La republique d Haiti, institution de tous les malheurs
La Famille Impériale et la
Ville de Dessalines prennent la parole
7 – 7 -e
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À PARTAGER MASSIVEMENT TOUJOURS PAR VOS
PROPRES MOYENS CAR NOS ENNEMIS NATURELS, INCAPABLES DE NOUS FAIRE FACE,
CHERCHENT, SIGNE IRRÉFUTABLEMENT CLAIR DE FAIBLESSE ET RECONNAISSANCE SANS
FAILLES DES FAITS, Ấ NOUS BLOQUER PAR TOUS LES MOYENS,
VOIRE NOUS ASSASSINER JOYEUSEMENT (CHOSE INUTILE POR NOUS), AFIN DE FUIR LE
RIDICULE.
q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h
= ch
e
= é
Ä
= on
La république d’Haïti, institution des malheurs
Nous avons vu ensemble que le Pays ďAYITI, dont
l’appellation est l’Empire ďAYTI, n’était pas un simple mot. Celui-ci est
composé d’un son et d’un contenu. Le premier est le signifiant et le dernier
est le signifié. Les deux séquences sonores sont intimement liées entre elles,
elles sont alors indissociables, ce qui est rare en linguistique, et elles
forment le signifiant. Il y a une raison
particulière à cela. Le signifié, soit le sens, est le contenu ou la substance.
Le contenu est l’Ubuntu ou le Yun, lequel est Ancestral, autrement dit, l’Œuvre
que Jean Jacques Dessalines a réalisée s’oppose de fond en comble au mode
d’être blanciste dans le monde, ce que, avec emphase, l’Invincible Général et
Éternel Empereur Jacques 1er vous enjoint de fuir comme la peste
parce qu’il est le Grand Désordre. C’est précisément le Grand Désordre qui a
culminé au 17 octobre 1806 et qui a ipso facto reconduit la partie française de
Saint-Domingue, dont la dénomination de paravent est la république
d’Haïti.
Prenons
quelques secondes pour structurer la république d’Haïti, appelée secrètement la
partie française de Saint-Domingue, une institution de malheurs, issue du Grand
Désordre, manifestation de ľhommalité. Selon la bÄnqyée
(pensée exacte) de l’existentialisme VudUn, tirée de l’Ancestralité, l’homme,
mun accidentellement baka, est le créateur de l’homme. Le mot créateur est pris
ici dans le sens d’aptitude car l’objet est à faire par la praxis non la
parole. C’est en ce sens que Bukmqn a fait usage du mot dieux des blancs, dieux
comme attribut de la dénomination blanc, un substantif. Il y a plus. Pour ceux
et celles qui ne le savent pas, le terme homme est synonyme de blanc, d’où son
caractère de nom, fondé dans la figure représentative de dieux, ce qui explique
l’inclination à la création. D’où, en partie, certes, le blancisme !
L’appellation de dieux des blancs, initiée par Dessalines, peut se traduire par
dieux de l’homme et dieux du blancisme. Ce dieux, qui est une des choses de
l’homme, pensée logique, est un des instruments de la création en question.
C’est pourquoi il est le sujet de la razzia, la déportation et ľesclavagisation
dans le processus de la création de l’homme. C’est là aussi ce qui explique
l’énoncé de la bÄnqyée, à savoir que l’homme a créé dieux à son
image pour se l’approprier ensuite afin de se définir, dire la nature, et se
faire advenir au moyen de la religion et la politique, dont la structure est ľesclavagisation.
L’espace dont nous disposons est infiniment trop petit pour entrer dans la
complexité de l’anthropologie VudUn. Ce travail est déjà fait ailleurs. Pour ce
qui concerne la réflexion en cours, contentons-nous de savoir que le dieux
auquel Bukmqn fait référence, une bÄnqyée
de Dessalines, est en tous points faux et qu’il nous met en garde contre tout
flirt avec lui parce que sa nature ou sa fausseté fait de lui un être (de
pensée, certes) jaillissant sans cesse des malheurs. Et ce n’est pas à peu prés.
La république d’Haïti, œuvre de l’empereur français, Napoléon Bonaparte (fils de
la fille aînée de l’église, la France), est naturellement fondée en ce dieux,
dont le déploiement dans le monde est assuré par la religion, particulièrement
chrétienne. Voilà pourquoi les religions chrétiennes ont envahi les coins de la
république ! Le dieux blanciste, l’homme et produit de l’homme, qui est
une soif vive et indomptable de se faire, est le premier constituant et
l’élément principal de celle-ci, alors le sujet.
