L'état du monde La France menacée, tremblent les alliés



 

Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste
Le message qui suit révèle l’état du monde, du début de l’éveil (munal) à aujourd’hui. Ce texte, si bref soit-il, est un métadiscours, lequel est une méta-anthropologie, élaborée par Sa Majesté Le Prince, IIIe de la lignée des Empereurs de l’Éternel Empire d’AYITI, qui met en évidence ce qui se joue sur la terre et le remède apporté à ce grand Mal, le plus grand qui soit, ce de tous les temps. Ce grand discours, qui est le fruit des expériences de toutes sortes, sensibles, historiques et intellectuelles, témoigne, une fois de plus, que la science n’a jamais été l’asymptote de la vérité parce que, est le dqmbala, connaissance vraie.
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L’état du monde
Le message du début de l’année 2019
Diverses idéologies parcourent la planète et indéniablement elles sont tous les jours responsables des milliers de morts, des gens de tout sexe et de tout âge, voire des bébés prénataux, dans l’indifférence la plus totale. Cependant la plus ravageuse de toutes est l’anthropologie des droits, ainsi que les déclarations des droits de l’homme de toutes sortes qui en découlent. Cette conception de soi toute neuve, née au dix-septième siècle, est la plus grande peste qui soit. À l’heure qu’il est, elle ronge la planète terre dans toutes ses sinuosités. Elle est exagérément agressive et force toutes les portes. Cette pensée pourtant vide, sans se gêner, s’invite partout et en tout. L’anthropologie des droits ou les droits de l’homme tout court sont la seule pensée illusoire qui menace la diversité de l’ordre du Nous, l’ordre en lui-même et partant l’équilibre du monde. Cette pensée centre démesurément l’homme sur lui-même. Elle est le produit de l’homme en vue de frayer le chemin de son avenir. L’homme par le droit ne reconnaît aucune semblance, soit le groupe de gens de mêmes caractéristiques biologiques observables que lui, ce qui pourtant lui est cher - je songe au blancisme - parce qu’il en est à l’origine, ni les groupes de gens de caractéristiques biologiques observables opposées aux siennes. L’homme, par le droit, est plus que jamais inapte au dialogue. Au fond de lui-même l’homme, soit l’un, appelé aussi l’individu par l’auteur du Léviathan, a de la répulsion pour tout le monde. Il est foncièrement kuku, c’est-à-dire soi, encore soi, toujours soi. Plus que jamais l’homme, le kuku, se niche en lui-même en reniant ouvertement aussi ceux qui autrefois il appelait stratégiquement ses pairs. À son point le plus fort, la religion des droits de l’homme a renforcé l’homme, une pensée-être ou une entité mentale, dans son hommalité, sa cause, partant son incontrôlable penchant à se donner un devenir effectif envers et contre tout. Les hommes, aujourd’hui, sont incontestablement semblables à une bande de zobop, une sorte de loups-garous, incontestables criminels, dont l’aube a pris d’assaut et qui ne lésinent point sur les moyens pour regagner leur demeure à temps, avant qu’ils ne soient vus. Point de doute, l’hommalité dit à l’homme, son produit, que son néant et l’insupportable démangeaison qu’il a entraînée ont trop duré. Alors on y met le paquet.   

