L’Être Ayitien Dessalines

 La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 – 7 -a  = © Tous droits réservés

 

 

L’Être Ayitien Dessalines

 

 

À PARTAGER MASSIVEMENT TOUJOURS PAR VOS PROPRES MOYENS CAR NOS ENNEMIS NATURELS, INCAPABLES DE NOUS FAIRE FACE, CHERCHENT, SIGNE IRRÉFUTABLEMENT CLAIR DE FAIBLESSE ET RECONNAISSANCE SANS FAILLES DES FAITS,  NOUS BLOQUER PAR TOUS LES MOYENS, VOIRE NOUS ASSASSINER JOYEUSEMENT (CHOSE INUTILE POR NOUS), AFIN DE FUIR LE RIDICULE. 

 

q = an

u = ou

w = r

r = ê

c = in

h = ch

e = é

Ä  = on

 

 

 

L’Être Ayitien Dessalines

Ce qui fait de nous des Ayitiens, Ayitiennes

 

 

Ľ Ayiti Découpée (bÄnqyée) met en relief le réel segmenté, ľofowu et le vide. Puisque cela donne une vue claire du réel ofowu, il importe de connaître la substance de l’œuvre qui est sortie de cette bÄnqyée, laquelle œuvre est connue sous l’appellation ď Ayitienne, Aytien. Cette question s’impose parce que, selon la science de la réalité ayitienne, tous les mun qui habitent sur le sol ďAYITI, la Terre Impériale, ne peuvent pas être, et ne sont effectivement pas, Ayitiens, Ayitiennes. Cela va encore plus loin, ľAyitianité, dans le sens pur du mot, compte tenu de la plénitude du mun ayitien, détermine la qualité pleine de la munité de chacune-chacun. Ça va de soi, tout(e non Ayitien, Ayitienne) est et reste mun mais wrs-mun, soit au-dessous de la plénitude munale, un fait accidentel, certes, dans la pratique de l’être que nous sommes, par exemple, celui ou celle qui vit sous ou dans la pensée des autres. D’où la supériorité avérée de ľ Ayitienne, Ayitien, cela signifie l’être qui reste auprès de lui-même dans la pratique de sa constitution interne, donc au-dessus des autres, un fait accidentel évidemment.

         

