Décret Négress et Nègre : puissance et certitude

 



Négresse et Nègre : Puissance et Certitude



La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 x = © Tous droits réservés



q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   Ä = on, ñ



Le Décret 0000000Négresse etNègre,Puissance et Certitude29 août 2024 00000007



Négresse et Nègre : Puissance et Certitude


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q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   Ä = on, ñ



Le Décret0000000NégresseetNègrePuissanceetCertitude29 août 2024 00000007


Négresse et Nègre, Puissance et Certitude

Sans s’arrêter un instant et penser profondément, on n’accèderait pas au lien logique de ces trois mots et, par conséquent, à leur intelligence propre. Cet exercice, qui est d’importance salvatrice, est pourtant ignoré à cause de la situation cataclysmique; le kokcn hcn dewqjmq, qui prévaut sur la planète terre. Et c’est de cela que l’exercice tient toute son importance. La solution au kokcn hcn dewqjmq est trouvée et portée par la population négro-gelefweenne, les Indigènes de la terre. Il ne faut pas entendre par-là qu’elle est en chacune-chacun. Le teint ne fait pas l’être. Il situe l’origine physique des gens de l’être. La solution est l’oeuvre de la direction que le groupe de Négresses et Nègres s’est donnée. Le statut de rien qui leur est unanimement attribué dans la culture de violence en vogue sur la planète, pour mieux atteindre l’objectif qu’ils, les gens les plus turbulents de ce Mal, poursuivent, opacifie, dans les groupes adverses, leur Puissance, la Puissance Nègre, cela même au sein des Nègres et Négresses. Si paradoxal que cela puisse paraître, c’est là même qu’il, le blancisme, détient, par tête, le record d’adeptes. La valse du plus grand Mal qui soit est plus fièrement dansée et louée par des gens de ce teint dans le monde. Cependant cela n’a aucun effet sur la Puissance que nous sommes et que nous représentons dans le monde. 



Négresse et Nègre

Tout d’abord les éléments de la population nègre ! Celle-ci compte énormément sur la terre non pas à cause du teint, si exceptionnel soit-il, ni le nombre, ni la supériorité des capacités du connaître, mais de la véracité des conclusions tirées de ses calculs en cette matière, concernant le mun, être ofowu, notre être. Le diagnostic du monde que nous avons posé dans le Décret du 14 août 2024 en est la preuve irrévocable. En résumé nous avons détruit l’illusion selon laquelle l’être que nous sommes est ”individuel”, dans le sens d’éléments singuliers indépendants, sans affinité naturelle, ce qui précède l’actuel, entre eux, qu’il est traversé par une force impitoyable, soit déchaînante et dévorante, dont l’objectif est de se faire au détriment des autres, et que cet élan, si cruel soit-il, est la ligne de conduite à suivre. Elle dicte la morale et celle-ci mène à la politique, mode d’organisation qui doit déboucher sur l’esclavagisation, qu’ils dénommént esclavage, en guise de justification intrinsèque. Nous avons, toujours dans le diagnostic du Décret du 14 août, mis à nu le bluff de prépositivité et positivité, de moyen sûr de bien vivre et de la voie la meilleure. Nous y avons également mis en évidence l’identité fondamentale du prépositif et positif, leur mode commun d’agir, la violence et le pic de l’horreur, pour arriver à leur finalité. Les plus savqn du système positif, désordre-ordre, subordonnent à leur projet des gens qu’ils appellent pas-comme-nous afin de les utiliser contre ceux avec qui ils partagent les mêmes caractéristiques biologiques, et nécessairement contre eux aussi, puisqu’ils sont distincts. Ces gens sont comme eux, leurs dominants, insensibles et indescriptiblement cruels. Ils collaborent, avec panache, avec le maître contre leurs propres groupes respectifs. C’est effrayant ! Dans un tel contexte, les malheurs sans nombre sont tout ce qu’il y a de sûr et certain à récolter, cela sans répits. Rien ni personne ne peut faire échec à ces paroles, ce dont nous parlons. Ce sont des bÄnqyées. Parce que nous parlons et que nous travaillons sur des mesures légales contre ces bourreaux, ils en veulent à notre vie. Ils ont entrepris des démarches en ce sens et ont même planifié à maintes reprises la réédition du 17 octobre 1806, si c’était possible. Le rétablissement de l’Administration de l’Empire d’AYITI est l’adieu à jamais à leur rêve délétère. Leur situation est un sans-issue car ils ne peuvent pas s’échapper. Ils ont entrepris, depuis la reprise des activités de l’Empire d’AYTI, la politique de terre brûlée. Ils visent à tout détruire. Comprenne, celui ou celle qui est doué -e- de capacité de comprendre ! 



