Décret Campagne généralisée contre l'esclavage par l'Empire d'AYITI

 






Jean Jacques Dessalines : “Que mon nom est devenu en horreur à tous les peuples qui veulent l'esclavage - l’esclavagisation -, et que les despotes et les tyrans ne le prononcent qu'en maudissant le jour qui m'a vu naître !”


À lire :

Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste


Esclavage et politique deux termes interchangeables

et l’Éternel Empire d’AYITI, l’Arrêtoir

TOME X

2021, Éditions LOF



Décret Fonçons sur l’esclavagisation appelée à tort l’esclavage à jamais, et irréversiblement, abolie 


La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 y = © Tous droits réservés



q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   Ä = on, ñ



Décret 0000000 fonçons sur l’esclavagisation appelée à tort l’esclavage à jamais, et irréversiblement, abolie, 4 septembre 2024 00000007





Campagne déchaînée contre l’infâme tendance à ne pas se plier au théorème

abolissant l’esclavage - l’esclavagisation - par le

Général À Jamais Vainqueur du Mal blanciste et

l’Exclusif Défenseur de l’Ordre Divin, Jean Jacques Dessalines ! 



EN AVANT !



L’Édifice de l’Empire d’AYITI s’est érigé dans le monde sensible par l’accentuation du “Muc”, dans le sens voisin du “JE”, afin de mettre en exergue le lakort munal, une des Puissances Divines, pour qu’il puisse enfin, conformément à la Volonté de Notre Dieu, GwqmrtLa, cheminer vers la Perfection, la Négro-divinité, le plus haut point de l’être, son être. 



Ce n’est pas la seule vocation de l’Empire d’AYITI, soit sa finalité immédiate, ce qui est ci haut énoncé. Il se voit confier aussi la responsabilité de briller dans le monde, sous les yeux de chacune-chacun, afin que tous et toutes voient le chemin conduisant vers le Soi, ce que l’on est pleinement, c’est-à-dire le “Muc”, quand bien même ils ne s’y engagereaient pas en totalité. Sa Majesté Jacques 1er est on ne peut plus clair là-dessus. Nous n’atteindrons pas le point culminant du Soi Munal sans que cette partie ne soit achevée. En d’autres mots le monde doit découvrir par lui-même que le Salut, la fin du kokcn hcn dewqjmq, passe par l’Éternel Empire d’AYTI, qu’il y adhère ou pas. D’où la nécessité et l’importance au plus haut point de l’Oeuvre de Jean Jacques Dessalines !  


Il est impératif de savoir que, dans le monde dans lequel nous vivons, la

seule chose qui doive attirer notre attention, ce n’est ni l’économie, ni l’éducation, ni le sport, ni le plaisir, que sais-je, mais le “Muc”, terme englobant tout l’être que NOUS SOMMES. Pourtant c’est le mot contre lequel tourne la quasi totalité des activités des gens de la planète. Ce terme est le plus combattu de tous. Il est dans la même situation que la chasse aux sorcières. On veut supprimer jusqu’à ses traces. Il est en proie aux plus grands bourreaux de la terre, ceux et celles que l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines a nommés “le monstre”. Il faut entendre par là que la réduction des autres à soi, que ce soit au niveau de singuliers, d’individus, de groupes, d’ensemble de pays, d’organisations religieuses ou laïques, etc., est la première pensée, délétère, certes, sur la planète et que, par conséquent, elle domine, d’une manière ou d’une autre, les relations des gens entre eux. C’est une invitation, à son endroit, à se placer sous la dépendance ou l’autorité de ta pensée. Une telle attitude vis-à-vis d’un ou des autres consiste à les réduire en état d’esclave, c’est-à-dire de rien. Cette réduction, à quelque niveau que soit, quelle que soit sa forme, et même sa dimension, est ce qui s’appelle l’esclavage ou l’esclavagisation, en termes propres. C’est contre ce fait épidermique que se sont dressés nos Ancêtres, ayant à leur tête l’Invincible Général et Éternel Vainqueur du blancisme, Jean Jacques Dessalines. Il s’ensuit que la pensée de l’esclave, par conséquent l’esclavagisation ou l’esclavage, et le “Muc” sont antinomiques. Parce que la situation du “Muc” est telle, il doit être l’objet de notre attention. Il est, malgré son rejet dans le monde, la seule chose qui vaille. C’est parce qu’il est tel qu’il est pourchassé. Le travail qu’a fait Jean Jacques Dessalines Plus Que Grand pour aboutir à l’Érection de l’Éternel Empire d’AYTI, cette Oeuvre à nul autre pareil, est, aujourd’hui, celui de l’Empire d’AYITI. Celui-ci a vocation, pour le Salut de la Terre, de mettre en évidence le seul point qui vaille, c’est-à-dire le “Muc”, et d’amener les habitantes et habitants de la Planète à se soumettre inconditionnellement à la Constitution, promulguée le 20 mai 1805, à Dessalines, Capitale de l’Empire d’AYITI.     



Entrons dans le monde de la Divinité N, la réalité de ce que nous sommes en tant que Substance du La, la réalité objective et la Seule qui soit. C’est là que se trouve l’être munal et, par conséquent, l’Éternel Empire d’AYITI puisqu’il est l’extérieur munal, ce par quoi ce que nous sommes se donne-t-il à l’oeil nu. Ce n’est pas sans raison, l’Érection de l’Empire d’AYITI est la production de l’Instrument du cheminement vers la Perfection, la finalité immédiate, dans le cadre de la Production Continuelle, Nécessité de l’Être de Notre Dieu. Toutes les propriétés nécessaires de l’Empire Ancestral sont aussi celles du mun. Sans elles celui-ci ne serait pas capable de s’accomplir parce que la démarche qui y est propre ne peut avoir lieu que dans ce champ, le monde sensible, et que cette caractéristique est aussi celle du mun. Cela se passe dans une trilogie, une identité de traits entre le mun, le lieu et l’instrument de l’action. Le concept concerné ici est bien le sensible. Tout est prédéfini ici, il ne reste que la production du contenu, ajustable, par le mun lui-même, ce qui s’appelle la part munale par excellence. C’est cette Oeuvre sans pareille qu’a réalisée Jean Jacques Dessalines en marchant dans les traces des Ancêtres, ses Ancêtres.   



