sa Gwqmunalité, expression et protection de l’être munal. Le Peuple Négro-jelefween est le plus habilement conçu car il résulte de la yunité seconde que la Volonté Gwqmunale a façonnée. Celle-ci est elle-même constituée sous l’élan de la Yunité Première Munale, produit de Notre Dieu, Bon-Dieu. C’est pourquoi elle a pu inventer le Peuple, une yunité. À ce titre le Peuple, produit de la Volonté, est un corps second et alors un JE IRRELATIF, dont le contenu est d’être en soi, par soi et pour soi, aussi la Gwqmunité, ce qui est le Dépôt Sacré, acte de se mener soi-même directement et infiniment, cause et finalité immédiate de la Résistance Gwqmunale À Jamais Victorieuse, ce qui fait sa Grandeur inégalée et inégalable, son Charme .l’Envie et la Gloire de la planète jusqu’à l’entièreté du La, l’univers dans sa concordance.

 

 

Observons bien ! Tout se joue sur une chose, la suppression de l’obstacle à la Gwqmunité que représente le blancisme. L’émergence du Peuple repose sur la nécessité de balayer l’obstacle, terrasser le blancisme pour que le JE IRRELATIF puisse se développer, accomplir ce pour quoi il est en tant qu’être. C’est là la finalité de l’acte de se diriger. C’est la finalité qui oblige le Peuple à maintenir éternellement sa Gwqmunité. Tout est dans la Gwqmunité, elle tient en elle le sens de l’êtralité. Elle est l’agir en soi, par soi et pour soi. « Le Peuple se forme en État », dont « le Nom est l’Empire d’AYTI, qui est Indépendant(Gwqmun) de toutes les puissances de l’univers ». L’Empire d’AYITI est le Peuple-État, celui à qui il revient de conserver le « Dépôt Sacré », se diriger soi-même. La Gwqmunité nous interdit de suivre les mêmes traces que les autres puissances de l’univers car «  ce serait vaincre pour être esclave, une déshonorante absurdité ». « L’esclavage, dont le terme juste est esclavagisation est à jamais aboli » par la Victoire Infinie. « Marchons sur d’autres traces », les nôtres propres, affirme haut et fort Jean Jacques Dessalines, Invincible Général À Jamais Vainqueur du blancisme et Éternel Empereur. En d’autres mots ne pas se diriger soi-même, soit marcher dans les pas des autres, c’est être « esclave », selon la signification européenne même du mot, laquelle est plusieurs fois millénaire. C’est là le sens de la Résistance Gwqmunale et la Victoire Incisive et Décisive de nos Ancêtres, conduits par le Fils d’Agbawaya Tóya, Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand. Nous sommes à l’antipode du mode d’être européen et d’autres peuples qui leur ressemblent, autrement dit nous sommes ce vers quoi tend l’être ofowu des gens dignes de Notre Dieu, Bon-Dieu. Quelle logique implacable, celle de Tóya-Jean Jacques Dessalines ! La Gwqmunité, Essence du Peuple-État, par conséquent de l’Empire d’AYTI, fait de celui-ci la merveille indicible et aussi une réalité hermétiquement close, autrement dit, l’Empire d’AYITI tourne sur lui-même. C’est là notre Gloire! Quelle puissance est la NÔTRE ! Dessalines pi wrd !

 

La république d’Haïti

La république d’Haïti est tout autre, le jour et la nuit. Faisons appel à l’expression clef : « Nous avons fait la guerre, la révolution, soutiennent ses membres, pour accéder à l’humanité ». « L’humanité » est pour les libres, ses composantes physiques, l’objectif le plus noble. Il y a deux points qui scintillent dans cette proposition, concordante, certainement. Le premier consiste à marcher dans une voie qui n’est pas la sienne puisque « l’humanité » est une production extérieure, une conception de la vie sociale spécifique à un groupe de gens bien définis, les « hommes », blancistes. On veut être accepté dans le rang des hommes, qui se distincts des autres. Le second point, pour cela il faut renoncer à soi-même, se gouverner soi-même et se soumettre à la voix de l’autre, un autre que soi. Nous sommes, avec la république d’Haïti, dans un autre registre, des êtres vides qui se campent dans le soi d’un autre que soi, c’est-à-dire l’esclavagisation.

