fini la misère ! Voici comment: 1 - se gouverner soi-même, 2 - distribuer maintenant tous les biens et ressources à toutes et tous, d'abord, les plus déshérité -e-s ! Lisez !

 


Vivre enfin en soi-même, par soi-même, pour soi-même et être les propriétaires de tous les biens et ressources, cela immédiatement! Telle est la Volonté de Sa Majesté l'Empereur Jean Jacques Dessalines et des Ancêtres !


Décret 00000007sur la Structure Organisationnelle Impériale91820240000000

Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste


   LE PRINCE RASOIR




HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste



LE PRINCE RASOIR

ou

l’ADMINISTRATION IMPÉRIALE RÉTABLIE

AU PAYS ANCESTRAL, AYITI,

FONDÉ PAR L’INVINCIBLE

JEAN JACQUES DESSALINES, ÉTERNEL VAINQUEUR  

de Napoléon Bonaparte et du blancisme. 


Collection :  Au Nom de la Princesse Atala    

Dessalines D’Orléans

Fleur des Champs

Tome VI



Le Grand Livre de la Gestion externe selon la Concordance Munale

Deux-cents-treize ans plus tard

      17 octobre 1806 à 2019 



Les Éditions LOF





La Famille Impériale et la Ville de Dessalines prennent la parole 7 - 7 z = © Tous droits réservés




q = an, u = ou =, w = r, r = ê, c = in, h = ch, e = é,   Ä = on, ñ



Décret 0000000 7sur laStructure Organisationnelle Impériale9182024


Nous savons maintenant qui sommes-nous et à partir de ce Dqmbala, nous avons accédé à la connaissance, succincte, certes, de Notre Dieu, le La y compris. Cela suffit pour arriver à produire dans le monde sensible le mode de vie qui nous est propre, l’Empire d’AYITI, son maintien et sa défense contre vents et marées. C’est la Structure Impériale que nous exposons ici, soit le mode global de gestion.   



Nous avons vu que l’Empire est une yunité, une substance héritée de notre être munal. En fait l’Empire est à l’extérieur ou dans le

monde sensible ce que nous sommes en tant que mun. Nous avons clairement exprimé que la part munale par excellence consiste à ériger, en dehors, notre quintessence, l’Ubuntu, et que cela est ce qu’il convient d’appeler notre finalité immédiate. L’Ubuntu, qui est la yunité, est le fonctionnement de Soi, par Soi, pour Soi en plein accord avec les autres Individus, soit les Éléments du La. Faut-il comprendre que chaque Chose s’accomplit en elle-même sans aller au-delà de son espace propre, ce qui signifie, nulle Chose n’est en obstacle avec les autres. Les singuliers de l’Individu procèdent de la même façon, leur yunité, soit Ubuntu, est dans la dépendance et l’indépendance ou l’immanence et transcendance. C’est l’impératif du mun à construire le Soi, sa substance, à l’extérieur, soit le monde sensible, dont l’Érection effective est l’Empire d’AYITI. Il est la gestion de Soi - le Mun-, par Soi - encore le Mun -, et pour Soi - ici encore le Mun. Nous l’appelons aussi la Gestion Globale.    


Cette gestion est l’acte de se gouverner soi-même, que nous appelons la Gwqmunité. Écoutons, une fois de plus, nous disons bien, Écoutons, à ce sujet, les Immortelles Paroles de l’Enfant d’Agbawaya Toya, Jean Jacques Dessalines, Invincible Général et Éternel Vainqueur du blancisme : “Mon heureuse destinée me réservait à être un jour la sentinelle qui dût veiller à la garde de l'idole à laquelle vous sacrifiez : j'ai veillé, combattu, quelquefois seul ; et, si j'ai été assez heureux pour remettre en vos mains le dépôt sacré que vous m'avez confié, songez que c'est à vous maintenant à le conserver. Ce qui découle de ces Indescriptibles Paroles, c’est l’impossibilité de

