Décret se prépare le coup de grâce mais l'Empire d'AYITI est là





 


  

Décret se prépare le coup de grâce mais l’Éternel Empire d’AYITI est là

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 r = © Tous droits réservés

 

 

q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é, Ä= on, ñ

 

Le lien d’Académie X du texte :

https://www.akademiex.com/group/la-famille-imperiale/discussion/1144e3ed-ddfc-4d71-87e1-4540d13cbe3e

 

Décret0000000l’effet d’un coup de massue26juin20240000000

Prenez le temps de lire et bien lire ce qui suit pour comprendre ce qui se joue présentement sur la scène d’AYITI car le moment est crucial. Si la lecture du texte paraît un peu difficile au début, tout s’éclaircit à mesure qu’on avance. Le discours est d’importance Dessalinienne.

Le plus grand Mal

Le blancisme était presque confortablement assis dans son fauteuil de maître et propriétaire, dont l’annulation irrévocable et irréversible met à jamais en exergue l’ÊTRE que nous sommes, le Soi Munal, et en fait « la base fondamentale de la Constitution Impériale », promulguée le 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale Foncière de l’Éternel Empire d’AYITI. Il n’y avait qu’un ou deux points à fixer par son prolongement physique, c’est-à-dire la république d’Haïti, pour RÉDUIRE À NÉANT - une contradiction dans les termes, si l’on se fie au vocabulaire blanciste - Négresses et Nègres, par conséquent l’Ancestralité, cet élément hautement gênant, et ensuite crier haut et fort, que la mission est accomplie, dans le sens que le plus grand nombre de Nègres et Négresses ont disparu et que le Territoire Impérial Ancestral et Tóya-Dessalinien, symbole d’une grande faiblesse au niveau des capacités du connaître et de défaite cuisante de l’homme, tel qu’il se définit, est repris. Ce n’était pas une mince attente et une croyance exagérée. En effet le blancisme n’est limité qu’à lui-même. Il était donc convaincu que le coup de l’unité, soit blancisme et république d’Haïti, laquelle unité, délétère autant, est tirée de son unité à sens unique avec le blancisme, le second visage de celui-ci (alors une unité différente de la première, qui est la récupération de sa victime dans le vide qu’il l’avait entrainée pour la débarrasser de sa substance originale), résultant de la pratique du contenu, le sien propre, qu’il a ensuite versé, au tout début, dans le libre pour se l’approprie, avait finalement raison de l’Empire d’AYITI, qui est la forme institutionnelle externe du Soi Munal. C’est comme si le blancisme se doublait en servant du corps des gens ou de la république d’Haïti tout court par les éléments, idées ou autre qui la constituent, parce que ces choses sont de lui ou ses propriétés, pour faire passer la chose, la disparition, pour suicide personnel. La certitude, qui en découlait, était tellement grande que le blancisme se baladait partout sans retenu, comme s’il était chez lui. Il discourait sur tout et partageait son butin, entre pairs, bien sûr.

 

 

Le peuple exogène

Quand au peuple exogène, la république d’Haïti, alors le p’tit-hual, chevauchement à contresens, fort de son âme de conquis, ne sait pas faire la différence entre le maître et lui. Il parle d’eux-mêmes comme une seule substance. Leur discours n’a pas de source originelle, un coup de carte de son enseignant créateur. Il n’y a ni locuteur ni interlocuteur. Sur le dernier point, on dirait, jusqu’à un certain point, qu’il monologue. Il serait un solitaire s’il était doué d’une certaine conscience d’être. Il n’est qu’un universel-sujet, puisqu’il émet des sons mais dans des significations déjà énoncées. C’est une sorte de retransmission, une machine à valeur magnétoscope. Sa nature d’universel-sujet le situe dans une réalité d’absence à soi, il est indéfini en tant qu’être. Ce statut va de compagnie avec l’universel de droit, ce à quoi on appartient tout bonnement, un état de fait, sans ancêtre normal. Tout est situé sur le simple fait d’être. L’universel-sujet et l’universel de droit sont absence de commencement et de fin et dépourvu, de la part de l’être concerné, de conscience supplétive. C’est être absorbé par un grand tout. N’empêche que chacune-chacun peut revendiquer ce qui prend appui sur le contenu qui lui est filé malicieusement. C’est à partir de là, ce flou absorbant, qu’il prend part à l’activité mortifère de son maître ainsi qu’à ses sentiments consécutifs, notamment la fin prochaine de l’Empire d’AYTI, telle que projetée.