Il est important de savoir comment se forme-t-il, l’Être Ayitien Dessalines. L’Être Ayitien Dessalines n’est pas une chose proprement dite, il résulte d’une chose et une production de celle-ci. La première est le mun, la seconde est l’Ancestralité et quelques-uns de ses effets. En effet le mun est ubuntu, unité indivise, et tend invariablement a se parachever, atteinte de la perfection, ce qui signifie agir en soi, par soi et pour soi. Cette propriété du mun met en relief qu’il est dans la constitution de celui-ci de s’élever au plus haut point de son être. Ce mouvement munal s’enclenche par ses capacités de penser, au mieux, de bÄnqyer ou bÄnqjer. Il se fait à partir de soi, par soi et en vue de soi. Tout commence par la pensée de soi, par soi – cela est très important -, pour la pratique de soi - l’acte de vivre en accord avec soi-même - afin d’atteindre le point culminant de soi, ce qu’on appelle aussi la négro-divinité. La somme totale de ce travail est ce qui s’appelle Ancestralité, laquelle est, parce qu’elle découle du mun et de la bÄnqyée (pensée exacte), dotée, elle aussi, d’un penchant à la perfection à cause du fait qu’il est dans la nature de la pensée de s'extramentaliser ou appeler l’action pour sa chosification. Ainsi l’Ancestralité est l’acte de se mener soi-même. C’est pourquoi, en ce premier janvier 1804, Dessalines place le <<dépôt>>, qui est la Gwqmunité, entre les mains du Peuple, les gens. Le Peuple est le gardien de la puissance de se conduire. Nous sommes en face de deux élans, enraciné chacun dans une substance de base. Ils ne s’opposent pas l’un á l’autre, l’un continue dans l’autre. L’Ancestralité dérivée du mun, elle est le moyen que celui-ci se donne par le calcul discursif pour s’accomplir. Dessalines qui est mun et né, puis élevé dans l’Ancestralité porte en lui les deux élans. De par sa fidélité é ceux-ci, ils se renforcent en lui. Dessalines fait donc du zèle dans l’affrontement. C’est l’effet de l’élan munal et de l’élan ancestral. Les autres, qui sont sur la même longueur d’onde que Dessalines, l’identifient alors á la Gwqmunalité, expression et protection de l’être. Ils font de lui la personnification de la Gwqmunalité et plus encore le rapprochent plus près de son aspect de protectrice de l’être munal. Cela en dit long, il faut y lire la praxis à laquelle fait appel le mun pour se perfectionner et l’Ancestralité pour le parachèvement effectif et le maintien de l’œuvre accomplie. On ne fait pas advenir un vide, l’illusion hommale, partant blanciste. L’action, cette action, est inscrite dans le mun, alors l’Ancestralité. C’est cette substance qui conduit á l’œuvre accomplie.  E n est pas un bouquet de fleurs que nous avons devant nous mais une branche á multiple fleurs, lesquelles représentent les gens. Sur le plan de la personnification chacun-chacune s’identifie á Dessalines, par identité effective. C’est en référence à son unification á la Gwqmunalité qu’est née cette expression : <<Ne faites pas émerger le Dessalines de mon être!>>  l’historiographe de Napoléon Bonaparte, le général Pamphile de la Croix, toujours dans le cadre de l’unité de Dessalines et les gens, rapporte que, après sa grande Victoire sur l’armée française de Napoléon Bonaparte á la Crête á Pierrot à la fin du mos de mars 1802, l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines se rend au Cap pour saluer, dit-on, le général Leclerc.  son arrivée dans la ville, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Les gens de tous teints se précipitent a sa rencontre. Ils s’inclinent et se plient les genoux á son passage. Cela témoigne incontestablement de la place que Dessalines occupe en eux. La scène a lieu á la barbe de l’armée française, laquelle est en contrôle de la ville. Toujours au sujet de cette unité, dans son discours du premier janvier 1804, l’Éternel Vainqueur de l’armée française de Napoléon Bonaparte dit à la population : << J’ai tout abandonné, mère, épouse, enfants, pour voler á votre secours >>. Ces paroles font voir la place que les gens occupent en Dessalines. Il continue en ces termes : << Puisque vous êtes satisfaits et que vous en êtes contents alors moi aussi je suis satisfait et content>>. On voit dans ces propos l’abandon total de Dessalines á son monde. L’unité est sans faille. Dessalines met en mouvement l’être de la population en accomplissant la Mission qu’elle lui a confiée et la population, par sa réponse, met mouvement l’être de Dessalines. C’est là un autre point qui met en lumière l’unité des corps dans l’acte d’agir et de se battre pour être en soi, par soi et pour soi, selon la recommandation et l’attente de Notre Dieu, Bon-Dieu, comme aime à le dire Dessalines, parce qu’il est à l’origine de toutes choses, notamment le ciel, le soleil, les étoiles – Bukmqn l’a bien souligné, dans la nuit du 14 août 1791.  

 

 

De Dessalines les gens en parlent comme leur Essence, l’être sans qui ils ne sont pas ce qu’ils sont. N ont-ils pas demandé au général Moïse, qui se préparait à attaquer Toussaint L’ouverture pour avoir tenté de détourner la Resistance en faveur de la France : <<Où est Dessalines>> ! Moïse a répondu :  <<il est avec Toussaint>>. Mais Moïse leur a menti. Il savait que les gens plaçaient toute leur confiance en Dessalines. Les gens avaient besoin d’être á l’ombre de de Dessalines pour leur sécurité. Les gens voient en Dessalines l’Essence de leur être, leur être munal pleinement engagé dans l’Ancestralité et ľ ofowuité.

 

 

C’est ainsi que nait l’Être Ayitien Dessalines, l’Essence praxique, tout en étant ofowu, faut-il se le rappeler. L’Essence est un piit, phénomène positif, servant à réaliser l’œuvre régénératrice ou l’œuvre de nettoyage.