C’est NOUS et encore NOUS! Nous avons dénoncé l’actualité du Mal. Nous sommes la seule voie en ce sens mais nous ne nous contenterons pas de cela. Nous avons aussi identifié la cause, ici multiple, du Mal. Nous avons accédé à la science, au mieux, au dqmbala de nous-mêmes par la munsqmba, mode de réflexion sur l’être que nous sommes, en agissant ici. Nous avons suivi la logique de cette découverte en élaborant et en édifiant la manière d’être extérieur, l'Éternel Empire d’AYTI, qui lui est propre. L’Edifice Salutaire, l’Empire d’AYITI, est désormais au cœur du monde. Sa seule présence dénonce, réconforte et sauve. Les témoignages sont légion. En effet, après avoir mis en exergue ce par quoi le Mal est entré dans le monde, c’est-à-dire la soumission mentale des autres à soi et l’effort extérieur, cela en tous points, de le faire advenir, soit la concrétiser ou lui donner une sensibilité, nous avons, par une réflexion à contresens, le sens de la première, présenté à nos gens, et au monde, le Mouvement originel de l’être que nous sommes, à savoir le MUN, lequel Mouvement est en soi, par soi et pour soi, cela en tout premier lieu et, en second lieu, par l’effet ou le bénéfice du Mouvement en Notre Dieu, Bon-Dieu, par Notre Dieu et pour Notre Dieu, somme toute, l’inscription de la divinité en lui. Il n’y a là rien d’étonnant à cause de la manière où il est entré dans l’êtralité. Cela ne nous subordonne pas à la Divinité, la Seule qui soit, mais nous rend à nous-mêmes, une Substance qui, en tous points, est Divine. Ce que tout cela veut dire : Nous sommes originaires, au mieux, nous découlons de l’Essence Divine, qui est, de ce fait, la Nôtre aussi, à hauteur de notre constitution. Ainsi nous sommes une nécessité de cette Essence, Celle de Notre Dieu, Bon-Dieu. C’est pourquoi il faut que Nous agission ou Nous agissons tout court, sans aucune modalisation, en Nous-mêmes, par Nous-mêmes et pour Nous-mêmes, la finalité immédiate, et, par conséquent, ce qui logiquement se solde en agir en Notre Dieu, par Notre Dieu et pour Notre Dieu, la Divinité que Nous sommes et la finalité seconde, qui est la Production Première qui, à travers elle-même, continue, autrement dit, la Production Originelle qui se révèle continuelle, production par la production, soit la générationnelle au bénéfice du Mouvement, la Propriété de Notre Dieu. Voilà la cause de la nécessité de notre présence ! Cette marche ou ce mouvement est inapte à dévier ce qu’il est en lui-même, la Substance Divine, en se soumettant à un autre que soi. La plante n’est soumise à rien. Elle est en soi, par soi, pour soi. Il en est de même pour la bête et la substance animale. Le phénomène ofowu dit phénomène naturel est le fruit des Conditions Divines des choses concernées, lesquelles sont toutes en elles suffisantes, par conséquent, il est en soi, par soi, pour soi. Le Phénoménal Savant Jean Jacque Dessalines, À Jamais Vainqueur du blancisme, celui à qui nous devons tout ce savoir, en essence, ancestral, dit ce qui suit : ”Le peuple, habitant l’Île ci devant appelé St Domingue, convient ici de se former en État LIbre, Souverain et Indépendant de toute autre puissance de l'univers, sous le nom d' Empire d' Hayti. L'esclavage est jamais aboli “. Que l’on comprenne bien ce qui est exprimé ici et cela ne pouvait pas être logiquement autrement. Nous venons de voir que les Choses, par leur Essence Divine, agissent en soi, par soi et pour soi. C’est dans cette pensée que Jean Jacques Dessalines affirme que le Peuple, c’est-à-dire NOUS, qui est une Chose, et par conséquent une puissance, n’a de compte et ne peut avoir de compte, à rendre à aucune autre puissance de l’univers. Elles n’ont pas de compte à nous rendre non plus. Toutes les Choses sont en état d’immanence dans la Divinité et elles sont toutes indépendantes les unes des autres par leur individualité propre. Celle-ci est par leur transcendance. C’est un champs de Gwqmun, d’êtres en soi, du coup “L’esclavagisation - l’esclavage - est à jamais aboli”. Cette proposition est la conséquence de la première. La logique de Jean Jacques Dessalines est implacable.