 

 

Marchent bien les affaires

Ni le blancisme ni la république d’Haïti ne parle de l’Éternel Empire d’AYITI par crainte d’amener à la conscience des gens une réalité déjà présentée comme néant même si les deux, la deuxième par contagion, attendent sonner le glas par le génocide, ici l’eliminrgyo, action qui n’épargnera pas la république d’Haïti elle-même. On dirait que ce sont là des termes inexistants même si leur haine pour lui est grande. Dans leur unité seconde le blancisme est le sujet et la république d’Haïti assume. Il travaille d’arrache-pied, par celle-ci, pour arriver à l’objectif. Les deux, si par le verbe, sont séparables, ignorent, pour les raisons données ci haut, l’Empire d’Haïti dans leur vie pratique et quotidienne officielles. Mais, derrière le rideau, c’est la république d’Haïti qui va le plus loin dans la démarche à cause de son statut. Le blancisme s’en sert pour porter les mauvais coups. Tout va bien dans le meilleur des mondes car les morts se comptent par centaines de milliers dans l’obscurité. Et tout porte à croire qu’ils s’acheminent vers les dernières grandes piles de cadavres.

 

 

Culotte baissée

Mais c’était sans compter sur la Dessalinité en mode de vie intérieure de chacun-chacune de Nous, nous qui formons l’Éternel Empire d’AYITI, le Caractère d’Éternité de celui-ci, parce qu’il est le Soi Munal Extériorisé, et la tumultuosité de Notre Constitution Interne, production sans fin, ce qui explique, pour la soutenir dans son mouvement continuel, l’immortalité des Décrets Divins qui fondent l’extériorité de l’Empire d’AYTI, Notre ÊTRE. En sus par les gènes d’immuabilité (immortalité) de l’Empire d’AYTI et les chromosomes de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, au moyen de ses Enfants et leurs Générations devenus ceux et celles du Titre d’Empereur, l’Empire d’AYTI est en mode de mouvement continu comme incessante activité. Derrière le rideau de fer imaginaire, dans l’ignorance irrelative du blancisme, est en marche l’Éternel Empire d’AYITI, côte à côte avec l’unité macabre, dont celui-là prend la forme dans la pratique quotidienne pour atteindre son objectif. Au moment où nos ennemis naturels se dévoilent pour aller donner ensuite le coup de grâce afin de se proclamer « seuls maîtres et propriétaires des lieux », émerge, l’Éternel Empire d’AYITI derrière le rideau de fer imaginaire, construction spécifique de la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres.

 

 

Coup de massue

Le blancisme ne s’y attendait pas et il ne peut pas se reprendre. Toute tentative en ce sens l’enfoncerait d’avantage. En plus de cela il ne peut rien faire d’autre car il ne sait rien faire d’autre. La ruse, qui est une des choses initiales, n’est pas autre chose. Elle est l’acte de tuer autrement mais qui ne peut se maquiller. Quel que soit le ton, elle se fait prendre. Dans la présente situation, c’est tout ce qu’il est, le blancisme, qui est en cause. Il ne peut pas le camoufler. Il est persona non grata. Mais il doit continuer à agir, il n’est que cela. Nous ne savons pas ce qui se passe dans sa tête. Une chose est sûre. Depuis ce moment fatidique, s’enchaînent les erreurs, son prolongement le suit forcement parce qu’il n’y a pas d’action séparée. Ce qui, pour le blancisme et son prolongement, s’annonçait comme une promenade, prend, même s’il n’est pas du genre à baisser les bras, un tournant de fin saison. Et c’est peu dire car l’émergence de l’Éternel Empire d’AYITI est irrévocable et irréversible. Ce qui ne se savait pas se sait et doué de l’élément de se diriger sans fin. En d’autres termes l’Éternel Empire d’AYITI est l’Être Munal et il mène lui-même. Personne ne lui est nécessaire et indispensable. Tout ce qu’il fallait savoir se sait.

 

 

Contrairement à la situation de l’Éternel Empire d’AYITI, qui est sous un ciel très clair, l’unité sinistre est dans un état de nébuleuse. Le doute s’est dissipé chez un nombre incalculable de gens au sein des victimes du blancisme à cause de la lumière apportée par l’apparition soudaine de l’Éternel Empire d’AYTI. Une multitude d’entre eux ont tout compris ou presque. Ce n’est pas par un effort de leur part mais par le blancisme et la république d’Haïti à travers leurs erreurs. Celles-ci enseignent clairement ce que l’un et l’autre cherchaient à obscurcir pour s’en tirer, notamment les missions militaires, les maladies, les assassinats, spécialement des gens qui les dénoncent publiquement et qui ouvrent les yeux de plusieurs au sujet des vols de ressources et de la corruption provoquée de toutes sortes pour pouvoir mieux opérer, des génocides, il faut ajouter des actes terroristes programmés par des mains locales et extérieures contre ceux et celles qui s’occupent de la mise en accusation au niveau national comme international, la TPI, pour crime contre l’humanité.