Tous ceux et celles qui se sentent en dehors de cette Oeuvre exceptionnelle et qui se trouvent sur le Territoire Impériale, Lieu proclamé “Le Plus Important” par Jean Jacques Dessalines lui-même directement de la Dominicanie en 1805, une chose, une seule, leur est réservée : « Quel est ce vil Haïtien, quelle est cette ville Haïtienne, si peu digne de sa régénération, qui ne croit point avoir rempli les décrets divins (donc éternels), en exterminant ces tigres altérés de sang? S’il en est un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature indignée le ou la repousse de notre sein; qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux : l’air qu’on y respire n’est point fait pour ses organes grossiers; c’est l’air pur de la Gwqmunalité, laquelle est auguste et triomphante.”, Dessalines 28 avril 1804.  Ce n’est pas peu dire. 



Tout cela fait voir que l’acte d’exister, dans le sens de vivre conformément avec soi-même, ce que l’on est, n’est pas faire n’importe quoi, tel que prioriser ses sentiments, ni ses intérêts ou suivre tout vent d’idéologie ou de pensée, comme si nous étions une capacité de versatilité, à savoir que nous sommes ce que nous choissons d’être. Nous sommes un être déterminé mais marchant avec la science, au mieux, le Dqmbala - connaissance exacte -, de ce que nous sommes. Il en est ainsi dans le but d’exécuter exactement ce qui est tracé. L’esclavagisation n’est pas et ne peut pas être une option, c’est-à-dire pourvu qu’on la choisisse. Pour se vivre ou exister tout simplement, soit vivre conformément avec soi-même, il faut la connaissance de soi. Elle ne nous est pas donnée. Ce champ d’activité nous est exclusivement réservé, certes, rien qu’à nous, en tant que Mun et Badr, immanence et transcendance, et surtout pas à un autre que soi, cela en tous sens. Le chemin est tracé, il nous faut, d’abord, le découvrir et produire ensuite le contenu, à savoir ce qui s’y adapte. Voilà ce qu’est être en soi, par soi et pour soi.


L’être que nous sommes, le mun, est équivalent à l’Empire d’AYTI; ce champ est bien circonscrit par le Fondateur-savant, Jean Jacques Dessalines, fils d’Agbawaya Toya. L’Invincible Général Dessalines, de l’Artibonite, reçoit des chefs des Combattantes et Combattants, la Mission de repousser, de notre sein, l’ennemi naturel, soit le blancisme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. La yunité des Résistants et Résistantes dérivée de leur Volonté d’être en soi, par soi, pour soi, ce qui se solde par le “Muc”, a fait d’eux un Peuple, selon la pensée de l’Organisationnelle de Jean Jacques Dessalines. C’est le nom qu’il donne au Nouvel Ensemble, le Peuple. C’est, certes, une création mais en surface parce que la yunité n’est pas artificielle. Elle est un élément constitutif ou fondamental du mun, lequel élément est la Yunité, dont le synonyme est Ubuntu. Nous sommes ici en plein dans l’Ancestralité. La Yunité, la première, conduit à l’invention de la yunité, la seconde, dont le seul trait est la Volonté produite par un corps déjà déterminé qui, sans cesse, repousse fermement les conditions contraires et contradictoires vers lesquelles le monstre cherche à l’entraîner. C’est à la yunité seconde que l’Enfant élevé par Agbawaya Toya, Jean Jacques Dessalines, donne le Nom de Peuple, une organisation ou invention en pleine conformité à l’être munal. C’est, soit dit en passant, ce qu’il faut entendre par produire le contenu. Le Peuple est un des éléments du contenu. 



Le premier janvier 1804 le Général Vainqueur, Dessalines, fait au Peuple le rapport de la Mission qu’il lui a confiée. “Mon heureuse destinée, dit-il, me réservait à être un jour la sentinelle qui dût veiller à la garde de l'idole à laquelle vous sacrifiez : 


j'ai veillé, combattu, quelquefois seul; et, si j'ai été assez heureux pour remettre en vos mains le dépôt sacré que vous m'avez confié, songez que c'est à vous maintenant à le conserver.” Le “Dépôt sacré” est l’acte de faire l’Indépendance, lequel est de désentraver leur Gwqmunité, qui est se mener soi-même, alors le “Muc”, être en soi, par soi et pour soi. Nous ne pouvons pas y renoncer, il est NOUS. Nous sommes un être invariable et irréversiblement nous. C’est là le sens de la Résistance Gzqmunale.