La religion
ou la morale, à cause de sa faiblesse, soit punition et récompense dans
l’au-delà, est secondée par la politique, jouissant d’une obligation suffisante
par sa contrainte extérieure hic et nunc. La force de la politique se nomme
pouvoir, acte de commander, élément important dans le faire l’homme. Le pouvoir
est le second constituant de la structure de la république et il vient de dieux
(pensée de domination), manifesté dans la religion. Qu’il vienne directement ou
indirectement de dieux, le pouvoir est et demeure une propriété de celui-ci.
Dans la politique moderne on lui octroie en partie une nouvelle origine, celle
des individus. Il en est ainsi parce que le concept en question vient du
principe selon lequel <<le salut est personnel >>. En d’autres mots
l’idée d’individu est tirée de la religion, donc de ce dieux. On n’est donc pas
sorti de la fausseté de l’homme. L’homme, C’est l’individu, la nouvelle
anthropologie des droits naturels du philosophe anglais, Thomas Hobbes, au 17e
siècle. Elle est la base et l’objectif ultime du gouvernement, donc le pouvoir.
Le rôle d’icelui est d’asservir, esclavagiser, au profit, bien sûr, de
l’effectivité de l’homme (voir mon livre : Politique ou Esclavage, deux
termes interchangeables, et l’Éternel Empire ďAYTI, l’Arrêtoir, TOME X, LOF 2021,
ISBN 978-2-923307-12-1). Cette conception du pouvoir est celle de la république
ďAYITI parce qu’elle est chrétienne et qu’elle se définit en État de droit,
lequel est originaire du renoncement à son droit naturel, qui est celui de se
diriger soi-même. La république loue son appartenance au bloc démocratique. La
logique est implacable.
Le régime
politique qui est en application dans la république relève du droit, mode
d’accomplissement du droit naturel, contenu de l’homme, selon l’anthropologie
de Hobbes. Il garantit la pleine jouissance du droit à toutes et tous
(l’égalité) pour la possession, théorique et juridique. Cependant il se situe
en dehors de la jouissance effective de la possession. Cela concerne l’exercice
de la liberté, c’est-à-dire la raison ou la faculté. Il prépare le terrain, on
y joue. Alors on gagne ou on perd. On arrive au troisième élément de la
structure de la république Haïti, à savoir que le régime du droit de la
république n’implique pas la jouissance effective des biens parce qu’il s’agit
du libéralisme. La jouissance effective des biens par les citoyens et citoyennes
est une compréhension du droit par le communisme. Le libéralisme praxique
s’écarte un peu du libéralisme théorique hobbien au profit de la finalité
théorique du droit naturel hobbien, tout mais dans le cadre positif du droit.
Ainsi il vise à faire l’homme par la possession totale, propriétaire de toutes
choses. La république d’Haïti trouve son plein sens dans le libéralisme.
Puisqu’il en est ainsi, le système libéraliste
livre, par voie de conséquence, le quatrième constituant de la république
d’Haïti. C’est l’individu, la conception de soi, élément très important parce
que fondamental, du fait que, en ľhommalité, il génère la conduite, cela inclut
les institutions, parce qu’elles sont les moyens qu’on se donne en politique
pour atteindre le plus haut point. L’homme naturel, tel qu’il est pensé dans
l’anthropologie du droit naturel du philosophe anglais, thomas Hobbes. On est à
l’opposé de l’Ubuntu Ancestral et du familialisme dessalinien, qui en découle,
donc l’Éternel Empire ďAYITI, là où l’objectif de l’Organisationnel, mode ofowu
de se mettre ensemble, est de s’approcher des uns des autres, bref, projeter
dans le monde sensible ce qu’on est à l’intérieur, le Yun, qui est la
constitution interne munal. L’individu ou l’homme, deux termes interchangeables,
est une entité mentale renfermée en elle-même et il attire, par cette
irrésistible soif de soi, qui est pleinement lui-même parce qu’il est le
premier droit naturel, l’élan vital, autour de lui toutes les choses
constitutives de son environnement pour les absorber et, par conséquent, pour
s’accoucher de lui-même, l’homme pragmatique, s’il était, certes, possible.