 

 

L’ange de la mort s’est fait prendre culotte baissée mais il poursuit son travail sans nier ni confirmer. Il est déstabilisé et est encore plus incapable de porter des coups anonymes. La république d’Haïti ne peut pas ne pas agir avec lui puisqu’elle en fait partie. Elle est son instrument de production. Pendant que le blancisme non masqué poursuit ses exactions et ses meurtres, qu’il lui est impossible de camoufler, à cause, certes, de leur caractère spécifique, c’est-à-dire ceux qui portent naturellement sa signature, la république d’Haïti, plus précisément les atha, celles et ceux qui sont formés pour le sale boulot, font leur travail. Le maître et propriétaire, puis les soumis et soumises continuent d’ignorer les frontières de l’indécence. Le oui comme le non ont la même valeur dans leur esprit, capacité de décider de ce que sont les choses.

 

 

Dans une situation de défaite cinglante, à l’improviste, le blancisme, au lieu de s’asseoir pour repenser ses jeux mortifères afin de recenser, si possible, ses rêves indécents, maintient son état d’esprit. Le comportement est contraire et contradictoire. C’est définitivement perdre la boule. Il avance comme si de rien n’était. Est-ce une façon de tromper les gens de la véracité des faits ? Cela est impossible car tout le monde connaît la vérité. Il mise évidemment sur le travail de ses gens qui, faut-il le dire, n’arrêtent pas une minute, malgré tout, de véhiculer leurs non-sens. Là encore rien de bon ne peut sortir de cette troupe, complètement avilie. C’est qu’il n’y a rien d’autre à faire. Le choc est terrible et d’autres failles exponentielles, mais à géométrie variable, suivront. C’est la ligne du déjà vu. Aucun n’ajustement n’est à l’horizon. Cela stagne sans doute.

 

 

Cela est tellement vrai que, dans son activité, il confond les caractéristiques biologiques différentielles des blancs, blanches, Nègres et Négresses. Là où il devait faire le mort, il répond présent. Il en fait de même quand vient le tour des Négresses et Nègres. Nous assistons à des comportements enfantins et même, dans certains cas, à des idioties. Il fait miroiter des nécessités sans penser aux moyens. Sans culotte il se promène sur le grand boulevard.

 

 

La situation est une sans-issue. La destination était fixée au même moment de la conception du coup. La fin n’est certainement pas celle qu’ils attendaient. Ils sont là par manque ou absence de vision. Tout leur objectif se reposait sur la passion, leur source d’action. Il ne faut pas se fier au discours, il est pure invention dictée par la passion, surtout celle de base, soit répondre au désir premier, qui est de se faire au détriment des autres. La logique est celle du langage, un construit, le fruit de l’imaginaire. La destination est naturelle impliquée dans le projet alors que l’attente lui est extérieure. La fausseté du verbe, dont est responsable la passion de base, trompe et produit dans le récepteur, la réceptrice, de fausses croyances. Ce à quoi nous assistons présentement est bien l’effritement de l’attente devant l’inattendu. Il est impossible de faire demi-tour car le désir fondamental est linéaire et dissoluble. La situation est irrévocable.

 

L’esclavagisation

L’effet du coup de massue est irréversible et indissoluble. Il est entraîné par l’indestructibilité (l’éternité) du mun et sa réelle réponse au contresens, c’est-à-dire la conception sentimentale de la réalité, et leur falsification par le discours fondateur. La victime est absente dans le discours et sa réponse, les faits. Nous lisons avec étonnement dans le livre de l’’historien professeur, Jean-Pierre Le Glaunec, intitulé L’armée indigène La défaite de Napoléon en Haïti : « Les origines de la bataille de Vertières, se trouvent au cœur de la (cette) révolution “française ». Cette proposition laisse entendre clairement qu’il y a une rencontre reproductrice ou génésique entre l’Ancestralité, l’être que nous sommes, nous les Négresses et Nègres, et la France, le blancisme ou l’esclavagiste. Le résultat de ce phénomène est notre disparition, en tant que Nègres et Négresses, au profit d’un nouvel être dérivé de la France, le blancisme, l’imbrication, dans un tel contexte. Cet être, dont le MUN ou le NÈGRE est absent, est le sujet de la suite de l’histoire, de laquelle descend la défunte république d’Haïti, arrivée sur la terre, à partir de Notre Territoire Impériale le 17 octobre 1806.

