Le Pays ďAYITI, dont le Nom est l’Empire ďAYTI, Est Seulement et Uniquement Ancestral
La
Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 – 7 -a
= © Tous
droits réservés
Le Pays
ďAYITI, dont le Nom est l’Empire ďAYTI,
Est
Seulement et Uniquement Ancestral
À PARTAGER MASSIVEMENT TOUJOURS PAR VOS
PROPRES MOYENS CAR NOS ENNEMIS NATURELS, INCAPABLES DE NOUS FAIRE FACE,
CHERCHENT, SIGNE IRRÉFUTABLEMENT CLAIR DE FAIBLESSE ET RECONNAISSANCE SANS
FAILLES DES FAITS, Ấ NOUS BLOQUER PAR TOUS LES MOYENS, VOIRE NOUS
ASSASSINER JOYEUSEMENT (CHOSE INUTILE POR NOUS), AFIN DE FUIR LE RIDICULE.
q = an
u = ou
w = r
r = ê
c = in
h = ch
e = é
Ä = on
Le Pays ďAYITI, dont le Nom est l’Empire ďAYTI,
Est Seulement et Uniquement Ancestral
Le YUN, qui est Ubuntu, ne contracte ni ne cohabite. C’est une
exigence de la cohérence. Penser le contraire est une contradiction dans les
termes. Le Yun, comme l’Ubuntu, est en soi complet, autrement dit, il est tout
ce qu’il doit être. Il est la plénitude, ce qui le rend inapte à recevoir en
lui ce qui lui est contraire et contradictoire. Sa maison est à ce qui lui est
pareil et identique. Le pareil n’est pas pour lui une autre chose, il est soi,
sans cesse soi. Dessalines est on ne peut plus clair là-dessus. Là où il y a
opposition à l’Ubuntu (Yun), s’impose l’éjection, tel est son enseignement.
Dans son discours du premier janvier 1804, il demande aux gens qui vacillent de
renoncer à la France, représentante du blancisme, par le serment de fidélité à
soi-même, ici le Munal et l’Ancestral. L’Éternel Vainqueur du blancisme
déconseille fortement aux gens qui balancent encore de le faire sinon qu’ils se
gardent de faire le serment. Suivant la pensée de Dessalines, aller de l’avant
avec une telle attitude serait une erreur grossière. Il en est ainsi parce que
le Pays, étant Yun, ne peut pas abriter ce qui lui est antithétique et que, par
conséquent, ils tomberont là où ils ne connaîtront que des malheurs. Il découle
de cela que le Yun de l’Empire de la Gwqmunalité n’est pas pour un temps mais
pour toujours, ce qui est propre à l’Ubuntu. C’est la bÄnqyée sur laquelle repose le Pays, l’Empire ďAYITI, que Dessalines
a la Mission de fonder. Il est très important de bien comprendre tout cela pour
savoir qui êtes-vous. La signification de toute votre vie dépend de ce que vous
êtes. Ce que vous êtes prend racine dans le fondement du groupe auquel vous
appartenez. Voila la raison du discours !
Pour une connaissance claire et nette, il y a deux autres choses
qu’il faut savoir de l’Ubuntu, le Yun, ce qu’il n’est pas et ce qu’il est.
Commençons par ce qu’il n’est pas. L’Ubuntu qui fonde le Pays ďAYTI a pour
opposition le blancisme, idéologie qui segmente les gens à partir de leurs
caractéristiques différentielles observables, notamment le teint. À ce sujet
Dessalines nous dit qu’il se réjouit de voir les gens de son camp se battant
les uns à côté des autres
sans accorder aucune importance aux différences en question en ayant pour seule
préoccupation, qui, parmi eux, va porter le premier coup aux Français, compte
tenu de tout ce qu’ont fait les Français, dit-il, pour les éloigner les uns des
autres. L’Éternel Vainqueur de Napoléon Bonaparte désapprouve le fait qu’il y
ait des signes, particulièrement des mœurs, rappelant encore les Français. Nous
l’avons vu ci haut, il invite les gens à renoncer à la France, la combattre
jusqu’au dernier soupir et marcher sur d’autres traces. Je pourrais multiplier
les exemples mais je crois que ceux-là suffisent. Ce que n’est donc pas le Yun
est d’une évidence exceptionnelle. Nous pouvons aussi dire que ce que n’est pas
le Ubuntu est particulièrement ce qui vient du blancisme, le monstre, principe
de tous les malheurs, nos malheurs. Le Yun, fondement de l’Empire ďAYTI,
rejette tout ce qui lui est contraire et contradictoire, surtout l’Europe,
comme malsain, quelque chose dont il est à l’antipode.