 

 

Voyons tout cela ensemble ! La structure de la république d’Haïti clame tout haut qu’elle n’est pas en soi et que, par conséquent, elle tient lieu d’habitat camouflé du blancisme pour la continuité de l’esclavagisation, dont la FIN est la GLOIRE de l’Éternel Empire d’AYITI. Le premier élément en opposition à l’Ancestralité que nous trouvons à la tête de la république d’Haïti est dieux, une conception de l’homme, le blancisme. Il a été créé par l’homme lui-même et celui-ci se l’est approprié ensuite pour donner un devenir effectif à la façon dont il s’est conçu dans le monde. Ce dieux ou l’homme (le blancisme) peut tout s’il juge que cela est indispensable à la réalisation de sa tendance artificielle, y compris le massacre inimaginable de celles et ceux qui y résistent. Cela peut aller jusqu’au génocide si telle est sa volonté. Bukmqn est catégorique là-dessus : « Ce dieux, dit-il, est la source de tous nos malheurs, ne le recevez jamais ». Les libres ont agi contrairement à l’affirmation et la recommandation de Bukmqn. Le dieux de l’homme est forcément esclavagiste et le dit très clairement dans ses soi-disant libres saints, notamment la bible. Il est, en plus, le dieux esclavagiste, à la tête de la république d’Haïti à travers la religion chrétienne, la religion qui a déclenché la conquête des « esclaves », c’est--dire nos Ancêtres, Nègres et Négresses. C’est à elle que l’éducation du peuple exogène, le peuple de la république, est confiée, ce qui revient à dire fabriquer des gens soumis.

 

 

Le second élément de la structure est la politique, mode de construire ou de faire des « esclaves ». L’idéologie de base est l’anthropologie des droits naturels du philosophe anglais, Thomas Hobbes, et sa société de droits artificiels, comme moyen de réaliser les droits naturels, une doctrine politique reposée sur la représentation, dont l’appellation est la démocratie, mode de désistement à sa capacité de se gouverner soi-même.

 

 

Le troisième élément est le mode de production des biens. Hobbes l’avait déjà défini, c’est le libéralisme, qui est « le travail et l’épargne ». Cela est théoriquement limité par soi-même dans la possession des biens. Il faut dire que celle-ci n’est pas retenue dans la pensée politique de Hobbes. Même si le désir est illimité, c’est le pouvoir, acte de commander, qui est le centre  de l’illimité du désir. Pour le dire autrement, la philosophie politique de Thomas Hobbes est celle du pouvoir  non des biens. Ceux qui ont adopté le système libéral, dont le philosophe anglais est le père, tout en conservant le pouvoir comme fin, jumèlent pouvoir et économie, deux choses illimitées. Il y a la subordination du pouvoir, quoique premier, dans le sens de dépendre de, à la possession totale des biens et ressources. Car la personne qui arrive à tout posséder voit automatiquement que le pouvoir, qui est déjà conçu par le renoncement et la démocratie, devient le sien propre. C’est cet aspect du libéralisme qui est un des constituants de la structure de la république d’Haïti, indubitablement une esclavagisation, repoussée inconditionnellement par le Savant en la matière, Jean Jacques Dessalines, par son système de production double, laquelle n’est ni de possession ni de perfection mais une yunité des deux, c’est-à-dire tous et toutes sont, par eux-mêmes, producteurs des biens pour la suffisance et à travers laquelle on atteint la perfection, soit fortifiée la yunité de l’Ensemble, par la prise en charge, chacune-chacun, de l’Ensemble, soit le Corps en action. Personne ne travaille pour personne. Tout le monde est producteur de la suffisance et la perfection. On peut travailler en associé(e)s. Ce modèle est exposé dans l’ouvrage : Administration Impériale Rétablie, de Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste. Tout système de travail en vue d’une rémunération est esclavagisation ou esclavage, pour reprendre leur vocabulaire. C’est cela le message de Jean Jacques Dessalines. Il n’y a donc rien d’étonnant que certaines personnes soient riches, et même extrêmement riches, et d’autres  pauvres, très pauvres, et même dépourvues de tout dans un système contraire et contradictoire. Telle est la situation prévalant en république d’Haïti. Faire semblant de la décrier, tout en crachant sur le Système Yunitaire Dessalinien, c’est se moquer des gens. On se révèle donc un fier partisan, une fière partisane, de la république d’Haïti, institution de malheurs, devant l’immensité de Grandeur et de richesses en tout de l’Éternel Empire d’AYITI.

 

 