 

 

Nous voyons en ce nouvel être l’unité d’un nouveau genre ou à sens unique, laquelle a débouché sur l’unité, la nouvelle image du blancisme, la république d’Haïti, par laquelle il comptait décimer les Négresses et Nègres, soit les génocider, ce qui est l’eliminrgyo. De ce nouveau décor, le professeur le Glaunec dresse le tableau suivant. Les colons blancs, petits comme grands blancs, en nourrissent le désir de s’émanciper de la métropole, les gens de couleur libres, eux, instruits de tout cela, «désirent participer de plein droit à l’édification d’une société révolutionnaire et réclament à ce titre l’égalité des droits et des conditions”. Faut-il, à ce sujet, lire mon ouvrage Intitulé : DE

LA PRINCESSE EUGENIA DESSALINES ET SON ÉPOUX

D’ORLÉANS CHARLES:

LA VILLE DE DESSALINES VOUS RÉPOND: VOICI LE PRINCIPE VICTORIEUX DE NOTRE LUTTE EN CE MONDE

AVEC LA COLLABORATION DE GINO CLYFORD ET DU CQ VIZION MUNAL 2020 - LES ÉDITIONS LOF (LEKBAOGUFWEDA

Pour en savoir plus, contactez Académie-X ! Pour votre information au sujet du couple ci haut cité, ce sont les grands parent-parents de ma grand-mère maternelle, la Princesse Phénomène Dessalines D’Orléans, et la Princesse Eugenia Dessalines est la plus jeune enfant de la Princesses Célimène Dessalines, première enfant de Jean Jacques Dessalines. Pour en revenir à M Le Glaunec, la participation désirée est une suite logique de la nouvelle nature ou du nouvel être artificiel des libres de couleur. Jusqu’ici nous sommes dans l’ordre du possible car les gens, dont il est ici question, sont sous l’effet de l’imbrication blanciste. Mais ils ne sont pas les seuls qui sont visés par le discours. Si paradoxal que cela puissent paraître, il y a le groupe opposant aussi« En effet « les esclaves, poursuit-il, _ l’auteur, par ce vocabulaire, parle des Négresses et Nègres – entendent participer, d’une manière ou d’une autre, au débat”, « débat », selon Le Glaunec, dont ils prennent connaissance dans les tavernes, eux qui ne peuvent même pas quitter leur plantation respective. Il y a dérive sur ce point, on change de régis. Il le faut, c’est le point fort,  parce que central, du discours. Par conséquent, cela ne restera pas là, on est très loin du plus haut point visé, par le verbe. «Les esclaves, enchaîne-t-il, se rencontrent régulièrement pour échanger des nouvelles dans les tavernes, autour de tables de jeu ou à la faveur des marchés dominicaux dont ils dominent les échanges.» Ici le premier pas, sur le premier perron, est franchi, on chemine vers le plus haut point. Nous ne pouvons pas nous empêcher de signaler que la proposition est une fourberie parce qu’elle vise volontairement à tromper. Elle n’a de valeur qu’au niveau locutionnaire. Il n’y a aucune volonté manifestée, et il ne pouvait pas y en  avoir une non plus, d’aller au-delà de ce cadre-là. La raison est simple, son contenu est inconnu du factuel. C’est comme si le réel était d’un autre monde, un monde en tous points inaccessible et que, par conséquent, tout se joue sur le plan discursif. Il n’y a que cela qui compte ici. Les mots ainsi que les phrases sont juxtaposés en fonction de l’objectif à atteindre. Une multitude (informe) de mots et d’énoncés, représentant des idées non identifiées et non définies, autrement dit, non établies, bref, vides – c’est ce qui est toujours à craindre dans un monde fait uniquement de paroles -, est projetée sur l’écran de la pensée en vue d’amener, à son insu, tout passant et toute passante malchanceux, à arriver, par son initiative propre, à la conclusion nécessaire et indispensable, laquelle pourtant est préposée. C’est là, l’embûche.

 

 

Avec la prédisposition provoquée du lecteur ou de la lectrice, c’est le pas décisif : « La « révolution française transplantée (est) remodelée et âprement débattue à Saint-Domingue ». Observons bien ! Ce n’est plus le cadre des sujets d’action mais celui de l’énonciation qui montre son front. On quitte le particulier pour le global. Ce n’est pas en France que les gens entendent parler de ce qui se passe, et ils en sont instruits, mais en AYTI, Saint-Domingue, pour.les voleurs des êtres. La sensibilité et les capacités du connaître, dans un contexte global, peuvent jouer leur rôle. En d’autres termes les Négresses et Nègres vont faire usage de leurs capacités. Ils en disposent maintenant mais pour arriver à la fin du discours. Sur cette scène il y a l’énonciateur et les potentielles victimes, soit les passantes et passants. L’objet du discours est et reste le même, les Négresses et Nègres. On arrive à eux à pas lent car la proposition du professeur fait la charnière entre l’intérêt que les Négresses et Nègres en éprouveront et la finalité délétère, soit le choix préposé.

