Le message du 1er janvier 2025 : l'invincibilité de l'Empire d'Ayiti

 

Décret 00000007 Le Chez Soi indissolublement lié à l’Empire d’AYITI décembre 20240000000

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 8 - f = © Tous droits réservés

q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   = on,  ñ

Décret 00000007 Le Chez Soi indissolublement lié à l’Empire d’AYITI décembre 20240000000

Nous ne sommes pas à l’origine de notre être, il est alors produit selon la pensée d’un autre que soi. Ce qui s’appelle la production, c’est l’ensemble de ce qu’il faut, qui est désigné chacun par le terme Mbwa, mis en commun pour aboutir, dans sa totalité, à ce qui est dénommé l’essence, laquelle détermine à son tour la forme, même lorsqu’elle ne peut pas être appréhendée par la matière. Par la forme la chose EST. Elle n’EST pas, pour ensuite disparaître aussitôt. Elle est alors dotée d’un Mbwa qui la tend  à durer en son être, autrement dit à se maintenir dans son essence, nécessairement dans sa forme, conformément donc à celle-ci. Il s’ensuit que la chose est déterminée, quelque chose de fixé, stable. Pour présenter l’idée d’une autre façon, ce qui est à durer, c’est bien ce qui est. Alors la chose, qu’elle soit douée de faculté de s’appréhender ou pas, est bien dans son être. Cela ne peut pas être autrement puisque c’est ce qu’elle est. C’est ce que les Ancêtres dénomment être en soi, limité à ce qu’on est, tourner sur soi-même, comme une toupie, incapable de sortir de soi-même. 

L’être en soi, sur le plan de l’être, est sans vue sur le dehors, à l’extérieur de soi-même. Il a la tête  en lui-même. Il se suit sans s’arrêter. 

L’être ainsi défini, sur l’angle en question, ne peut pas ne pas être bien, soit se sentir, en lui-même puisqu’il ne connaît que lui. 

Telle est, selon nos Ancêtres, la situation de toutes choses ou puissances. Elles sont toutes, sur ce plan de l’être, repliées sur elles-mêmes, être en contact avec soi et soi seul, chacune selon sa constitution. Le maintien dans l’être passe par cette voie. Cela précède même la conscience de soi. Ce moment de l’être se situe en dehors de la conscience, là où il en est question. La conscience permet de l’identifier et le nommer mais elle ne lui est pas présente malgré son poids dans stabilité de la chose sur elle-même. Cela explique, sans doute, l’impossibilité de toute négociation contre ce qu’on est. La chose est centrée sur elle-même et se donne tout bonnement sa direction, tout cela avant même toute conscience de soi. C’est l’effet des Mbwa, que l’on peut, dans un certain sens, comme la matière, sa matière. La chose suit la tendance, sa tendance. La conscience, en association avec les capacités, nous révèle que nous sommes devant un fait, nous-mêmes.  

Cette orientation va jusque dans la compréhension globale des choses, ce que nous appelons le La, soit l’univers dans l’harmonie de ses éléments. Le La s’incline forcément à se perpétuer dans ses Mbwa, nécessairement ce Mbwa, celui de l’orientation spontanée. 

Pour marquer l’effet positif de la nature de l’orientation spontanée, il convient d’appeler son actualité le Blrz, la chose qui EST en elle-même, en pleine conformité avec elle-même, aussi en dehors de toute empreinte de contrariété. Là se le lieu de l’affirmation de soi de la chose. 

Cette pensée, qui est une b¼nqyée, référence faite ici à son exactitude, est l’instrument ou l’arme de contre-guerre de nos Ancêtres, spécialement Jean Jacques Dessalines.  Car ce que nous appelons la Résistance Ancestrale et Résistance Gwqmunale, puis Résilience pour certaines personnes, qui débouche sur la Dessalinienne découle directement de l’Affirmation de Notre Être, le Mun, et additionnée de l’Ancestralité, laquelle en est le phénomène dans l’Art d’exister, vivre en accord avec sa munité.     

