La république d'Haïti : persona non grata
La Famille Impériale et la Ville
de Dessalines prennent la parole 7 - 7 m = © Tous droits réservés
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e = é, Ä= on, ñ
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Décret0007Fini le marécage de la
république d’Haïti19032024000
LEKBA
L’Administration
Impériale Rétablie, par le Décret qui suit, ne vise personne en particulier
parce que nous ne jouons pas le jeu sinistre du blancisme. Il est de l’ordre
universel, autrement dit, il n’y a que la république d’Haïti, en tant
qu’institution pure, et le blancisme, moyen par lequel elle est attachée au
dehors, une sorte de fils d’araignée pour lui donner vie, une vie
superficielle, qui sont l’objet du discours. Le terme de « gens » est
une exigence logique et il ne comprend que des anonymes.
Nous
applaudissons les décisions et positions, sans discrimination, venant des gens
de la république d’Haïti, appellation de camouflage, mais elles visent toutes
l’extérieur, destination du sujet, l’institution en question, parce que,
officiellement depuis 1803, les lieux appartiennent exclusivement, inconditionnellement
et à jamais à l’Empire d’AYITI et qu’ils y font irréfutablement partie
intégrante.
PAROLIE
Le
PAYS appelé l’Empire d’AYITI, érigé par Jean Jacques Dessalines, Invincible
Général et À Jamais Vainqueur du blancisme, a vocation de nous maintenir auprès
de nous-mêmes et nos Ancêtres pour atteindre la perfection, la Négro-divinité,
et entraîner avec nous tous ceux et celles qui vivent présentement dans les
enclos de l’hommalité et qui, à la rencontre de ce qu’ils sont vraiment,
voudront s’élever à la hauteur de leur être, le Mun, notre finalité immédiate.
L’institution
blanciste dénommée république d’Haïti est entrée, en 1806, dans notre espace
physique par les libres, des gens d’essence discursive hommale, sous la
direction du blancisme français, et, par l’appui des blancistes, au niveau
international, s’y est maintenue jusqu’à aujourd’hui. Cette institution que nos
Ancêtres avaient renversée entravait, par ce support extérieur, le
fonctionnement de l’Administration de l’Empire d’AYTI, et mettait sur pied un
système d’horreur à l’égale de l’esclavagisation tout juste mis en échec.
La
république d’Haïti, appelée légalement et secrètement « la partie
française de Saint-Domingue », servait aux blancistes d’instrument de
génocide et piétinement contant des Négresses et Nègres, eux, les blancistes,
qui sont « nos ennemis naturels » et « le monstre que la terre
engloutit trop lentement », paroles de Jean Jacques Dessalines, Éternel
Empereur d’AYITI. Nous avons atteint la cime de l’horreur, nous avons voulu que
vous voyiez par vous-mêmes. Nous sommes arrivé(e)s à l’objectif.
Par
conséquent le temps du plus grand Mal qui soit est aujourd’hui révolu. Nous
mettons fin à toutes les activités liées, de près comme de loin, à la
république d’Haïti et au blancisme, son principe, bactérie mangeuse de
Négresses et Nègres, sur notre Territoire, le Territoire de Jean Jacques
Dessalines et nos Ancêtres. En d’autres termes, république d’Haïti et
blancisme, tous deux esclavagistes, sont ici persona non grata. L’Empire d’AYITI
est inapte à la cohabitation.
La
seule activité que nous ordonnons est la mise en ordre des dossiers afin de les
confier ensuite à l’Administration de l’Éternel Empire d’AYITI. Tous les
blancistes doivent quitter, sans délai, le Territoire Impérial, à l’exception
de ceux et celles qui sont accusés de génocide. Ils doivent se mettre à la
disposition, d’abord, des tribunaux de l’Empire d’AYTI, et ensuite du tribunal
pénal international. Pour ce qui est des membres de la république d’Haïti,
celles et ceux qui y sont, a priori, profondément attachés, seront accusés de
parricides et d’esclavagistes.
Les
contrevenantes et contrevenants seront passibles d’une double peine, jusqu’à la
détention à vie, lorsque tout sera fixé.
Il
faut toujours avoir présent au bÄnqy (à la
pensée) que « l’esclavage est à jamais aboli » et qu’ « aucun
blanc d’une autre nation ne mettra les pieds sur ce territoire comme maître et
propriétaire », « base fondamentale de la Constitution », dit Sa
Majesté Jacques 1er.
Il
est bon de rappeler l’AUTEUR du PAYS d’AYTI : « Le Peuple habitant
l’Ile ci-devant appelé Saint-Domingue, convient de se former en État libre,
souverain et indépendant de toutes les puissances de l’univers, sous le nom
d’Empire d’AYITI ». La Constitution
Le
Peuple a agi, tout au long de la Résistance Gwqmunale, « sous des Décrets
Divins », donc Éternels. L’Empire d’AYITI, souligne la Constitution, est
érigé sur « sur l’immortel Décret Divin », alors l’Empire d’AYTI est
atemporel, Éternel.
Sachons
que le Décret ne lie pas un mun précis à l’Éternel Empire d’AYITI mais l’Empire
d’AYITI à l’Empire d’AYTI lui-même de
sorte qu’il soit aussi Éternel que l’Empire d’AYTI. Il assure invariablement la
continuité de l’Administration et l’ordre de la succession sans fin.
ICI EST À JAMAIS L’EMPIRE D’AYITI,
EMPIRE DE TOYA-DESSALINES !
Le
Décret est effectif dès aujourd’hui, le mardi 19 mars 2024 .
Pour la Maison Impériale
Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la
Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial,
croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans
Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire
Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des
Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines,
Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la
politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme
VudUn
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