 

 

Voici enfin arrivé le moment préparé : « Par leurs actions, en effet, poursuit Le Glaunec, les esclaves revendiquent leur droit à l’humanité et s’approprient les fondements idéologiques de la révolution française dont ils expriment, par delà la race, la portée universelle ». On dirait que « les esclaves » ne sont plus des « esclaves » parce que tout à coup ils sont miraculeusement doués de capacités intellectuelles et qu’ils en peuvent même les exploiter. Mais il y a plus. L’esclave ne sera pas hors de l’esclavage longtemps. Le blancisme est très rusé. On est, dans le cadre du discours, et demeure en situation d’esclavage (esclavagisation) parce que le « droit » ici mentionné est celui (le droit naturel de l’esclave) dont il est question dans l’idéologie esclavasigeante. L’énoncé du professeur vite enregistré dans la capacité de rétention apporte une grande victoire sur la personne engagée dans la situation, savoir le lecteur ou la lectrice, l’interlocuteur ou interlocutrice. En effet il sous-entend que les Nègres et Négresses, qui sont en situation conflictuelle permanente et sans fin avec le blancisme parce qu’ils entendent rester omunonÄ, soit fidèle à soi-même, rejoignent les libres de couleur et les colons. En d’autres mots ils renoncent à eux-mêmes au profit d’un autre que soi, leur agresseur et génocidaire.

 

 

La grande faiblesse de ce qui est exprimé, c’est qu’il n’y a aucun gain, aucun profit, même imaginable, si cela était possible, pour un MUN qui, par lui-même, cesse d’être en accord avec lui-même. Si une telle chose était envisageable, son préalable nécessaire serait la folie. Mais la démence et le choix ne vont pas de compagnie. Alors elle ne peut donc pas être le principe de l’homogénéité de la lutte en AYITI, dénommée absurdement « Saint-Domingue ». L’énonciation finale a pour but de noyer l’Ancestralité, la Force Imbattable contre le blancisme, et l’Éternel Empire d’AYITI au profit de la république d’Haïti, pays du blancisme et, par conséquent, des libres. C’est là le centre de la chose, l’histoire tronquée.

 

 

Il faut toujours garder présent à la pensée, pour mieux et tout comprendre, que la « révolution française est un mouvement mettant en scène une pensée esclavagiste. Celle-ci, outre la dialectique maître/esclave, entretient irréversiblement un duel invincible entre les éléments constitutifs de l’idée de maître. Chacun d’eux revendique le droit (naturel) de maître unique. En effet la révolution française est une conception tumultueuse en elle-même parce qu’elle oppose deux groupes de gens de même nature, esclavagistes de façon extensionnelle, mais qui ont un objectif différent, le point de mésentente. Ce qui nous intéresse ici, c’est bien ce qui les unit, l’esclavagisme, leur nature. Leur opposition, c’est bien leur objectif, lequel n’implique aucun profit pour les Nègres et Négresses. Il est question de la manière la plus favorable de s’accomplir, selon leur nature, point de leur unité. La révolution n’offre donc aucun attrait aux Négresses et Nègres. Le mode d’être dans le monde propre au blancisme dénommé l’humanité ne peut pas être alors un choix pour nos Ancêtres. C’est tout le contraire. Elle est à combattre et c’est elle que nous combattons et que nous combattrons toujours. Nous la combattons sur tous les points pour cause de désordre effarant et délétère, autrement dit pour gordrm, soit étrangère au La. Elle est une vision savqn, dans le sens de contrariété mortifère, de la vie sur terre. L’esclavagisation, élément de la révolution ou l’ancien régime, ne peut pas être principe de l’homogénéité projetée. C’est, une fois de plus, tout le contraire, elle est plutôt source d’animosité, quelle que soit l’appartenance idéologique.

 

 

La lutte, dont on parle, tourne autour de l’unicité et du gain. Ainsi l’énoncé de Le Glaunec est une source de tension dans sa signification même, du coup de répulsion. Il est, sous la signature des évènements, en lui-même contradictoire, une contradiction inoxydable. La construction du discours, à l’instar de vieilles vis, est folle, ça ne mord pas. La phrase maintient ce qui oppose blancismité et Ancestralité et elle aboutit à l’universalité des acteurs et actrices. Quelle sauvagerie discursive! L’approfondissement est d’une importance Dessalinienne avant de faire usage des mots. La phrase enseigne que les victimes du blancisme, contre lequel elles sont en en incessante et irrévocable contre-guerre, prennent la partie de la révolution, dont l’essence de toujours est de les opprimer. La France révolutionnaire et la vieille France comprennent le même contenu. Les victimes ne peuvent pas entrer dans la lutte pour rester françaises parce qu’elles combattent « la liberté » et « l’humanité », les instruments de l’oppression. Ce serait, de la part des Nègres et Négresses, affirmer haut et fort que le soi idéologique de l’oppresseur est ce qu’il y a de plus noble. Quel non-sens !