Maintenant ce
qu’est le Ubuntu (le Yun), nous pouvons le dire comme suit, c’est ce qui n’est
pas européen : << Marchons sur d’autres traces>>, recommande
le Missionnaire Divin, Dessalines. Parce que << … la France>>, la
personnification de l’Europe, <<est un monstre…>>, toujours selon
Dessalines. Dans la nuit du 14 août 1791, Bukmqn qui est choisi pour conduire
la contre-guerre dans la partie nord, prend la parole et dit :
<<Notre Dieu, Bon-Dieu (Dieu vrai) – le vocabulaire de Dessalines –
<<qui a fait le ciel, le soleil, les étoiles, la terre, etc., voit tout
ce que les blancs (blancistes) nous ont fait ; le dieu des blancs, dieu
des malheurs, fait pleuvoir sur nous la cime de l’horreur et nous fait verser
toutes les larmes de notre corps, n’acceptons pas ce dieu ; Notre Dieu
nous ordonne de nous battre et vaincre ce vide>>. Cela fait voir que le
Yun a pour substance de base Notre Dieu, Bon-Dieu, (GwqmrtLa), le Producteur de
toutes choses, notamment l’être munal, celui qui se dirige lui-même, selon sa
constitution interne, dont le contenu est énoncé dans l’Ancestralité ( voir le
message du premier janvier 2023 de Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura
Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste), la haine du vide, soit le faux
dieu, le combat, la victoire, etc., Le Yun est alors douceur.
Ainsi le Yun est
le Peuple qui habite là où l’on appelait Saint-Domingue, qui se forme en État,
dont le Nom du Pays est l’Empire ďAYITI, qui est indépendant de toutes les
puissances de l’univers, qui interdit sur le Sol Sacré la présence des blancs,
quelle que soit sa nation, qui viennent en maître et en propriétaire et qui
abolit à jamais l’esclavage, dont l’appellation juste est ľesclavagisation. Le
Yun comprend dans son entièreté le Pays que Dessalines a érigé, l’Empire ďAYTI.
Il découle clairement de tout cela que le Pays ďAYITI, qui est invariablement
l’Empire ďAYITI, est Ancestral.
D’où vient la
source ancestrale de l’Empire ďAYITIɁ Du Peuple et de Dessalines, celui a qui il a
donné la Mission de fonder le Pays, dont le nom est l’Empire ďAYTI. Partout où
l’on parle du Pays ďAYITI, il est question d’un SEUL, de Jean Jacques
Dessalines. Il est, dit-on toujours, le Libérateur, le Fondateur. C’est à lui,
et à lui seul, que la Mission de libérer les gens et ériger l’Empire est
donnée. Il l’a fait effectivement. Toutes et tous sont soumis, dans
l’accomplissement, au même projet. Il n’y a pas de missionnaire binaire et le
Peuple n’est pas divisé en deux non plus. Il y a un Missionnaire et un Peuple,
dont la naissance a eu lieu à l’intérieur des gens, suivant la conception
ancestrale de l’être que nous sommes, le MUN, et du réel. Le Peuple se comporte
suivant la vision unique des choses. Le Mission Divin s’adresse au Peuple en un
seul vocabulaire. Tous et toutes ont les mêmes responsabilités. Le Libérateur
attend les mêmes comportements de tout le monde. Tout cela dans une seule et
unique vision des choses, l’Ancestralité.