L’important ici, c’est cela l’objectif ultime. Le libéralisme pratique commence
par accorder les mains vides et les mains pleines, la déclaration de l’homme et
du citoyen de 1793 ne le cache pas. D’entrée de jeu, il y a une hiérarchisation
de condition puisque les premières sont subordonnées aux dernières, à la
manière du droit naturel hobbien dans le sens qu’elles travaillent pour les
mains pleines et que cette première richesse résulte de la sueur des condamné
(e)s aux travaux des champs et autres, pour reprendre le vocabulaire de
Dessalines. La logique est implacable pour ce qui a trait à l’homme qui se fait
en défaisant les autres, l’homme créateur de l’homme, le dépouillement de
l’individu par l’individu au profit de l’individu, soi-même. L’individu est le
point de départ et le point d’arrivée du système. L’homme ne peut être, se
faire, que dans la subordination des autres, donc ľesclavagisation, il est même
la structure en sommeil de celle-ci. L’individu est, par conséquent, l’essence
de la république d’Haïti.
Dans le régime du droit en vigueur dans la
république, l’homme, alors l’individu (citoyen, citoyenne), ne jouit plus du droit
de se gouverner soi-même parce qu’il y a renoncé pour fonder le droit positif
ou en instituant le pouvoir de droit, lequel pouvoir est le représentant
stable. Il est alors en situation de dominé et est obligé de se soumettre à la
voix du pouvoir, le commandant. C’est celui-ci qui détermine, conformément,
certes, à l’idéologie du droit, la voie à suivre pour parvenir à l’état de
choses visé, artificiel évidemment. L’obligation suffisante par le renoncement
ou dans le pouvoir est le cinquième élément.
On est loin, très loin de l’être munal, être
ofowu, mais on est auprès de l’homme, entité mentale. L’individu naturel, tel
que conçu par l’être de pensée appelé l’homme, est la démarche en cours dans
l’état positif pour aboutir à l’homme, ce qu’on contemple dans la nature
imaginaire. On fait un détour, par un consensus piégé, pour rendre acceptable
le naturel, sur un plan indigeste, dont le résultat, par le Savant Jean Jacques
Dessalines, s’appelle despotisme, tyrannie. Cela ne va pas sans l’oppression, l’horreur.
Dans la république les gens ne se mènent pas
eux-mêmes, ils tournent le dos à ce que Dessalines nomme le Peuple-État. D’un côté
il y a l’État, lequel ne les comprend pas, de l’autre, le peuple, qui est
peuple, ici union, par les prescriptions que les gens reçoivent de l’État, un
drame. Le peuple est dans l’État, soit l’union, appelée l’unité, que forment
les individus sans droits naturels avec le pouvoir ou le dirigeant dans
l’obéissance inconditionnelle à sa loi, sa parole. Ça va de soi, il n’y a pas
de lien interne entre les citoyens, citoyennes, constituant le peuple de la
république. C’est la une exigence du droit, naturel comme artificiel, pour
pouvoir dépouiller les autres dans le but de faire advenir l’homme (le dieux).
Dans la république d’Haïti originaire du blancisme, le pouvoir est alors le
maître, C’est le sixième élément.
Le peuple de la république est divisé en deux
groupes de gens, les propriétaires et les employé(e)s de tout genre, une autre
exigence du droit, les mains pleines et les mains vides, ce qui permet à
l’État, lequel est au centre du terrain, de bien gérer la démarche
anthropologique, soit en vue du dépouillement, par le travail, des uns à
l’avantage des autres. Il ne s’agit pas seulement de faire des lois de Tour de
pise, à l’avantage de la production des mains de plus en plus pleines, l’État
est obligé de renforcer la capaciter de production, c’est-à-dire performer, des
mains pleines par des moyens qu’il dispose pour de nouvelles acquisitions de
leur part et leur fournir une main d’œuvre qualifiée à la hauteur de leurs
activités, toujours dans le but d’accélérer le processus d’acquisition au
détriment du plus grand nombre, et toujours de plus en plus, jusqu’ à la
possession totale par l’un.
C’est par ces moyens que les Français ont commencé
leurs activités de retour. Tout d’abord, sur le plan juridique, ils pouvaient
entreprendre la production en se faisant Haïtiens. Cela était possible en
prenant la citoyenneté par le travail pour l’État. Plus tard c’est le traité de
la dette qui servira de prétexte à ouvrir largement la porte, mais sans faire
de bruit, aux activités nécessaires à l’accaparement du travail des gens,
principalement ceux du Peuple-État. La France perdra sa place au profit de l’Allemagne
et ce pays, plus tard, devant les États-Unis. Ce n’est pas une coupure nette,
faut-il le souligner.