 

 

Le Glaunec n’est pas le seul à comprendre ainsi les choses, les choses les plus dérangeantes. Avant lui, il y a le sergent-major Philippe Beaudoin, dont il cite en appui : « Ils (les Noirs), dit-il, se battent pour une cause plus légitime que la nôtre. Au commencement de la révolution on leur a donné la liberté et, maintenant, on veut la leur ôter. » Beaudoin rejoint la déclaration officielle ici et fait subtilement référence à Félicité Léger Sonthonax : « Du néant où vous étiez, affirme celui-ci, vous êtes passés à l’existence ».Ces paroles inintelligibles furent prononcées par le commissaire Santhonax lui-même après, note-t-on, ce qu’il appelait la proclamation de l’abolition de l’esclavage. Nous ne savons pas de quoi s’agit-il puisque Sonthonax a fait un mauvais usage du mot « esclavage ». Revenons au sergent major Philippe Beaudoin !. Jean-Pierre Le Glaunec acquiesce en disant : « Beaudoin voit juste ».

 

 

Il découle de cela que ce qui conduit à la Bataille de Vertières c’est la volonté ou décision du consul, Napoléon Bonaparte, de rétablir l’esclavage. Les Négresses et Nègres veulent vivre avec la France, alors en dehors de soi-même. Le 18 novembre 1803, selon le professeur historien – il ne faut pas en juger, par exemple, en parler comme histo-à-rien, au moins dans le cas de la Négro-gelefweité dans la Karaïbe, car ici nous exposons les idées chimériquement factualisées -, Jean-Pierre Le Glaunec, la rentrée dans l’humanité est devenue factuelle en instituant la république d’Haïti. Ils y ont récupéré ce qu’ils avaient gagné avec le commissaire Sonthonax.

 

 

La substance factuelle du gain est la république d’Haïti. Nous voyons clairement que cette histoire fabriquée a un objectif idéologique précis. La république d’Haïti est arrivée en vide. Les auteurs du coup cherchaient à lui donner une base réelle. Vouloir donner à une illusion un fondement réel met en lumière la folie furieuse des blancistes et des libres. Les mots refusent de s’engager dans une telle démarche. C’est pour cela que l’ancienne présidente de la république d’Haïti, Me Ertha Pascal Trouillot, disait, dans un article, que Jean Jacques Dessalines ne faisait pas partie du groupe combattant pour l’indépendance et c’était un saut qu’il y avait fait. Ce qui est à tirer de cela, Dessalines n’était pas concerné par le mouvement qui a conduit à l’indépendance de la république d’Haïti, voulait-elle, sans doute, dire. Si on veut avoir notre avis, Jean Jacques Dessalines ne prend certainement pas cela pour une insulte.

 

 

C’est évidemment cette histoire vide de sens qui, dès le début,  avait scellé la fin certaine du blancisme par son unité avec la république d’Haïti ainsi que son expulsion, par la mort de celle-ci, du Territoire Impérial. Le sort de l’un est lié à celui de l’autre. Ce mariage était, dès le début, condamné à mourir parce que la blancismologie est une maladie dégénérative et incurable. En sus il ne suffit pas de grand-chose pour l’accélérer. La blancismologie se vérifie dans l’incapacité de comprendre les liaisons simples et l’acte de penser, puis de parler de façon sensée, une fois être sous l’obédience du blancisme. C’est comme si c’était un début de sénilité. La pathologie en question est la négation de la substance (blanciste) qui pourrit petit à petit et qui, après un mouvement qui s’apparente à une sorte de rage, aboutit à une faiblesse qui finit sa course dans la mort.

 

L’Empire d’AYITI

Lorsque les blancistes du monde entier apprennent que s’élève enfin la Voix de l’Éternel Empire d’Haïti, ils tombent presque en syncope. C’est comme l’effet d’un coup de massue. Depuis lors ils ne sont plus capables de penser ni d’agir correctement. L’équilibre n’est presque jamais au rendez-vous. Les bêtises se suivent sans cesse.

 

 