La Victoire est chose faite. Pourtant le Peuple n’est pas encore tout ce qu’il doit être. Il y a un lien logique entre les constituants du contenu, l’un appelle l’autre. Le Peuple a bien évidemment recouvré son espace, celui-ci, par la Gwqmunité sans entrave extérieur, soupire après sa plénitude et tend irrésistiblement à y parvenir. Les choses ne sont plus difficiles quand on est dans la pensée vraie, la bÄnqyée. Le vrai appelle le vrai. C’est clairement une ligne déjà tracée. Ici nous voyons encore mieux la puissance du “Muc” affirmé. L’inclination à l’Organisationnelle se fait fortement sentir et le Peuple, en qui réside la Gwqmunité, succombe à lui-même en poursuivant sa marche vers son accomplissement : “Le peuple ci devant appelé St Domingue, convient ici de se former en État Libre, Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Hayti.” La recommandation du premier janvier 1804 du Général à Jamais Vainqueur, Jean Jacques Dessalines, est suivie à la lettre. En effet le “Muc”, par le Mun et le Badr, est en action car c’est le Peuple qui est l’État, Centre de lui-même, et qui se forme lui-même en État. Quelle Oeuvre exceptionelle, celle de Jean Jacques Dessalines ! La logique du discours est implacable. Nous loin, à des années-lumière, des pensées politiques 2gwcngorh du blancisme ainsi que ses pairs. Le Peuple est Peuple et État en lui-même, par lui-même et pour lui-même parce qu’il n’est soumis à aucune puissance de l’univers. Il en est ainsi parce qu’il retient fermement sa Gwqmunité, le “Muc”. En d’autres ,ots il n’a pas renoncé à ce qui lui permet de se diriger soi-même, son “Muc”. Vive Jean Jacques Dessalines, Porteur de l’Ancestralité ! Face à toutes les pissances du La, même devant Notre Dieu, Bon-Dieu, le Peuple est et reste conséquent à lui-même, son action n’a pas de limite. Le “Muc” que nous exprimons est la Divinité N, Pleine Divinité Révélée par les Ancêtres, les Nègres et Négresses, que nous sentons en nous, chacune-chacun de nous, et ce qui est en Chaque Chose, leur source d’agir en elles, par elles et pour elles. Il s’ensuit que “l’esclavagisation - esclavage pour les gens d’esprit, les dérangés - est à jamais aboli” parce que l’acte que le Peuple vient d’accomplir, soit se former en État, est en dehors du temps. Les deux énoncés, articles un et deux, sont interchangeables et l’un ne va pas sans l’autre.  Il y a un terme sous-jacent aux deux, l’Éternité. Elle est le Statut de l’État et l’abolition énoncée. Pour le dire d’une autre façon, l’État Éternel abolit Éternellement l’esclavage - l’esclavagisation -. Ici encore suinte la Divinité N du “Muc”, l’impossibilité de renoncer à se gouverner soi-même, tout en restant équilibré, c’est-à-dire soi-même. Le monde évolue en lui-même par la formation de l’État, le Nôtre. L’État, nôtre État, se nomme l’Empire d’AYITI. L’Empire d’AYTI est le cheminement vers la Négro-divinité et le garant de l’abolition de l’esclavagisation, ce qui est la stabilisation du système global et l’avancement des choses. Quand nous disons l’Éternel Empire d’AYITI, cette sequence sonore fait montre de l’Acte qui vient de se faire sous nous yeux, soit le Pays Ancestral par les Ancêtres directement, soit Négresses et Nègres, dont la totalité arrive du continent ancestral, Gelefwe.



Redisons-le ici encore: « Quel est ce vil Haïtien, quelle est cette ville Haïtienne, si peu digne de sa régénération, qui ne croit point avoir rempli les décrets divins (donc éternels), en exterminant ces tigres altérés de sang? S’il en est un ou une, qu’il ou elle s’éloigne; la nature indignée le ou la repousse de notre sein; qu’il ou elle aille cacher sa honte loin de ces lieux : l’air qu’on y respire n’est point fait pour ses organes grossiers; c’est l’air pur de la Gwqmunalité, laquelle est auguste et triomphante.”, Dessalines 28 avril 1804.  Ce n’est pas peu dire. 


L’étendue de l’Éternel Empire d’AYITIUne lecture rapprochée du Phénomène suffit à livrer sans retenu la dimension. Jean Jacques Dessalines, auteur de la pensée en question et son exécutant, en tire la conclusion et l’exprime sans tarder. Il est clair que l’énonciation s’inscrit dans la poursuite de l’OEUVRE. “L’Empire d’AYITI, dit le Fils d’Agbawaya Toya, Jean Jacques Dessalines, n’est pas uniquement celui de ceux et celles qui habitent l’Île d’AYTI mais celui de tous les razzié-e-s, déporté-e-s et implanté-e-s au Masuana”, le continent ridiculement appelé

Amérique; “il est aussi, poursuit-il en ces termes, celui de tous les Négresses et Nègres qui sont sur le continent ancestral, Gelefwe, et qui sont ailleurs dans le monde”. Pour la première fois quelqu’un signifie la yunité des Nègres et Négresses autour de l’Ancestralité, laquelle est une décalque presque de la Pure Divinité, un Dqmbala, cela à cause de certaines créations et particularités. Ce monde immédiat est, pouvons-nous dire, le Corps en miniature de l’Empire d’AYTI. Il peut désigner aussi l’immédiateté de l’Empire d’AYITI par la Pensée Ancestrale qui l’édifie et qui est au-dedans le Guide, ce en tout. Cette pensée est indépassable. Elle est la quintessence même de l’Empire d’AYTI. Puisque celui-ci est le Corps extérieur munal, la Population Nègre est immédiatement l’Empire d’Ayiti. Étant donné qu’il revient à l’Empire d’AYITI de veiller au respect des choses, dans l’état actuel, la Population Nègre, comme porteuse de cette Oeuvre Ancestrale, à cause de son intervention par Jean Jacques Dessalines et Agbawaya Toya, a vocation de le mettre en évidence dans le monde.  



Cette pensée nous introduit dans un univers plus grand de l’Empire d’AYITI, le monde même. Ce n’est pas briller pour briller mais pour abriter celles et ceux qui accéderont à la conscience d’eux-mêmes et qui prendront, en conséquence, la direction de l’Empire d’AYTI. 



En somme l’Empire d’AYTI est sans nuances épidermiques. Il fait ainsi le plein de l’être que nous sommes, soit le MUN.



C’est cela, grosso modo, l’Éternel Empire d’AYITI alors plus que jamais la TERRE a soif de la Dessalinienne !


En avant ! Marchons !

 L’homme, particulièrement le blancisme, refuse de se plier à la loi abolissant ouvertement l’esclavagisation, appelée l’esclavagisation. Dans les Décrets précédents, nous avons vu que le kokcn hcn dewqjmq se maintient dans tous les coins de la planète. La prépositivité et la positivité, ce désordre-ordre, déstabilisent la terre et l’enfoncent de plus en plus dans les profondeurs du néant, s’il était possible. Celle-ci est, à la suite de l’arrivée de l’homme, et reste le lieu de la cime de l’horreur, sous la rage même de l’homme, particulièrement le blancisme, d’après, bien sûr, l’anthropologie VudUn. 