Cela prouve qu’il n’y a aucune entente au
préalable, comme le prônent sans cesse les parricides et les histo-à-riens,
pour reprendre le vocabulaire du Karukeran (Guadeloupe) Edy Leopold Eduard Le
Saint. On était venu se réfugier à l’ombre de
l’Ancestralité pour se protéger contre la bactérie. D’ailleurs les gens de
couleur visés ne pouvaient pas poser de condition à leur demande de refuge,
tout d’abord une partie considérable d’entre eux venait du groupe défait par
les blancistes au cours des deux affrontements précédents, ensuite ils étaient
trop faibles parce qu’il y avait un ordre d’exécution venant du même adversaire
qui pesait sur eux. N’oublions pas qu’ils étaient battus par ce même adversaire
qui était dès lors très faible. Aujourd’hui il est lourdement armé et cent fois
plus nombreux. Ils avaient vite besoin d’un asile de protection. En sus celui à qui ils voudraient imposer leurs
intérêts n’avait pas à contracter parce que tout, comme nous l’avons vu plus
haut, était prédéfini et invariable. Par-dessus le marché, il est celui qui
devait les anéantir. Dans un tel contexte qui les écouteraitɁ les hommes de
couleur n’étaient tout simplement pas en position d’obtenir quoi que ce soit.
Ce serait folie de penser à une telle sottise. Alors ils étaient là comme tous
les autres, sans discrimination, tel que Dessalines l’a montré au tout début en
allant voir Alexandre Pétion, lui qui était venu avec les blancistes pour nous
anéantir. Le fait que Dessalines leur a rappelé que l’Empire était la seule
voie et qu’en dehors de celle-ci il n’y avait rien, si ce n’est des malheurs et
des malheurs sans fin, sans faire référence à une
entente au préalable, et tout en leur parlant de l’Empire comme une obligation
suffisante découlant d’un unique engagement, est la preuve tangible qu’il n’y
avait rien d’autre sur la table.
Il est un fait
certain que la menace, pour en revenir au prétendu accord des histo-à-riens,
s’est évanouie puisque l’Empire est leur Victoire. Pourtant ils ne sont pas
sans intérêt pour Dessalines et il ne le cache pas. Dessalines avoue qu’il
éprouve une plus grande satisfaction de voir les gens que l’Europe cherchait à
séparer se réunissaient pour la battre. Dessalines les invitait même à
maintenir cette concorde. On peut lire dans les propos de Dessalines le Yun non
pas la dualité, propre à une entente provisoire, sans lendemain.
Il faut y lire
aussi Dessalines qui cherche à affaiblir l’Europe sur le plan idéologique.
Dessalines lui-même est allé rencontrer Alexandre Pétion pour ébranler en lui
la croyance blanciste en faisant miroiter à ses yeux la satanité de l’Europe
pour ensuite l’abandonner à lui-même. C’est une contre-attaque sur le plan
mental que mène le Savant Dessalines contre le blancisme. Il remet Pétion à
lui-même. Dessalines va encore plus loin. Il place l’Empire ďAYITI, donc
l’Ancestralité, au Centre de la terre, et invite les non Nègres et Négresses
qui sont fatigués d’être là où ils sont et qui, par conséquent, veulent
retrouver leur Gwqmunalité à se tourner vers l’Empire ďAYTI. Au cours de sa visite dans le Sud il dit sans
détour aux troupes d’hommes de couleur qui se sentent mal à l’aise en sa
présence, on le sait, à cause de la guerre des deux Français, Gabriel de
Hérouville et Toussaint L’Ouverture, <<Nos ennemis, ce sont les
blancs>. Par ces paroles Dessalines cherche à casser le lien idéologique
entre ces deux groupes. Dans la Constitution Impériale Dessalines bannit dans
l’Empire la notion de teint ou couleur de peau chère à l’Europe. La boucle est
bouclée, l’Empire ďAYITI roule sur le Yun, munal, partant Ancestral, Dessalines
tient à détruire l’influence sinistre de l’Europe sur les gens en commençant
par les gens de couleur. L’invincible Général mène une guerre de concorde
globale.
Pour en revenir
à la Source Ancestrale de l’Empire ďAYITI, Dessalines soupçonne certaines
personnes d’être encore sous l’obédience d’autres choses. Elles sont
réprimandées et sont considérées comme être dans la voie contraire et sont vite
sommées de rentrer dans l’ordre à suivre.
Le Yun se fait
entendre et voir en tout et partout. Il n’y a qu’une porte. Il y a un
Libérateur, un Fondateur, un Peuple-État, Pays, dont le Nom est l’Empire
ďAYITI, dont la finalité est la Tranquillité Éternelle, autrement dit, sans
possibilité de mourir. Tout le monde est inséré dans la même logique. Au
Missionnaire Divin, Éternel Empereur Dessalines, et à lui seul, de donner sa
forme finale à l’Empire, le Pays.