 

L’unité à laquelle la dénomination d’Essence est donnée est une Essence particulière pace qu’elle se forme, d’abord, dans la logique du parachèvement de l’être munal, et, ensuite, pour bouter le blancisme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, hors de notre sphère êtrale et existentielle afin de se donner des moyens d’y parvenir. Il y a alors une finalité á l’Essence, vaincre, se donner un pays et s’en sert comme outil pour pulvériser le Mal prévalant sur toute la terre, source du grand désordre et de tous les malheurs, au profit de ľofowu, par conséquent, de toutes et tous, quel que soit leur teint. Le piit transforme ainsi Ayiti, Terre des Arawak, en Centre de Salut Planétaire par le Pays qui y sera né, lequel sera unique en son genre. La conséquence immédiate de la formation de l’Essence est l’avènement du Peuple, outil premier pour ce travail ineffable. C’est pourquoi le Peuple est né avant l’État, le Pays, soit L’Empire d Ayiti. Le Peuple est le résultat de l’être munal et ľ Ancestralité. L’Essence et le Peuple ne sont pas consécutifs comme le mun et l’Ancestralité, ils arrivent en même temps. Ils ne sont pas deux substances séparées non plus, mais une unité indivisible et invariable. La réunion de tous les éléments cités ci haut donne naissance à l’Essence en même temps que le Peuple. Le Peuple ne naît pas en dehors des gens, les mun concernés, comme le cas ailleurs. Il a déjà des racines à l’intérieur des badr parce que, tout d’abord, ils sont mun et, ensuite, ils sont des produits de l’ancestralité. Le Peuple se forme par les fruits que génèrent ces deux éléments de base. Il est un piit interne. Il est un préalable nécessaire pour la formation de l’État, le Pays, soit l’Empire ďAYITI : <<Le Peuple habitant l’ile autrefois appelée Saint-Domingue se forme en Etat, le Pays s’appelle l’Empire ďAYTI >>. Le Peuple ou l’Essence nait pour agir. Le Peuple, un élément interne, se fait État lui-même, le Pays, et l’Empire ďAYTI est son Nom, soit le Centre de son gouvernement lui-même. Le Peuple-État n’est pas arbitraire comme ailleurs, particulièrement chez les blancistes. Il est l’Essence et son produit.

 

L’Essence, tout comme le Peuple, est une synthèse, donc complexe. Elle prend le nom d’Être Ayitien Dessalines. L’Être est Ayitien à cause de la Très Haute Importance du Territoire, cela au dire même de Sa Majesté Jacques 1er.  Il y est formé avant même l’Empire parce que celui-ci en sortira comme un édifice sort de terre. Compte tenu de l’Importance Indicible de l’Essence, la Terre Arawak où elle se forme est un lieu choisi à cause de la cime de l’horreur et la Mission Divine de Dessalines pour revenir à ľ ofowuité pure. Elle se forme aussi, ici, sur le continent Masuna, avec la participation active d’autres victimes du vide, indicibles vaillantes, les Négresses et Nègres razziés, puis déportés, alors les Indigènes du continent ancestral.  

 

 

Divine et globale, á cause de son indigénéité, raison de sa Supériorité, l’Essence est faite pour maintenir ľofowu en pulvérisant l’illusion, donc le vide, soit ľhommalité, dont le blancisme est la plus haute expression. C’est pourquoi l’Être Ayitien Dessalines est la quintessence de tous les mun, quelle que soit l’époque, qui se sont engagés et qui s’engagent tout simplement dans la campagne Dessalines de purification du réel.

 

La question qu’il faut se poser maintenant, quelles sont les propriétés qui, par l’être Ayitien Dessalines présent en chacun-chacune de nous, font de nous des Ayitiens, Ayitiennes. L’Etre Ayitien Dessalines est comme l’arbre et ses fruits sont ses attributs. Ceux-ci sont les comportements, les sentiments et les constructions mentales comme matérielles. Ils sont tous en pleine conformité avec l’Essence. Ces propriétés nécessaires mettent en évidence leur conception de la vie et d’eux-mêmes. En d’autres termes elles définissent l’être que l’on doit être ou que l’on est. Ce qu’il faut retenir en bref, c’est que la manière de vivre n’est pas dépourvue de signification. Elle met en évidence la substance de celui ou celle, voire le peuple qu’on a sous les yeux, au mieux, devant soi ainsi que ses origines ou, de la meilleure façon, sa définition.   Voyons voir !