C’est de là que vient la pensée selon laquelle l’Empire d’AYTI, dont l’érection est confiée au Général Vainqueur Jean Jacques Dessalines, a pour objectif “d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens, citoyennes, d’une manière immuable et irrévocable”, qu’”il est” le plus sûr moyen” , c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’autre possibilité que l’Empire d’AYITI, lequel émane “du titre auguste et sacré qui concentre en lui les forces de l’État” - il est question de “l’Empereur” -, et que, en profondeur, cet objectif n’est pas facultatif, puisqu’il s’agit d’”immuabilité et irrévocabilité”, mais le but nécessaire de l’Organisationnelle, être ensemble suivant la substance de l’être Munal, déterminée par le mot d’Ubuntu, une Yunité par l’interdépendance. La nécessité vient de la substance, qui, nous, le lakort, nous centre en nous-même : “Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes”, le 1er janvier 1804. L’assurance mise ici en évidence, à travers ces mots, vient du premier étage du SOI, l’inconscient, lequel oriente tout l’être vers lui-même et duquel se dégage toute sa force. Le Mun est ainsi fait, c’est là une nécessité, pour pouvoir affronter tous les risques et difficultés qu’il rencontrera sur le chemin de la Mission, sa finalité immédiate, de se maintenir dans l’être.  La préservation est celle de l’être en tant que ce qu’il est, une masse de Badr, singuliers munaux, ubuntu, une yunité, tournée sur elle-même : en soi, par soi et pour soi. La pensée munale exprimée ici est fondamentalement profonde. Elle est en filigrane dans toutes les idées à venir. À titre d’exemple, plus tard, le 20 mai 1805, toujours à Dessalines, la référence sera faite au même contenu, le précédent  : “Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti”. Faut-il le savoir, “le Peuple” n’est “Peuple” qu’en lui-même, puisque c’est par sa yunité, laquelle s’exprime par la Volonté de rester en lui-même tel que manifestée dans l’Affirmation de Soi définissant le Mun, et “se forme en État libre et Souverain, soit Gwqmun”. Premièrement il y a le Mun comme Centre de lui-même et le seul et unique auteur de son action, réponse à ses propres exigences, deuxièmement, à cause de cela, il se gouverne lui-même, cela directement, et, troisièmement, ce mode de Direction, qui est l’Empire d’AYITI, “est” proclamé “le plus sûr moyen” pour atteindre l’objectif, qui est “d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens, citoyennes, d’une manière immuable et irrévocable”.  Le Soi Munal est inébranlable, il réaffirme être irréversiblement son propre chemin.

Le récit de la genèse comme fondement premier du Peuple-État

Ce n’est pas une affaire d’aujourd’hui, cette ferme et inébranlable croyance en soi-même. Le récit de la genèse rapporte qu’au début “le ciel et la terre étaient si proches que nous pouvions toucher, de nos mains, les éléments du premier. Le temps a passé, cette présence était devenue envahissante. Elle occupait notre b¼nqy; après un certain temps, nous ne pouvions mais et nous lui avons demandé de se retirer. Il a accédé à notre requête, depuis lors nous par nous-mêmes nous agissons.” Le récit est peul, il faut le lire pour avoir une idée claire et précise de notre histoire, notre histoire en tant que mun et particulièrement peuple nègre, et la Dessalinienne, notre imbattable force. Nous vous faisons les recommandations suivantes : 

HRH SA MAJESTÉ LE PRINCE WEBER TIÉCOURA DESSALINES D’ORLÉANS CHARLES JEAN BAPTISTE

DE 

LA PRINCESSE EUGENIA DESSALINES

ET SON ÉPOUX D’ORLÉANS CHARLES:

LA VILLE DE DESSALINES VOUS RÉPOND:

VOICI LE PRINCIPE VICTORIEUX DE NOTRE LUTTE EN CE MONDE

AVEC LA COLLABORATION DE GINO CLYFORD ET DU CQ VIZION MUNAL

LES ÉDITIONS LOF

(LEKBA/OGU/FWEDA)

et, du même auteur et de la même Maison d’Éditions : 

Dessalines-ville Capitale Impériale de la planète terre (1503-1803) et (1803-2003). 