Certains veulent une noblesse et un système de hiérarchie par la
possession, cela est rejeté du revers de la main par l’Empereur. Pour contrer
tout sale coup de leur part contre l’Empire, eux qui sont des militaires,
l’obéissance simple leur est imposée par la Constitution et sans possibilité de
délibérer. Tout cela met en évidence l’Ubuntu de l’Empire Ancestral, le Yun
intransigeant et invariable.
Pour en arriver
là, l’invincible Général Dessalines saisit l’offre que le général français,
Leclerc, lui fait, à savoir l’extermination totale des gens de couleur et les
moyens de monter une armée pour la cause. Dessalines avertit immédiatement les
gens concernés, Henri Christophe, Alexandre Pétion, …, et les assure qu’il n’a
aucune intention de s’y soumettre. Le Super Soldat met les moyens au service de
sa cause, celle des Ancêtres. L’invincible Général contre-attaque l’armée
française. Avec Francois Cappois, surnommé Cappois Lamort, il se met tout de suite
à l’œuvre. Son plus gros succès est la reprise du fort de la Crète à Pierrot.
Là commence ouvertement l’Opération Dessalines puisqu’après cet exploit, une
fois de plus, les chefs de contre-guerre de l’Artibonite lui confient
officiellement la Mission de la Gwqmunité, nettoyage du Mbwa de Gwqmuntrt, soit
diriger sa propre vie, ce que les gens appellent l’indépendance. Depuis lors,
des contre-guerriers, contre-guerrières de toutes parts, viennent, de jour en
jour, faire leur soumission au Général Dessalines, autrement dit, lui confier
aussi la même Mission ou faire acte de reconnaissance de la Mission qui lui est
confiée. Chaque localité dont il prend possession, l’Invincible Général y nomme
un responsable provisoire.
Nous nous
autorisons à nous demander si nos Ancêtres ont la capacité suffisante à mener à
terme cette Mission. Laissons-les répondre à la question. C’est naturellement
le Chef qui nous livrera la réponse. Mais avant tout nous trouvons important de
rapporter les propos de Rouvray (1785) : <<Une colonie à esclaves est une ville menacée
d’assaut; on y marche sur des barils de poudre >>. Le gouverneur
Blanche lande en aout 1791 : <<Seuls les Noir(e-)s attaquent leur
maitre, les hommes de couleur sont avec nous>>. << … l'Assemblée générale
chargea M. de Blanchelande de faire appel au concours des forces
espagnoles et décida de s'entendre avec lui pour demander aux Anglais de
la Jamaïque et aux États-Unis, * au nom de l'humanité et de leur intérêt
respectif, de donner à la partie française de Saint-Domingue en danger un
secours prompt et fraternel +, de
troupes, de munitions, de ravitaillement ; elle nomma sans désemparer deux
de ses membres pour aller présenter ces requêtes : l'un, Le Bugnet, au gouverneur
de la Jamaïque ; l'autre, Roustan, au président du Congrès des
États-Unis (1). (1) Au milieu de septembre, le gouverneur fit
aussi appel à la Martinique. M. de Behague ne put lui envoyer aucun
renfort de troupes ; mais il lui fit parvenir des armes, des munitions,
des vivres >>
Pour en revenir à notre
préoccupation, le General Jean Jacques Dessalines dit ce
qui suit : « J’ai levé mon
bras, trop longtemps retenu, sur leurs têtes coupables. À ce signal, que Notre
Dieu, Bon-Dieu, a provoqué, vos mains, saintement armées, ont porté la hache
sur l’arbre antique de l’esclavage et des préjugés. En vain le temps, et
surtout la politique infernale des Européens, l’avaient environné d’un triple
airain; vous avez dépouillé son armure, vous l’avez placé sur votre cœur, pour
devenir (comme vos ennemis naturels) cruels, impitoyables. Tel un torrent
débordé qui gronde, arrache, entraîne, votre fougue vengeresse a tout emporté
dans son cours impétueux. Ainsi périsse tout tyran de l’innocence, tout
oppresseur du genre humain;… je commande à des âme peu communes, nourries dans
l’adversité, dont l’audace s’irrite des obstacles, s’accroît par les dangers?