renoncer ou de confier à un autre que soi la Gwqmunité. Un tel désistement est la marque de fabrique ou la base fondamentale de l’État de droit, confirmé par le vote, communément appelé la démocratie, et sans cesse renouvelé, un éloignement de soi, le Soi Munal, ce qui se solde par la

munité déshydratée, dont le fruit est l’hommalité, source de l’homme, instrument de la cime de la cruauté, dont le blancisme est la personnification. L’homme, qui est le blancisme - il se définit comme tel - est le dieux agissant à travers celle-ci, Bukmqn nous enseigne que ce dieux, qui est, en fait, l’homme, est la source de tous nos malheurs. Homme, blancisme, dieux - de la bible et ses semblables - sont des termes interchangeables. Nous comprenons bien pourquoi Jean Jacques Dessalines en parle en termes d’”un monstre”. Tout cela est dû au fait de s’écarter de soi-même, le MUN. Cela entraîne un grand désordre au niveau du Soi, notre être. L’être éloigné de soi devient l’homme. Nous, Nègres et Négresses, puisque nous sommes Indomptables et, par conséquent Insoumis-e-s, nous avons toujours été auprès de nous. Le monstre nous a empêchés de nous vivre pleinement, autrement dit, il était un obstacle à notre manière de nous vivre, soit d’exister, être en pleine conformité avec nous-mêmes. C’est ce qui nous a conduits à nous regrouper autour du Fils élevé par Agbawaya Toya pour qu’il, par ses talents et l’acte de s’adonner pleinement au Soi, fasse le nettoyage. À cause de sa nature d’entrave, Jean Jacques Dessalines le définit en “ennemi naturel” des Négresses et Nègres. Il suffit de s’éloigner de soi, le munal, par le renoncement de se gouverner soi-même, pour être déséquilibré-e- et, par conséquent, l’instrument du pic de l’horreur. Nos Ancêtres luttent pour rester dans la droite ligne du Soi, ce qui est nous, Être fait pour se mener soi-même.  Écoutons encore les Grandes Paroles du Plus Que Grand, Jean Jacques Dessalines : “Nous avons osé être libres, osons l'être par nous-mêmes et pour nous-mêmes ; imitons l'enfant qui grandit : son propre poids brise la lisière qui lui devient inutile et l'entrave dans sa marche. Quel peuple a combattu pour nous ! Quel peuple voudrait recueillir les fruits de nos travaux ? Et quelle déshonorante absurdité que de vaincre pour être esclaves. .... “Marchons sur d'autres traces “, les nôtres. Le Mbwa de nous conduire nous-mêmes est irrévocable, irréversible : “ Ce n'est pas assez d'avoir expulsé de votre pays les barbares qui l'ont ensanglanté depuis deux siècles ; ce n'est pas assez d'avoir mis un frein aux factions toujours renaissantes qui se jouaient tour à tour du fantôme de liberté que la France exposait à vos yeux ; il faut, par un dernier acte d'autorité nationale, assurer à jamais l'empire de la liberté dans le pays qui nous a vu naître ; il faut ravir au gouvernement inhumain, qui tient depuis longtems nos esprits dans la torpeur la plus humiliante, tout espoir de nous réasservir ; il faut enfin vivre indépendans ou mourir”. Ces Paroles Géantes sont prononcées le premier janvier 1804, le jour du “dernier acte d’autorité nationale”, lequel n’est pas la proclamation de l’Indépendance, comme le disent les histo-à-riens, mais le gouvernement de soi, en soi : “marchons sur d’autres traces”, par soi : “c'est à vous maintenant à le conserver” et pour soi : “ Voici la résolution, soutient Jean Jacques Dessalines, qui sera désormais la base fondamentale de notre Constitution : Aucun blanc, quelle que soit sa nation , ne mettra le pied sur ce Territoire, à titre de maître ou de propriétaire, et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété”. C’est le résultat invariable et irrévocable de la Gwqmunité, Mbwa de se gouverner soi-même, soit une propriété de l’être que nous sommes, le mun. Dans la même ligne et avec Puissance et Certitude, Jean Jacques Dessalines affirme :“Si quelques considérations justifient à mes yeux le titre auguste que votre confiance me décerne, c’est mon zèle, sans doute, à veiller sur le salut de l’Empire, c’est ma volonté à consolider notre entreprise, entreprise qui donnera de nous, aux nations les moins amies de la liberté non l’opinion d’un amas d’esclaves, mais celle d’hommes qui prédilectent leur indépendance aux préjudices de cette considération que les puissances n’accordent jamais aux peuples qui, comme vous, sont partisans de leur propre liberté - Gwqmunalité -, qui n’ont pas eu besoin de mendier des secours étrangers pour briser l’idole à laquelle nous sacrifions. Cette idole, comme saturne, dévorait ses enfants, et nous l’avons foulé aux pieds. Mais n’effaçons pas ces souvenirs récents de nos infortunes imprimés dans nos âmes, ils seront des préservatifs puissans au service de nos ennemis, et nous prémuniront contre toute l’idée d’indulgence à leur égard.  Si les passions sobres font les hommes communs, les semi-mesures arrêtent la marche rapide des révolutions.” La conduite de soi en soi, par soi et pour soi est une nécessité de l’être munal. L’Indépendance, dans le sens négro-gelefween, est la Gwqmunité, acte de se diriger soi-même. 