Présentement la monopolisation de la production
par l’économie internationale, emporte la petite main d’œuvre locale et
marginalise, de fait, le peuple de la république. C’est le régime accompli des
propriétaires blancs venant d’autres nations. C’est le septième constituant de
la république d’Haïti.
Le peuple de la république, dont le volume n’est
pas pris en charge par le système du 17 octobre 1806, se réduit à se battre
pour la survie. Les gens qui ne meurent pas de privation sont envahis par la
misère, sans espoir de s’en sortir, et ils vont là où la vie paraît, à leurs
yeux, possible. Ils sont poussés à partir par le blancisme, une sorte de
nettoyage en vue de récupérer l’Ile. C’est le huitième élément.
Le neuvième est le pouvoir nocturne de la
république d’Haïti. Il a cette particularité d’être invisible, dans le sens
qu’on ne sait pas dans quel lieu loge-t-il. En effet à cause de la
contre-frappe déstabilisante de nos Ancêtres sur l’Ile ďAYITI, le blancisme
cultive une certaine discrétion dans leur élan de conquête, soit ľhommalité.
Comme il ne cesse jamais de revenir hors du territoire on le boute, cela
s’explique par son trait unidirectionnel, il a décidé, après un autre cuisant
échec en 1805 aux mains de l’Invincible Général et Éternel Empereur Jean
Jacques Dessalines, en Dominicanie, de procéder autrement. Napoléon Bonaparte a
eu recours aux enfants idéologiques du blancisme de l’intérieur, avec la
promesse de les traiter différemment. Il a aussi envoyé pour le travail
plusieurs espions français sous de fausse nationalité. Jacques 1er,
instruit de l’affaire, a tenté de colmater la brèche par plusieurs moyens,
notamment un décret. Cependant les espions ont pu opérer grâce à la complicité
de ceux qui étaient malgré tout restés fidèles à la France. Le 17 octobre 1806
ils ont assassiné physiquement Sa Majesté l’Éternel Empereur Jean Jacques
Dessalines. Émerge alors le décalage entre les partisans et partisanes de
ľesclavagisation et l’Ancestralité.
Un État français est discrètement constitué par
Napoléon Bonaparte avec les libres (ouvertement), les espions qui étaient sur
place mais dans l’ombre et d’autres Français qui allaient arriver ensuite. Ceux-ci intégraient l’État par stratagème,
obtenir la citoyenneté en travaillant pour l’État. Certains libres qui ont participé
au coup se voient donner, pour tromper, la direction du gouvernement. Très
satisfait du résultat, l’empereur blanciste, Napoléon Bonaparte, a avoué son
tort d’avoir envoyé une force armée à Saint-Domingue : <<Je devais,
dit-il, continuer de gouverner par Toussaint>>. Il dit aussi, dans son
livre Confessions en 1816, que maintenant tout s’est arrangé et qu’il a même
reconnu leur indépendance en plus d’y avoir ouvert des comptoirs comme en
Afrique.
La France
était alors active en 1806. Remarquons, tout cela s’est passé au tout début et
la publication est faite en moins de dix ans. En sus, durant cette décennie
Napoléon a perdu le pouvoir deux fois et il l’a repris deux fois, puis exilé
deux fois. Il était en exile sur l’Ile Sainte-Hélène lorsqu’il a écrit ces
lignes. Des militaires français assistaient aux séances (travaux)de l’Assemblée
nationale. La phrase <<continuer de gouverner par Toussaint>>
réfère à la situation actuelle, 1806. Napoléon Bonaparte va jusqu’à qualifier
<<d’erreur>> l’envoi des troupes à Saint-Domingue, toujours par
rapport à la présente situation, 1806. Il fait montre de la réalité actuelle
dans le cas contraire la phrase, tout le discours même, n’aurait pas de sens.
La France est là pendant et après le coup. Elle se fait discrète et se cachait
même. Cela est tellement vrai que même avec le traité qui revient avec le nom
de partie française de Saint-Domingue, elle n’en fait aucun usage public. La
victoire de son retour est dans l’ombre. La raison est qu’elle ne veut sous
aucun prétexte que sa présence dans l’Ile fasse écho. Elle évite tout
affrontement avec le Peuple Impérial. Lorsque courait le bruit de son retour,
elle a vite proposé elle-même une nouvelle entente basée sur l’économie
seulement. Elle envoie dans l’obscurité son statut de chef d’État ou de pouvoir.