Revenons, un tout petit peu, en arrière ! Comprenons bien ce qui est aboli par la Gwqmunité ! “L’esclavage”, suivant le savoir historique de la chose, est la soumission à un autre que soi ou le fait de se faire dicter par un autre sa conduite ou d’exister dans la pensée d’un autre que soi. Le La ou l’univers, pour reprendre le vocabulaire, le fait d’être un champ de Gwqmun, d’êtres agissant en soi, par soi et pour soi, selon la pensée, au mieux, la bÄnqyée ancestrale, “l’esclavage”, l’esclavagisation, en terme exact, n’y a pas sa place. Par conséquent il est à jamais, non pas pour un temps, aboli par l’Édification de l’Éternel Empire d’AYTI, lequel est une Gwqmunité, Acte de se mener soi-même, cela conformément au dqmbala des Choses ou de la Divinité, Source de la conduite en soi, par soi et pour soi, qui traverse le La. Jean Jacques Dessalines demande au Peuple constitué par les Ancêtres de conserver lui-même le “Dépôt Sacré”, soit la Gwqmunité, acte de se mener soi-même. La prescription du Plus Que Grand émane de la Concordance Nécessaire de la Divinité Transcendante des Choses. À la suite de cela ne soutient-il pas que “La concorde est la clé de tous les succès” Le Nom donné au Peuple Gwqmun, qui ne prend pas d’ordre des autres ou à qui l’on ne dicte pas sa conduite, est l’Empire d’AYITI. C’est tout ça et rien que ça la Résistance Gwqmunale Ancestrale débouchant sur l’Éternel Empire d’AYTI. Nous avons vu plus haut ainsi que dans le Décret du 14 août 2024 que la planète terre s’est enfouie dans un kokcn hcn dewqjmq dû au fait de marcher dans la pensée d’un autre que soi. Jean Jacques Dessalines, en guise d’opposition, énonce: “Marchons sur d’autres voies”, soit Notre Être Munal, dont la forme sensible dans le monde est l’Éternel Empire d’AYITI. L’Empire d’AYTI est incontestablement le Katel, équilibre holiste, de la planète terre, et l’Empire d’AYITI, par ses propriétés ou sa substance munale, est NOUS.   



Pour comprendre la Démarche Impériale de Jean Jacques Dessalines, il faut se garder de se limiter aux énoncés et surtout à leur premier sens, le locutionnaire. Il faut approfondir et approfondir d’avantage. Tout d’abord cela nécessite la connaissance de l’Ancestralité car ce n’est pas une œuvre libre. Nous appartenons à un Ensemble; il y a forcément des éléments inviolables. Les sciences élaborées par nos Ancêtres sont indispensables et nécessaires dans l’étude de la Dessalinienne. Les énoncés de Jean Jacques Dessalines sont tirés de ces dqmbala, lesquels sont des conclusions de l’observation du La, dont les Ancêtres en sont les sujets. L’Empire d’AYITI, en considérant tout cela, est le fait de la science ancestrale ajustée aux nouvelles expériences de nos Ancêtres, de Gelefwe au Masuana, et travaillée par Jean Jacques Dessalines. D’où sa particularité enfouie en son Fondateur, Jean Jacques Dessalines même! 



Puissance

L’OEUVRE, Empire d’AYITI, est d’une belté excessive. Ce trait est commandé par la situation dans laquelle nous vivons. Jean Jacques Dessalines lui-même a prévenu, dans sa Lettre du 15 février 1804, que sa Grandeur allait convaincre nos ennemis naturels qu’il avait raison d’affirmer que nous n’étions pas des “esclaves”: “« c’est ma volonté, dit-il, à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté (Gwqmunalité), non l’opinion d’un amas d’esclaves, mais celle d’hommes (MUN) qui prédilectent leur indépendance aux préjudices de cette considération que les puissances n’accordent jamais aux peuples qui, comme vous, sont partisans de leur propre liberté,(soit la Gwqmunalité) qui n’ont pas eu besoin de mendier des secours étrangers pour briser l’idole à laquelle nous sacrifions. » Ce que fait Jean Jacques Dessalines à travers cet énoncé, est phénoménomonumental, qui surprend et astreint les ennemis naturels des Négresses et Nègres à la haine renforcée, la bassesse, la prostitution, la frayeur à tout vent et jusqu’à ... Le blancisme qui adore être très confortable dans la cime de l’atrocité se voit plus que jamais débousselé devant l’affirmation de soi et la soif de vivre des Nègres et Négresses, appelée l’Éternel Empire d’Ayti. Ils sont tout plein de soi et sont en adoration devant celui-ci. Nègres et Négresses se savourent à pleines dents et se boivent à grandes gorgées Ils se protègent contre vents et marées. Face au danger, ils sont prêts à le braver sous le cri de l’être, à savoir que ne compte que la vie. Le SOI, par le savoir et s’y adonner pleinement, rend indiscutablement fort et puissant. La loi de la vie est de tout faire pour être en soi, par soi et pour soi car être c’est être en soi, par soi et pour soi. Tout d’abord, comme nous l’avons vu avec Bukmqn, Jean Jacques Dessalines affiche avec force l’être qu’il est. 