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L’entrée de l’homme dans le monde
Il y a un préalable nécessaire à l’accession de l’intelligence du discours. C’est, bien sûr, l’origine de l’hommalité, cause de l’homme, croyance ferme et inébranlable dans un mauvais calcul, une erreur gravissime au sujet de ce qui fait de soi ce qu’il est. L’environnement qui a généré l’hommalité est d’abord un événement appelé l’éveil munal, lequel nous a livrés à nous-mêmes. Cette situation a mis en branle nos capacités du connaître. Il découle de cela qu’il y a un être premier. Celui-ci s’appelle le MUN, une appellation ancestrale. Cet être est en soi accompli. Cependant, dans le cadre d’être par sa manifestation, le munal tend irrésistiblement à manifester extérieurement sa constitution interne. Cette part lui revient constitutionnellement. En tant qu’être avec les autres, un Ubuntu, il se parachève en reproduisant extérieurement ce qu’il est intérieurement, un collectif indissoluble concordant, autrement dit, en s’accordant extérieurement les uns les autres. De cela résulte l’espace munal, c’est-à-dire l’expérience, le calcul, le savoir et l’organisation globale comme point culminant. L’extérieur est le lieu de la manifestation de l’intérieur. Il est, en d’autres mots, le reflet ou le miroir d’icelui. Pourtant les premières conclusions ont plutôt débouché, du fait d’être le centre du mouvement d’être, sur la primauté de soi, le singulier qui sent et qui calcule, à savoir qu’il y a moi et les autres et que ceux-ci sont là en vue de moi. L’attachement dans le temps à cette pensée, soit le fait de s’y accrocher de plus en plus, aboutit à la certitude et sa vérité proclamée. Puisqu’il s’agit d’une pensée, rien qu’une pensée, la croyance en elle donne naissance à un être de pensée ou une pensée-être à laquelle est donnée le nom d’homme, ce qu’on est d’après le calcul. Comme toute pensée de cet ordre, elle tend à se réifier, se réaliser. Mais la pensée de l’homme n’est pas en adéquation avec la réalité. Autrement dit, le milieu lui est hostile. Centré sur lui-même, l’homme persiste et signe. On entre ainsi dans une zone de bouleversements, créée ou entraînée par la présence de l’homme, parce que, étant uniquement cette entité mentale, il est incontestablement poussé de l’intérieur à se donner un devenir effectif envers et contre tout. Ainsi l’homme est une tendance politique (une vision hiérarchique), une volonté à soumettre les autres à soi pour pleinement être, laquelle tendance a pour corollaire le refus de se laisser subjuguer (dominer) par les autres. Le nœud du problème est qu’il y a de dominants fonciers mais pas de dominés du tout, un ensemble de prédateurs et prédatrices sans proie aucune. Pour une raison ou pour une autre, l’Europe est l’une des rares contrées où l’homme est majoritaire - cela sous-entend qu’il y a des pensées rivales. Tout ou presque s’articule autour de l’homme là où il mène, nécessairement en Europe.

    L’anthropologie des droits
S’inscrit dans ce cadre-là l’anthropologie des droits ou, de façon interchangeable, du droit, la dernière conception de soi élaborée à date par le camp des hommes. Pour bien comprendre la nouvelle anthropologie, c’est-à-dire la conception de soi - ce qu’on est avant toute détermination collective ou sociale -, qui fondera désormais la nouvelle société, il faut avoir une idée claire et distincte du droit. Le droit est le principe, soit ce qui est premier, qui est à l’origine de l’homme et qui est aussi sa protection, donc son maintien. Pour les uns, il s’agit de la spontanéité, l’empirique, alors que pour les autres, c’est la raison, un a priori, deux caractères asymptotiques.  Il y a deux points qu’il faut ici souligner, le premier est que le droit est en l’homme, le second est qu’il s’oppose à la destruction de soi, l’homme. Thomas Hobbes ouvre le bal de la nature de droit de l’homme : “Il n’y a aucun de nous qui ne se porte à désirer ce qui lui semble bon, et à éviter ce qui lui semble mauvais, surtout à fuir le pire de tous les maux de la nature, qui sans doute est la mort ». (De Ci., I, 7). Ce qu’il faut retenir de l’observation de Hobbes, c’est surtout le caractère général d’une attitude de l’homme réel ou empirique. À partir de là, il peut conclure : « Que le premier fondement du droit de la nature est que chacun conserve, autant qu’il peut, ses membres et sa vie » (Ibid., I, VII). Chez Spinoza, ,c’est tout l’être qui est concerné par l’essence (ce qu’on est en soi) et la conservation : « Chacun s’efforce, dit-il, autant qu’il est en lui, de conserver son être et (puisque chacun a autant de droit que de puissance) tout son effort et toute action de chacun (…) relève du souverain droit de nature » (Ibid., IV, prop. 37, Scolie II). L’auteur poursuit que la nature « n’interdit aucune action, à l’exception de celles que nul ne désirerait ni ne pourrait accomplir » (prop. 34). Le désir est ainsi relié à la puissance et la conservation. Nous pouvons alors dire que le droit consiste à désirer et à pouvoir faire tout ce qu’on peut en vue de sa conservation. Selon Rousseau, deux éléments caractérisent l'existence humaine, le vide et l’amour de soi, caractérisé à son tour par la satisfaction des besoins physiques. L'amour de soi est en soi une urgence. Le principe de juridicité dérive ainsi de la spontanéité, car c’est des «deux principes antérieurs à la raison » (la conservation de soi et la pitié) «que (…) découlent toutes les règles du droit naturel » (Discours T. III, 125,126). Rousseau marche ici sur les traces de Hobbes pour deux raisons 1) parce qu’il se préoccupe de définir le contenu de l’homme, «un sentiment vrai» l’appelle-t-il, qui fonde le  droit naturel, désir d’autoconservation (Manuscrits, L. II, chap. IV, O. C., Tome III, p. 329, 2). Emmanuel Kant, lui, rejette la spontanéité comme fondement du droit mais non pas l’idée de droit comme partie de la nature de l’homme. En effet il fait de la liberté, en union naturelle avec la raison, la nature de l’homme. Kant y lie, à la liberté, le droit. C’est au droit que revient la tâche de rendre compatible l’action des gens libres, dictée par la liberté. C’est là ce qui explique la liaison du droit avec la faculté de contraindre : « Le droit, dit Kant, est lié à la faculté de contraindre». (D.D. Intro., p.18). Le droit est le soutien de la liberté. En dernière analyse, «le droit et la faculté de contraindre, poursuit-il, signifient donc une seule et même chose » (Ibid., p.19). S’il n’y avait pas de liberté, il n’y aurait pas de droit. L’homme libre se voit contraint d’obéir à la loi. Ce droit n’en est pas un parmi plusieurs, mais le seul. Selon Kant, « La liberté (comme indépendance vis-à-vis de l’arbitre contraignant d’un autre individu), dans la mesure où elle peut coexister avec la liberté de tout autre suivant une loi universelle, est cet unique droit originaire qui appartient à tout homme en vertu de son humanité» (Ibid., p.26. La liberté est donc aussi le droit. C’est au droit, cet autre aspect de la liberté, que revient la tâche de rendre compatible l’action des gens libres.