Prenons le cas des Négresses et Nègres, ceux dont la Population est le sujet

de l’action de l’Empire d’AYITI. Parler en ces termes, c’est dire qu’ils ne sont pas tous et toutes, en termes de singuliers, des éléments de l’Empire d’AYITI. Les mis à part sont, sans l’ombre d’un doute, des opposants et opposantes avérés de celui-ci. Une interrogation s’impose : Pourquoi ? Ils sont sous l’obédience de l’hommalité, et particulièrement de la blancismité, nid de la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres. Ils s’allient au Mal, le blancisme, par leur essence commune, l’hommalité, et deviennent, sous ses stratagèmes, ses plus grandes victimes. 



Le blancisme s’est, de son propre chef, installé dans un lieu où il ne devrait pas être, un lieu hautement hostile. Ce n’est pas sans raison car quelque chose relevant de leur substance les distingue. À ce sujet Jean Jacques Dessalines pose la question à savoir : “ Qu'avons-nous de commun avec ce peuple bourreau ? Sa cruauté comparée à notre patiente modération; sa couleur à la nôtre; l'étendue des mers qui nous séparent, notre climat vengeur, nous disent assez qu'ils ne sont pas nos frères, qu'ils ne le deviendront jamais et que, s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions”. La partie mise en exergue est celle sur laquelle repose la préoccupation de Jean Jacques Dessalines. Celle-ci est d’ordre ontologique. Le Grand Savant oppose notre munité au caractère anthropologique des blancistes. Ce que Dessalines affirme des blancistes, tels que “peuple bourreau”, “cruauté“, etc., est l’attribut de leur essence; ce qu’il dit de nous, Négresses et Nègres, constituantes et constituants de l’Empire d’AYITI, est le prédicat de ce que nous sommes. Cela est révélé par notre munsqmba, science de ce que nous sommes. Il n’y a pas de communauté entre les deux. Pour ce qui est des autres considérations, elles relèvent de l’idéologie ou la culture et des circonstances de la nature, bref elles sont toutes accidentelles mais non sans une influence quelconque sur leur mental, lequel est l’être propre de l’homme. Il dirige l’action de celui-ci. La conclusion est sans appel : “ils ne sont pas nos frères, ils ne le deviendront jamais et, s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions”. 


C’est exactement ce qui est arrivé. Il n’y a aucune possibilité d’entente entre l’homme et le mun, entre le blancisme et les Négresses et Nètres. Cela est définitif. Les blancistes, particulièrement Napoléon Bonaparte, n’entendent pas baisser les bras devant l’Empire d’AYITI. Ils entendent tirer profit de la déception des hommes de couleur, qui n’ont pas obtenu de Dessalines richesses et espace distinctif, une noblesse. Sous la direction du petit empereur français, Napoléon Bonaparte, et en collaboration avec les autres, des espions français parviennent à entrer sur le Sol Impérial Ayitien. Là ils rejoignent ces libres de couleur et ces noir-e-s libres et ensembles ils fomentent le complot d’assassiner le physique de Sa Majesté Jacques 1er afin de faire échec à l’Empire d’AYTI, Empire Ancestral. Par cette alliance ils les dominent, parce qu’ils sont en eux. L’Invincible Général et Vainqueur de Napoléon Bonaparte, Jean Jacques Dessalines, a déjà repris à son compte que vivre dans la pensée des autres était “esclave” : “Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche. Quel peuple a combattu pour nous ! Quel peuple voudrait recueillir les fruits de nos travaux ? Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. Esclaves !... Laissons aux Français cette épithète qualificative ; ils ont vaincu pour cesser d'être libres. Marchons sur d'autres traces “. Sans pouvoir gagner notre Sol comme avant, l’esclavagisation est revenue par la formation d’un groupe particulier. Le nom qui lui est donné est la république d’Haïti. Ainsi a commencé le mauvais traitement du Peuple Impérial, par une unité de blancistes et libres. À ce sujet voyez particulièrement le “Décret : République d’Haïti instituée pour la vengeance” .



Nous non plus, nous n’avons nullement l’intention de laisser faire ou aller les choses car la Puissance et la Certitude sont NOUS, Négresses et Nègres.



Les esclavagistes blancistes

Les dirigeants et dirigeantes des pays blancistes, qui sont concernés par cette pratique sur notre Territoire, violent la loi, Notre Constitution promulguée en mai 1805 à Dessalines, Capitale de l’Empire d’AYITI, notamment les Articles 1, 2; 3 :“Le peuple ci devant appelé St Domingue, convient ici de se former en État Libre, Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d'Empire d'Hayti.”; L’esclavage est à jamais aboli”; Aucun blanc, quelle que soit sa nation , ne mettra le pied sur ce Territoire, à titre de maître ou de propriétaire, et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété”. 


À l’heure déjà fixée, ces chefs d’État et leurs assistantes et assistants, morts ou vivants, comparaîtront devant les tribunaux de l’Empire d’AYTI ainsi que le tribunal pénal international pour être jugés pour génocides et pratique d’esclavage ou crimes contre l’humanité et punis conformément à la loi. Il en est de même des libres, leur double, qui leur servent de moyen d’y parvenir. 



NOUS, Nègres et Négresses, Nous sommes immédiatement l’Éternel Empire d’AYITI ! À jamais nous sommes à l’Ère de Dessalines !  Nous sommes Indomptables et Insoumis-e-s ! Maître et Propriétaire Chez Nous, c’est inconditionnellement NOUS ! 



Ce manquement, de la part des blancistes et leurs lrréductibles libres, est gravissime, la vindicte ne sera jamais suffisamment à la hauteur du crime parce que Nous sommes Infiniment Grand, la yunité. Le pays sans chapeau est requis après le mauvais traitement constant des condamné-e-s.