Il est un fait irréfutable que Négresse comme Nègre, par la munsqmba, ont une connaissance claire de ce qu’ils sont. Cette science les remplit d’eux-mêmes. Ils se veulent insatiablement. Ce désir infini de soi produit un désir aussi infini de se protéger. Le second désir appelle la maîtrise du milieu en rapport à son salut. Les négresses et Nègres sont toujours prêts à déployer, sans bornes, toutes les forces nécessaires pour se maintenir dans l’être qu’ils se savent être. La pleine rage de se protéger en fait une puissance avérée. C’est le Général Jean Jacques Dessalines qui spontanément disait, en réponse à la demande de soumission à la France qui lui est adressée par le général en chef, Toussaint L’Ouverture : “Il vaut mieux mourir l’arme à la main”. Il poursuit en ces termes : “s’il nous faut périr victimes de la plus juste des causes, laissons après nous le souvenir honorable de ce que peut l’énergie d’un peuple luttant contre les fers, l’injustice et le despotisme.” Dessalines. Le Général Dessalines se sent puissant, voire très puissant, quand il s’agit de protéger le Mun qu’il est. Et il est effectivement, comme tous les autres Nègres et Négresses en qui habite l’Ancestralité, en pleine rage si l’on veut toucher à son soi, ce joyau, “« J’ai levé mon bras, dit le Général Jean Jacques Dessalines, trop longtemps retenu, sur leurs têtes coupables. À ce signal, qu’un Dieu juste a provoqué, vos mains, saintement armées, ont porté la hache sur l’arbre antique de l’esclavage et des préjugés. En vain le temps, et surtout la politique infernale des Européens, l’avaient environné d’un triple airain; vous avez dépouillé son armure, vous l’avez placé sur votre cœur, pour devenir (comme vos ennemis naturels) cruels, impitoyables. Tel un torrent débordé qui gronde, arrache, entraîne, votre fougue vengeresse a tout emporté dans son cours impétueux. Ainsi périsse tout tyran de l’innocence, tout oppresseur du genre humain”, Dessalines, 28 avril 1804. Les Nègres et Négresses n’ont pas de limite à respecter devant la protection de l’être, leur être : “« Oui, nous avons rendu, à ces vrais cannibales, guerre pour guerre, crimes pour crimes, outrages pour outrages », Dessalines. Ce n’est pas se cacher dans les airs, loin, très loin, du théâtre de la guerre et contre-guerre en train de larguer des engins destructeurs. Ce n’est pas cela, se battre. C’est même la lâcheté, le refus d’affronter. Cette façon de faire est celle des assassins. Venant des blancistes ou des hommes, cela se comprend. 



La puissance est aussi l’effet de la victoire répétée laquelle entraîne la confiance et la pleine croyance en soi. Notre Dieu, Bon-Dieu, n’est jamais loin des productions en vue de sa Manifestation continuelle, Jean Jacques Dessalines nous en informe « Qu’elle vienne cette puissance assez folle pour m’attaquer! Déjà, à son approche, Notre Dieu, Bon-Dieu, Dieu d’AYTI, sortant du sein des mers, apparaît; son front menaçant soulève les flots, excite les tempêtes; sa main puissance brise ou disperse les vaisseaux; à sa Voix redoutable, les lois de la nature obéissent; les maladies, la peste, la faim dévorante, l’incendie, le poison volent à sa suite ». Cela est on ne peut plus rassurant. Notre Dieu n’intervient pas dans nos affaires pour nous dicter notre conduite, cela est un trait du faux dieux; par exemple celui des hommes; du blancisme et ses pairs. Mais l’assurance par la puissance nous amène à refuser dès fois : “Mais pourquoi compter sur le secours du climat et les éléments?, dit Jean Jacques Dessalines, Ai-je donc oublié que je commande à des âmes peu communes, nourries dans l’adversité, dont l’audace s’irrite des obstacles, s’accroît par les dangers? Quelles viennent donc ces cohortes homicides! Je les attends d’un pied ferme, d’un oeil fixe.”Dans une autre circonstance, Jean Jacques Dessalines affirme : “ Le moment approche où vous allez moissonner de nouveaux lauriers. Ne vous enivrez pas de quelques succès peu dignes de votre valeur, obtenus sur des hommes abâtardis et dégénérés; songez que vous avez à combattre des ennemis entreprenants, fameux par les forfaits dont ils se sont noircis, mais qui ont plus d’une fois senti la pesanteur de votre bras, et dont la destinée sera toujours vaincue par votre constance héroïque. Des sièges à soutenir, des assauts à livrer, voilà ce que vous prépare la conclusion prochaine de la paix en Europe. Ils vont luire enfin, ces jours marqués pour consolider en ces lieux l’édifice de la liberté et de l’indépendance. Sachons en profiter. Sur quelque point la destinée de ce pays appelle ma constance, vous recevrez de moi l’exemple de vivre et de mourir en hommes libres. Pour vous, fidèles à vos serments et vos plus chers intérêts, courez perfectionner ces fortifications que vos mains ont élevées; que votre ingénieuse audace n’apprête à vos tyrans que la honte réservée à leur entreprise criminelle”. Là c’est la puissance qui s’affirme. Nous nous sentons capables aussi de le faire, sans contester l’intervention de Notre Dieu. Il est appelé à le faire, nous protéger contre le vide parce que cela relève de la Manifestation de sa Présence.  