Quelles viennent donc, ces cohortes homicides! Je les attends d’un pied ferme,
d’un œil fixe. Je leur abandonne sans peine le rivage et la place où les villes
ont existé; mais malheur à celui qui s’approche trop près des montagnes! Il
vaudrait mieux pour lui que l’eût englouti dans ses profonds abîmes, que d’être
dévoré par la colère des Enfants d’Haïti
“Généraux,
officiers, soldats! Le moment approche où vous allez moissonner de nouveaux
lauriers. Ne vous enivrez pas de quelques succès peu dignes de votre valeur,
obtenus sur des hommes abâtardis et dégénérés; songez que vous avez à combattre
des ennemis entreprenants, fameux par les forfaits dont ils se sont noircis,
mais qui ont plus d’une fois senti la pesanteur de votre bras, et dont la
destinée sera toujours vaincue par votre constance héroïque. Des sièges à
soutenir, des assauts à livrer, voilà ce que vous prépare la conclusion
prochaine de la paix en Europe. Ils vont luire enfin, ces jours marqués pour
consolider en ces lieux l’édifice de la liberté et de l’indépendance. Sachons
en profiter.
Oui, nous
avons rendu, à ces vrais cannibales, guerre pour guerre, crimes pour crimes,
outrages pour outrages ».
Alors ce n’est pas sa
raison qu’on dit Nègres et Négresses sont des contre-guerriers,
contre-guerrières ; ce sont enfants de la Gwqmunalité.
A son Quartier
Général, Dessalines, la Ville qu’il a lui-même fondée pour la Grande Cause en
mars 1802 et à laquelle il a aussi donné Son Propre Nom, le Général Dessalines
a créé le drapeau de la contre-guerre. On rapporte que, monté par un lua, d’un
coup de sabre, le Super Soldat a soulagé le tricolore français de son blanc,
symbole de la royauté, et qu’il rapproche le bleu du rouge. Dessalines
maintient la disposition originale. On est en février 1803, rapporte-t-on.
Lorsque la
totalité du Territoire ou presque, il en restait deux localités, dit-on, est
sous son autorité, Dessalines Le Plus Que Grand prend la direction du Cap pour
demander au général français, Rochambeau, ce qu’il fait sur le Territoire
Ancestral et aussi pour lui prouver, au dire même de Louis Boisrond- Tonnerre,
que le méchant est toujours le plus lâche.
Faut-il le
souligner, l’objet de la présence de Dessalines et ses troupes, ce n’est pas
<<la guerre de l’indépendance>>, comme les adversaires de
l’Ancestralité (fondement du Yun), les histo-à-riens, aiment à le dire, en
guise de support aux parricides. Tout est déjà fini, le comportement de
Rochambeau en est la preuve certaine. En effet le général français en apprenant
l’arrivée de l’Invincible Général Dessalines, plie bagages, selon son plan,
confie la défense de la ville à un groupe de noirs libres, des wrs-mun, puis se
rend à Vertières pour prendre la mer en direction de l’Europe, le continent
odieux. C’est là que le Super Soldat surprend le petit animal, du nom de
Rochambeau, en fuite et qu’il lui administrera la leçon qu’il mérite avant son
départ vers les siens.