 

Ľ Ayitien, ľ Ayitienne

Ou

Les attributs des Ayitiennes, Ayitiens

 

Par attributs il faut entendre la manière des Ayitiens et des Aytiennes de se situer dans le monde. C’est aussi par cette manière que l’on reconnait un Ayitien ou une Aytienne. Cette manière dérive de l’Essence. Pour le dire d’une autre façon, il y a un lien logique implacable entre l’Essence et la manière d’agir des Ayitienne et Aytiens. La première propriété des Ayitiens et Ayitiennes est incontestablement Notre Dieu, Bon-Dieu, GWQMRTLA, Être sans qui nous ne serions pas, qui est présent en tout ce que nous faisons mais qui n’est pas adoré, autrement dit Notre Dieu ne reçoit pas de culte ; Il est une Puissance Agissante Non Absorbante en SES Produits, dont la présence est de manifester de façon continuelle sa Présence par leur mouvement respectif, c’est pourquoi Notre Dieu, GwqmrtLa ne nous dicte pas notre conduite ; la deuxième est le mun, notre conception de nous-mêmes, un être massif, un Ubuntu, une sorte d’immanence et transcendance, dit Gwqmuntrt ; la troisième est l’Environnemental, notre lieu d’être et exister, puis de nous maintenir, á tout ce qui EST (ofowu) indistinctement, la quatrième est la concorde par l’assistance mutuelle, initiée par la dépendance réciproque des choses; la cinquième est l’Indépendance des choses les unes envers les autres, transcendance de toutes choses dans l’immanence (leur lieu commun), ce qui se solde par le respect sans condition, qui est la non-ingérence irrelative ; la sixième est le soi munal dans son exercice, l’Ubuntu qui, pour ce qui est de son activité, en lui, par lui et pour lui, autrement dit, il se mène lui-même, aucun mun ne peut être mené par un autre ; la septième est l’absence de maitre et propriétaire non soi-même, et par conséquent, le rejet ferme et inébranlable de l’esclavage, pour mieux dire, esclavagisation, tentative de rendre, par la praxis, l’autre semblable à l’idée d’esclave ; la huitième est citoyenne, citoyen de l’Éternel Empire ďAYITI appelé le Pays, Empire Tóya-Dessalines, Empire Ancestral, Empire Dessalines ; la neuvième est le Peuple-État, c’est-à-dire être directement son propre dirigeant par l’intermédiaire de l’Empereur ; la dixième est corrélative á la neuvième, c’est le Peuple, dont l’objet de son gouvernement est ses propres intérêts non les considérations des autres ; la onzième est Jean Jacques Dessalines comme seul et unique modèle en tout, partout et en tout temps ;  la douzième, le mun étant ubuntu, c’est se savoir, comme Empire, une Famille, s’apprécier sous un autre aspect de soi, son œuvre réalisée à la manière ubuntu, une présence aux autres comme un autre soi ou le prolongement de soi, être ici et là-bas en même temps sous l’angle munal, par exemple, la dépendance mutuelle et la satisfaction mutuelle ; la treizième est l’Empereur comme Père de Famille, le sentiment de Famille ;  la quatorzième est le Peuple, c’est-à-dire soi-même, produisant son mode de vie lui-même, lequel est déjà, en partie, inscrit dans le mun et l’Ancestralité, ce que Dessalines désigne sous les vocables : <<Marchons sur d’autres traces>>, en repoussant la manière d’être du blancisme ; la quinzième est le refus de vivre sous la pensée des autres, le mode