La protection dont parle Jean Jacques Dessalines est affaire de l’Empire d’AYTI, lequel est un, un Mun, par la yunité. Tout membre de l’Empire d’AYITI en est le défenseur, selon la Constitution, publiée le 20 mai 1805 à Dessalines, Capitale Impériale. Ils sont tous et toutes des Soldats et Soldates. Le contexte actuel nous a permis de renforcer notre puissance car, dispersé-e-s un peu partout sur la planète, ils bénéficient d’un moyen, hors de la Maison, de séquestrer, par un système de lois externes, nos ennemis naturels en action contre nous, soit le terrorisme, le génocide; l’esclavagisation - l’esclavage -, vol de nos ressources comme maître et propriétaire, sous rubrique : crime contre l’humanité. Atha, serviteur et servante, et blanciste connaîtront le même sort car ils sont coupables du même crime. Les citoyens et citoyennes de l’Empire d’AYITI, de par le monde, forment un seul corps, l’Éternel Empire d’AYTI. Ils sont appelés à recourir à ce moyen, plus précisément le tribunal pénal international, en plus des tribunaux de notre Territoire. Chaque lieu, endroit où ils se trouvent, détermine les modalités de collaboration pour y aller. L’Empire d’AYTI, Empire Ancestral, comporte la totalité de la Population Nègre de la terre, à l’exception des tubabu, les atha. Les tentatives de rééditer le 17 octobre 1806 en vue de protéger nos ennemis naturels en action contre nous du recours au tribunal pénal international pour terrorrisme, génocide, esclavage, etc., sont nulles parce que l’Éternel Empire d’AYITI est YUN. Le nouveau moyen que nous avons mis en œuvre contre nos ennemis naturels renforce notre puissance et, par conséquent, l'efficacité du processus de recours. Voilà l’Empire d’AYTI de nos jours, de plus en plus intraitable ! DESSALINES PI WRD !     



La certitude  

La certitude est la belté, ce qui fait briller, de l’Empire d’AYITI. Elle résulte premièrement du savoir, plus précisément, Dqmbala qui est à la source de l’Empire d’AYTI et deuxièmement de la puissance qu’entraîne le Dqmbala. La certitude est ce qui exprime chaque membre de l’Éternel Empire d’AYITI, Empire Ancestral, Empire de Toya-Dessalines. C’est dans la certitude de l’Empire Dessalines qu’est le Salut de la planète terre. Nous, Enfants de l’Empire d’AYTI, nous la matérialisation de la Certitude Salvatrice. Sa Majesté Jacques 1er martele le non-retour en arrière, autrement dit, la Victoire Irréversible de l’Éternel Empire Ancestral, comme suit : “ 

Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves”


La phrase de Sa Majesté Jacques 1er est celle que tous et toutes doivent régulièrement prononcer au réveil.


Que les Enfants de l’Empire d’AYTI accélèrent le processus de recours au tribunal pénal international pour éviter tout retard involontaire!


Que tous ceux et celles qui, avant la destitution de la république d’Haïti, ont collaboré avec le blancisme au désavantage de l’Éternel Empire d’AYITI et qui, même après, continuent de le faire, en toute connaissance de cause, avouent en public leur crime !


Le CQ, Comité de Quartier, statuera, en temps et lieu, sur la peinière.

Etc., etc., etc.


Le Décret est entré en vigueur dès le 1er septembre 2024.


Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang, présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :


HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn

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