La structure impériale

L’Empire d’AYITI, disons-nous, est yun, il est alors inséparable. La structure de l’Empire d’AYTI, par ses fonctions, se forme en trois Constituants. Les Constituants sont les Compétences de l’Ensemble. Elles sont le lieu où s’exercent les capacités des membres ou des Enfants à l’avantage de la satisfaction des intérêts de toutes et tous. Les trois Compétences ou Constituants sont le Principat, la Direction Générale ou DG et le Comité de Quartier ou CQ. Ce n’est pas une hiérarchie mais des occupations qui s’interpénètrent ou se complètent mutuellement. 


Le Principat 

Le principat est l’Autorité de l’Empire d’AYITI, qui est une yunité, faut-il le mentionner. L’Autorité est en tout premier lieu la Substance de Jean Jacques Dessalines, c’est-à-dire le Peuple, l’interpénétration des Bader, singuliers munaux en mode ofowu, soit en pleine conformité avec leur divine munité, des mun tout de bon, et en second lieu, une conséquence du premier, la Direction Générale, sous le même modèle du Commandement de la contre-guerre, à savoir prendre des décisions générales au bénéfice de la Cause et de chacune-chacun, ici encore, une interpénétration des deux. Dans l’Empire d’AYTI, la Cause demeure, elle est sous-jacente à la communication avec le dehors et ce qui est bénéfique à l’Institution Impériale même, soit le Général, à titre d’exemple, chaque membre doit être un bon soldat, interdiction de banqueroute et de déshériter ses enfants, la séparation des biens et ressources à tous et toutes, fournir les moyens de satisfaire les intérêts, veiller au respect de l’ofowuité et l’Ancestralité. Dans un sens comme dans l’autre, tout est au bénéfice de la yunité. Il s’ensuit que l’Autorité ne dicte pas aux Enfants leur conduite. Celle-ci se produit quotidiennement, ce, en tout, par le Peuple-État. L’Autorité a vocation d’aplanir la voie nécessaire. 



L’Autorité Impériale n’est pas politique ou esclavagisant car elle ne subordonne pas. On y trouve Le Prince ou La Princesse, soit l’Empereur ou l’Impératrice, la Famille de Sa Majesté1er, à l’exception de ceux et celles qui ont collaboré et collaborent avec le blancisme, qui ont assassiné d’autres membres de la Famille Impériale, voire, dans certains cas, au bénéfice du blancisme, et qui souhaitent ou méditent la mort d’un des membres de la Famille Impériale, alors des exclu-e-s. Il accueille nécessairement les Enfants-membres de l’Empire d’AYITI pour faire ensemble le travail.  