Aujourd’hui encore on continue de tromper (mal certainement) à ce sujet, à
savoir que c’était un holdup par une force militaire. Cela ne couvre rien, le
France reprend sa place. Point final. C’est ce que dit le traité. Ce n’est pas
la manière qui importe. Mais la France reste toujours dans le noir. Que l’on
sache que la force qui accompagne les agents français n’avait rien à voir avec
Haïti mais pour les protéger contre les Anglais qui interdisaient la mer à la
France. Elle s’accompagne toujours d’une force de protection à chaque
déplacement. On oublie que Napoléon Bonaparte a envoyé en 1801 plus de vingt et
deux milles soldats à Saint-Domingue et que d’autres étaient encore en chemin.
Il faut connaitre l’histoire de l’époque avant de dire des conneries. Pour en
revenir à la nouvelle entente, la France bluffait une fois de plus parce qu’elle
ne pouvait pas être présente sur le plan économique et absente au niveau
politique. D’ailleurs les deux vont de pair. Ils sont intimement liés. On l’a
vu précédemment, l’État prépare la voie à l’économie en vue de la possession
totale. Le pouvoir de la république, d’après tout ce qui précède, est blanciste
(colonial, ce qui explique l’appellation de première constitution d’Haïti le
texte de 1801, écrit par Borgellas et remis au commandement en chef de l’armée
coloniale française pour l’acheminer en France) et stratégiquement nocturne.
Toussaint est un agent de la république française, alors il est un
esclavagiste. L’origine de la république est d’Haïti est évidente.
Le pouvoir
n’est pas nocturne seulement à l’origine, il le reste tout au long de son
exercice. Il l’est encore aujourd’hui. Il en est ainsi parce que la république
d’Haïti n’a pas de territoire propre et qu’une partie des gens qui sont sur le
Territoire est du Peuple Impérial, Peuple-État. Pour cela l’origine du pouvoir,
qui lui donne son substrat, lequel est deja accessible au bÄnqy, voire certains esprits, est gardée secrète
encore aujourd’hui par ceux-là mêmes qui cherchent à se positionner sur la
scène de la république afin de ne pas se mettre à nu devant le Peuple-État ainsi
que la planète. Ils servent le pouvoir nocturne tout en faisant semblant
d’ignorer sa présence.
Certaines
gens, au sein de la république, ne sont pas dupes. Ils ont enregistré et enregistrent
encore quelques comportements impropres à des personnes qui sont des gens du
dehors. Comme ils sont éduqués dans l’idéologie d’Haïti fourre-tout, ces gens,
mis à part les bluffer, ont de la difficulté à définir la fonction des
personnes estrangères, des blancistes, dans la république. Ils parlent d’eux
comme des gens du dehors qui s’immiscent dans les affaires internes d’un autre
pays. Ils continuent de parler de celles et ceux qui sont en avant de la scène,
même avec leurs mains liées par l’extérieur, comme des autorités, dirigeantes
et dirigeants effectifs, du pays, voire celui-ci comme le Pays de Dessalines,
Pays Ancestral, sans comprendre que ce Pays s’appelle l’Empire ďAYITI, non la
république d’Haïti. Tout est antipodique à Dessalines. Plus agwaba (perte de
lucidité) que cela, c’est la mort. Au moins ils ne comprennent rien de rien et
n’ont ni de sens logique ni de sens philosophique ni de sens historique ni de
sens politique.
Evidemment
il y a une grande faiblesse au niveau des capacités, laquelle faiblesse résulte
d’une formation toxique à outrance. Cela fait partie des activités de
ľesclavagisation. On vit dans l’immanence blanciste, on ne peut donc pas s’appréhender
pour s’objectiver. Si cela pouvait se faire, ils se demanderaient si un tel
mode d’être dans le monde, ce qui est le leur propre, aurait pu nécessiter la
Resistance Ancestrale, avec tout ce que cela comporte. Pourquoi l’indépendanceɁ L’indépendance de qui, de quoiɁ Ils sont tout ce que nos Ancêtres ont rejeté.
