3 - Engageons-nous pour NOTRE DIEU,....et Nous-mêmes

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 q =  q © Tous droits réservés

Engageons-nous pour NOTRE DIEU, BON-DIEU, le lakort munal, l’Ancestralité, son reflet, Jean Jacques Dessalines, Missionnaire Divin,

le Peuple Impérial et Nous-mêmes.

 

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q = an
u = ou
w = r
⊗ = on
r = ê

c = in
h = ch
e = é

Il y a des hommes et femmes de couleur libres ainsi que des noir(e)s libres, tous des irréductibles libres,

attachés inconditionnellement au blancisme via la France - alors la racaille du lakort munal parce qu’ils sont d’essence hommale -,

qui sont si éloignés de l’Ancestralité, partant de leur qualité de mun, et la Dessalinienne, par leur chute, qu’ils font appel à des idéaux européens,

lesquels sont une régression avérée dans la marche de l’individu munal vers la plénitude de lui-même,

comme support de notre Grandiose Réalisation, Érection de l’Éternel Empire d’Ayti (une élégance hors pair),

Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité.

Quelle grossièreté d’esprit ! C’est là une impardonnable transgression du Référentiel Négro-jelefween,

le Solage Impérial, malgré la position clairement exprimée de Nos Ancêtres

par l’Organe de l’Invincible Général et Éternel Empereur, l’Infiniment Grand,

Jean Jacques Dessalines, Jacques 1^er.

Le préalable nécessaire pour accéder au bÄnqy, soit la compréhension, du discours :

Mbwa 1 – La vie munale n’est pas savqn, elle a une finalité complexe, savoir intérieure et extérieure. La finalité extérieure se rapporte au Grand Ensemble, c’est-à-dire le Là, dans lequel elle est et existe; la finalité intérieure a rapport à la coordination des corps (les singuliers) constitutifs du mun ou de l’être munal, l’Ubuntu. La complexité est les deux aspects d’une même chose. L’aspect intérieur n’est pas une fin en soi, une fois accompli, il situe la chose mun dans le concert existentiel du La, le Grand Tout.

Mbwa 2 – La vie munale, par sa Gwqmunalité, c’est-à-dire être en soi, par soi et pour soi, incline (un mouvement interne et générateur de la chose mun) à s’accomplir, soit se parachever lui-même et doit le faire effectivement pour être en accord avec lui-même et le La.

Mbwa 3 – Avant tout cela, le préalable du préalable est se connaître soi-même, c’est-à-dire ce qu’on est vraiment en essence, ce qui s’appelle constitution interne munale.

Mbwa 4 – La connaissance de soi, le dqmbala, qui signifie connaissance vraie – adéquation du discours (la pensée par le verbe) à la réalité, ce qui est en dehors de la tête -, conduit, par un calcul bÄnqyel bien conduit, immanquablement à la connaissance première du milieu global dans lequel nous sommes, évidemment Notre Dieu, Bon-Dieu.    

Voilà la trajectoire que suivent tous les êtres pensants de la terre. Veut, veut pas. Certains ont réussi le calcul, d’autres ont échoué. Nos Ancêtres ont incontestablement accédé au dqmbala de notre être.

Suivons la VOIE !

Notre Dieu et la conscience de sa laïté (fait d’être)

Relisons l’article « Engageons-nous pour un résultat rapide ». Il y est dit sommairement : Notre Dieu est Mouvement. Cela se traduit par Être et Se Manifester ensuite. La Manifestation Divine est la conscience de l’extérieur de Notre Dieu. L’effectivité de cette conscience passe par la Production, ce qu’on appelle création. Cela donne ce qui suit : Notre Dieu Se Manifeste par une conscience extérieure qui le pense. C’est cela le Couple Manifestation-Production, par le Mouvement, une propriété de Notre Dieu. Il y a une interdépendance entre Notre Dieu et sa Production. L’Un n’est pas sans l’Autre. L’extérieur n’est pas sans Notre Dieu, sans l’extérieur Notre Dieu n’est pas Perfection.