Le dieux des malheurs est le dieux de la religion, dans le contexte du discours, la religion chrétienne. C’est lui, rappelons-le, le dieux de la république d’Haïti. Ce dieux est logiquement esclavagiste, selon son propre terme. Ce fait se lit clairement dans toute la bible. Il y a la politique, dont la base fondamentale est l’anthropologie des droits naturels, de l’homme, là où l’homme se réduit à l’ »individu », selon Thomas Hobbes, le premier et les autres ensuite. Cette conception de l’homme est tirée, par Hobbes, de la doctrine chrétienne du salut, selon laquelle « le salut est personnel ». On est réduit, livré, à soi-même. Cette anthropologie  accouche de l’état de nature, du pouvoir par le renoncement à son droit de se gouverner soi-même, de la représentation par une nouvelle idée de la démocratie, laquelle est le droit de vote ou de choisir soi-même son représentant, sa représentante, bref du système libéral, « le travail et l’épargne ». Le philosophe allemand, Marx Weber, révèle que, selon l’Étique protestante, pour gagner le ciel ou le paradis, il faut réussir économiquement, dans le système libéral, bien sûr. L’autre allemand Karl Marx, y voit plutôt le socialisme ou le communisme, pour plusieurs. Mais pour cela, il a fallu que Marx donne congé à dieux, plus précisément le dieux de la bible. Ainsi le lien entre le dieux de la bible, la religion et la politique est évident. Il y a plus. Le philosophe reconnait, comme Bukmqn, le caractère nocif de ce dieux. Dans la république d’Haïti il est un fait irréfutable que les malheurs frappent sans cesse et de plus en plus à mesure que la religion, particulièrement la chrétienne, étend son emprise sur les gens. Cela suit le constat et la prédiction de Bukmqn. Ces malheurs sont possibles à cause de la perte de contact avec soi-même, effet de la greffe, la nouvelle substance discursive des membres que nous sommes en train de voir hic et nunc. Plusieurs ne se voient pas en rupture avec l’Ancestralité même s’ils vivent dans une autre pensée, ce qui fait d’eux des « esclaves ». Agwaba sont-ils en tant qu’être. Ils sont absents en eux-mêmes.

 

 

Les gens de la république sont une force non la leur propre mais celle du blancisme, qui en a fortement besoin pour écraser constamment les autres, surtout ceux et celles qui leur résistent. Il s’ensuit que la république d’Haïti est un moyen contre elle-même, les gens ou les membres. Il n’y a personne pour voler à leur secours dans le contexte qui est le leur. Comme les membres sont ennemis les uns des autres par leur absence de lien d’Ensemble et leur greffe dans le blancisme et la greffe de celui-ci en eux, ils sont indifférents, et même cruels, les uns envers les autres. Ils se sont éloignés des Négresses et Nègres. Il n’y a pas de lien familial entre eux. Ils aident les blancistes à s’emparer de la production du Peuple Impérial sans se soucier de quoi celui-ci vivra. Lorsque la bactérie mangeuse de Nègres et Négresses voudra détruire leur récolte ou les moyens de leur production agricole, la république d’Haïti répondra présente. N’importe quel autre peuple pourra se mettre à massacrer tout mun ayant la peau foncée, c’est l’indifférence totale. Elle est et demeure sourde et aveugle. La terre tremble artificiellement et les victimes se comptent par centaines de milliers. Elle ne voit ni n’entend rien. Un génocide a eu lieu au vu et au su de tout le monde, elle n’en a jamais entendu parler. Il en est de même du virus du SIDA. Les militaires du blancisme sont venus jusqu’ici piller, voler, nos ressources et massacrer les Négresses et Nègres, elle n’y voyait pas d’inconvénient. Au contraire ils travaillaient sur un autre projet identique, parce que le travail n’était pas fini, elle les supportait. Les exactions du blancisme sont légion, hélas, elle n’en sait rien. L’ennemi naturel en tue un nombre incalculable aujourd’hui et s’en va. S’il veut revenir le lendemain, libre à lui. La république d’Haïti ne pense pas et son travail ne comporte pas l’acte de réfléchir. Ce n’est pas la république d’Haïti qui s’opposera au blancisme. Le blancisme est la république d’Haïti au dehors, il en est les fils d’araignée.

 

 

Devant cette situation macabre, la planète s’en offusque et en est estomaquée. L’univers a indéniablement honte de cette présence sur le Territoire Impérial, Terre à vocation salutaire.

 

 

N’oublions pas que la république d’Haïti a son « histoire spécifique », des choses vides de sens, selon laquelle, contrairement à l’Éternel Empire d’AYITI qui est en avant dans son histoire, un ensemble de faits réels, et qui est son propre fondement, elle a agi en vue d’être acceptée au sein du blancisme, ce qu’elle appelle « s’élever à l’humanité ». Par ces paroles, ils rejettent l’action salvatrice de l’Ancestralité. Ainsi l’ensemble de gens qui composent cette institution, s’est dissocié de l’Ancestralité.  En d’autres mots ils rejettent les « Décrets Divins » qui sont à l’origine de la Résistance Gwqmunale, laquelle s’est soldée en Érection de l’Empire d’AYTI. Jean Jacques Dessalines, l’Éternel Vainqueur du blancisme et Fondateur de l’Empire d’AYITI, leur a ainsi répondu : Dessalines 28 avril 1804 « « Quel est ce vil Haïtien, quelle est cette ville Haïtienne, si peu digne de sa régénération, qui ne croit point avoir rempli les décrets divins (donc éternels), en exterminant ces tigres altérés de sang? S’il en est un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature indignée le ou la repousse de notre sein; qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux : l’air qu’on y respire n’est point fait pour ses organes grossiers; c’est l’air pur de la Gwqmunalité, laquelle est auguste et triomphante. »

 

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn


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