Il appert de tout ce qui précède, et c’est l’élément qui m’intéresse dans cette brève analyse, que les auteurs font de l’homme le point de départ comme le point d’arrivée de ses activités. L’homme est à l’origine de lui-même. Tout est placé en l’homme. C’est là le danger, puis-je l’affirmer tout de suite. Premièrement le point anthropologique retenu pour la construction de la société de droit n’est pas la doctrine d’autoharmonisation qui est naturellement en l’homme, ce qui ferait de lui un être qui porte en lui les germes d’un ensemble uni, mais celui de Hobbes, savoir que l’homme est l’individu, ce qui sous-entend autant d’individus, autant d’hommes, des êtres sans lien entre eux, donc disparates; deuxièmement l’homme s’accomplit dans la matière à cause du fondement du droit, la nature, et l’accomplissement se fait par la possession. Il n’y a aucune priorité ou supériorité qui est accordée à une substance a priori, telle liberté ou la raison. Tout est centré sur l’empirique. Il faut en déduire que la partie la plus importante de l’homme, sa substance, est à l’extérieur de l’homme, posséder pour que soit réellement la spontanéité, donc le droit.

Il s’ensuit que la nouvelle société en Europe devra faire de son objectif la possession et être ainsi caractérisée par la continuité de l’individualité (hobbienne) dans la citoyenneté. Cela est d’une importance dessalinienne car la légitimité de la politique, théorique et pratique, y réside. 

                        L’objectif de la société des droits
Il est clair dans la pensée de tous ceux et celles qui agissent sur le terrain de la politique (made in Europe) que le droit est la nouvelle règle. C’est l’institutionnalisation du disparate et du conflit réglé ou structuré. Le lien entre la politique-théorique et la politique-pratique est, d’entrée de jeu, irréfutablement posé par les déclarations des droits suivantes. Tout d’abord l’anthropologie des droits, initiée par le philosophe politique anglais, Thomas Hobbes, a un effet immédiat dans la pratique de la politique anglaise car  <<les libertés anglaises sont désormais garanties par l’Habeas Corpus et la Déclaration des droits>>;ensuite la déclaration d’indépendance états-unienne repose sur les droits naturels qui constituent l’homme : <<Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, (...) Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future. Telle a été la patience de ces Colonies, et telle est aujourd'hui la nécessité qui les force à changer leurs anciens systèmes de gouvernement. L'histoire du roi actuel de Grande-Bretagne est l'histoire d'une série d'injustices et d'usurpations répétées, qui toutes avaient pour but direct l'établissement d'une tyrannie absolue sur ces États"; enfin la déclaration française : « (…) Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles », lesquels sont «la liberté, la sûreté, la propriété ». Ainsi le fondement philosophique de l’organisation politique est on ne peut plus clair. C’est une nouvelle orientation de la vie-collective-politisée dont l’homme est la norme parce qu’il en est la fin.