L’Empire d’AYITI porte la responsabilité de faire et bien faire le travail, nul n’est exempt, dans le sens que c’est la part de tous et toutes. Cela est inconditionnel. Cependant dans l’ordre des Compétences de l’Ensemble, l’art de veiller à ce que tout se fasse dans la ligne munoancestrale relève du Principat. Il passe au peigne fin tout ce qui se fait afin d’assurer l’Empire d’AYTI que les choses avancent sans cesse dans la bonne direction. Alors il faut le savoir et l’expérience. Pour ce qui est de celle-ci, elle peut se développer sur place, en compagnie des autres. Cela nous fait penser à une école interne. 


La Direction Générale

Cette pensée nous introduit dans la deuxième compétence, qui est la Direction Générale ou DG. Ce que nous venons d’apprendre du Principat n’est pas tout son contenu. Il ne s’agit que d’une introduction. L’objet du discours est la structure de l’Organisationnelle dans le but de commencer à entreprendre les choses ou à se positionner. Pour en savoir plus, il faut consulter l’ouvrage ci haut mentionné. 



La DG s’occupe de tous les intérêts et préoccupations des Enfants de l’Empire d’Ayiti. Tout s’adresse à elle, à l’exception de ce qui ne relève pas de sa compétence. En règle général tout ce qui est immédiat dans la vie quotidienne ou qui forme celle-ci est sa responsabilité. Elle est organisée en ce sens. Il n’y a pas d’ordre hiérarchique mais immédiat. Chaque ordre est une sous-organisation avec ses responsabilités propres, lesquelles émanent des intérêts et préoccupations des Enfants de l’Empire d’Ayiti. Nous ne pouvons pas connaître à l’avance le nombre de sous-organisations qui constitueront la DG. Elles formeront à partir des intérêts et préoccupations qui seront exprimés.


Dans la DG il y a deux catégories de gestionnaires, ceux et celles qui travaillent sur les paniers de provisions, intérêts et préoccupations, et celles et ceux qui s’affairent autour des sous-organisations elles-mêmes, par exemple, s’assurer qu’elles ont tout ce qui est indispensable aux provisions sur lesquelles oeuvrent ses membres et le support qu’il leur faut. Cette dernière partie dépend de la DG, dans le sens qu’elle le produit de son propre cru. Ces gestionnaires vérifient aussi le travail en permanence et prêtent, au besoin, leur assistance aux gens.   


La DG est dotée d’un ou une responsable. Autour de cette unité se réunissent - le temps sera fixé par la Direction Générale elle-même; ça peut être une ou deux fois par semaine ou par mois; une chose est sûre, il ne faut pas que ce soit trop long - les gestionnaires qui gravitent autour des sous-organisations pour évaluer avec eux et elles le mode de travail et les résultats parce qu’elle doit constamment tenir informées les autres Compétences de l’avancement des choses. 



Chaque provision classée, soit finie, par la DG, sera acheminée vers le Principat pour une dernière évaluation et aux CQ pour les instruire de l’état de la provision en question.



Lorsqu’une provision est jugée satisfaisante par le Principat, il fera un rapport à la DG, qui exécutera la dernière partie du travail, soit donner une réponse favorable à le CQ et aux autres, puis tout le reste: Le Principat en instruira le CQ et les autres, pour ce qui de la fin de sa partie.  



Si la provision n’est pas tout à fait conforme à la munoancestralité, la pensée génératrice de l’Empire d’AYTI, et aux moyens disponibles, le Principat se charge de la réviser pour l’adapter à la réalité avant de la retourner à la DG pour ce qui reste à faire et qui dépend exclusivement d’elle et au CQ et aux autres afin d’en être instruit en attendant la communication de la Direction Générale. Dans le cas où il n’y aurait pas de possibilités en termes de moyens, le Peuple-État en serait averti et se prendraient les mesures nécessaires. Cela revient au CQ et la DG. 