Les autres parties de Masuana

Dans les autres parties du continent Masuana, les Nègres et Négresses sont toujours sous les autorités de leurs esclavagistes respectifs. En somme depuis l’invasion de leur territoire au Jelefwe, leur razzia, leur déportation et leur implantation, ici, au Masuana, l’espace de leur Autorité Ancestrale est entravé par les mêmes bourreaux , cela jusqu’au jour d’aujourd’hui. Contre leur gré, ils sont tous et  toutes sans cesse “gouverné-e-s” par les pensées d’un autre que soi, récompensé-e-s et puni-e-s par les mêmes idées délétères. Ils ne peuvent espérer et faire de projets que dans le cadre social qui leur est imposé. Bien évidemment le traitement auquel ils sont soumis est toujours négatif car ils n’ont pas quitté le cadre d’être qui est défini pour eux par leurs bourreaux. Là aussi il y a les libres qui font la charnière entre les esclavagisant -e-s et eux. Ils leur servent de paravent. Ils prétendent, par l’institution de cet ensemble mitoyen, opacifier l’actualité de l’esclavagisation. 


Le blancisme, comme les atha ou les libres, joue à l’autruche. Il est impossible d’obscurcir l’imbrication de deux entités antipodiques, par les caractéristiques biologiques différentielles observables et les pensées directrices, l’une dans l’autre. Tout d’abord dans ce cas-ci, il y a, au moins, la trahison par la culture et le teint, selon l’anthropologie blanciste, à savoir le teint fait l’homme, pensée reprise par Jean Jacques Dessalines même s’il la conteste; ensuite, une conséquence de ce qui précède, l’histoire, le grand livre dans lequel s’inscrit ce qui fait de nous ce que nous sommes, soit nos expériences de tous les jours. Les gouvernants et gouvernantes ou les maîtres d’aujourd’hu, à cause de leur teint y sont absents, autrement dit, notre histoire ne les comprend pas. Il importe de reprendre cette partie, nous ne les voyons pas dans notre histoire, l’Ancestrale. Leur présence y figure seulement récemment mais comme agresseur et oppresseur de l’être que nous sommes, soit Nègres et Négresses. Alors ils ne peuvent pas nous conduire en dehors de leur pensée d’esclavage. C’est l’évidence même ! La mission des libres dans cette partie du continent, au lieu de cacher l’esclavagisation sous laquelle sont illégalement placés les Nègres et Négresses des autres lieux de Masuana, la met en lumière. L’obscurité visée est mentale, rien que mentale. C’est un travail qu’ils font en toute connaissance de cause. Ils servent d’instrument esclavagisant aux blancistes, une unité de malfaiteurs, travaillant de concert au bénéfice du kokcn hcn dewqjmq, nécessairement contre la Mission salutaire de l’Empire d’AYITI dans le monde. Partout l’esclavagisation est et reste en vigueur. 



Ici encore, blancistes et tubabu, atha, jusqu’au chef de l’État et/ou de gouvernemet dans les deux cas, sont accusés de pratique d’esclavage ou d’esclavagisation tout court, soit d’”esclavage”, pour employer leur vocabulaire, et de génocides. Ils vont faire face aux tribunaux de l’Empire d’AYTI, pour esclavagisation et génocides, ainsi qu’au tribunal pénal international, ici aussi, pour “esclavage” et génocides, crimes contre l’humanité.   



La peinière est la même que celle qui est fixée ci haut.



Les faux pays du continent gelefween

Sur le continent ancestral, Gelefwe, la situation est identique, sauf quelques différences. Il y a nos Ensembles de toujours, nos Royautés, qui sont forcément inscrites dans l’Empire d’AYTI, même si elles sont spécifiques, en vue de leur accomplissement, à savoir leur ajustement. À côté de cet Univers Éternel, nous parlons de nos Royautés, il y a les envahisseurs, leurs ensembles, les faux pays qu’ils ont institués sur nos Royautés, et les mitoyens, soit les tubabu ou les libres, bref, les enchâssé-e-s. ces pays, étrangers sur notre continent ancestral, sont constitués par les esclavagistes et forcément dans leurs ridicules pensées. Les eclavagisé-e-s travaillent de concert, toujours dans les pensées du dehors, soit celles d’un autre que soi, avec les envahisseurs pour faire progresser ce qui est pour eux une prise parce que ce sont des fruits de la conquête des esclaves, selon l’idéologie blanciste, ce qui est clairement l’esclavagisation. Dans ce contexte-là l’indépendance ne veut rien dire car ils sont et restent imbriqués. Leur nourriture vient du blancisme puisque ce sont ces pensées étrangères qui mènent chez NOUS, sur le continent ancestral, notre continent ancestral, dans un contexte d’abolition de l’esclavagisation ou “l’esclavage”. Les pensées orientent toujours dans l’intérêt de l’esclavagiste. N’est-ce pas l’objectif de l’ordonnance du Pape Nicolas 5 ! La transgression de la loi abolissant l’esclavagisation est évidente. Là où l’extérieur est le maître, il est forcément le propriétaire. Dans un contexte d’esclavagisation tout est entre les mains du maître et des tubabu. 



Puisqu’il y a violation flagrante de la loi, le théorème, les blancistes comme les atha ou tubabu, les hors la loi, vont être confiés aux tribunaux nationaux et au tribunal pénal international pour être jugés pour génocides et crimes contre l’humanité et sévèrement punis ensuite. Qu’ils comprennent bien, les accusations portent sur les génocides et la pratique de “l’esclavage”. Les deux vont de compagnie. Si on n’était pas en situation d’esclavagisation, les crimes n’auraient pas été possibles. Ici, au Gelefwe, il se passe la même chose que dans la partie la plus importante, c’est-à-dire le Territoire Impériale, l’Île d’AYTI. Cette classe de gens, les irréductibles libres, n’a pas entrepris des démarches pour livrer aux tribunaux les blancistes pour les génocides et elle n’en a même pas parlé. Elle admet que génocides et esclavagisation vont ensemble. Accepter l’un, c’est accepter l’autre. Les choses sont dites ici telles qu’elles ont été discutées. Il faut les prendre telles quelles. Par conséquent les chefs d’État et/ou de gouvernement, blancistes comme libres, sont accusés et ils feront face aux tribunaux, nationaux et internationaux. On ne violente jamais les Négresses et Nègres sans conséquence, tôt ou tard elle finira par émerger . 


La vindicte est la même pour les deux groupes, identique à ce qui est énoncé ci haut.