de vie transformant en être semblant á l’esclave ; la seizième est le maintien, contre vents et marées, l’Éternel Empire dans le monde sensible, premièrement par les Enfants de Dessalines reconnus par l’Empereur, deuxièmement par les autres de la Famille que forme l’Empire ďAYITI ; la dix-septième est la nécessité d’une armée, dont les militaires sont simplement obéissants ; la dix-huitième est que les biens et ressources appartiennent á chacun-chacune, donc le Peule-État, le Pays, qui est l’Empire ; la dix-neuvième est la jouissance effective des biens et ressources par tous et toutes indistinctement ; la vingtième est  sa responsabilité face aux enfants sans parents ; la vingt et unième est le passage de ses biens á ses enfants ; la vingt-deuxième est d’accueillir tout étranger, toute étrangère, dans la localité ; la vingt-troisième est l’extensité de l’Empire qui rejoint l’extension du lakort, autrement dit, il n y a pas de nuances épidermiques dans l’Empire ďAYTI; la vingt-quatrième est que tout membre de l’Empire ďAYTI est un soldat, ce qui s’appelle la soldatité, pour la défense du Pays contre nos ennemis naturels, sans négliger aucun moyen, toujours prêt á recourir aux mêmes moyens qu’ eux; la vingt-cinquième est l’agriculture comme première activité ; la vingt-sixième est le respect stricte des Fêtes Impériales ; la vingt-septième est le partage ; la vingt-huitième est la stricte absence d’ingérence dans la vie singulière, le badr ; la vingt-neuvième est le bannissement de toute insulte entre nous, au sein de l’Empire ; la trentième est le lua de famille ; la trente et unième est la famille-feuille (fqmi-fry); la trente et deuxième est le plaçage ;  la trente-troisième est le choix par soi-même de son ménage pour le plaçage ou pas ; la trente-quatrième est l’institution des principes et liens de famille par le Peuple et suivant de l’être munal ; la trente-cinquième est la nécessite de veiller chacune-chacun sur chacun-chacune selon le Mbwa de l’assistance réciproque ; la trente-sixième est la quiétude en tout temps dans les relations internes impériales ; la trente-septième est le bqborh en tout genre et de toute dimension ; la trente-huitième est que toutes les institutions prennent source dans l’Empire ďAYITI, elles doivent être appelées par des faits intérieurs propres et le seul but est de rendre plus efficace la substance impériale, il en est de même des organismes ; la trente-neuvième est de faire sans cesse la promotion de l’Indépendance et du caractère unique de l’Empire Ancestral en toute occasion et auprès de tous les autres gens, histoire de ramener les autres á eux-mêmes et aussi de se projeter devant soi pour s’apprécier encore plus, cela constamment; la quarantième est d’assister les autres dans le plaisir, la maladie, le deuil, les problèmes, de toutes sortes ; la quarante et unième est l’amour et la pratique du savoir au profit de toutes et tous ; la quarante-deuxième est l’humour, les blagues, les jeux d’amusement, le sourire, avoir le rire fou, etc. ; la quarante-troisième est d’être courtois(e), serviable ; la quarante-quatrième est l’amour des enfants, tous et tous ; la quarante-cinquième est l’élégance, la quarante-sixième est la musique ; etc., etc., etc.

