- A - ICI DESSALINES VIVRE, C’EST LUTTER
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VIVRE, C’EST LUTTER
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MASSIVEMENT
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u = ou
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⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
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c
= in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
QUELLE EST VOTRE LUTTE ET QUEL EN EST LE SENS ?
Les histo-à-riens, voix
de l’histoire officielle, racontent que, partout où, sur ce continent, Masuana,
le blancisme a implanté les Négresses et Nègres, le sens de la lutte, leur
lutte, est l’accession à l’humanité, c’est-à-dire se ressembler aux blancs,
habitants de l’Europe, seuls et uniques hommes sur la planète terre, en qui
réside le sens de la vie, savoir leur mode de vie.
Je ne me demanderai pas
pourquoi, dans un tel contexte, faut-il une lutte, une lutte armée par-dessus le
marché, entre les Négro-jelefweens, Négro-jelefweennes et les blancistes pour
accéder à cette humanité quand ceux-ci se donnent tant de peine – razzia et
déportation dans des conditions extrêmement périlleuses -, ce qui est une
inclination, pour s’acquitter de cette tâche, une tâche que la nature leur confie,
ce qui explique le penchant, et quand il y a aussi une nette prédisposition, un
accord parfait entre les élans naturels, chez les Négro-jelefweennes et Négro-jelefweens
à recevoir ce que le blancisme a à leur offrir, n’est-ce pas cela lutter pour... dans
le but de combler la vacuité, au niveau supérieur, de leur être incomplet ou
déficient. Cela est vertigineux.
Logiquement la lutte
devrait être intérieure, soit un effort sur soi-même pour se conformer au
contenu êtral reçu, ce qui s’appelle l’acte moral ou la morale tout simplement,
non entre le porteur et le récepteur et la réceptrice, dont l’attitude
respective est un déterminisme, déjà inviolablement fixée par la nature
elle-même, ce qui relève de l’amoralité.
Je vous inviterai
plutôt, dans le cadre de blancismité ou autre de même nature versus
négro-jelefweité, à interroger votre vie, c’est-à-dire ce que vous faites et
pourquoi le faites-vous, pour découvrir votre objectif en tant que membre d’une
collectivité et à clairement identifier celle-ci. Cela est important car personne
n’est livré à soi-même, soit sans appartenance groupale.
Après l’étape ci haut
mentionnée, je vous demanderai de faire l’évaluation de vos actes quotidiens en
rapport avec l’objectif de votre collectivité, soit l’ensemble auquel vous
appartenez. Car les actes de tous les jours d’une personne s’inscrivent dans
une logique globale ou collective. Il ne peut pas ne pas en être ainsi. C’est
le mbwa de la vie, d’autres parleraient de loi naturelle ou divine.
Le but de cet exercice
est d’accéder à la connaissance de soi, le soi théoriquement établi et le soi
lié à la praxis commandée par le premier.
Cela débouchera à coup
sûr sur l’identification de votre ensemble et sur la nature de la lutte qui est
vôtre.
Rien ne vaut le savoir.
Pour
la Maison Impériale Dessalines
HRH
Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de
la Génération du Couple Impérial,
Marie
Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme
Blog
de Tiécoura Dessalines :
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