Esclavagisation comme système

L’esclavage ou esclavagisation, ce n’est pas travailler dans les champs. C’est simplement travailler mais pour un autre que soi parce qu’on est lié-e- ou appartient à la structure régissant. Celle-ci en est le maître. Aujourd’hui comme hier le visage de l’esclavagisation est et reste le même sur ce point. On travaille pour un autre que soi, même quand on est indépendant-e-. Il y a toujours des colons derrière soi. Ce statut n’est pas construit autrement. Les gens qu’on nomme investisseurs, ce sont des colons. Le vocabulaire n’est tout simplement pas le même. Toutes formes d’activité inventées par les hommes sont subordonnantes. L’invention par l’homme est strictement soumise à son essence. Ils ne connaissent qu’un langage. Il ne faut pas qu’ils soient autour : “s'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions”, dit le Général-Savant Jean Jacques Dessalines. Ce n’est pas du n’importe quoi. C’est là un énoncé anthropologique. Ils ne sont que ça, ces êtres particuliers, faut-il y lire. C’est l’énonciation de leur quintessence. 



L’Empire d’AYITI immédiat dans et devant le kokcn hcn dewqjmq est tout plein de lui-même et reste la tête froide. Il a une Mission, une Mission Divine étant donné qu’il est tout Jean Jacques Dessalines, et il l’accomplit pleinement, cela avec succès, tandis que l’homme, surtout le blancisme, s’embourbe jusqu’à l’extrême de l’horreur, la criminalité indescriptible, son seul langage, son tourment le plus aigu. Sur nos Territoires, il organise sans arrêt des génocides et les auteurs sont connus; il planifie constamment la réédition du 17 octobre 1806 pour faire échouer le projet d’arrestation et se mettre à l’abri, pourtant tout, de notre côté, nous conduit vers sa main, même s’il agit par personne interposée; Le blancisme est et vit pour tuer. Ce comportement est ce qu’il y a de plus naturel chez l’homme. Le munal le sait fort bien et est contraint par lui-même de tout entreprendre pour réduire en bouillie le monstre. Ce n’est pas sans raison que Sa Majesté Jacques1er recommande à l’Empire d’AYITI d’être de bons Soldates et Soldats, c’est-à-dire toujours prêt-e-s à agir et s’assurer toujours de la victoire. En réponse à une lettre du général Quentin, qui est affecté à Saint-Marc, l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines écrit : “La France”, il pourrait dire l’homme, le blancisme, ce sont là des termes interchangeables, “est un monstre que la terre engloutit trop lentement”. Le Général Mauvais - dans le sens nègre du terme, soit intrépide et invincible -, Dessalines, répond au petit général français, Quentin, par l’affirmative et fait reposer son action, qui est de ne pas se soumettre à la France, sur la mauvaiseté - dont le sens est ici négatif -  de l’homme, le blancisme, et l’intransigeance et invariabilité du MUN. Cela est une obligation suffisante. 




Aucun hommal ne peut résister au “Muc”. Dès que l’homme fait face au Mun, le “Muc” émerge spontanément et l’homme, sous quelque idéologie qu’il se présente, blancisme ou autre, s’écroule dans le déséquilibre qui le caractérise, c’est-à- dire le “ monstre “, selon l’usage dessalinien, en poussant des cris de mort béants. C’est, certes, le spectacle de la faiblesse et, par conséquent, la lâcheté. 

 

La situation dans laquelle se trouve le blancisme avantage l’Empire d’AYTI en lui permettant d’aller jusqu’aux confins de sa Divine Mission, soit au-delà de la Population Nègre, les autres peuples. Plusieurs personnes dans leur sein peuvent faire l’expérience de la vidité qui caractérise leurs ensembles respectifs, ces peuples. Ils peuvent ne pas savoir quoi faire dans ces circonstances. Ayant accédé à la situation de débarque dans laquelle elles se trouveraient, l’Éminent Savant Jean Jacques Dessalines les invite à prendre la voie de l’Empire d’AYITI, leur point de Salut, érigé pour elles aussi. Ainsi l’Éternel Empire d’AYITI fait le plein de lui-même en sa qualité d’extérieur munal institué. L’Empire d’AYITI EST pour tous et toutes, quelque soit leur teint. Il est l’essence de tout le monde. Le lakort munal y a sa place et l’Empire d’AYTI le prend à sa charge. 


« J’ai levé mon bras, trop longtemps retenu, sur leurs têtes coupables.» Dessalines

Voilà le monde d’aujourd’hui, tel qu’il est vraiment, sans rien ajouter ni retrancher, plongé à pic dans l’océan de l’esclavagisation ! Les libres, noir-e-s et hommes de couleur, sous l’impulsion de l’hommalité blanciste en eux, une boisson rangée, ont, le 17 octobre 1806, signé un chèque en blanc au blancisme. Fallait-il que cela arrive ? Nous y reviendrons. Ce qu’il faut garder présent à la pensée, c’est la continuité de la cime de l’horreur chez NOUS et partout sur la planète terre en dehors de la pleine action de l’Éternel Empire d’AYITI. Cela ne nous a pas surpris, surtout pour ce qui est des génocides et de l’esclavagisation sous toutes ses formes chez Nous : “ Le jour est arrivé, ce jour qui doit éterniser notre gloire, notre indépendance.


S'il pouvait exister parmi vous un cœur tiède, qu'il s'éloigne et tremble de prononcer le serment qui doit nous unir.


Jurons à l'univers entier, à la postérité, à nous-mêmes, de renoncer à jamais à la France, et de mourir plutôt que de vivre sous sa domination.

De combattre jusqu'au dernier soupir pour l'indépendance de notre pays ! Si jamais tu refusais ou recevais en murmurant les lois que Notre Dieu qui veille à tes destinées me dictera pour ton bonheur - BLRZ -, tu mériterais le sort des peuples ingrats.”. Il nous a prévenus, Jean Jacques Dessalines.



