Le 23 août 1791 crie la France: "la partie française de Saint-Domingue en danger un secours prompt et fraternel"



La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 4 q =  s © Tous droits réservés


Les premières pierres du Solage de l’Éternel Empire d’Ayti :
« Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom
d'Empire d'Haïti ».
 
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Rouvray (1785) : “Une colonie à esclaves est une ville menacée d’assaut; on y marche sur des barils de poudre”.

Demain n’est pas, même plus tard est néant. Il n’y a que le présent quand on a pour adversaires le Nègre et la Négresse.





Le président de l'assemblée coloniale  au président de la Législative : «... Trop faibles pour résister à ce torrent, nous avons demandé des secours aux insulaires les plus voisins ».


Arrive Cécile Fatima, une nouvelle technique de contre-guerre est en marche. La stratégie de la grande Maat Cécile Fatima, pour atteindre l’objectif, est de mener une puissante contre-offensive à la grandeur du territoire.


Elle mènera une consultation territoriale pendant une année et les Ancêtres se rencontreront une dernière fois le 14 août 1791 pour peaufiner la contre-offensive. La région du Nord choisit Bukmqn pour la mener, la contre-attaque, sur cette partie de la colonie. Le Nègre choisi prend la parole et dit :

« Dieu Producteur de toutes choses, particulièrement la terre, le soleil qui nous éclaire, les océans, le tonnerre ! Dieu, Notre Dieu, Bon-Dieu, qui voit tout, qui entend tout, là au-delà des nuages où il se trouve ! Notre Dieu qui nous permet d’accéder à la connaissance de notre environnement et nous-mêmes ! Notre Dieu est témoin de la cime de l’horreur à laquelle nous sommes soumis(e)s par le blancisme. Les blancistes agissent sous l’impératif de leur dieu, le dieu idole, lequel est l’auteur principal de toutes ces horreurs.

Cependant, Notre Dieu, Bon-Dieu, qui Êtes la Concordance, nous ordonne, par la Voix nous parlant de l’intérieur, Voix de ce que nous sommes, de maintenir la Voie ofowu en écrasant le principe de tous les maux.

Contre le blancisme, ce pian, qui est le plus grand Mal qui soit à l’heure actuelle sur notre terre, Notre Dieu dirigera certainement nos bras par la puissance du tribunal divin en nous, soit notre bnqy, jusqu’à la victoire totale-capitale, qui est l’aération de notre sphère existentielle où nous vivons en nous, par nous et pour nous, selon la Concordance, l’ordre ofowu des choses.

Ainsi nous vous félicitons toutes et tous de ne jamais acquiescer et continuer de résister avec conviction au discours du faux dieu, le dieu de la bible qu’on nous dessine, dont l’image fait de nous des êtres naturellement subordonné(e)s au blanc, une transgression de la Concordance, et à la cannibalité, le pic de la cruauté dont il est l’auteur. »

Marchons sans cesse dans la Voie que nous dicte notre Voix intérieure, soit la Gwqmunalité  

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Quel est leur dernier mot? Difficile à savoir. Ayons les yeux rivés sur nos distingué(e)s Braves.


 En août 1791, dans la nuit du 22, soit une semaine plus tard, le blancisme est pris d’assaut. « Le feu, qu’ils [les Noir-e-s] mettaient aux cannes à sucre, à tous les bâtiments, à leurs cases, à leurs ajoupas, couvrait pendant le jour le ciel de tourbillons de fumée, et embrasait pendant la nuit l’horizon d’aurores boréales qui jetaient au loin le reflet d’autant de volcans, et donnaient à tous les objets une teinte livide de sang ». Vicomte Pamphile de Lacroix, Mémoires pour servir à l'histoire de la révolution de Saint-Domingue, 1819. On raconte aussi que ““la fumée des incendies noircissait les horizons

L’ennemi tombe comme des mouches. À la fin de septembre de la même année, soit un mois plus tard, nombreuses plantations du Nord et d’ailleurs sont déjà en ruine et les pertes matérielles sont considérables ; plusieurs milliers de blancs de partout ont pris le chemin du pays sans chapeau. Aérée, la vie des dizaines de milliers de condamné(e)s aux travaux forcés de toutes sortes. La très vaste majorité de ces Ancêtres gagnent, dans les mornes, les Nqh marronnes. Dès les premiers jours la contre-offensive se révèle un véritable succès.


