JEAN-JACQUES DESSALINES : FIGURE NÉGATIVE DE LA PENSÉE DE L’ESCLAVE
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JEAN-JACQUES
DESSALINES : FIGURE NÉGATIVE DE LA PENSÉE DE L’ESCLAVE
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Devant
la mort de son beau-frère, général Emmanuel Leclerc, furieux, Napoléon
Bonaparte, en parlant de l’Invincible Général Jean-Jacques Dessalines,
disait : « Voilà le résultat d’un nègre révolté !»
Le
consul français, Napoléon Bonaparte, a choisi Rochambeau, un criminel de haut
rang, comme successeur du général Leclerc, exécuté par l’Invincible Général
Dessalines, le Messie. En entrant en fonction, le général et gouverneur de
« Saint-Domingue, Rochambeau, a prononcé ces paroles : « Quant
au Général Dessalines, lorsque je mettrai la main sur lui, je le battrai comme
un esclave jusqu’à ce qu’il meure ».
Pour
comprendre ce chapitre, est recommandée la lecture les deux précédents : La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 a et b. Soit dit en passant, notons bien ceci : Sur
cette planète, les affaires nous concernant sont inconditionnellement reliées à
la connaissance. Qui n’aime pas le savoir ne tirera aucun bénéfice de mes
publications et, par conséquent, est livré à lui-même.
Pour en revenir aux paroles de Napoléon et
Rochambeau, il y a un point commun à leur pensée respective ci haut exposée,
« l’esclave ». Les deux font usage du même mot mais distinctement.
Pour Napoléon, Jean-Jacques Dessalines est un « esclave » refusant de
se comporter en « esclave ». C’est ce que signifie « nègre
révolté ». Le consul français parle d’un lieu bien connu, savoir
l’idéologie selon laquelle le « nègre est fait pour être commandé par
l’homme, qui est le maître, c’est-à-dire le blanc ». Napoléon Bonaparte a
fait preuve d’un crétinisme touffu en s’exprimant en ces termes. Ces mots mettent
en évidence l’incapacité de son intelligence à entrer en communication avec la
réalité. Tandis que Rochambeau, lui, est pragmatique. C’est ce que révèlent ces
mots : « … je le battrai comme
un esclave ». Ici, « comme » marque la comparaison non l’identité,
tel que l’affirme la liaison entre le substantif « nègre » et le
participe adjectif « révolté », une pure réalité mentale. Rochambeau
nie la nature d’esclave attribuée à Dessalines. Rochambeau s’exprime à
l’intérieur de la réalité, celle de Dessalines, le Résistant convaincu, et son
Peuple. Il n’avait pas le choix car il devait affronter directement ce Génie,
la Pintade, comme Dessalines se plaisait à s’appeler.
Le
général Rochambeau n’ignorait pas que le Messie, Jean-Jacques Dessalines,
contestait l’idéologie de l’esclave. En effet de même que Dessalines, le
Missionnaire Divin, répondait coup pour coup aux Français, de même Il répondait
idée contre idée. Jean-Jacques Dessalines n’a jamais prononcé le mot
« mulâtre » à cause de sa décharge idéologique, une pensée impropre à
l’ordre du Nous. L’attitude de Dessalines relève de la science de celui-ci qu’il
a acquise par son initiation à l’Ancestralité. Pour ce qui est du mot d’
« esclavage », son comportement est pareil, Dessalines disait
« condamné(e) aux travaux des champs ». Il en est de même pour le mot
d’ « esclave » : « Esclave ! disait-il,
Laissons aux Français cette épithète qualificative ». Le
Messie leur retourne leur vocabulaire, ce dans un contexte bien défini et
juste. Dessalines, un fin observateur.
Et ce
n’est pas tout. Le lourd sens du mot « esclave », Dessalines le
maîtrisait sans nul doute : « ... Le nom français, disait-il, lugubre encore nos contrées. Tout
y retrace le souvenir des cruautés de ce peuple barbare: nos lois, nos meurs,
nos villes, tout porte encore l'empreinte française ( … ) Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour
être esclaves. » Les significations de ces paroles se trouvent
consignées dans La Famille Impériale et la Ville de Dessalines
prennent la parole 7 - 4 a et b, surtout « b », dont je vous recommande fortement la lecture ou
la relecture. Les idéologies qui y sont exposées succinctement trament toute la
pensée politique européenne et l’histoire, d’hier à aujourd’hui, donc la
naissance et le développement du blancisme. Être esclave, selon les paroles de
Jean-Jacques Dessalines, le Messie, Enfant des Mornes Cahos et élevé pour la
cause par Tante Toya, c’est vivre dans la pensée des autres. C’est exactement ce
que révèlent les sciences des écoles, notamment la science de la politique,
connue aussi sous l’appellation de philosophie politique, science fondatrice de
la politique-pratique européenne ou blanciste.
Il s’ensuit qu’être « esclave » est
négatif, selon le blancisme ainsi que Jean-Jacques Dessalines, mais pas sous le
même rapport. Pour le blancisme la négativité de la substance d’esclave
s’explique par sa presque pure-animalité, donc son infériorité face à l’homme,
soit le blanc, alors que, pour Dessalines, la nature d’esclave est une chimère
et rabaisse quiconque s’y adhère. Il y a dans la vision blanciste une
incapacité ontologique, bien qu’idéologique, cela importe peu ici, tandis que
la pensée de Dessalines, qui est dqmbala, soit connaissance vraie, est réaliste,
c’est-à-dire en adéquation avec la réalité.