 Ce qu’il faut surtout retenir dans ce qui précède, c’est que Notre Dieu, GwqmrtLa, Bon-Dieu, Nous a produits pour être le responsable de Nous-Mêmes.  Comme tout géniteur, toute génitrice, prend en charge leur nouvelle génération au tout début, le modèle qu’il a lui-même tracé, Notre Dieu nous accompagna jusqu’à notre développement, le stade où nous pouvions nous occuper de nous-mêmes. C’est pourquoi il n’a pas contesté notre demande. Il a laissé aller les choses. Ce que cette attitude nous apprend, c’est que Notre Dieu, Bon-Dieu, ne se contredit pas. Le développement de sa Pensée, celle dans laquelle s’est faite la Production, est en cours. 

Nous comprenons mieux la raison pour laquelle l’idée de manque originel, qui est à l’origine de la réconciliation avec dieux, laquelle porte le nom de religion, est inconnue dans notre vivasi¼, mode d’être dans le monde sensible, spécialement dans l’Éternel Empire d’Ayiti, le Peuple-État. Jean Jacques Dessalines, l’Empereur, prend ses distances de la religion, cela pour deux raisons particulières : la première est le fait que le dieux de la religion n’est pas le Vrai Dieu, soit Bon-Dieu, Notre Dieu - Bukmq et Jean Jacques Dessalines sont catégoriques là-dessus -, et qu’il est un vide dominant, esclavagiste; la deuxième est que la religion, surtout la chrétienne, est le principe de l’état contre lequel nous luttons, soit l’esclavagisation. On se souvient de la bulle papale, Nicolas 5, qui ordonne la conquête des Négresses et Nègres pour les mettre en esclavagisation. Sa Majesté Jacques 1er, sans porter atteinte à la croyance car c’est un balayage personnel - la logique impériale n’est pas encore à portée de la compréhension à ce stade-ci -, expulse logiquement de l’Empire d’AYTI, sa structure, la religion : “La loi n'admet pas de religion dominante”; contrairement à ce que nous voyons ailleurs, l’Empire d’AYITI n’est pas lié à la religion; cela a pour conséquence que “La liberté des cultes est tolérée” mais “ L'État ne pourvoit à l'entretien d'aucun culte ni d'aucun ministre”.  La religion est et reste l’ennemie irréductible de l’Empire d’AYITI. Notre Dieu supporte le fait que nous nous prenions en mains parce qu’il nous a ainsi produits. Être en soi, par soi et pour soi, la quintessence munale, et l’écart de Notre Dieu, GwqmrtLa, dans notre vie sont deux idées inclusives. C’est en cela, il ne faut jamais l’oublier, que prend racines le Peuple-État, dont la dénomination est l’Empire d’AYITI. La Dessalinienne est d’une logique implacable. L’inconscient, la conscience, le désir, les capacités ou la b¼nqyelité, tout est le mun qui tourne sur lui-même, sous l’élan du BLRZ pour culminer en l’Empire d’AYITI. 

Ce qu’il faut retenir jusqu’ici, c’est qui fait quoi et comment. Qui, c’est le Soi, c’est-à-dire le MUN, lui seul, le Muc; quoi, c’est agir pour se maintenir en soi-même, en sa Substance d’Être; comment, en se traduisant, ce qu’on est en soi-même, dans le monde sensible, dont le mode est l’Empire d’AYITI, une forme éternelle, autrement dit, UNE FOIS POUR TOUTES. 

C’est cela la Dessalinienne. Elle est pour nous garder auprès de nous-mêmes, notre Soi, le munal, en nous apportant, cela en tous sens, ce qu’il faut pour continuer à être ce que nous sommes et jouer notre rôle, en tant que chose du La, à savoir qu’être en vue de manifester la Présence de Notre Dieu, Bon-Dieu, soit GwqmrtLa. C’est, de notre côté, le sens de la vie, au mieux, la raison de notre présence dans le La. Ce que nous sommes n’a rien à voir avec l’altitude puisque nous sommes Ubuntu. Dans le cas contraire, ce serait une contradiction dans les termes. 

