LE MAUVAIS COMBAT ICI DESSALINES
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = m © Tous
droits réservés
LE MAUVAIS COMBAT
PARTAGER
MASSIVEMENT
q
= an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c
= in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
IL EST TEMPS DE SE REPRENDRE
Si l’on vous soigne
pour une maladie dont vous ne souffrez pas, vous en mourez certainement. Telle
est la situation de plusieurs combattantes et combattants de la Gwqmunalité en
Ayti.
Pourquoi, se
demandera-t-on, y-a-t-il tant de gens qui luttent, depuis si longtemps déjà
sans que rien ne change? C’est que la lutte ne se mène pas sur le bon terrain.
On obtient le même résultat quand on soigne une maladie pour une autre.
Ce n’est pas un mauvais
calcul de la part des victimes qui explique ce mauvais lieu de combat mais un
détournement du combat par l’esprit malveillant, des gens sous l’emprise de la
satanité de leur nature, soit le blancisme, Bactérie mangeuse de Négresses et
Nègres.
Cela s’explique comme
suit : Nos Ancêtres, les Braves, ont lutté en Ayti et, comme plusieurs
autres, ailleurs, elles et ils ont vaincu le blancisme, la plus grande peste
que la terre ait jamais connue.
De cette monumentale Victoire
résulte un Éternel Empire, dont le Fondateur est l’Éternel Empereur
Jean-Jacques Dessalines Plus Que Grand, « le Vengeur et le Libérateur ».
Le vaincu, Napoléon
Bonaparte, Napo-le-con Bon-à-rien, comme dit l’autre, par le truchement des affranchi(e)s,
soit hommes et femmes de couleur libres ainsi que les noir(e)s libres, a fomenté
son assassinat physique pour, une fois de plus, gouverner par eux, comme il l’a fait par Toussaint L’Ouverture.
L’agent principal du pakala est Alexandre Pétion, un nom pianique.
Durant toute sa
fonction de dirigeant poupée-toile, Pétion fut assisté, comme l’était Toussaint par un conseil-gouverneur, par des
délégués militaires français.
Les parricides ont
tassé le Peuple Vainqueur, Peuple Ancestral, dans l’arrière-pays.
Un invincible décalage est
établi entre le Peuple Impérial et le peuple parricide, tant par leur histoire
respective que par la jouissance du territoire ancestral.
Le problème, au niveau
du combat qui s’est immédiatement engagé, c’est que le blancisme français,
auteur de l’histoire d’Haïti racontée, fait arbitrairement de la nation, entre
guillemets, qui est sortie du triste parricide, le Pays érigé par nos Ancêtres,
quoique ce Pays soit un Empire et que l’autre, toujours entre guillemets, qui
résulte de l’assassinat physique du Vengeur et Libérateur, comme le souligne si
bien la Loi Impériale, soit une horde républicaine, autrement dit, une colonie,
aussi deux réalités antipodiques.
Bien évidemment la
situation de l’un n’est pas celle de l’autre, le Peuple Propriétaire, Peuple de
Dessalines, est déclaré étranger, partant persona non grata, alors que le
véritable peuple étranger est proclamé peuple, ici encore entre guillemets,
légitime, légitime par son lien de miroir avec le blancisme, auteur du pakala
apparent et maître réinstallé dans son illusion démentielle. Les bandits de
grand chemin, blancistes et parricides, revendiquent alors les biens et
ressources du Pays né du Couple vivasiÄnel,
Toya-Dessalines, et y barrent nécessairement l’accès au Peuple Propriétaire. Une
administration coloniale, par nécessité, y est instituée, défiant ainsi tous
les principes fonciers de l’Éternel Empire de la Gwqmunalité.
L’affrontement s’impose
tout bonnement. Cependant le combat qui s’est engagé sur le territoire est
faussé par sa prise en charge, sa direction, par le maître pathologique,
naturellement le blancisme.
Au lieu de lutter pour bouter
hors de notre territoire la classe des libres fidèles au maître épidémique,
dans son entièreté, comme nos Ancêtres ont fait pour le blancisme, prédateur à
nul autre pareil, les combattants et combattantes de la Gwqmunalité mènent une
bataille intérieure pour trouver sa place. Sa place dans quoi? Dans la horde
républicaine.
Cette orientation est
donnée de l’extérieur à la lutte par le blancisme, d’abord à travers la
religion et ensuite l’école, centre de production massive d’abruti(e)s. Cela
est un désastre, sans nul doute, avéré car cette bataille détournée débouche immanquablement
sur l’approbation des victimes au coup porté, toujours de l’extérieur, à la
VICTOIRE GRANDIOSE ANCESTRALE sur le plus grand Mal qui soit, leur propre
Victoire, cela à leur détriment.
Les agentes et agents
de la civilisation de la criminalité positive, laquelle est évidemment le
blancisme, sont toujours là pour pousser sans cesse les victimes à lutter pour faire changer les
choses. Quelles sont ces choses? Ils osent même venir s’installer au Pays de
Dessalines, insulte cardinale, pour mieux mener à bien leur travail macabre. C’est
une façon de les empêcher de voir le mauvais coup porté à leur œuvre pyramidale
à travers une république sans substance organisationnelle primaire ou
élémentaire.
Voilà ce que c’est, se
battre sur le mauvais terrain, ce qui explique une victoire qui n’arrive
jamais, comme être soigné(e) pour la mauvaise maladie, ce qui finira par
entraîner la mort.
Pour, comme moi,
comprendre, dénoncer et faire échec total-capital à cette crasseuse fourberie,
il faut laisser Dessalines, Archétype en être en soi, par soi et pour soi,
émerger en vous.
Voilà la raison du
Rétablissement de l’Administration Impériale, Notre Forteresse.
Prouvez-le, que vous n’êtes pas des riens en
traversant sur le véritable champ de bataille, celui de l’Administration
Impériale Rétablie.
Pour
la Maison Impériale Dessalines
HRH
Prince Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de
la Génération du Couple Impérial,
Marie
Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste
et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique,
notamment du blancisme
Blog
de Tiécoura Dessalines :
Courriel
: jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
Commentaires