Nos Ancêtres, avec insistance et par des mises en garde répétées, leur ont
demandé d’en faire autant. Ils font tout ce que nos Ancêtres combattaient. Cela
a pour résultat, ils s’entredéchirent et leurs meilleurs amis, leurs meilleurs
conseillers, leurs confidents, etc., sont les blancistes mêmes, << nos
ennemis naturels>>, pour employer le vocabulaire de Jean Jacques
Dessalines. Par ce vocabulaire Dessalines nous enseigne qu’aucune relation, de
quelque nature que ce soit, entre les blancistes – pires criminels de la terre,
particulièrement nos génocidaires, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres –
et nous n’est possible ni même imaginable. Quelle indécence, quelle
insensibilité, quelle impudence de la part de ces citoyens et citoyennes de la
république d’Haïti, de se démarquer de l’Ancestralité et de sa conséquence,
l’Éternel Empire ďAYITI ! Ils perdent alors contact avec eux-mêmes. La
langue qu’ils parlent, pour marquer la rupture entre eux et nous, enfants de
l’Ancestralité, un parler que nous appelons français marron, témoigne de leur
appartenance blanciste, une criminalité indicible, et, par conséquent, leur
nature d’esclavagisé(e)s.
C’est là ce
qui explique les malheurs massifs, malheurs annoncés par Jean Jacques
Dessalines le premier janvier 1804, malheurs qui frapperaient sans cesse si on
s’écartait de l’Éternel Empire de la Gwqmunalite, Pays Ancestral ďAYITI, et
ceux qui ont commencé depuis le 17 octobre 1806 et qui s’aggravent de plus en
plus, jusqu’ à aujourd’hui, dont la fin se perd à l’horizon si l’on persiste et
signe, c’est-à-dire rester sous la tonnelle du blancisme.
Cela nous
amène directement au dixième et dernier constituant de la république d’Haïti,
institution de malheurs seulement. Cet élément est mobile. Il peut se placer au
tout début comme à la fin parce qu’il n’est pas fondamental mais la conséquence
de tous les autres réunis. Il est tiré d’eux et foncièrement lié à chacun deux,
de façon directe ou indirecte. Le premier janvier 1804, jour du <<dernier
acte d’autorité nationale>>, qui est la mise en place du gouvernement,
l’Éternel Vainqueur du blancisme et le Savant de premier ordre, Jean Jacques
Dessalines, pose l’Éternité de l’Empire ďAYITI et l’irréversible condition d’y
être et de jouir de sa protection infinie. Faut-il le dire une fois de plus.
L’Empire n’est pas par sa sensibilité parce qu’il est notre constitution
interne munale et que cela ne signifie rien de plus qu’il est d’une autre
dimension par conséquent il ne nous est pas soumis. L’Empire est nous toutes et
tous mais il faut y être à 110%. C’est le rejet du libertinage. Qu’on se
rappelle qu’il faut faire le serment. Dessalines recommande péremptoirement
l’abstention si l’on n’est pas sûr de renoncer à la France (le blancisme) parce
que ce serait un désastre. Ne pas prêter le serment signifie qu’on est à
l’extérieure de l’Empire. Il n’y a pas de problème car ce n’est pas une
violation de l’Ordre établi, Ordre de Non Retour. Cependant faire le serment de
fidélité à soi-même, sa substance munale, tout en sachant qu’on est wrs-mun, implique
un grand danger parce que l’Empire ďAYTI EST une fois pour toutes et qu’il ne
protège pas en partie. Cela se fait en totalité. C’est pourquoi Dessalines
invite celui ou celle qui ne croit pas en sa régénération à quitter le
Territoire ďAYITI immédiatement. Pourquoi un tel être ne peut pas y resterɁ Par une telle présence peut s’infiltrer le blancisme, nos ennemis
naturels, et le désastre revient parce que ces êtres ne savent faire qu’une
chose, semer l’horreur. C’est l’irréductibilité du Mal hommal, alors le Mal
blancisme. Ce sont <<les vrais cannibales>>, se nourrir d’autres
vies ou de la destruction d’autres gens, dit Dessalines. Il dit aussi :
<<La France -le blancisme – est un monstre>>, <<un monstre
que la terre engloutit trop lentement>>. En d’autres termes nous ne
pouvons rien espérer de tels êtres car ils sont unidirectionnels. Selon
Dessalines il faut tout prendre ou on tombe. OùɁ sous l’obédience du blancisme.
Et c’est l’horreur, des malheurs à n’en plus finir, soutient Dessalines,
l’Enfant ďAgbawaya Tóya, le Grand Savant. Le blancisme est malheurs jusque dans
ses conceptions des choses. <<Je veux croire, conclut Dessalines, que
vous resterez dans l’Empire ďAYITI, l’Empire de la Gwqmunalité>>. C’est
le dernier constituant.
Impériale Dessalines, l'Empire
d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que
l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort
avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber
Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du
Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et
l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la
politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de
la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
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