L’insoluble problème 
des sociétés des droits de l’homme
Dans un contexte de gens disparates, d’égaux et indépendants droits, l’individualité et la citoyenneté sont-elles compatibles? Il faut répondre négativement à la question. En effet dans la politique-pratique ce n’est pas chaque homme qui est moyen et fin, comme se l’imagine Emmanuel Kant. Il y a une fin en soi, l’homme lui-même, c’est-à-dire tel qu’il est conçu par Hobbes, soit l’individualité non pas phénoménale mais réelle parce qu’empirique. Elle est indéterminée, c’est-à-dire indéfinie dans le sens qu’aucun nom ne lui est accordé. Elle peut être n’importe qui. Elle est et demeure l’une, un seul être, une seule personne. Cela revient à dire que la politisation, qui est la procédure, est le lieu de la création de l’homme, ce sentiment vrai, être celui pour qui tout est là, y compris les autres, pour reprendre la terminologie hobbienne. C’est pourquoi il est dit « à l’homme », dans la déclaration française, non pas «aux hommes », ensemble de gens disparates, irréconciliables et ipso facto conflictuels. Notons que les droits se rapportent à l’individu, lequel est reconnu pour l’homme, par le sentiment vrai exposé par Thomas Hobbes. C’est cette pensée que le gouvernement doit faire advenir. Alors le droit, comme fondateur de la nouvelle collectivité politisée, est un principe sacrificiel. D’où la dictature de la citoyenneté. Vérité surprenante et assommante ! La politisation ne porte pas en elle sa légitimité, elle lui est extérieure, soit dans la force, voire le pic de la cruauté, et la propagande, ce que je nomme l’être discursif, un des quatre principes constituant l’être social, au mieux, la citoyenneté.   

                                     Le match social
Tel est le but de la théorie politique de l’Anglais, Hobbes. Le Léviathan est la création de cette entité spirituelle (mentale) mais considérée comme sentiment vrai, le fait d’expérience. Hobbes se propose de créer d’office l’homme, sous le modèle de l’individu. Bien sûr cela fait scandale. On s’y est opposé par le malaise qu’elle a vite provoqué chez l’homme ou les hommes mais sans qu’on n’ait compris la raison, qui est l’hommalité. Personne n’accepte de renoncer à soi-même, qu’on soit MUN ou homme. En ce qui concerne ce dernier, qu’on se souvienne qu’il y a en l’homme l’élan de se maintenir dans l’être, cela comprend forcément son inclination à la possession totale et soumettre les autres à soi, laquelle inclination a pour corollaire le refus de se laisser subjuguer. Hobbes tient à donner un futur à l’homme parce que la propriété chez lui est naturelle – il naît propriétaire de toutes choses - mais non effective, du point de vue de jouissance, à cause de la pluralité d’hommes (de semblants) et l’état de guerre qu’elle entraîne. Selon l’anthropologie de Hobbes n’importe quel individu peut accéder à l’hommalité, la qualité d’être effective, parce que la nature l’a déjà produit. Le reste ou l’effectivité de la fiction homme est confiée aux capacités dont la nature a pourvues l’homme, dont l’une est le langage, dans le sens de la parole, un des traits propres à l’homme. La création artificielle de l’homme se fait par la maîtrise des semblants en les enchâssant, par la ruse et la force, dans une dimension universelle artificielle, qui est la vision du monde, d’origine phénoménale, et le mode d’être pratique dans le monde qui en dérive.

La méthode hobbienne pour y arriver est extrêmement difficile, une formation sociale qui crée d’emblée l’homme. La théorie du droit d’un autre Anglais, John Locke, propose une autre voie. Elle semble être plus prometteuse. Elle est donc mise à profit. En effet la conception Lockéenne du droit à la propriété, ce qui est la substance extérieure de l’homme, fera avancer le projet hobbien appliqué en politique-pratique. En effet l’auteur rejette la notion de propriété prépositive de son compatriote Hobbes. Locke exploite plutôt l’idée selon laquelle l’homme, l’individu, appartient naturellement à lui-même, pour créer artificiellement, a posteriori, l’idée de propriété. Deux têtes valent mieux qu’une, dit l’autre. John Locke fait dériver la propriété de (son) l’appartenance naturelle à soi-même. Il suffit de s’investir, et c’est là la nouveauté, dans quelque chose pour en devenir propriétaire en retour. Autrement dit, ton travail détermine ce qui est à toi. La propriété vient de la propriété de soi, sa personne. Il y a une richesse dans cette conception du droit à la possession effective et elle sera exploitée à fond dans la société du droit.

La société s’organise autour de l’idée de propriété lockéenne pour créer la substance de l’homme. C’est, on l’a déjà compris, de là que vient l’idée de match social et sa mise en forme, soit production/consommation/possession, comme principe de la création de l’homme.

