LA GRANDE FÊTE DE SEPTEMBRE, UN JOUR, UN MUN, UN NOM, UN PEUPLE, UNE PLANÈTE ET NOTRE DIEU, BON-DIEU
La Famille
Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 n = t © Tous droits
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LA GRANDE FÊTE DE SEPTEMBRE, UN JOUR, UN MUN, UN NOM, UN PEUPLE, UNE
PLANÈTE ET NOTRE DIEU, BON-DIEU
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MASSIVEMENT
q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê
c = in
h = ch
e = é
h = ch
e = é
La Grande Fête de
Septembre est d’une élégance exquise et indescriptible parce qu’elle rime avec
le salut des peuples de la terre. Le salut, ce n’est pas se placer sous la
domination de, soit se laisser diriger par un autre que soi, qu’il soit visible
ou invisible, mais chasser de sa pensée, une pensée, l’hommalité, pensée
prenant la forme d’un être, l’homme, pour vivre enfin en accord avec soi-même,
c’est-à-dire être en soi, par soi et pour soi, un délice insaisissable par les
mots.
L’homme, cette
pensée-être, dont la cause est l’hommalité, est une tendance à s’emparer des
autres, voire de toutes choses, laquelle tendance a pour corollaire le refus de
se laisser subjuguer par les autres, un être unidirectionnel.
Il découle de cela que
l’homme est soi et soi seul, un singulier irrelatif se définissant comme soi,
encore soi et toujours soi, dont le vocable est kuku.
Ce qui émane de la
kukuité, c’est que l’homme est une multitude d’êtres disparates, sans lien
entre eux, c’est-à-dire un ensemble de semblants dont la dimension universelle
est l’absence de dimension universelle interne. Il faut entendre par là que l’universel
de l’homme est distributif, attribué de l’extérieur, non générateur ou substantiel.
Autant de singuliers irrelatifs, autant d’hommes.
Au niveau constitutionnel
externe, puisqu’il s’agit d’un être d’extérieur, soit fait de considérations
sensibles, les hommes sont incontestablement inaptes à se recevoir
mutuellement.
L’homme n’a de limite
que l’homme, ce qui veut dire que tout lui est permis et qu’il ne s’embarrasse,
il ne peut pas s’embarrasser non plus, de rien. Il n’a que soi comme aune de
pensée et par conséquent d’action. Alors l’intérêt est le référentiel de
l’homme et cet intérêt est l’homme lui-même.
Il s’ensuit que l’homme, partant les hommes,
n’a aucun sens logique. Autrement dit, la logique lui est impropre. Le mode de
faire des hommes est le rationnel, un lien par l’intérêt des choses au référentiel,
le soi. L’homme incline à vivre, cela en toute bonne conscience, entre la
concordance et la contradiction. La concordance et la contradiction,
caractérisant l’homme en situation d’agir, sont externes non internes. Au
niveau interne il n’y a aucun souci, une harmonie sans failles. Par exemple un
dénonciateur d’invasion de peuples peut être lui-même, ce en toute bonne
conscience, un farouche envahisseur et un apologiste convaincu de la chose. Il en
est ainsi de toutes les pensées et de toutes les actions. Il n’y a aucune
tension interne. C’est le spectacle quotidien dans le monde des hommes. Ce qu’il
faut ici comprendre, ce n’est pas l’objet qui importe mais le sujet. Celui-ci n’est
lié qu’à l’intérêt de soi. Est, ce qui y est conforme, n’est pas, ce qui s’y
oppose. Ce mode d’être dans le monde est ce qui s’appelle le rationnel, qui se
passe au niveau de l’intérêt de soi. La logique est sacrifiée au profit du
rationnel, mode de calcul à l’avantage de l’homme.
Le mode de faire des
hommes est ainsi un désordre systématisé. Ce qui a entraîné un deloko,
déséquilibre holiste, dans le La. Le tohu bohu hommal est source de tous les
maux sur la planète terre.
C’est pour faire échec
total capital à cette sauvagerie en système que Jean Jacques Dessalines est
donné, par les phénomènes positifs, à la planète terre. « J’ai vengé
toutes les races éteintes dans l’esclavagisation », dira-t-Il.
Plus d’une personne se
dira peut-être : Pourquoi Jean Jacques Dessalines, Enfant des Mornes Cahos
élevé par Agbawaya Toya? Il y a trois raisons à cela et elles sont étanchement
liées entre elles. La première est le fait que le Peuple Négro-gelefween est,
cela dans tous les sens, la principale victime de l’homme; la deuxième est son
indigénité de la planète terre; la troisième est le fait qu’il soit le
dépositaire du dqmbala, science vraie, du La et du mode d’existence propre à
l’ordre du Nous qui en découle. Pour se donner un devenir effectif, l’homme se
voit obligé de recourir à l’eliminrgyo. Aussi comme le La est autoprotecteur,
par le Peuple Souche, il a entrepris de colmater la brèche. Jean Jacques
Dessalines, par les phénomènes positifs, mode de l’autoprotection, est Celui
qui est l’aboutissement du processus.
Pour la Maison
Impériale Dessalines
HRH Prince Sa
Majesté Tiécoura Jean Dessalines D’Orléans
7e de
la Génération du Couple Impérial,
Marie Claire
Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines
Spécialiste et
professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment
du blancisme
Blog de Tiécoura
Dessalines :
Courriel : jeanjacquesdessalines485@yahoo.fr
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