 

 

Tout ce qui précède fait voir très clairement que l’Être Aytien Dessalines, dit l’Essence ou le Peuple, est une Œuvre d’une très grande complexité, et surtout Supérieur, et qu’il n’est pas donné á tout mun d’être Ayitienne, Ayitien. L’Être Ayitien Dessalines exige au préalable une conscience de soi bien pointue, laquelle conduit à une volonté de savoir, se connaitre d’abord, pour pouvoir se situer. C’est par l’acquisition de la connaissance, ici le dqmbala, qu’on parvient á se définir dans le réel dans le but de se parachever. D’où résulte l’Être Ayitien Dessalines, ce Chef-d’œuvre á nul autre pareil. Qu’il soit - par le temps qui court, un produit du grand Mal, le désordre initié par ľhommalité - la LUMIÈRE du monde, don de l’Éternel Empire ďAYTI, afin que le SALUT soit enfin á la portée de tous et toutes, la terre entière.

 

 

 

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est l’origine de l’Opération Dessalines. Le non-respect des gens et de leurs biens, surtout leur pays respectif, par les Européens qui se définissent en seuls maîtres et propriétaires de la terre, don, selon eux, de leur dieux, dieux qu’ils ont créé á leur image pour se l’approprier ensuite, a plongé la planète dans un désordre effarent. Partout ils font pleuvoir les malheurs sans nombre en recourant au pic de l’horreur, des gens, á cause de leurs différences, meurent par millions, des peuples ont disparu, des pays occupés et détruits, des viols, des vols, des tueries, des massacres, des génocides, leurs principales victimes sont les Négresses et Nègres, ils se sont formés en bactéries mangeuse de Nègres et Négresses sous la direction d’une idéologie mieux connue sous le nom de blancisme. Ils sont, en fait, les seuls tueurs de Négresses et Nègres sur la terre. C’est dans ce décor que Jean Jacques Dessalines et Agbawaya Tóya, par un piit, phénomène positif, sont entrés sur la scène pour les bouter hors du réel mais d’abord notre sphère d’être et existence sous la recommandation de Notre Dieu, BÄ-Dieu, GWQMRTLA. Après l’Érection du Pays, l’Éternel Empire ďAYITI, par l’Essence, l’Éternel Vainqueur du blancisme et Invincible Général Jean Jacques Dessalines voulait attirer l’attention de certaines personnes, qui étaient restées encore attacher au blancisme, sur un point extrêmement important, á savoir l’Éternité et Unicité de l’Empire ďAYITI. Il les mettait en garde contre toutes tentatives de s’écarter du Pays, l’Empire ďAYTI, car les malheurs qui les attendaient sont incommensurables. Il les conseillait de rester là où ils étaient, soit dans l’Empire Ancestral. Ce qu’il faut comprendre dans ce qui précède, c’est qu’il y a apparemment deux voies mais en fait il n’y a qu’une, l’Empire de Tóya-Dessalines. L’autre est une illusion, elle est la source de tous les maux. On ne peut rien y faire pour changer les choses. Elle est ce qu’elle est et, cela, ce n’est pas pour un temps mais pour toujours. D’où l’Éternité de l’Empire Dessalines. Dessalines savait qu’ils étaient prêts à vouloir porter un mauvais coup à l’Empire au profit du blancisme parce qu’ils n’étaient pas avec les Ancêtres par volonté d’être en soi comme Notre Dieu le VEUT mais pour sauver leur peau du verdict de mort prononcé contre eux par Napoléon Bonaparte par l’intermédiaire du général Leclerc. Sa Majesté Jacques1er inscrit dans la Constitution :  << Les militaires sont simplement obéissants et ils ne délibèrent pas>>. Il s’ensuit que toute tentative contre l’Empire ďAYTI par les militaires sont inconstitutionnelle et par conséquent sans effet. Le Pays ďAYITI par les Ancêtres est Éternel. L’autre point, qui est d’une extrême importance, est ce qui suit : << Jamais aucun colon ni Européen ne mettra le pied sur ce territoire à titre de maître ou de propriétaire. Cette résolution sera désormais la base fondamentale de notre constitution>>En effet, dans la Constitution, il est dit ceci : « Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété”. On peut toujours penser qu’il est possible d’avoir le Pays Dessalines, là où l’on vit en soi-même, par soi-même et pour soi-même, par les traités ou d’autres papiers piégés. Non l’Empire ďAYITI ne contracte pas. Il est dans l’Essence du Pays Ancestral d’être le SEUL et UNIQUE MAITRE CHEZ LUI : << «Le peuple habitant l'île ci-devant appelée Saint-Domingue, convient ici de se former en État libre, souverain et indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Hayti.» « L’esclavage est à jamais aboli »>>  

 

 

VOIL ĽÉTERNEL EMPIRE D AYITI EMPIRE DESSALINES !

Emerge le Dessalines en nous par ce temps sinistre afin de pouvoir plus facilement dévorer le Mal de part en part jusqu’ à le réduire en cendre. 

 

 

Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :

HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

 

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