Un aperçu de l’humanité

Puisqu’il est question de l’humanité, une chose tant désirée, voyons ce que c’est. Un bref aperçu de la chose suffit à faire voir ce qu’elle est en réalité. On parle de l’humanité comme le ciel sur terre, il n’en faut pas plus pour éveiller la curiosité. C’est un très grand risque de la part des amoureux et amoureuses de la chose en question car la vie céleste terrestre peut vite désenchanter si la réalité n’est pas à la hauteur de l’attente. Le premier élément de la substance de l’humanité est dieux. Il est présenté comme principe de toutes choses, y compris, et surtout, l’esclavagisation, appelée l’esclavage par les hommes. Les caractéristiques de ce dieux révèlent sans ambages qu’il est le fruit de la pensée de l’homme parce qu’en celui-ci se trouvent les mêmes caractéristiques, dont plusieurs sont à venir et que toutes les activités de l’homme visent leur effectivité, ce qui met aussitôt en lumière que celui-ci en est le créateur pour se l’approprier ensuite au bénéfice de son devenir effectif. Il s’ensuit alors que l’anthropologie est le véritable premier élément et que dieux, le dieux de la bible, est l’instrument de l’homme. Il dépossède toute chose en vue de la dominer, ce que fait l’homme, dans un premier temps, en se présentant comme le représentant de dieux sur la terre, d’où sa supériorité sur toutes choses, et en réduisant ensuite son espèce à un teint spécifique pour se soumettre les autres êtres pensants et de volonté comme pour arriver à un droit, défini comme naturel ou divin, de tout dominer, ce qu’il dénomme « l’esclavage ». Il appelle pouvoir, pouvoir divin, ce statut qui est le sien, et pour l’atteindre il conçoit un système de désistement au droit de se mener soi-même qu’il appliquera dans son sein et chez les autres. Le renoncement ainsi que le choix du bénéficiaire se fera par le vote auquel le nom de démocratie est donné au dix-septième siècle par le philosophe anglais, Thomas Hobbes. Ainsi est institué le système de maître, il ne reste que le propriétaire. C’est au système de production libéral qu’on se fie pour parvenir à l’établir. Le philosophe allemand, Max Weber, met en évidence la liaison existant entre la possession (sur la terre) au salut, le ciel, selon son observation. Il découle de cela que la religion et la politique, la pratique des idées et l’ordre qu’elle génère, sont une seule et même chose et qu’elles débouchent sur l’esclavage, au mieux, l’esclavagisation. Il y a une foule d’institutions secondaires qui pivotent autour de ces grandes dénominations ou idées, comme support, dans le but de parvenir au point culminant, l’esclavagisation effective ou établie. C’est cette démarche qui, grosso modo, se définit en termes d’humanité.

 

 

Pour aller jusqu’au bout de la démonstration, il faut ajouter que l’homme n’est pas mais qu’il est appelé à devenir une réalité effective en s’auto-créant. L’effectivité de la création sera l’esclavagisation, appelée par lui l’esclavage, un fait de la nature, dont la politique, au sens premier du terme, est l’instrument. La politique est une organisation, dont la base est le renonce à soi-même, plus précisément, à son droit naturel de se diriger soi-même au profit d’un autre que soi. L’actuel pouvoir démocratique, c’est-à-dire dérivé du désistement, a pour mission d’arriver à la possession totale par l’un, à l’égal de l’individu naturel. C’est cet individu artificiel qui sera l’homme créé.  

 

 

Accéder à l’humanité, d’après qui est exposé, c’est renoncer complètement à soi-même et se placer sous la domination du blancisme. Le maître et le propriétaire sont rétablis dans leurs droits naturels dans la vie des soumis et soumises. Les blancistes gouvernent la république d’Haïti. Qu’ils soient à l’intérieur de celle-ci ou à l’extérieur, au niveau des institutions internationales et autres, ce sont eux qui mènent. Cela est absorbé aisément par les libres, ils reconnaissent être sous le joug international, l’expriment publiquement et consentent à se plier sous ses exigences. Leur infériorité à l’égard des blancistes est glorifiée sous diverses formes. C’est leur soi.

 

 

L’humanité, par sa substance, structure la pensée de chacune-chacun qui la laisse entrer en lui. On pense et désire conformément à l’occupante. On s’identifie au monde des hommes et, puisqu’ils sont intolérants, on apprend à user de patience envers eux même si on n’espère rien de bon d’eux. On apprend à vivre avec eux tels qu’ils sont, à subir l’indésirable et à ne se contenter que de ce qu’on reçoit, des miettes de leur table. Le seul fait d’être sous leur domination est le bien que la vie peut offrir de plus grand. Le chez soi est en elle, l’humanité.

 

 

Alors l’histoire que nous venons de voir justifie, dans un premier temps l’arrivée de la république d’Haïti pour la création de l’homme et aussi, dans un second temps, pour la vengeance, le génocide, c’est-à-dire l’eliminrgyo

 

 