La contre-offensive, comme le montre le discours de Bukmqn, est purement négro-jelefweenne. Le gouverneur de Saint-Domingue, de Blanchelande, adresse une lettre toute naturelle à son homologue de Santo-Domingo, Don Joachim Garcia, dans laquelle il lui expose, sans détour, la situation :“Les forces insurgées étaient formées exclusivement de Noirs, et non de mulâtres ni d’autres libres de couleur” (...) « La race blanche, continue le gouverneur français, et la classe de gens de couleur, et les Noirs libres sont unis, il n’y a que les esclaves qui sont ouvertement soulevés, et qui tuent leurs patrons et incendient leurs habitations ». « Blanchelande au gouverneur de Santo Domingo (S.d.) », AGI, Santo Domingo, 1029, f. 1. Les paroles du gouverneur ne sont pas l’effet de l’émotion. Lorsqu’il comparaîtra à Paris, le 15 mars 1795, devant le tribunal criminel révolutionnaire, M de Blanchelande  maintiendra sa position au sujet de la négro-jelefweité du “ mois d’août 1791 « la révolte des esclaves qui, après avoir été les instruments de l’un et l’autre parti, finirent par réclamer pour eux-mêmes” “la liberté et l’égalité des droits politiques”.

Un milicien français “a dû fuir « après qu’il a vu l’armée des esclaves, et l’incendie de l’église de Limbé, où s’étaient réfugiés 75 habitants et 10 femmes blanches ». Le milicien raconta également avoir vu «l’armée des Noirs croître avec tous les esclaves des haciendas, dévaster la paroisse de Plaisance, tuer tous les propriétaires, et arracher les plants de café après avoir incendié les maisons», «Traduction d'une lettre de Santiago de la Ville (Santo Domingo, 12/09/1791) » On fit état de Noirs qui parlaient une langue que « l’on ne pouvait pas comprendre »
« L'assemblée générale, rapporte-t-on dans Les événements coloniaux de J Saintayan, chargea M. de Blanchelan


de de faire appel au concours des forces espagnoles et décida de s'entendre avec lui pour demander aux Anglais de la Jamaïque et aux États-Unis, * au nom de l'humanité et de leur intérêt respectif, de donner à la partie française de Saint-Domingue en danger un secours prompt et fraternel +, de troupes, de munitions, de ravitaillement ».

La chose est encore plus belle, de voir, face à l’activité du bnqy, trembler l’homme, être doué de raison et partant autoproclamé supérieur aux Négresses et Nègres. En effet dans la lettre du président de l'Assemblée coloniale  au président de la Législative (en France), on lit ce qui suit :  «... Trop faibles pour résister à ce torrent, nous avons demandé des secours aux insulaires les plus voisins; s'ils arrivent assez tôt pour  prévenir notre anéantissement, ils ne nous rendront pas la source de  nos richesses, elle est tarie pour jamais... s'il faut périr, nos derniers  regards se tourneront encore vers la France, nos derniers vœux seront  pour elle » (13 septembre). Le gouverneur prend un ton désespérant dans sa lettre :  « L'arrivée des secours étant de plus en plus nécessaire » (25 septembre); « secourez promptement cette superbe colonie, qui est dans  le danger le plus évident ; faites partir les forces, les unes après les  autres ; à mesure qu'elles seront prêtes, l'arrivée successive rendra le  courage, l'espoir fera le reste » (29 septembre).