Pour
corriger la situation, Jean-Jacques Dessalines, savant de premier ordre, lance
cette invitation : « Marchons
sur d'autres traces ». Comment, se demandera-t-on ? « Nous avons osé être libres, répondra
Dessalines, osons l'être par nous-mêmes
et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la
lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche ». Ces paroles
font appel aux capacités effectives dont nous sommes toutes et tous manifestement
dotés, celles qui sont niées par le blancisme pour arriver à produire
l’idéologie bactérienne, « l’esclave ».
Quelle
est Grande et Merveilleuse Notre Histoire, l’Histoire Négro-jelefweenne, qui
nous a constitués ! Qu’est-ce que je suis content de MOI, d’être la continuité
génétique de Jean-Jacques Dessalines et Claire Heureuse et, en plus de cela, le
porteur de Sa Haute Pensée, qui est l’Ancestralité, être en soi, par soi et
pour soi, bref être irrelativement Gwqmun.
Pourtant
nombreux sont-ils celles et ceux qui ont repoussé l’invitation en question en
choisissant la nature artificielle ou discursive d’esclave, soit la république
et les doctrines politiques qui y sont propres. Ils ont intégré le grand
organisme blanciste, l’ONU, voie de la colonisation des peuples pour le compte
du blancisme. Nécessairement la culture politique blanciste est, par adoption
ou imposition, la leur. Il faut les voir en train de parler des droits de
l’homme – nouvelle doctrine de la science de la politique apparue au
dix-septième siècle, avant la naissance de l’Invincible Général Jean-Jacques
Dessalines, toujours en vigueur pendant Sa Victorieuse Carrière Messianique et
aujourd’hui encore, donc une doctrine comportant l’idéologie de l’esclave –,
ces droits qui sont ceux du blancisme, et d’une pratique particulière qu’elle
implique, la démocratie ou la société démocratique, qui est l’érection du
pouvoir par l’association consentie des hommes (très important), scellée par le
vote, en vue de la réalisation ou la création effective de l’homme. Une
initiative de l’homme à l’avantage exclusif de l’homme.
Le droit
le plus fort de l’anthropologie des droits est la liberté, terme polysémique,
qui est ici le gouvernement de soi par soi et la domination des sous-hommes par
l’homme. C’est ce droit qu’exerce le blancisme par le moyen de l’Organisation
des Nations-Unies en vue de se donner un devenir effectif. À titre d’exemple la
déclaration universelle des droits de l’homme ou du blancisme de 1948 de l’ONU
consolide la mise sous tutelle des peuples idéologiquement et unilatéralement
proclamés sous-hommes parce qu’esclaves par l’Europe et ouvre, du même coup,
d’autres voies nécessaires, qui sont elles aussi des droits mais dérévés, à
l’absorption des peuples pour la marche, espère-t-on, victorieuse de la
Louperie, prédation blanciste, devant déboucher sur le système
« d’esclavage » global, finalité immédiate du blancisme.
L’ONU est
présente sur tous les territoires du Grand Peuple Nègre de la terre. Le
blancisme, toujours par l’ONU, nomme et révoque sur nos territoires et
emprisonne celles et ceux qui sont à ses yeux des rebelles. Tout récemment en
Côte d’Ivoire, au Burkina Faso et en Ayiti. Les présidents et présidentes sont
directement nommés par le blancisme à travers l’ONU.
Avant-hier
l’ambassadeur de l’Union européenne s’est présenté à la Chambre basse, Chambre
des député(e)s, à Port-au-Prince, pour donner des instructions au président de
la Chambre concernant les modalités à
suivre pour faire contrepoids au refus du Grand Peuple de Dessalines de se
plier au dictat du blancisme. Le président de la Chambre n’y voit aucun
inconvénient. Le droit de liberté est le droit du blancisme.
Pourtant
c’était fini, la colonie. Le point final est mis par le Messie, Jean-Jacques
Dessalines.
Les
« esclaves », au mieux, les esclavagisé(e)s – parce que l’esclave est
une illusion -, ont décidé que NON. Non ils ne souscriront pas à l’invitation
Du Messie. Ils crient HAUT ET FORT : « Nous voulons les droits de
l’homme et la démocratie, leur mode de réalisation. « Marchons sur
d’autres traces », ce n’est certainement pas NOUS. Nous ne sommes pas, et ne
pouvons pas être, en dehors du blancisme ». La réponse est on ne peut plus
claire.
ALORS PLUS
QUE JAMAIS LA TERRE A SOIF DE LA DESSALINIENNE !
QUE LA
RÉVOLUTION DESSALINIENNE LES EMPORTE TOUTES ET TOUS !
GWQMUN
SOMMES-NOUS, GWQMUN RESTERONS-NOUS, CE À L’OMBRE DE JEAN-JACQUES DESSALINES
PLUS QUE GRAND, LE VENGEUR ET LE LIBÉRATEUR.
HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines
D’Orléans
7e de la Génération du
Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et
Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire
Toya-Dessalines
Spécialiste et
professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment
du blancisme
Pour une nouvelle planète terre
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