QMUEeeeeeeee ! DIFE NQ KAY LA ! LE CRI DE LA RÉVOLUTION DESSALINIENNE

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 LE CRI DE LA RÉVOLUTION DESSALINIENNE

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L’INVASION DU PEUPLE NÈGRE DE LA PLANÈTE PAR LE BLANCISME ET L’AVÈNEMENT DE LA MULTITUDE INFORME À CARACTÈRE SENSIBLE NÈGRE, TRAITS NÉGROÏDES, PRODUITE PAR L’ENVAHISSEUR

Tommaso Parentucelli, né à Sarzana en 1397, est élu pape le 6 mars 1447 sous le nom de Nicolas V.  Le 8 janvier 1454, juste avant sa mort le 24 mars 1455, à l’âge de 57 ans, il a ordonné, par un acte juridique, appelé la bulle papale, la conquête des Négresses et Nègres du continent ancestral, dénommé Jelefwe ou Gelefwe, et leur réduction en esclavage.  
  
Qu’est-ce que c’est ? Le mot d’esclavage dérive du mot d’esclave, lequel signifie sous-homme. Deux choses à savoir, la première, on ne devient pas esclave, on naît esclave. Autrement dit, l’esclave est la condition naturelle d’un être; la deuxième, ce qui fait d’un être un esclave, c’est la privation ontologique de certaines facultés. En d’autres mots il est ainsi créé par dieu ou la nature.

Quelle est la conséquence de ce manque ? L’esclave ne peut pas réfléchir, c’est-à-dire produire des idées par lui-même.

On se demandera, peut-être, à quoi ça sert la production des idées. Pour bien comprendre la réponse qui suivra, il faut d’abord savoir que l’espèce animale dispose de deux façons d’agir, l’instinct et la pensée. La vaste majorité des animaux agissent en grande partie instinctivement, ça va sans dire, la minorité, toujours en grande partie, par la pensée. Il s’ensuit que l’instinct et la pensée sont propres aux deux catégories. Là où l’instinct dirige majoritairement l’action animale, l’activité de la pensée est moindre quantitativement et qualitativement. Là où la pensée dirige en grande partie l’activité, le mouvement instinctif est très limité. C’est le cas de l’ordre du Nous. Les opérations de cet ordre, qui nous comprend toutes et tous, sont majoritairement conduites par la pensée. Nous entendons souvent dire que nous sommes des êtres pensants. Cela veut dire que ce n’est pas à l’instinct de faire la majorité de nos opérations. C’est à nous de le faire.

Pour en revenir à la réponse, les opérations de la pensée sont utiles car c’est par elles que nous produisons des idées. Les idées sont nécessaires et indispensables car c’est par elles que nous nous dirigeons, c’est-à-dire mener notre vie, comme simple singulier et comme groupe.

L’esclave est capable de faire plus d’opérations par la pensée que la majorité des animaux. Cela donne à entendre qu’il a moins d’instincts qu’eux. Cependant il est limité dans ses capacités cognitives comme ses capacités instinctuelles. Les animaux qui marchent majoritairement par instinct se mènent eux-mêmes. L’esclave, lui, est désavantagé du côté instinctif comme du côté intellectuel, suivant la science des écoles. Il n’a pas assez d’instincts ni suffisamment de facultés supérieures pour produire les idées. L’animal pensant se dirige ou dirige sa vie par la production des idées. Il découle de cela que l’esclave ne peut pas se conduire lui-même.  

Comment fera-t-il, le pauvre ? Il faut qu’il survive. N’ayez aucune crainte, l’idéologie de l’esclave a tout prévu. La nature ou le dieu qui a ainsi créé l’esclave avait tout prévu en le plaçant sous la domination de l’animal pensant qui est doué de TOUTES les facultés supérieures.

Cet animal se nomme le blanc. Le blanc, par sa nature, être doué de toutes les facultés pour se donner sa conduite, est l’animal supérieur. En d’autres termes le blanc est supérieur parce qu’il ne lui manque pas de facultés supérieures. À cause de cela il peut se diriger et montrer la voie aux autres, c’est-à-dire les diriger. Le blanc est ainsi placé au-dessus des autres.

Cet animal, en tant qu’être supérieur, a un nom bien à lui, l’homme. C’est pourquoi Charles de Montesquieu, grand philosophe européen, dit que « c’est le teint qui fait l’homme ».

Alors le blanc mène sur la terre. D’où le blancisme.

C’est dans cette pensée, un ensemble d’idées coordonnées, que le pape Nicolas VI a autorisé la mainmise sur les Négresses et Nègres. Ça va sans dire, les Négresses et Nègres sont des naturellement esclaves.

Dans cette optique, Nicolas Machiavel a dit : « La conquête est la chose la plus naturelle ».

Je jure qu’il y en a plein qui ne peuvent pas comprendre cet exposé si clair et distinct.