A priori le match ouvre à tout le monde la voie à l’homme qui sera réifié. Il suffit de monter sur le terrain. Mais, le piège, le match, de par son objectif, hiérarchise naturellement la masse de gens en présence. Il leur donne forme, celle de la pensée de l’homme. Mais la forme y est de façon inhérente. En plus de cela la généralité du match est un mirage car il faut les poches pleines, ce qui est le cas d’un petit nombre. La politisation est une escroquerie hors de pair. On ne pouvait pas s’attendre à autre chose en terrain hommale.

Le philosophe états-unien, Robert Norzick, se joint à la direction que prend la création de l’homme, savoir le match. Il se fait un grand défenseur de la chose, surtout son instrument. Dans son livre, traitant de l’État minimal, il reconnaît, comme Kant, un seul droit, la liberté, mais pour le reste il s’en écarte. Pour Norzick les autres sont vraiment uniquement des moyens. Le contenu conceptuel de la liberté n’est pas le même chez les deux penseurs. Pour Norzick la liberté est la faculté qui permet de participer au match, tel qu’institué. Selon lui, il faut savoir en (la liberté) faire un bon usage. Si on perd, on perd; si on gagne, on gagne. Chacun-chacune est à son compte. Le jeu est vraiment sauvage. Cela s’explique par la nature de l’homme et le but à atteindre en politique-pratique.

                La force comme instrument de contrainte
De toute évidence les théoriciens et théoriciennes de la politique ne tiennent pas compte du droit à la sûreté, qui est l’élan au maintien dans l’être, parce qu’ils misent sur la force, voire la cime de l’horreur, pour cheminer vers l’homme pragmatique. En France on a l’exemple de Luc Ferry, qui est un spécialiste de la philosophie politique et qui est aussi un grand défenseur du droit théorique ainsi que de l’ordre établi qui en découle, alors la politisation, invitant les forces de l’ordre, donc du pouvoir, à “faire usage de leurs armes” contre les gilets jaunes, justement des gens qui ont perdu, selon Robert Norzick, mais qui, compte tenu de la nature de l’homme, qui est le droit ou fondement du droit, n’acceptent pas ni ne peuvent accepter le verdict, lequel est un verdict de mort, ce qui est contraire à leur nature de droit. On peut voir combien la procédure de création est complexe et hautement contradictoire, aussi l’illégitimité de la politique.    

Il est évident que, dans l’humanité, procédure devant déboucher sur la création de l’homme, l’individualité physique ou historique n’est pas un absolu. Elle ne pouvait pas l’être non plus. Cette propriété est celle de l’individualité discursive, laquelle repose sur le sentiment vrai (l’individu empirique qui est habité par la pensée-être appelée l’homme), dont la citoyenneté est le mode d’invention. On est toujours prêt(e) à l’infliger toutes sortes de mauvais traitements au bénéfice de la citoyenneté. Nous avons quotidiennement sous les yeux le triste spectacle des gilets jaunes en France qui sont, en toute liberté, malmenés par les forces de l’ordre. Soit dit en passant, l’idéologie du teint clair génératrice du blancisme, comme le seul homme, s’évapore - la politique du teint est de la poudre aux yeux -, laissant toute la place à l’hommalité, ce sentiment infusible, et la seule qui vaille. Pourtant les gilets jaunes ne demandent pas à être réintégrés dans le match hommal. Il semble qu’ils se résignent, même si c’est difficilement, à porter la croix des figurantes et figurants que la structure de la citoyenneté leur a imposée. Ils veulent simplement vivre sans s’essouffler. Est-ce trop demandé ? Non, pourtant oui dans le contexte procédural savqn, terme signifiant sauvagerie en système. Ce minimum leur est refusé par la nature infusible de l’homme français puisqu’ils récoltent l’oppression, cela conformément à la liberté norzickienne, en réponse à leur désir (social), lequel va ipso facto à l’encontre du droit, comme nous l’avons vu au tout début, précisément son fondement méta-positif, qui est les inclinations sensibles et la liberté, une faculté indépendante de celles-ci.

L’anthropologie du droit est une aporie. Il est évident que le recours à la praxis pour la faire advenir se révèle aussi contradictoire et partant conflictuel. D’où la violence comme chose initiale. Cependant la seule logique anthropologique qui prend en charge cet état de choses, le pic de la cruauté inhérent à la politisation, est celle de Thomas Hobbes parce qu’il y est énoncé que “l’homme”, qui est limité à l’individu, “ a droit sur toutes choses, y compris le corps des autres”. C’est là une possession naturelle - ce qui fait voir clairement que les conceptions du droit à la propriété sont en application dans la nouvelle société, celle de Hobbes ainsi que celle de Locke. La proposition de Hobbes implique la contradiction, le conflit et le mauvais traitement en vue de la création de l’homme, autrement dit, imposer l’individualité hommale. 