Il y a plus. Nous savons aussi que le blancisme ne renoncera jamais à lui-même. Esclavagiste-est-il, esclavagiste sera-t-il : “S'ils trouvent un asile parmi nous, ils seront encore les machinateurs de nos troubles et de nos divisions”, le Général-Savant Jean Jacques Dessalines. Le Grand Savant Négro-gelefween a déjà affirmé qu’ils n’étaient pas comme nous, gens de “Muc” : “ Qu'avons-nous de commun avec ce peuple bourreau ? Sa cruauté comparée à notre patiente modération ; sa couleur à la nôtre “. Ce dernier point, le blancisme le crie sans cesse, il en a même fait le principe anthropologique et la base de l’idéologie, le blancisme. Ils sont tellement loin de NOUS, Être de “Muc”, qu’ils proclament fièrement leur nature d’esclavagisant : ““Je veux des esclaves dans les colonies. La liberté est un aliment pour lequel l'estomac des Nègres n'est pas préparé. Je crois qu'il faut saisir toutes les occasions pour leur rendre leur nourriture naturelle sauf les assaisonnements que commandent la justice et l'humanité. Je crois qu'il faut envoyer une force considérable en Guadeloupe, non pour la réduire à ce qu'elle était mais à ce qu'elle doit être”, Vice-amiral Denis, duc Decrés (1761-1820), ministre de la Marine en 1801 Décrès, le 14 novembre 1801, à l’annonce de la proclamation de l’Indépendance de nos Ancêtres au Karukera, dit Guadeloupe. Ce sont ces êtres bizarres de nature, des “monstres”, soutient Jean Jacques Dessalines, qui se regroupent avec les libres de couleur et les noir-e-s libres sous l’appellation délétère : république d’Haïti pour tout chambarder dans le monde et terroriser la planète entière.  


En s’installant illégalement sur le Territoire de l’Éternel Empire d’AYITI, la stratégie blanciste consiste à bloquer la diffusion de l’Empire d’AYTI au niveau interne, puisque l’objectif est d’enterrer même le Nom de Jean Jacques Dessalines, ce qui se solderait par l’effacement de tout, comme au niveau externe, national et international, dirait-on. S’il ne se passe rien à l’intérieur, à cause de l’action délétère de la blancismique, on ne peut rien espérer à l’extérieur; ce serait le vide complet. C’est le calcul rationnel du blancisme. Ainsi le Mal, essence interne du kokcn hcn dewqjmq, responsable du désastre mondial qui vaut ce nom à celui-ci peut se propager sans obstacle majeur. 


Sur un plan, le calcul se révèle efficace, sur un plan seulement. Les esclavagistes intègrent avec succès la philosophie politique de Thomas Hobbes dans la pratique de la politique. Ils renouvèlent le Mal de toujours sous un jour nouveau, autrement dit, un nouveau bluff anthropologicopolitique, à savoir l’invention du pouvoir par l’anéantissement de l’individu-homme par le renoncement à la partie la plus importante de lui-même, droit de se gouverner soi-même, et son renforcement par la démocratie, laquelle est la représentation, par le vote; quoi de plus cruel que d’humilier à ce point un être supposément pensant ! même si c’est pour garder toujours actuel le bluff fondateur; la doctrine libérale, dès le départ, et, plus tard, avec le communisme aussi, est le travail rémunéré, qui est la nouvelle forme de travail, toujour dans le giron de “l’esclavage”. Il faut bien comprendre que le régime libéral, une idée du philosophe anglais, Thomas Hobbes, n’est pas en lui-même la fin de l’esclavage, comme ils aiment à le dire, mais une légère modification à la chose, laquelle consiste à payer les travailleurs et travailleuses au lieu de continuer à les avoir à leur charge. Demeure la structure possédant et non-possédant. En plus, ici, les employeurs d’aujourd’hui sont les colons, les exploiteurs d’hier. On ne prévoyait pas de changement majeur dans le système d’esclavagisation. Il fallait, selon leur logique, se débarrasser de l’invention de Jacques 1er pour ne pas s’écrouler au cas où leurs gens accéderait à la science de l’Éternel Empire d’AYITI. Aujourd’hui encore ils courent le même risque. Leurs gens courbent le dos sous le poids du système, la vidité. Celui ou celle qui n’observe ni calcule ne voit rien du tout. Alors rien n’a changé, ce qui explique leur persistence à rééditer le 17 octobre 1806. Ils ont érigé un paravent devant la doctrine de l’Organisationnelle de Jean Jacques Dessalines, à savoir ne jamais renoncer à la Gwqmunité ni travailler pour un autre que soi, laquelle activité, selon les auteurs de la science de la politique même, notamment Aristote et Charles de Montesquieu, et les politiques, est propre aux sous-hommes. Il s’agit de deux points magistraux dans le domaine de la politique mais bons uniquement pour le sac à ordures, selon le Capital Penseur de l’Organisationnelle, l’Enfant élévé par Agbawaya Toya, Jean Jacques Dessalines. Seulement la présence de ces éléments sinistres sur la scène mondiale suffisent à tout chavirer sur la planète. C’est ce qui est arrivé, dont nous sommes tous et toutes les victimes quotidiennement. La responsabilité de tout cela indistinctement est directement imputée aux noir-e-s libres et aux hommes de couleur libres fidèles, puis aux blancistes, les parricides comme les tubabu des autres Territoires. 