On voit le Mouvement dans le Couple Manifestation-Production. Sans le Mouvement il n’y a pas de Manifestation-Production. Le Mouvement est alors un trait de l’Être de Notre Dieu. Pour cela le Mouvement doit être, et est effectivement, Continuel car tel et aussi Notre Dieu. Bon-Dieu, par ce trait de son essence, Produit sans cesse. Que faut-il entendre par-là ? La Production par Sa Production, que l’on appelle Reproduction, par le même Mouvement. Pour répondre à l’exigence du Mouvement Continuel, certaines choses sont produites avec vocation de se re-produire ou, dans certains, d’aider d’autres à se re-produire. La re-production se fait sous plus d'une forme.

L’inscription de l’être munal

                            dans le processus divin

C’est dans ce cadre-là, suivant la pensée Ancestrale, que se situe le mun. Il participe nécessairement au processus de Production par la Production, lequel est le fruit du Mouvement Continue Initial.

Pour s‘acquitter de sa tâche, on retrouve en l’être munal (sa constitution interne), le Couple Divin Manifestation par Production, une propriété de la base de l’Être. Il faut souligner qu’il y a la re-production génétique, qui est située au niveau du lakort non des corps singuliers même si elle se fait par ceux-ci, et la re-production de sa structure d'être. 

Pour bien comprendre ce qui précède, il faut savoir ceci. Le mun Est par la dépendance réciproque, soit chacune-chacun dépend de chacun-chacune pour être. C’est cela l’Ubuntu, Je suis parce que Nous Sommes. Déjà on reconnaît l’Interdépendance Initiale entre Manifestation par Production, qui, en partie, détermine l’Être de Notre Dieu.

Nos Ancêtres maintiennent la dépendance mutuelle comme Mbwa de Génération. Nos Ancêtres s’en serviront aussi comme justification de l’organisation collective munale, Manifestation de la constitution interne comme mode de parachèvement de soi, le munal, savoir sa Perfection. Dans une grande pensée la logique suit toujours et elle est implacable. On y va de conséquence en conséquence.

La Manifestation du wÄn (l’unité constitutionnelle)

                    par sa production à l’extérieur

Et cela continue. Cette dépendance mutuelle qui génère l’être munal, un wÄn, qui signifie unité massive, est à l’interne. On ne la voit pas ; selon le mbwa de la vie, elle doit se manifester elle aussi. Comment ? Par le même procédé, qui est Manifestation par Production. En clair cela signifie que la pluralité des corps qui forment le Corps munal doit faire voir extérieurement leur unité indivise interne, en d’autres mots être un, tout en étant pluriel, à l’extérieur aussi. Manifester l’intérieur à l’extérieur en le reproduisant. Que c’est formidable !

On appelle cela se parachever. Par le parachèvement on atteint notre forme pleine, c’est-à-dire la Perfection. Pour le dire autrement, unité interne + unité externe = Plénitude ou Perfection. Alors nous entrons automatiquement dans le Concert du La, le Grand Tout. Voilà, selon nos Ancêtres, la finalité immédiate de la vie.

Cela appelle nécessairement une organisation collective munale. À l’exemple des penseurs ancestraux qui l’ont précédé, Sa Majesté Jacques 1^er l’appelle, par son essence, FAMILLE, soit une unité. La forme sensible de la FAMILLE est l’EMPIRE. L’EMPIRE est une Concorde parce qu’une unité. Dans la Concorde réside TOUT, selon Dessalines, qui parle ici en savant en la matière. Dessalines parle de la vie collective et ses conséquences. Cela témoigne de son grand savoir en la matière. Et il n’a pas manqué son coup. La raison de la Concorde par l’unité est évidente, la Concorde est le reflet de notre constitution interne, ce qu’il faut matérialiser. Et l’EMPIRE est la manifestation dans le monde sensible de la Concorde interne. D’où son ESSENCE de FAMILLE, Concorde des Concordes, selon la présentation de Dessalines de la chose. Sa Majesté Jacques 1^er est et reste à l’intérieur de l’Ancestralité car cela se passe ainsi dans nos royautés. « Malheur, dit-il, à celui qui apporte sur les degrés du Trône d’autres sentiments que ceux d’un père de famille ». Plus tard il dira : « Toute acception de couleur parmi les enfants d'une seule et même famille, dont le chef de l'État est le père… » Même dans les circonstances les plus difficiles, l’Éternel Empereur ne déroge pas au Mbwa de l’unité de l’Ensemble émanant de l’unité constitutionnelle interne munale :

«Regardez-moi ça, dit Sa Majesté Jacques 1^er, nous avons fait la guerre pour les autres.