Nous pouvons toucher du doigt le déferlement ancestral de 1791-1792 dans les paroles que prononcera l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines : « J=ai levé mon bras, trop longtemps retenu, sur leurs têtes coupables. À ce signal, qu=un Dieu juste a provoqué, vos mains, saintement armées, ont porté la hache sur l=arbre antique de l=esclavage et des préjugés. En vain le temps, et surtout la politique infernal des Européens, l=avaient environné d=un triple airain; vous avez dépouillé son armure, vous l=avez placé sur votre cœur, pour devenir (comme vos ennemis naturels) cruels, impitoyables. Tel un torrent débordé qui gronde, arrache, entraîne, votre fougue vengeresse a tout emporté dans son cours impétueux. Ainsi périsse tout tyran de l=innocence, tout oppresseur du genre munal@. AQu=elle vienne cette puissance assez folle pour m=attaquer ! Déjà, à son approche, le Génie irrité d=Ayti, sortant du sein des mers, apparaît; son front menaçant soulève les flots, excite les tempêtes; sa main puissance brise ou disperse les vaisseaux; à sa Voix redoutable, les lois de la nature obéissent; les maladies, la peste, la faim dévorante, l=incendie, le poison volent à sa suite Mais pourquoi compter sur le secours du climat et les éléments? Ai-je donc oublié que je commande à des âmes peu communes, nourries dans l’adversité, dont l’audace s’irrite des obstacles, s’accroît par les dangers? Quelles viennent donc, ces cohortes homicides! Je les attends d’un pied ferme, d’un oeil fixe. Je leur abandonne sans peine le rivage et la place où les villes ont existé; mais malheur à celui qui s’approche trop près des montagnes! Il vaudrait mieux pour lui que l’eût englouti dans ses profonds abîmes, que d’être dévoré par la colère des Enfants d’Haïti.».   
Le grand exploit de 1791-92 a conduit à l'Opération Dessalines de 1802-1803 pour finalement aboutir à  ceci :
« Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Haïti ».

“Malheur à celui qui porterait sur les degrés du trône d’autres sentiments que ceux d’un père de famille”, dit Sa Majesté Jacques 1er. L’Empire, dont l’Érection est une ordonnance de Notre Dieu, est invariablement, irréversiblement et irrelativement lié au Peuple, à son Blrz, soit son plus Grand Bien.

Cette liaison, le Grand Bien, qui est le Blrz holiste, Jean Jacques Dessalines va « la consolider par des lois qui assurent votre libre individualité »; et si jamais tu refusais ou recevais en murmurant les lois que le Génie d’Ayti qui veille à tes destinées me dictera pour ton bonheur, tu mériterais le sort des peuples ingrats. Loin de moi cette affreuse pensée ».

Hélas! Les irréductibles libres de couleur et noir(e)s libres, agents du blancisme, ont refusé de se soumettre à ces lois, parce qu’ils voulaient tout pour eux, et eux seuls, et rien pour le Peuple, raison même de l’Érection de l’Éternel Empire d’Ayti, ils ont, sous l’ordre de Napoléon Bonaparte, assassiné physiquement l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines le 17 octobre 1806. Les parricides ont ensuite fondé, toujours sous l’impératif de la France et sa direction, une république, avoisinant le régime colonial de Toussaint L’Ouverture, une horreur indescriptible.

Et c’est la débâcle car FRAPPE instantanément le-sort-des-peuples-ingrats, « affreuse pensée » dont redoutait tant Sa Majesté Jacques 1er.

Votre seul et unique SALUT est de vous joindre à l’Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire d’Ayti, Empire de la Gwqmunalité, l’Administration est Rétablie pour vous servir conformément à la Victoire de 1791-1792 et 1802-1803.

Notre Nqh est sortie des entrailles de Notre Dieu, Bon-Dieu, c’est-à-dire Dieu Véritable, elle est imperfectible, c’est-à-dire Empire est-elle et Empire sera-t-elle.

La république, et tout autre nom qu’elle peut prendre, a, et aura toujours, sa source dans le dieu blanciste, le dieu de la bible, un faux dieu parce que créé par l’homme et à l’image de l’homme, source, hier comme aujourd’hui, de tous les maux de la terre, particulièrement vos malheurs pour avoir accepté de vivre dans la république.

Vous devez faire deux choses, ce en même temps et de façon urgente, placez-vous à l’ombre de la Famille Impérielle pour la coordination de la Famille Impériale, que vous êtes, et faites le pèlerinage annuel avec Son Indispensable Impériale (S I I) Bayyinah Bello, ce qui est d’une importance dessalinienne, pour la réconciliation avec vous-mêmes et le cheminement vers la plénitude de notre être, selon la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu.  

N’oublions jamais que les peuples de la terre nous supportent sans condition car le succès de notre ACTION est le préalable nécessaire à l’aération totale-capitale de la planète terre. La vocation de l’Empire est extensionnelle à la terre.


Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Toya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :  

HRH Sa Majesté Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, et Garant de la wnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Toya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


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