Le Comité de Quartier

D’après tout ce que nous venons de voir, la DG et le Principat, même si les Constituants de la Structure Impériale sont une ligne droite, ne sont pas les premiers mouvements. Ils sont, en termes de formation, précédés d’un élément primordial et cet élémént est le Comité de Quartier. Tout part de là, c’est un fait logique. Le CQ donne au squelette de la DG ainsi que partiellement le Principat leur chair propre en leur envoyant les bras ou les têtes qu’il lui faut pour être en mouvement ou se tenir debout, à l’exception du Principat, qui est en partie ce qu’il doit être. En effet, du CQ, les Enfants de l’Empire d’AYITI, qui sont dotés de telles compétences, s’inscrivent, en tout premier lieu, pour le CQ, la DG ou le Principat. Les gens choisissent eux-mêmes leur champ d’activité, leur Compétence et, plus tard, à leur formation, leur ordre, puis la durée, laquelle n’est pas ni ne peut longue. 



Il est important de noter que l’activité au sein des Compétences est commandée par le Mbwa de la Gwqmunité. Elle signifie se gouverner soi-même. Chacune-chacun y est obligé-e-, elle n’est pas une imposition ,ais un élan constitutif de soi, un Mbwa. En s’inscrivant, on notifie son tour, qui, par le fait même, est déjà assuré. Le principe d’accession aux activités impériales est premier arrivé, premier servi. Pour les autres, ils attendent leur tour au tour suivant, sans avoir à signaler leur intention, sauf s’il y a un inconvénient de leur part. Cela ressemble au service militaire, à la différence, ça se répète ou on recommence plus tard. Dans ce sens, c’est presque jamais fini, si on tient compte de la vieillesse, puisqu’on peut revenir et on doit y revenir tant et aussi longtemps qu’on pourra. C’est la nécessité interne de la chose. 



le moment est venu de se demander par quel moyen se forme-t-il, le Comité de Quartier. La réponse est simple et savoureuse dans le sens que les Enfants qui constituent l’Éternel Empire d’Ayiti attendaient avec impatience l’arrivée de cette initiative. En effet chacun-chacune est invité-e à former soi-même, dans son quartier, un comité de gestion impériale, dont le nombre d’Enfants varie entre 500 et mille badr pour la participation effective de toutes et tous. Là où finit un CQ, même si c’est la maison voisine, commence un autre, ainsi de suite, jusqu’à ce que la ville ou la localité soit comblée. Une rue peut être divisée en plusieurs Comités de Quartier. Cela n’est possible que sur le Territoire Impérial. En dehors du Territoire, les Comités de Quartier ne suivent pas ce modèle parce que, en nombre d’Enfants de l’Empire d’AYITI, les rues, quand elles ne sont pas vides, sont clairsemées.  Alors les CQ se forment autrement, à la manière du possible, on y trouve effectivement des badr venant de tous les coins de la ville. Partout l’initiative de mettre sur pied le CQ doit venir de toi, toi-même. Chacun-chacune porte incontestablement la Gwqmunité, acte de se mener soi-même, et, par conséquent, l’obligation suffisante de se constituer avec les autres en CQ pour s’effectuer.


Les tâches et les métatâches

Le Comité de Quartier s’organise en fonction du lot de travail dont il a la responsabilité. Nous y revenons plus bas. Parlons de tâches ! Commençons par un point important, à savoir qu’il n’y a pas de prépondérance entre les Enfants puisque nous sommes en Impériatité. Il y a des gens et des tâches, qui ne sont pas des tâches de commandement mais de k⊗bialité, une sorte  d’entraide par l’assistance mutuelle alaw⊗badr, l’ensemble des singuliers munaux, ici, tous ceux et celles qui sont présents. Alors les tâches réclament des mains et, comme dans toutes les Compétences, elles commandent aussi d’autres tâches pour leur accomplissement, en résumé des tâches et des métataches. Elles sont comblées, ces tâches, par le même principe, premier arrivé, premier servi. Les métatâches, c’est pour s’assurer que les tâches se remplissent dans l’ordre munal. Par exemple, la tâche des gestionnaires qui gravitent autour des autres relève de la métatâche. 