« Avant notre prise d’arme contre Leclerc, les hommes de couleur, fils de Blancs ne recueillaient point les successions de leurs pères ; comment se fait-il, depuis que nous avons chassé les colons, que leurs enfants réclament leurs biens ?

« Les Noir(e)s dont les pères sont en Afrique n’auront donc rien?…, les Vastey, les Blanchet auront mis en possession des biens de l’État les fils de colons aux dépens de mes pauvres Noir(e)s.

« Prenez garde à vous, Nègres comme hommes et femmes de couleur libres, nous avons tous combattu contre les Blancs ; les biens que nous avons conquis en versant notre sang, appartiennent à nous tous et toutes.

« J’entends qu’ils soient partagés avec équité. » Il résulte de la dernière proposition que tous et toutes sont toujours considérés par l’Éternel Empereur comme membres d’une seule Famille malgré la vanité d’un petit groupe, les irréductibles libres. La forme sensible de l’unité munale est l’Empire.

Les talents et capacités

L’organisation est commandée par le Couple Manifestation-Production pour arriver à donner une silhouette sensible à l’unité génératrice du mun et elle prend la forme de l’Empire, une Concorde par l’unité. Nous sommes maintenant en droit de nous demander quels sont les moyens qui sont mis à la disposition des mun pour arriver à une telle oeuvre.   

Ces moyens sont de deux ordres, le premier est de l’ordre munal et le second est de l’ordre environnemental. Tout d’abord le munal, cet ordre est aussi de deux ordres, le premier est les talents ou dons, soit une aptitude à …, par exemple communiquer avec aisance, inclination à la recherche scientifique, jouer très bien un instrument de musique, chanter, cuisiner, raconter, commercer, inventer, etc., le second est les capacités, appelées aussi facultés, par exemple la vue, la mémoire, la force physique, la comparaison, la compréhension, etc. Il y a un lien entre les deux sortes de talents. Les capacités sont l’instrument dont nous disposons pour mettre en exploitation les talents. Par celle-ci on arrive à fournir au corps ce qu’il exige en vue de son maintien dans l’êtralité, son caractère de chose en soi.

   

Il y a deux points dessaliniens, soit importants, à signaler ici. Le premier est que tous les talents ou dons – je parle de la somme totale - sont nécessaires et indispensables à toutes et tous mais que personne n’a tous les talents. Chacune-chacun se complète dans les talents des autres. Il y a alors une interdépendance au niveau des dons et cette dépendance mutuelle est un des mbwa ou traits de l’unité génératrice de l’être munal, à savoir que l’un ne peut pas être sans les autres.

Le second est la valeur irrelative de Chacun-chacune parce qu’il n’y a personne sans talents et que chacune-chacun est le seul qui puisse développer ses talents. C’est le Gwqmuntrt, un Mbwa de l’être munal, de chacun-chacune qui s’affiche à travers la qualité irrelative. Il s’ensuit que chacune-chacun jouit de toutes les capacités, sauf accident, pour pouvoir exercer ses dons, pour être capable d’apprécier ceux des autres comme pour ajuster les siens propres à ceux des autres – ce n’est pas une mince affaire, cette activité - et que cela est incontestablement un des Mbwa générateurs de l’être. Alors on EST incontestablement avec les autres, Ubuntu ou Mun, c’est-à-dire Je Suis parce que Nous Sommes.

Le deuxième moyen, qui est l’ordre environnemental, est aussi divisé en deux parties, la nature et le Nous, car les exigences des corps du Corps sont de deux ordres, celui de la nature et du Nous. Ce dernier est l’ordre relationnel, les corps du Corps entre eux.

La première partie est le lieu où on intervient chacune-chacun sur la nature pour la transformer, superficiellement, en y appliquant ses dons appropriés afin d’en obtenir ce qu’il lui faut, en somme ce qu’il faut à la collectivité de l’être parce que l’application se fait collectivement, une contrainte interne des dons, en vue de tous et toutes.

La deuxième partie est l’ordre du nous, relationnel interne. Il y a des talents qui s’appliquent uniquement dans ce cadre, par exemple l’art de communiquer, particulièrement dans le partage des idées, l’enseignement, la vente, le toucher au niveau des soins de santé, la musique, le raconter etc. On voit que l’environnemental, dans tous ses détours, est une question de talents.