Sans cette population de riens, dispersée partout sur la planète, l’Ofowu, sur la terre, serait très avancé au jour d’aujourd’hui. La planète vivrait bien, même loin de la Perfection, la Négro-divinité. C’est tout le contraire, ce que nous vivons. Nous sommes en proie à toutes sortes de maux. À chaque fois qu’un membre de l’Empire d’AYITI, ici comme ailleurs, se dresse contre le kokcn hcn dewqjmq pour enfoncer le Mal hommal, dominé par le blancisme, afin de faire avancer les choses, s’enragent les blancistes principalement et la classe des atha pour voler à leur secours. Dans tous nos Territoires, cela se passe de la même façon. Sur le Territoire Impérial, comme ailleurs, le blancisme recrute même des membres de la famille pour assassiner ou l’assister dans des assassinats de gens qui le bloquent dans le kokcn hcn dewqjmq. La Famille Impériale n’en fait pas exception, il y en trouve des cas perdus, quand il cherche à rééditer le 17 octobre 1806 pour bloquer la démarche de l’Éternel Empire d’AYTI, laquelle consiste à faire échec à l’esclavagisation et leur renvoi au tribunal pénal international   



Sur le continent ancestral se forme un groupe de tubabu, fortement attachés au blancisme, bactérie mangeuse de Négresses et Nègres, au grand désavantage des Nègres et Négresses de toujours. Ils s’en prennent avec rage à notre mode existentiel dans le monde au bénéfice de l’hommalité, surtout la blancismité. Ils s’érigent en originels sur notre continent. C’est comme si nous n’avions jamais été. Ils prennent en main l’avenir de Nos gens, soit nos Royautés, la Population qui, depuis toujours, a en sa possession le Salut de la planète terre, laquelle Population, par le Dqmbala de la Divinité, a atteint aujourd’hui le point culminent sous l’appellation d’Éternel Empire d’AYTI au Masuana. Ces tubabu forment une terre desséchée. Mais ils sont tellement enfouis dans le fin fond du Mal, doctrine du pic de l’horreur, qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils se dirigent tout droit vers le néant.   



La classe des riens est un élémént essentiel dans les malheurs sans nombre qui frappent aveuglement des gens de l’Empire d’AYITI et la planète terre. Ils font du kase-kuvwi en tout en tentant d’obscurcir la main du blancisme dans tout ce qui est contraire à la loi et tous les crimes contre l’humanité, dont il est l’auteur. Ce ne sont pas eux qui intenteraient la poursuite contre les blancistes devant le tribunal pénal international pour crime contre l’humanité. Au contraire ils les obscurcissent et n’en parlent jamais. Là où on en parle, s’ils sont présents, ils font le mort en jouant au sourd et muet. Quand les blancistes interviennent sans se couvrir, parce qu’il n’y a pas d’autres moyens, pour couvrir l’évidence, si cela était possible, ils parlent de la chose, en somme de l’acte esclavagisant, comme si tout était bien. On n’appelle pas l’action par son nom. On en fait vite un débat conformément à la normalité sans passer par un chemin qui lui donne accès à celle-ci, un recours à l’arbitraire. On provoque souvent de faux débat, par des oppositions néant, dans le but d’occuper la pensée des gens et de la garder loin de l’inacceptable. C’est fort souvent redondant parce qu’il ny a pas beaucoup de sujets de discussion ou d’opposition pour maintenir la pensée des gens loi de la scène de l’horreur, par exemple, des morts à n’en plus finir, qu’on est en train de leur filer, n’importe quoi pourvu que cela valide l’indescence. Ils sont fabriqués pour ça, protéger leur maître, au sens aristotélicien du terme. Le blancisme joue le petit groupe comme une toupie. Eux, les libres inconditionnels, ils ont tellement l’habitude de jouer ce faux jeu qu’ils se placent en paravent même quand il n’y a rien à opacifier, devant l’évidence. C’est la folie furieuse. On dirait que leur munité foire. Ils sont incontestablement des riens, parce que sans “Muc”, comme le veulent les blancistes, la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres.  



Le blancisme recourt aux organismes internationaux pour donner un semblant de légalité à ses actions. Cela évidemment est idiot puisque la base est illégale. La légitimité et la légalité des choses ne résident pas, et ne peuvent pas résider, dans les organismes internationaux, lesquels s’enracinent dans le blancisme, le Mal à déraciner. C’est tautologique. L’illégitimité n’engendre pas la légitimité ni l’illégalité la légalité, dans le sens de théorème. L’hommalité est, par définition, en dehors de la Divinité et, par conséquent, de l’Ancestralité qui en découle. 




Un groupe de criminel-l-e-s maîtrisant leur tâche

La classe des riens qui assistent les ennemis des Négresses et Nègres ont la munité déshydratée, c’est-à-dire qui perdu au sujet de soi-même par des discours qui tiennent du flan, soit vides. Pour arriver à la munité déshydratée, il faut agir, d’abord, dans la pensée claire que l’adversaire n’est pas ce que l’on pense de lui ou d’elle. On va alors l’amener à faire sienne une pensée contraire et contradictoire qu’il ou elle en fera sa croyance à son désavantage. C’est une âme dérangeant qu’on lui fabrique et qui sera son point de penser et d’agir. On vise à le ou la situer dans une situation délétère . En d’autres mots l’ennemi agit en toute connaissance de cause. Il est donc coupable en tous points. C’est cela l’esclavagiste, criminel-le de haut rang.  


Nous, Négresses et Nègres, nous avons une histoire, celle de Notre Dieu, Bon Dieu, laquelle histoire émane du “Muc”, Chose de celui-ci, dont Jean Jacques Dessalines est la Manifestation, celui que nous portons toutes et tous en chacune-chacun de nous et celui qui nous abrite tous et toutes en lui. De nos Royautés Ancestrales, de Jelefwe à l’Empire d’AYITI, sur l’Île d’AYITI, au Masuana, NOUS SOMMES LE “MUC”, en soi, par soi et pour soi, autrement dit, Indomptable et Insoumis-e-s. Nos Royautés Ancestrales et l’Empire d’AYTI sont invariables et irréversibles, ils assurent la stabilité de la planète terre. Rien ni personne ne peut renverser les choses. 


Le “Muc” d’aujourd’hui est le même d’hier : “Tel un torrent débordé qui gronde, arrache, entraîne, votre fougue vengeresse a tout emporté dans son cours impétueux. Ainsi périsse tout tyran de l’innocence, tout oppresseur du genre “humain” munal @, Dessalines, 28 avril 1804.



Aucun ordre ne vient ni ne peut venir en dehors de Notre Territoire parce qu’ici c’est l’Empire d’AYITI, Notre Être Munal, le “Muc”, Être en Soi, Par Soi, Pour Soi.




Le Décret est entré en vigueur le 4 septembre 2024.



Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang,                                                                                              présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais

englouti :


HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles

Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

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