Les préoccupations et les intérêts 

Qu’est-ce qui nécessite les tâches ? Ce sont les préoccupations et les intérêts des Enfants de l’Empire d’AYITI. Ils seront listés et classés par communauté. Les préoccupations sont ce qu’il faut aux badr pour répondre à certaines exigences de leur corps, par exemple un hôpital, une école, une route, un système d’hygiène, une manière de faire inefficace dans la gestion globale, une suggestion, la construction d’un canal d’arrosage, etc. En essence les préoccupations engagent partiellement la DG et le Principat, autrement dit; ils ont leur part à faire pour que la chose voie le jour. Là où la préoccupation, après analyse, est jugée conforme, elle devient, dans certains cas, intérêt, si sa réalisation tombe dans l’activité globale, ce qui signifie des Enfants s’en occuperont, par exemple la construction de quelque chose. C’est la multiplication de l’activité globale, soit créer de nouvelles cellules, si la chose est déjà là, soit, dans le cas contraire, de procéder à son intégration. Toutes les productions font partie des intérêts des Enfants de l’Empire d’AYITI. Ce qui différencie la préoccupation de l’intérêt, c’est que la première est partagée entre premièrement la DG et le Principat, puis secondairement le CQ alors que l’intérêt est affaire des Enfants. Tous et toutes collaborent entre eux par et pour la production globale. En dernière analyse, tout, au point culminent, est intérêt.   



Les intérêts et préoccupations s’énoncent au cours des réunions de chaque Comité de Quartier. Ils sont listés par les Enfants chargé-e-s de le faire et, en plus de cela, classés par leur nature. D’où la nécessité de l’organisation interne et les métatâches. À la fin du processus, les gestionnaires les envoient, tels quels, sans aucune modification, au Principat comme à la Direction Générale, laquelle se charge, c’est sa fonction, de les étudier et prendre la décision qui s’impose, puis l’acheminer au Principat ensuite. En fait le Peuple-État, qui forme les CQ, se gouverne. Il constitue le démarrage des affaires de l’Empire d’AYTI, la matière première vient de lui. On ne lui impose rien. Les intérêts et préoccupations énoncés ne peuvent faire l’objet d’aucune évaluation de la part des gestionnaires du CQ. En d’autres mots, il n’y a pas de tri. Ils sont de tous et toutes sans exception. 



Il y a une école de l’art de b⊗nqyer dans chaque CQ pour former les Enfants dans le domaine afin qu’ils puissent s’acquitter parfaitement bien de leur tâche, dans le sens d’exigence munale. Ils comprendront mieux la Pensée Impériale et, du même coup, se comporteront convenablement chacune-chacun envers chacun-chacune, sans oublier l’Autorité ou l’Impériat, parce qu’ils détiendront l’Aune Impériale.



L’activité dans l’Empire d’AYITI se réduit à l’Art de Vivre, mais pas n’importe lequel, l’Art de Vivre ce que nous sommes, c’est-à-dire conformément à ce que nous sommes, soit yunité ou Ubuntu. C’est cela même la part munale par excellence. On n’est jamais dans un ensemble pour être dans un ensemble. Il y a toujours un but. Le savoir est d’une extrême importance pour pouvoir s’y conformer. C’est ce qui se fait à l’intérieur de l’Empire d’AYITI. 


Se mener soi-même s’inscrit dans cette logique. Il commence avec la Résistance Gwqmunale, se poursuit avec la naissance du Peuple et la formation du Peuple-État et culmine en Empire d’AYITI, puis continue avec les préoccupations et intérêts qui viennent du propre cru des Enfants de l’Empire d’AYTI. Toutes les institutions suggérées émanent de l’objectif, elles sont ses supports.