Il faut souligner que tout n’est pas don, il y a une base présente en toutes et tous. Ce fond commun stable assure le démarrage de bonnes relations, lesquelles sont nécessaires et indispensables à l’exploitation des dons, par exemple inclination à assister l’autre, à confesser ce que l’on ressent, etc. Il y a talents là où il y a une disposition accentuée. On constate aussi la présence de certaines dispositions non accentuées, elles permettent d’apprendre, de celles et ceux qui en jouissent, bien sûr, et exercer un talent qui n’est pas le sien.   

              L’Empire, lieu d'application de talents

en vue du parachèvement

Pour en revenir à la silhouette sensible de l’unité de l’être, soit l’Empire d’Ayti, l’environnemental, avec sa double relation, nature et intersingulier munal, est le lieu où chacun-chacune fait usage de ses talents et ses facultés pour coordonner les exigences de leur corps respectif en vue de rendre sensible leur Concorde constitutionnelle interne, ce qui est Manifestation par Production – celle de son unité interne à l’externe -, en dernière analyse le parachèvement de soi, le soi collectif munal.

Pour cela toutes et tous doivent posséder une partie de l’environnemental, ici la partie nature. On comprend pourquoi Sa Majesté insiste sur le partage des biens. Vivre, c’est développer ses talents suivant leur raison d’être. Priver un mun de l’accès à la nature, c’est entraver sa vie, bloquer le processus de Manifestation par Production.

La division, comme mode d’emploi du blancisme, est aussi le blocage du processus de Manifestation par Production parce qu’elle est contraire et contradictoire à la Concorde, un trait de l’unité génératrice du munal. Elle est un venin pour l’aspect relationnel intramunal ou intersingulier munal. 
  

Faire échec

au processus estompé par la république

C’est pourquoi l’Administration Impériale Rétablie met de l’avant une gestion globale ou kÄbiale consistant à ramener le Peuple Impérial, repoussé à l’arrière-pays sous le vocable trompeur de « classe paysanne » - on veut par-là lui arracher la mémoire de Peuple fondateur du Pays d’Ayti par l’Être du Super Soldat, Invincible Général Jean Jacques Dessalines, en faisant de lui une « classe », une classe subalterne par-dessus le marché -, sur le podium, là où est sa place ofowu, ce qui est conforme à la Volonté de Notre Dieu, en lui donnant accès illimité non pas virtuel mais réel au premier point de l’environnemental, la nature, soit toutes les ressources, sol et sous-sol, non sans les moyens de les exploiter, et ensuite créer un cadre approprié pour les relations intercorporelles, suivant les Mbwa du Corps munal. Ainsi tous et toutes pourront mettent à profit leurs talents en vue du parachèvement de l’être qu’ils sont collectivement.   

Non nous n’avons pas fait la guerre pour les autres, affirme, en résumé, Jean Jacques Dessalines. La proposition : « J’entends qu’ils soient partagés avec équité » le clame tout haut. Nous avons gagné, NOUS AVONS GAGNÉ, et nous ne vivrons pas de « t’en prie s’il vous plaît » mais, avec panache, de nos biens et nos ressources, dont nous sommes les MAÎTRES et MAÎTRESSES, puis de NOS PRINCIPES À NOUS, CEUX DE NOS ANCÊTRES.

DESSALINES ET SON PEUPLE REVIENNENT

AUX AFFAIRES,

ÉCHEC AU CRIME, LE 17 OCTOBRE 1806.

Administrons kÄbialement notre propriété, savoir que ce qui est déjà FONCIÈREMENT à NOUS, qui constituons le Peuple Impérial.

Commencez aujourd’hui même en vous constituant en CQ (Comité de Quartier) avec d’autres vivant autour de vous, en Ayti comme à l’étranger, pour monter votre programme de gestion globale, soit les activités que vous entendez entreprendre dans le Pays qui est le VÔTRE, selon le Principe Dessalinien, avec vos biens et ressources, sol et sous-sol.

N’oublions jamais que les peuples de la terre nous supportent sans condition.

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :  

HRH Sa Majesté Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7^e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la w⊗nité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.

lekbaogfweda@gmail.com