Ça va de soi, ce n’est pas une perfectibilité, notre munité, mais une définité à substance pour toujours stable et appelée à s’extérioriser, pour être sensible, par notre attitude, notre mode d’être dans le monde.  

Jean Jacques Dessalines place, en ces termes, sous notre bnqy la définité munale : «... la duplicité raffinée des Européens a cherché si longtemps à diviser», dit-il. Le point est important à retenir pour pouvoir appréhender ce qui lui succède. Il est la négativité de ce qui fait. «... vous qui ne faites aujourd’hui qu’un même tout, qu’une seule famille », poursuit Jean Jacques Dessalines. D’après ce qui est dit, la voie n’est pas perdue. On est là où l’on doit être…« Maintenez cette précieuse concorde, cette heureuse harmonie parmi vous; c’est le gage de votre bonheur, de votre salut, de vos succès; c’est le secret d’être invincible » page 28, Jean Jacques Dessalines. Le Grand Savant met les gens à portée de Soi, la yunité. Dans la Constitution, Jean Jacques Dessalines met en échec un point identique, soit les nuances épidermiques : « Toute acception de couleur parmi les enfants d'une seule et même famille, dont le chef de l'État est le père, devant nécessairement cesser, les Haïtiens ne seront désormais connus que sous la dénomination génériques de Noirs». L’acceptation de couleur est source de séparation. Si elle n’a pas sa place dans l’être munal, elle n’a pas sa place non plus dans l’Empire d’AYITI, qui en est une manifestation sensible. “Le chef de l’État” est “le Père” de “tous les enfants” constituant l’Empire d’AYTI, la yunité, dérivant de l’Ubuntu. La yunité ne se fait pas par “le Père, qui est “le chef de l’État”. Celui-ci est le symbole de l’Ubuntu dans le monde sensible. L’Empire d’AYITI est notre corps interne, le corps munal, à l’extérieur. C’est pourquoi le chef de l‘État est le Père de tous les enfants et que, par conséquent, ils forment un Seul et Même Tout, appelé Famille.   

Pour toutes ces raisons le sentiment qui se dégage en chaque enfant de l’Empire d’AYTI est celui d’être Chez Soi. Cela ne peut pas être autrement puisqu’on y est en Soi. 

Pour toutes ces raisons nous bannissons d’emblée les blancistes et leurs atha, les bunda qmr, du Territoire Impérial. Ils sont a priori exclus de notre Territoire. Pour ce qui est des bunda qmr, leur sort est fixé dès le début : «Quel est ce vil Haïtien, quelle est cette ville Haïtienne, si peu digne de sa régénération, qui ne croit point avoir rempli les décrets divins (donc éternels), en exterminant ces tigres altérés de sang? S’il en est un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature indignée le ou la repousse de notre sein; qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux : l’air qu’on y respire n’est point fait pour ses organes grossiers; c’est l’air pur de la Gwqmunalité, laquelle est auguste et triomphante.» Jean Jacques Dessalines. La position de Dessalines est très explicite, elle est objective. Nul ne peut prétendre ne pas la comprendre. Disons, au cas où il y aurait un cas possible, qu’elle est dictée par la logique du discours. Dans ce cas elle ne recèle rien de subjective. De même qu’ «Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété», de même ceux et celles qui ne croient pas en la réalité même de l’Empire d’AYTI, à savoir qu’il est ordonné par l’essence munale, alors un Impératif de Notre Dieu, Bon-Dieu, le Producteur. Tout bien considéré, l’Empire d’AYITI est Notre Chez Soi, Nous les enfants qui constituons le Peuple-État. 

Le Décret est en vigueur dès aujourd’hui, le 31 décembre 2024.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

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