La Gwqmunité atteint son plus point dans la korbie, l’activité de production, une activité qui se fait avec minutie. Tout d’abord il faut être propriétaire de son champ de production, le soi calcule, juge et exécute. Tout cela se fait à partir de la pensée-guide, la munoancestralité. Nous pensons, en tout, à l’Ensemble auquel nous appartenons, par exemple, ma production vise les autres avec lesquel-le-s j’existe; quelles sont les normes que je m’impose en conséquence; suffiront-elles à me conduire jusqu’au bout, etc. Se conduire soi-même, c’est penser constamment à soi lakortalement, comme corps.



L’unique élément de base de la korbie est d’être propriétaire. Jean Jacques Dessalines l’a très bien compris, il énonce la nécessité de tout partager à tous et toutes : “Nous avons tous et toutes combattu, tout ce que nous avons gagné est à nous, alors chacun-chacune aura sa part”. Il a recensé la population à cette fin. Jean Jacques Dessalines est très clair là-dessus, personne ne travaillera pour personne. Il est déjà établi, par le blancisme même, que travailler pour un autre que soi est lié à l’esclavagisation.  Par conséquent chacune-chacun doit être et est propriétaire. 



Quelqu’un dira peut être que cela vaut uniquement pour les Vainqueur-e-s, ceux et celles qui viennent de se battre. Non cela est complètement faux. C’est la population impériale qui est propriétaire, ceux et celles d’aujourd’hui comme celles et ceux de demain. Comment s’y prend-t-il pour y parvenir ? Dans un premier temps Sa Majesté Jacques 1er interdit la faillite : “La qualité. de citoyen est suspendue par l'effet des banqueroutes”. Le message est on ne peut plus clair, vous devez faire fructifier ce que vous recevez. L’Éternel Vainqueur de Napoléon Bonaparte, Jean Jacques Dessalines, entend que tout aille bien. Cette pensée l’amène à dire : “La faculté n'est point accordée aux pères et mères de déshériter leurs enfants”. L’Empereur assure le passage de la richesse ou des moyens de produire à la postérité. En somme il prend les mesures nécessaires pour protéger ce que chaque badr gagne. Ainsi est établi le système de propriété impériale et de suffisance badrale et globale, par l’activité korbique, mode de production sans dépendance ou gwqmun, ce qui, sans doute, permet à l’Empire d’AYTI de jouer son rôle sans trouble. Là, résident toute la valeur et la saveur infinies de l’Éternel Empire d’AYITI car, par soi-même, chaque badr, en oeuvrant, pense en même temps aux autres ainsi qu’à soi-même, en matière de Blrz. Il s’ensuit forcément ceci, un aspect de la Mission de l’Empire d’AYITI : Considérant qu’après une longue série de malheurs et de vicissitudes, il convient d’assurer la garantie et la sûreté des citoyens d’une manière immuable et irrévocable.“Avec l’Empire d’AYITI nous sommes dans un autre registre.  Nous sommes à des années-lumière du kokcn hcn dewqjmq. Que c’est magnifique ! La tranquillité enfin !     



C’est exactement ce à quoi l’Empire d’AYTI vous invite. Nous avons déjà parlé à des spécialistes et des gens d’expériences au sujet des biens et ressources de notre terre, la terre de nos Ancêtres, dénommée l’Empire d’AYITI. Les réponses sont concluantes, notre terre peut fournir à toutes et tous tout ce qu’il leur faut en cette matière, et même plus. Cela est encourageant et réconfortant. L’Éternel Empereur Jean Jacques Dessalines avait raison de dire, en 1805, au moment de la campagne en Dominicanie : “Cette partie de l’Île, en parlant du Siège de l’Empire d’AYTI, est la plus importante. Il faut la protéger”. Les gens en question, qui sont invités, et même d’autres, à préparer la répartition, comme le veulent les Ancêtres, doit commencer par les plus démuni-e-s. Ils ont attendu beaucoup trop longtemps. Ce n’est pas un projet mais un fait. Plus “de malheurs et de vicissitudes”, c’est loin tout ça ! C’est la certitude que porte l’Empire d’AYITI. 