Le droit et les autres collectivités
formées des êtres dénommées gens-pas-comme-nous
La collectivité de droit voit le jour en Europe où, depuis des temps immémoriaux, l’on cultive une vision bipartite de l’ordre du Nous, savoir moi et les autres, le culte de soi, un soi collectif (la nation, sa nation, ici, nous et les autres), et le mépris indélébile des collectivités des autres contrées de la planète. Par rapport à ces collectivités, on se définit en gens-comme-nous, et les autres se voient dénommé(e)s gens-pas-comme-nous. Cette division, faut-il le souligner, ne relève pas du droit, qui, selon Hobbes, et Rousseau jusqu’à un certain point, est attaché à l’individu, mais plutôt de sa transgression pour mettre sur pied la stratégie devant renforcer la position des hommes en Europe. La stratégie est mise en place par la raison, au sens hobbien du terme, c’est-à-dire l’art de calculer à l’aide des mots, en vue de satisfaire l’élan vital ou de demeurer dans l’être, enfin homme. La stratégie de l’unité des hommes européens est un élément du blancisme non pas une fin en soi.

Selon Hobbes une collectivité constituée est déjà l’individu ou l’homme en miniature et, de ce fait, elle est, face aux autres, dans l’état de nature. Elle a le droit sur elles toutes et vice versa. En d’autres termes de même que l’individu est le propriétaire de toutes choses, y compris le corps des autres, de même la société ou la nation à laquelle il s’identifie ou qu’il institue a le droit sur toutes les autres. L’auteur anglais justifie ainsi la conquête intra-européenne. Nous le savons, les pays d’Europe ne sont pas homogènes. Il y a dans leur sein respectif plusieurs autres collectivités de leur environnement. Citons en exemple particulièrement l’Espagne, l’Italie et la France. La conquête est une affaire de droit, elle s’inscrit dans l’acte de créer l’homme. Nicolas Machiavel a déjà parlé de la naturalité de la conquête. Il est donc naturel de s’emparer des autres pays de son environnement. Ce droit de nature commence par s’exercer dans son environnement immédiat.

Quant au philosophe allemand, Emmanuel Kant, il propose, lui, de rassembler les nations d’Europe, en tant que gens-comme-nous, dans une structure d’ensemble. C’est sa façon à lui de concevoir la création de l’homme. On est déjà dans la structure génératrice du blancisme, le “nous”, un ensemble, versus les autres. Cet État de nations a aussi pour tâche de supprimer les autres collectivités de gens-pas-comme-nous. C’est aussi la justification, dans les deux cas, Hobbes et Kant, Rousseau n’est pas en reste, de l’esclavagisation, appelée l’esclavage, comme si le mot d’esclave n’était pas une chimère, et de la colonisation. L’hommalité exige.   

L’autre Allemand, Hegel, maintient l’idée de réunir tous et toutes sous une seule autorité. L’auteur accorde à l’homme un statut secondaire dans l’hommalisation qui est en cours. Ce à quoi nous assistons, selon Hegel, c’est plutôt l’action dans le monde d’un autre être qu’il nomme Esprit. Icelui choisit l’homme pour s’accomplir sur la terre. Ce choix trouve sa raison d’être dans le fait que l’homme est l’être qui lui ressemble le plus. L’accomplissement de l’Esprit, Hegel fait aussi usage du mot de Raison, un super Être, est l’institution d’un seul peuple. C’est une autre façon de parler de la création de l’homme, du Léviathan de Hobbes. Pour y parvenir, toujours selon Hegel, l’Esprit ou la Raison doit recourir à la cime de l’horreur, là où cela s’impose, soit défaire les peuples, écrabouiller les résistants et résistantes. On a enfin la raison de l’oppression des gilets jaunes en France, des invasions internes réciproques en Europe, des guerres vertigineuses dont le seul coin de la planète a fait l’expérience, et l’envahissement des autres peuples.

À travers le blancisme l’Europe envahit les pays d’au-delà de ses frontières et s’y installe là où cela est possible. Ces envahisseurs continuent de mener leurs guerres intestines à travers leurs colonies respectives. Tout cela a pour mobile, la création de l’homme. 