Jean Jacques
Dessalines, Enfant ďAgbawaya Tóya, accorde à Rochambeau le délai qu’il demande
pour son pouce maritime. Après son embarquement par un capitaine anglais pour
l’Europe maudite, le Général À Jamais Vainqueur de l’armée de Napoléon
Bonaparte rentre immédiatement dans son Quartier Général, Dessalines, où il
proclame pour l’Éternité la GWQMUNITÉ du Pays Ancestral, dénommé l’Empire
ďAYITI, le 29 novembre 1803. Il se met tout de suite au travail. Le premier
janvier 1804, pour un <<dernier acte d’autorité nationale>>, soit
l’entrée en fonction du gouvernement, dont le Chef est l’Éternel Vainqueur de
la bêtise irrelative, se réunissent les Vainqueurs et Vainqueures. Le 25
janvier, soit quelques jours plus tard, le Général Jean Jacques Dessalines,
Chef du gouvernement, est officiellement élu l’Empereur du Pays ďAYTI et le 15
février, toujours de l’année 1804, Dessalines accepte la nomination. Le 2
septembre de la même année, dans la Capitale Dessalines, après une longue
tournée du Territoire en vue d’instruire la population de l’acceptation par
Dessalines du Titre d’Empereur, l’Empereur Jean Jacques Dessalines en
filigrane, se transforme, dans le monde sensible, q Empereur par une courte
cérémonie particulière présidée par sa garde d’honneur, sous le Nom de Jacques
1er. Tout de suite après cela, le Titre d’Empereur reconnaît les Enfants de
Jean Jacques Dessalines pour la Continuité Éternelle de Dessalines comme
Fondement de l’Éternel Empire ďAYITI dans le monde sensible. Le Titre
d’Empereur a besoin de progéniture afin de se maintenir Eternellement selon la
Raison et l’objectif de l’Empire ďAyiti. La logique du discours impose les
Enfants de Jean Jacques Dessalines, compte tenu de son Statut de l’UN, le Seul
à qui revient la Mission de fonder l’Éternel Empire ďAyti. Dans
l’Organisationnelle, le Vivre Ensemble fondé suivant l’Ordre de Notre Dieu,
Bon-Dieu, ici, l’Éternel Empire dAyti, leur traitement est unique, conforme à
leur Statut, ce qui n’était pas ainsi avant cela. Le 20 mai 1805, toujours dans
la Capitale Impériale, Dessalines, l’Éternel Empereur Jacques 1er
promulgue la Constitution de l’Empire ďAYTI ; l’Empereur nomme son fils,
le premier des garçon, Jacques Dessalines, pour le remplacer et son épouse,
l’Impératrice Claire Heureuse Dessalines, comme régence si quelque chose lui
arrive avant que Son Altesse Impériale Jacques Dessalines n’ait encore l’âge de
régner. Henri Christophe est nommé chef de l’armée dans le but de protéger la
Famille Impériale au cas où il arriverait quelque chose à l’Empereur
Dessalines.
Le 17 octobre
1806 arrive ce que redoutait tant Dessalines, l’assassinat de Sa Majesté
Jacques 1er par des militaires de l’Armée Impériale. Ils tiennent
tête au nouvel Empereur, Jacques 11e. Sans Larmée Impériale, les parricides ne
craignent pas représailles. Cela n’a aucun impact sur la continuité de
l’Éternel Empire et sa Fonction. Jacques 11e est et reste le
successeur de l’Éternel Empereur Jacques 1e et, en sus, comme
porteur du Titre d’Empereur, disposant de toutes les forces de l’État, parce
qu’il est Enfant de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, il pourrait
alors, si besoin était, se proclamer, en accord avec le Principat, Souverain,
terme signifiant Dirigeant. Dans l’Éternel Empire ďAyiti, il y a ceux et celles
qui maintiennent l’Empire ďAyti dans son Fondement Dessalines dans le monde
sensible et le Souverain. Les premiers sont uniquement les Enfants de
l’Empereur et le dernier s’applique à tout le monde, sans discrimination parce
qu’il s’agit du Peuple-État. L’acte de diriger se pase dans un contexte précis.
Pour ce qui est des Enfants de l’Empereur, l’aptitude est inscrite dans la
jouissance <<de toutes les forces de l’État du Titre de l’Empereur
>>, il n’est pas en acte. C’est là
un autre point de génie de Jean Jacques Dessalines. Ooo Nrg ak Nrgrs fr blqsis epi atha li yo
pete e e e!
Henri Christophe
assassine aussi Cappois Lamort qui rassemble ses troupes, un nombre imposant de
militaires, le plus gros, pour contre-attaquer les parricides. Juste avant son
assassinat, Francois Cappois, par lettre, prévient le général Gorman, dans le
Sud, de faire la même chose parce que Pétion et quelques autres ont assassiné
l’Empereur Dessalines. Cappois étant mort, Goman y va seul, ce qui permet
l’effectivité de l’écart, le DANGER.
Une partie de la
Famille Impériale se met à l’abri comme gage de la protection de l’Empire et
l’autre partie, par sa seule présence, joue très bien son rôle de protectrice
et gardienne du système au moyen de sa voix tout en préparant le Rétablissement
de l’Administration Impériale.