L’exercice quotidien du danger

Le caractère extérieur de la république d’Haïti est mis en évidence et son expulsion hors du Territoire Impérial est un fait irrévocable. Juridiquement la république d’Haïti n’est plus. Hors de Notre Territoire elle ne peut pas être parce qu’il est sa raison d’être. Bien longtemps avant les récents événements, le blancisme même l’avait signifié, sous l’effet du coup de massue provoqué par la mise en exergue de l’Éternel Empire d’AYITI. Depuis toujours il ne reconnaissait pas une législation de son institution, laquelle législation est indispensable à la réalité de celle-ci, parce qu’il y faisait tout ce qu’il voulait. Est-ce un manque de respect ? Non ! Il s’agit d’un comportement normal vis-à-vis d’une chose dont on est le ou la propriétaire. En aucun cas son mouvement ne peut être gêné par celle-ci. La chose s’est aggravée car il n’y a même pas de constitution portant un adjectif qui ferait penser à une institution de ce genre. Il n’y a que le blancisme qui, à l’extérieur comme à l’intérieur, agit sous cette appellation. Il décide et s’inclinent les gens, les esclavagisé(é)es. L’ordre d’expulsion, du Territoire Impérial, des gens se faisant appeler la république d’Haïti, a emporté nécessairement les blancistes qui agissaient de la zone d’ombre. Il reste, en attendant que le Peuple de l’Empire d’AYTI termine la mise en place de tout, y compris le tribunal impérial, une masse de gens, sans appartenance institutionnelle, sur le Territoire Impérial, parmi lesquels il y a ceux de la bactérie mangeuse de Négresse et Nègres.

 

 

Le coup de grâce annoncé

Sans l’ombre d’un doute, le nombre de gens, là sous nos yeux, augmente. Nous notons la présence des blancistes et des libres venant d’ailleurs en plus de ceux de l’ancienne institution de camouflage qui sont en détention. Ils ne cachent pas leurs intentions, ils sont là dans un cadre de tueries et d’assassinats sans précédent. En plus, en signe de provocation, ils se donnent, en se mettant d’accord avec les prisonniers et prisonnières, le droit de tout faire en tant que « maître et propriétaire». Ce discours est évidemment une maladresse due à l’effet du coup de massue. De toute évidence, les blancistes sont là pour reprendre ce qui, croient-ils dans leur tête d’esclavagiste, est naturellement à eux. Ils reviennent au règne du début de la « conquête des esclaves », définie en tant que « naturelle ». Rien ni personne ne peut changer, ne serait-ce qu’un tout p’tit peu, ce qu’il y a dans la tête unidirectionnelle des blancistes et des libres. Ils sont là, selon eux, pour achever ce qu’ils ont commencé, il y a plus de cinq cents ans, et surtout, le 17 octobre 1806. Ils visent tous ceux et celles qui s’opposent à l’esclavagisation en s’affirmant, bref, en Empire d’AYITI, Immortelle Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu.

 

 

La mort est postée à chaque coin de rue sur Notre Territoire.

 

 

Toute agression, de quelque nature que ce soit, est programmée à l’avance. Tout assassinat est prémédité. On opère dans le cadre de vengeance et génocide, donc l’eliminrgyo.

 

 

ICI DESSALINES !

Ici l’Empire d’AYTI, Empire Dessalines ! SEULES NOS LOIS tiennent ! Personne n’est exempt. Elles n’épargnent personne. Elles sont aussi immortelles que Notre Être de qui elles émanent. Tout ce qui est gordrm, étranger au La, s’efface devant Notre Constitution, un théorème, à jamais promulguée à Dessalines, Capitale de l’Éternel Empire d’AYITI, le 20 mai 1805, laquelle Constitution est le portrait tiré de Notre Être, ce que Nous Sommes, soit MUN. Tous ceux et celles qui prétendraient le contraire bluffent et en feraient certainement les frais si nécessaire.

 

 

ICI, c’est l’Empire d’AYTI, CHEZ NOUS ! Les Enfants du Pays Ancestral et Toya-Dessalines ont l’Immortelle Responsabilité de veiller à l’INTÉGRITÉ INOXYDABLE de l’EMPIRE D’AYITI, leur Être. Telle est la LOI.

 

 

Celui ou celle qui, quelquefois, se plaint de n’avoir pas pu être là en ce jour du 17 octobre 1806, réjouis-toi car l’honneur et la gloire t’accompagnent aujourd’hui.

 

 

Le monde, voire tout le La, a les yeux rivés sur NOUS. Qu’il glorifie notre descendance (Nègre) et notre appartenance, l’Éternel Empire d’AYITI !

 

 

L’Empire d’AYTI dispose de tous les moyens légaux pour se protéger contre toute agression, de quelque nature que ce soit, et livrer les auteurs, blancistes et atha, jusqu’à la première personne, chef d’État ou chef de gouvernement, pour qui le crime est commis, à la cour pénale internationale. Pas d’abri pour les esclavagistes et la volonté délinquante! Nul n’est exempt devant l’Empire Dessalines !

 

 

La peinière pour toute agression de l’Empire d’AYITI à travers ses Enfants, soit citoyennes et citoyens, est de deux-cents-dix-huit ans sans aucune possibilité de réduction.

 

 

Le Peuple de l’Empire d’AYITI se mène lui-même et agit par lui-même pour Sa Gwqmunité, acte de se mener effectivement soi-même.

 

 

Jean Jacques Dessalines Pi Wrd !

 

 

Le décret prend effet aujourd’hui même, le mercredi 26 juin 2024.

 

 

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

 

 

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