Le nouvel ordre mondial
L’expérience est d’une grande utilité dans le jeu sinistre hommal. En effet présent partout, dans certains cas par l’intermédiaire d’un groupe de gens du pays qu’il est parvenu à enchâsser par la corruption idéelle et monétaire, le blancisme porte l’offensive de la création de l’homme sur un autre terrain, le nouvel ordre mondial, le dénomme-t-il. Le blancisme cherche aussi à transporter le match hommal à la grandeur de la terre, ce que Hobbes appelle la vanité de l’homme. Ce qu’il faut comprendre, c’est que ce projet n’est pas arbitraire et qu’il est déjà compris dans l’anthropologie des droits. Le nouvel ordre mondial est à la hauteur de la nature de l’homme. Ce n’est pas en y incluant les gens des autres pays mais en y intégrant leurs biens et ressources qui seront exploités par les joueurs et joueuses des pays blancistes qui occupent déjà le devant de la scène. Cela demande aussi la prise de contrôle de l’autorité qui est sur place.

Dans le match hommal planétaire chaque pays blanciste le plus en avant veut placer ses joueuses et joueurs en position avantageuse. On veut marquer le plus de buts, c’est-à-dire acquérir le plus de biens possibles, pour être le plus proche du but à atteindre, soit l’homme. Pour le dire d’une autre façon, chacun de ces pays veut être celui qui produira l’homme, une lutte proprement hommale - soit le pays que Hobbes voulait construire d’entrée de jeu -, par l’intermédiaire du propriétaire de toutes choses (l’un), qui dominera tout. 

Un désastre planétaire
C’est là qu’on peut, une fois de plus - je fais référence à l’époque de l’esclavagisation directe où les colons avaient presque tous les droits sur les gens-pas-comme-nous, notamment les Négro-gelefweennes et Négro-jelefweens, droits dont ils faisaient généreusement usage -, observer, selon la logique de l’anthropologie des droits, la nocivité des hommes, ici dans le sens blanciste du terme. Par exemple pour accéder à un niveau élevé dans le jeu et maintenir sa position, la France, par des mesures, telles que taxation, imposition et diminution des services sociaux, parvient à vider une partie importante de sa population jusqu’à en faire l’arrière-peuple, au profit d’une infime minorité, dont, du même coup, elle renforce les capacités de participation en allégeant ses dépenses. En guise de rappel, l’annulation de l’impôt sur la fortune (ISF), le soutien de la France à son système bancaire (360 milliards d'euros) afin que la position des banques françaises soit avantageuse face à leurs concurrents, le ménagement des riches (une baisse substantielle d’impôts) dans le but de maximiser leurs richesses. Tandis que des personnes qui sont au salaire minimum (1185 euros mensuellement) et qui ont des enfants à charge subissent une augmentation d’impôts et de taxes, sans droit de s’y opposer ni de manifester au grand jour leur désaccord. Elles sont maltraitées pour crier publiquement leur colère, pacifiquement, rappelons-le, même les enfants connaissent les mêmes sorts pour les mêmes raisons. Le droit de réagir contre l’oppression ne leur est pas accordé. Si elles ne s’y plient pas, Luc Ferry conseille aux oppresseurs de faire usage de leurs armes, ce qui veut clairement dire les tuer, au mieux, assassiner. La raison, c’est que la France doit être là à la dernière ronde. Rappelons-le, la déclaration française des droits affirme sans ambages que “Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles“. À l’homme non pas aux hommes, la nuance est dessalinienne. Devant cette horrible situation on ne peut pas s’empêcher de s’exclamer en ces termes : Quelle dureté de cœur! Quelle satanité inhérente aux droits de l’homme! 


 
                                L’autre monde
Ce qui se passe chez les gens-pas-comme-nous, dans le cadre du nouvel ordre mondial, soit la planétarité du match hommal, est vertigineusement monstrueux. On renoue avec “le temps béni des colonies”, le pic de l’horreur. Tout dirigeant de pays qui ferme la porte à la planétarité du match hommal, se voit assiégé avec tout son peuple. On recourt à l’étranglement économique, à la diabolisation, à la campagne de salissage (diffamations), à l’empoisonnement des récoltes, à la destruction de l’agriculture, à l’affamation de la population, aux catastrophes naturelles artificielles (provoquées), tels que le cyclone et le tremblement de terre, aux épidémies d’une multitude de maladies hautement mortelles, aux conflits intestins en vue de l’invasion onusienne, intraveineuse pour l’injection de la toxine hommale, aux meurtres par empoisonnement comme aux armes à feu des gens embarrassants du fait de leur attachement à leur pays et leur mode de vie collectif, à la persécution individuelle, à la persécution raciale, à la persécution politique, au déni de justice, à la non assistance à personne en danger, au refus de soins médicaux, aux arrestations-kidnappings, à l’emprisonnement sans avoir commis de délit, au profilage racial, au dénigrement, aux fausses accusations, aux bombardements clandestins, aux enlèvements de président, aux soulèvements populaires provoqués de l’extérieurs contre les dirigeants et dirigeantes, aux assassinats de chefs d’État, aux pièges contre des personnes honnêtes, aux guerres ouvertes, soit invasion des pays souverains, etc., etc., etc. Même quand une classe de gens indignes se soumet au désir de l’homme, la population du pays n’en est pas épargnée. L’homme veut le pays mais sans elle, les gens-pas-comme-nous.  