L’invasion européenne, qui est un impératif de la nature et de dieu – ce que Jean-Jacques Dessalines, le Messie, a appelé : le dieu des blancs - a pour fin la domination des Nègres et Négresses à cause de leur nature d’esclave. Par leur domination on entend, leur dire qui sont-ils, leur dicter leur conduite, leur apprendre comment s’organiser. Tout cela se résume en un mode de vie politico-religieux.

REGARDONS ce que cela (la conquête) a donné. Au Jelefwe on a tassé, soit mis de côté, les royautés ancestrales, qui malgré tout demeurent, et a créé arbitrairement de nouvelles nations. Sur le même territoire il y a un président et souvent plusieurs rois ou reines. Mais le régime présidentiel, qui est le fruit de la pensée d’esclave, règne en maître. Et les gens s’identifient à la domination blanciste à travers les nationalités nouvelles. En matière de religion, tout est pareil. Point n’est besoin de dire que le blancisme est en eux comme l’esprit saint, qui est une autre appellation pour le blancisme, habite en chaque fidèle.

Dife nq Gelefwe ! Notre Maison Ancestrale, le Jelefwe, est la proie des flammes, du blancisme.

Par la razzia et la déportation, nous voilà, nous, au Masuana, continent appelé Amérique par le blancisme, verte Bactérie mangeuse de Négresses et Nègres.

Sitôt arrivé(e)s, plusieurs d’entre nous marronnent et érigent de nouvelles nations, par exemple les Marroons en Jamaïque dirigés par Nany. Dans des endroits comme Sainte-Lucie, Martinique, Guadeloupe, Ayiti, que sais-je, les Négresses et Nègres, qui contestent l’idéologie de l’esclave, autrement dit qui se savent Gwqmun, renversent le blancisme et s’érigent en des Nations Gwqmun.

Le blancisme, qui ne sait pas renoncer à lui-même, revient et s’y installe à nouveau par la force. Et il rassemble autour de lui les esclaves convaincue(s). En Guadeloupe, c’est le chef du gouvernement de la Guadeloupe indépendante qui a rejoint le camp de Richepense, celui qui dirigea l’expédition de Napoléon Bonaparte en 1802. Aujourd’hui encore il y en a plein qui marchent avec la France bactérienne malgré la Résistance incassable des Nègres et Négresses Gwqmun. Tout récemment Aimé Césaire, esclave convaincu de Martinique, a demandé la départementalisation. La Jamaïque esclave a, sous de fausses raisons ou promesses, absorbé la Grande Nation dirigée par Nany, ce que l’armée coloniale britannique n’a jamais pu faire. En Ayiti les esclaves convaincu(e)s ont assassiné le Messie, Jean-Jacques Dessalines, et tentent depuis de substituer leur royauté ainsi que leur république à l’Empire de la Gwqmunalité, Empire de Toya-Dessalines, Empire d’Ayiti. Elles et ils ont ramené physiquement le blancisme sur le Territoire de Dessalines. Les gens des planètes habitées diraient que c’est un conte ou une fiction.

Aux États-Unis d’Amérique les African-American reçoivent leur conduite, politique et religieuse, des blancistes régnants. La majorité d’entre eux en est très fière.

En Amérique latine comme en Amérique centrale, notamment le Brésil, le Costa Rica et le Panama, les Négresses et Nègres sont sous l’administration blanciste.  

Dans les pays du continent où on voit des Nègres aux commandes, ce ne sont pas des pays nègres mais, comme au Gelefwe, des figurants ou des instruments du blancisme.  

Dans tous les groupes, visiblement nègres, ce n’est pas la pensée nègre qui oriente la vie mais la pensée politique blanciste. Pour ce qui est de la religion, elle est soit blanciste ou de ses semblants.

Tout porte à croire que seul le peuple nègre est dans cette situation. QUELLE HONTE !

Fièrement ces nègres et négresses parlent de religion et sont prêts à terroriser les autres négresses et nègres qui ne partagent pas leurs croyances.

En matière de politique la chose est aussi grave. On les entend parler de droits de l’homme, de démocratie, de consommation, d’accumulation de richesses, de communisme, de capitalisme, de libéralisme, de sociale démocratie, bref, toutes les pensées européennes. Ils ignorent, de toute évidence, que ce sont là des pensées résultant d’une anthropologie, laquelle ne les comprend que comme néant. C’est honteux.

Ils n’ont même pas leurs propres écoles. Ils aiment ça l’école mais pas le savoir.

N’est-ce pas cela, être esclave, être inférieur !

Pourtant Jean-Jacques Dessalines a dit, le premier janvier 1804 : « Esclave, laissons cet épithète qualificatif aux Français »

La situation actuelle prouve qu’il y en a plein qui, au contraire, n’entendent pas le lâcher, cet amour, ce si grand amour. Et le blancisme en est content.

QMUEeeeeeeeee, DIFE LAKAY LA !

PLUS QUE JAMAIS LA TERRE A SOIF DE LA DESSALINIENNE !

HRH Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines

Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme

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