Selon la PAROLE
de l’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines, des malheurs indicibles sans
cesse frapperont en cas d’insatisfaction à son travail. Dès 1806 le déchirement, le sang, la mort, la
douleur, etc., Ça va de mal en pis, jusqu’ à aujourd’hui. Maintenant
l’institution des parricides de 1806 est sous les croques venimeuses des
blancistes, un génocide, un autre de plus, annoncé. Observons attentivement
pour mieux boucler les criminel(le)s !
En 2016 HRH
Prince Tiécoura, après un travail colossal, est élevé au Titre d’Empereur
ďAYITI, par les <<Forces de l’État >> que comprend le Titre
d’Empereur, et devient le IIIe du Titre sous le Nom de Sa Majesté Le Prince (le
mot d’Empereur, pas la fonction, étant réservé à Jean Jacques Dessalines et
Jacques Dessalines) Weber Tiécoura Dessalines D’orléans Charles Jean Baptiste
pour l’avancement de la cause et au profit du parachèvement de l’être munal
conformément à la Volonté de Notre Dieu, Bon-Dieu, GWQMRTLA, et à
l’Ancestralité.
En 2019 Sa
Majesté Le Prince Dessalines D’orléans annonce la continuité praxique de la
Substance Impériale par la publication de son livre titré Le Rétablissement
de l’Administration Impériale
À ľ eliminrgyo, ľ eleknrgyo!
DE PARTOUT RASSEMBLONS-NOUS, FILLES ET FILS DE NOS ANCÊTRES !
NOUS NE POUVONS PAS LAISSER ATTAQUER LA PHĖNOMĖNALE OEUVRE ANCESTRALE SANS
RĖAGIR NI NOUS SUPPRIMER DE LA SURFACE DE LA TERRE NON PLUS, DONT NOUS SOMES
LES INDIGÈNES. L’ÉTERNEL EMPIRE D’AYITI EST LE SEUL ADVERSAIRE DE ĽHOMMALITĖ,
PARTICULIÈREMENT LE BLANCISME, SA PLUS HAUTE EXPRESSION, DONT LA MISSION EST
D’ASSASSINER, PAR TOUS LES MOYENS, CET OBSTACLE. NOUS AVONS L’ŒIL GRAND OUVERT
ET LA POPULATION NÈGRE DE LA PLANÈTE TERRE RENFORCERA, CERTES, LE PROCESSUS DE
MISE EN ACCUSATION DEVANT LE TRIBUNAL PĖNAL INTERNATIONAL SUR LEQUEL ELLE
TRAVAILLE D’ARRACHE-PIED POUR LES GĖNOCIDES DES NĖGRESSES ET NÈGRES. L’EMPIRE
ANCESTRAL EST SÛR ET CERTAIN QUE LE MONDE A GRAND SOIF DE CE MOMENT
SALUTAIRE.
La Grande Population Nègre de la planète Terre a trois positions,
dont chacune est double et avantageuse, si étonnant soit-il. Elle chemine sans
subterfuge vers la Victoire Certaine par la détermination, sans oublier la
volonté ferme et inébranlable, qui lui est imposée par le ámu, incessible désir
de durer de l’être, le MUN.
Le voilà enfin, ce qu’il faut savoir en tout premier lieu pour être
et rester mun au sens plein du mot ! La volonté ou l’acte de s’y opposer
révèle, sans ambages, sa haine viscérale pour les Négresses et Nègres, soit
l’Ancestralité, et, par voie de conséquence, sa prise de position ouverte pour
ľ eliminrgyo, ce qui automatiquement fait luire votre être inférieur,
c’est-à-dire qualité de wrs-mun dominé -e- ou esclavagisé -e-).
Lectures recommandées : De la Princesse Eugenia Dessalines
et son époux D’Orléans Charles …Voici le Principe Victorieux de notre Lutte en
ce monde, TOME IX, 2020
Le 20 mai 2021 : La journée d’affirmation de soi, le soi
munal… TOME XI, 2021
Auteur : Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines
D’Orléans Charles Jean Baptiste
Pour la Maison Impériale Dessalines,
l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité,
que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à
tort avoir à jamais englouti :
HRH Sa Majesté Le Prince Weber
Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste 7e de la Génération du
Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques
Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et
l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la
politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de
la munalité, soit l’Existentialisme VudUn.
Commentaires