La Constitution, promulguée le 20 mai 1805 á Dessalines, Capitale Impériale, abolit l’esclavage, au mieux l’esclavagisation, tentatives (certes vaines) de réduire l’être munal, plus précisément le Nègre et la Négresse, en esclave.

 

La Constitution, promulguée le 20 mai 1805 á Dessalines, Capitale Impériale, abolit l’esclavage, au mieux l’esclavagisation, tentatives (certes vaines) de réduire l’être munal, plus précisément le Nègre et la Négresse, en esclave.

 

La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 6 v = © Tous droits réservés

 

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q = an

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w = r

r = ê

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h = ch

e = é

Ä  = on

 

 

 

Il y a plus. La Constitution, Notre Constitution, a pour base fondamentale, laquelle est annoncée bien longtemps avant sa promulgation par son auteur, l’invincible Général et Éternel Fondateur et Empereur Jean Jacques Dessalines, qu’ʺaucun blanc (blanciste) ne pourra, á l’avenir, fouler ce sol en maître ni en propriétaireʺ. Pourtant la situation qui prévaut actuellement sur le Territoire Impérial est antithétique á la Constitution, notre déterminité en tant que Peuple-État. Nous n’y voyons pas le mois d’août 1791 où NOTRE DIEU, BON-DIEU, est Notre Mbwa et, partant, notre Seul et Unique Guide á travers notre constitution interne munale, dont la Gwqmunalité est l’expression et la protectrice, ni l’expulsion du faux dieux, le dieux de tous les malheurs, lequel a été créé par le blancisme et à son image, hors de notre Sphère Ancestrale et Existentielle, notre manière d’être dans le monde, ni le 1803, tremblement de terre du Super Soldat, le Général Jean Jacques Dessalines, qui s’est érigé en 29 novembre á Dessalines en Gwqmunité, dont la mise en forme parfaite, invariable et irréversible nous est présentée dans l’Article 1er de la Constitution.

 

Voyons quelques traits du portrait du peuple de la république qui a vu le jour en décembre 1806, après le parricide, empoisonnement de l’Éternel Empereur Jacques 1er, le 17 octobre de la même année ! Ce ne sera pas dans l’ordre logique, une construction anthropologique par les faits, mais dans le sens de la littérature de la contre-guerre, casser l’ordre sans perdre le sens. Commençons par le travail, source de vivre : école, ingénierie, médecine, sociologie, théologie, économie, hôtellerie, communication, sciences politiques, couture, enseignement, secrétariat, vente, ethnologie, industries, Arts, modèle, etc. ; pour ce qui est de l’expression, le français, l’anglais, l’espagnol et toutes les autres langues propres au blanc ;   l’habillement, la manière du blanc ; l’élégance, de même source ; recréation, musique, dont les instruments sont d’origines européennes, boîte de nuit, cinéma, sports européens, etc. ; la consommation, magasins de style blanciste ; l’image de femme ou d’homme culturelle, celle des magazines blancistes; l’instruction, discoureur ou discoureuse des pensées blancistes ; la religion, celle des blancistes et culture, telle que mariage, baptême, etc., ainsi que sa morale (biblique), par exemple, calquer sa vie sur celle des Israelites ou des juifs et juives ;  la passion, celles de la société de consommation, mode de vie blanciste, de filles ou femmes dites belles, des gars ou des hommes dits beaux, des voitures, des maisons, des sorties, des promenades, des coupées (à l’hôtel ou ailleurs), tout cela á la mode des blancs, au mieux, des blancistes puisqu’il n’y a pas de société de blancs mais de blancistes (ils dominent même les blancs) ; l’enrichissement, le travail, le commerce ou la production á la manière du blancisme ; l’organisation sociale, la structure blanciste, produit des pensées blancistes, président, premier ministre, ministres, partis politiques, pensées politiques, libéral, socialisme, communisme, démocratie, droits de l’homme, etc. ; l’espérance, soit ce qu’on attend de la vie, tout ce qui précède et il faut y ajouter les croyances religieuses, telles que le paradis, le ciel, le royaume de dieux. Je m’arrête ici car cela suffit pour atteindre l’objectif que je me suis fixé.       

 

Quel est cet objectifɁ C’est mettre en évidence le sens de la vie dans la république ou celui de son peuple afin de déterminer le bloc auquel elle appartient.   

 

Le sens de la vie d’un peuple réside dans ses idées ou pensées. Ses idées ou pensées prennent forment dans ses actes, soit ses comportements, ses façons de faire, ses croyances, etc., en fait tout ce que nous venons de voir plus haut.

 

Alors nous pouvons en déduire que la république est enracinée dans le blancisme, que celui-ci la fonde et que, par conséquent, elle y trouve son sens puisqu’elle est son produit.

 

Étant donné que la république n’est pas en soi ou par et en elle-même, elle est en tous points dominée par le blancisme, c’est-à-dire qu’il lui dicte sa conduite.

 

D’après la pensée et le vocabulaire de la politique, au dire même du blancisme, celui qui dicte la conduite dans l’organisation, selon l’ordre même de la nature, est le maître, le dominant, et, toujours selon la science de la politique, celui qui reçoit sa conduite d’un autre ou qui dépend d’un autre pour sa conduite est l’esclave, le dominé. La politique, toujours selon la philosophie politique, est l’organisation de l’esclavage.

 

Il est maintenant évident le sens de ʺla base fondamentale de la Constitutionʺ, selon le Grand Savant Jean Jacques Dessalines, á savoir pas de ʺmaîtreʺ. Ce n’est pas tout, il dit aussi : ʺni de propriétaireʺ. Dessalines parle de blancistes. La compréhension de cette partie de la proposition réside dans le sens de l’anthropologie des droits naturels qui fait de l’homme, le blanciste, le seul propriétaire. La pensée de ʺmaîtreʺ est du philosophe grec, Aristote, elle remonte á l’antiquité, et celle de ʺpropriétaireʺ, du philosophe anglais, Thomas Hobbes, dont je suis le spécialiste, elle remonte au 17e siècle. Dessalines, dans sa pensée, qui dérive de celles de ses ancêtres, et l’érection de l’Éternel Empire d’AYTI, leur a donné la monnaie de leurs pièces.

 

Mais la république a (discursivement) aboli l’abolition de l’esclavage (esclavagisation) de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines au profit, bien sûr, des blancistes.

 

Évidemment la république ou son peuple, ce prp-thue-n (peuple suicidaire), n’aurait jamais fait le mois d’août 1791 ni le tremblement de terre dessalinien, le 1803.  

 

Cependant les Négresses et Nègres qui pleinement croient en eux-mêmes, c’est-á-dire qui sont en leurs Ancêtres et en Dessalines, comme Dessalines en eux, s’affirment le mercredi 31 août de cette semaine á NY, puis un peu partout, á leur manière, pour dire au blancisme : ICI, AYITI, C’EST CHEZ NOUS ET RIEN N,A CHANGĖ, PUIS RIEN NE CHANGERA !

 

Que cela devienne une culture !

 

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.

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