Point n’est besoin de dire que ce sont les biens et ressources de ces pays qui alimentent le match. Si le blancisme devait faire l’homme en ne disposant que des ressources de son environnement, il n’y aurait tout simplement pas de match hommal. Il est obligatoire, voire indispensable, que les biens et ressources soient planétarisés. Les biens et ressources de l’Irak et la Libye devaient être planétarisés. Au continent ancestral, le Gelefwe (Jelefwe), la planétarité des biens et ressources ne devait pas être contrariée, cela explique le Burkina Faso, le Congo, la Côte d’Ivoire et tous les autres. L’implanétarisation du pétrole au Venezuela est une insupportable démangeaison, d’où la répugnante offensive contre Hugo Chavez et Nicolas Maduro et le peuple vénézuélien. Fidel Castro et Cuba en ont fait l’expérience. Nombreux sont les pays victimes du refus de la planétarisation. L’opposition à la planétarité du match hommal prive irréfutablement les joueurs et joueuses des moyens de maintenir et maximaliser les conditions de création de l’homme. Le Franc C.F.A. à lui seul rapporte annuellement à la France 440 milliards d’euros. Ils sont nombreux les pays blancistes qui exploitent les richesses minières ancestrales dans le cadre de la planétarité. L’Éternel Empire d’Ayti regorge de ressources de toutes sortes : Pétrole, Or, Lignite, Marbre, Pouzzolane, Argent, Bauxite, Jaspe, Cuivre, Carbonate de Calcium, gaz, iridium etc. … . Elles sont toutes sous les griffes venimeuses particulièrement des joueuses et joueurs du Canada, de l’Allemagne, des États-Unis et de  la France. Et voici le résultat :   



En guise de conclusion, les gilets jaunes, en France, font face à des ennemis puissants, les pays du match, car si tombe la France ils risquent le même sort à cause des conditions similaires de leur population respective. C'est là un atout insoupçonné aux gilets jaunes, ils peuvent y puiser leurs forces jusqu'à la victoire sur l'adversaire. La pression est forte sur Emmanuel Macron, il lui est interdit d’acquiescer aux revendications de l’arrière-peuple. Si le président Macron affiche un air puissant et partant méprisant, c’est à cause de ce support. La criminalité des droits de l’homme se voit à l’oeil nu. Il ne reste au peuple français qu’une solution avoisinant celle des colonies anglaises : “Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité future. Telle a été la patience de ces Colonies, et telle est aujourd'hui la nécessité qui les force à changer leurs anciens systèmes de gouvernement. L'histoire du roi actuel de Grande-Bretagne est l'histoire d'une série d'injustices et d'usurpations répétées, qui toutes avaient pour but direct l'établissement d'une tyrannie absolue sur ces États” Cette solution était convoitée fortement par les colons français de Saint-Domingue, établi dans l’Île d’AYTI, TERRE des Arawak. “Chacun de nous, dit un colon, y voit un terme à nos malheurs”.

Cependant, avant tout cela, il y a l’Éternel Empire dont le Missionnaire Divin, Invincible Général et Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, est le Fondateur. L’Empire, dont l’Administration est rétablie récemment, est, à travers son Fondateur, le Modèle à suivre sur la terre. Du Libérateur, dit l’adjudant général Boisrond Tonnerre : Mais grâce à l’expérience et à la sagesse du général Dessalines nous n’aurons plus à pleurer une aussi funeste indulgence.”
 Grâces te soient rendues immortel restaurateur de notre liberté (Gwqmunalité). (..... ) ... ”.
“ .... en lisant, poursuit Boisrond Tonnerre, ces mémoires, vous mesurerez de l’oeil l’abîme d’où il vous a retirés! et vous esclaves de tous les pays, vous apprendrez par ce grand MUN, que l’être que nous sommes porte naturellement dans son cœur la liberté (Gwqmunalité), et qu’il en tient les clefs dans ses mains” 1804. L’Éternel Empire d’AYTI, Empire de Tóya-Dessalines, Empire Ancestral, est la seule opposition à la situation prévalant sur la terre, notre planète, et la seule Voie de salut qui s’offre au monde.  

SA MAJESTÉ ÉTERNEL EMPEREUR JACQUES 1e  
 Une oeuvre de HRH Prince Jean Dessalines D'Orléans Salomon

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.


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