Au début, pour empêcher tout ça, le blancisme et les irréductibles libres ont eu recours à l’assassinat de Sa Majesté Jacques 1er le 17 octobre 1806, et, tout de suite, ils instituèrent la défunte république d’Haïti. Depuis ce temps les blancistes ont mis sur pied un système de verbiage par l’intermédiaire des mêmes personnes, des gens à la munité sèche, qui, physiquement, nous ressemblent, pour camoufler le rétablissement de l’”esclavage” et la pratique sauvage de l”antinégrisme. Ils cherchent à obscurcir la Puissance et la Certitude qui nous, Négresse et Nègre, caractérisent en faisant passer la Résistance Ancestrale, et la Colossale Victoire Ancestrale qui s’en est suivie, pour un simple et pauvre désir de reconnaissance par le blancisme. Ils visent subtilement par là à justifier l’état actuel des choses, soit l’esclavagisation. Ils ne comprennent pas, et n’y parviendront certainement jamais, qu’il est impossible d’articuler le blanc au noir - qu’ils sont, bien sûr -, ce qu’ils appellent “accéder à l’humanité”, au sens blanciste du terme, parce que le blanc est ce qu’il est ou se dit être, soit “l’homme”, au sens restreint du mot - “c’est le teint qui fait l’homme”, affirme Charles de Montesquieu -, par la sous-humanité du noir, au dire même du blanc, faut-il le noter, et qu’il est en immersion dans le blanc, c’est-à-dire qu’il est infiniment zéro en présence du blanc, donc un rien, autrement dit, d’un côté “l’être”, de l’autre le néant ou vide. Dans un tel contexte, aucune articulation n’est possible. N’est-ce pas ce qui s’appelle : “savoir courir mais ne pas savoir se cacher”, ce qui revient à dire, n’importe quoi. La faiblesse de l’intelligence les cantonne, Saint-Jacques et son chien, dans une seule pensée à chaque fois qu’ils sont dans l’impasse, qui est Négresse et Nègre : Puissance et Certitude - un fait manifesté, une fois de plus, dans l’Organisation de la Structure Impériale -, la réédition du 17 octobre 1806 en guise d’échappatoire.     



Aujourd’hui par votre engagement dans le CQ, vous prenez la revanche.  La Victoire est à NOUS ! Nous savons tout ce qu’il fallait. Nous les suivons de très près, nos ennemis naturels ! Nous prenons toutes les mesures que cela implique. Alors NOUS jouissons enfin de tout ce que nos Ancêtres ont préparé pour NOUS. 



L’objectif de ce décret est de donner une idée de ce qui se fait et de ce qu’il faut faire ensuite pour avancer inexorablement dans la Victoire. Que tout le monde en saisisse l’occasion !



Il est à noter que les gestionnaires ne sont pas rémunéré-e-s parce qu’ils ne travaillent pour personne mais pour eux-mêmes, elles-mêmes. Ils gèrent leurs propres affaires. De l’argent, ils n’en manqueront jamais car l’activité de production est la leur propre avec ce qu’ils reçoivent comme part avec les biens et ressources. Ils mènent, nous insistons, directement leurs affaires. La gestion directe des Compétences relèvent de leur responsabilité en tant que Badr. Il n’y a qu’une activité, une seule, dans l’Empire d’AYITI, la korbie et la Compétencia. Celle-ci est le Métasensible. Il revient à chacune-chacun de s’engager à fond dans le Métasensible et la korbie. 



Les jeunes mun, celles et ceux qui ont des problèmes de santé ainsi que ceux et celles qui sont à la Compétencia, n’ont pas à s’occuper en même temps de la korbie, soit de leur activité de production. Il y a un champ de production consacré à cela. 



Le champ d’activité se développe au besoin. Ce sont la finalité et les objectifs de base qui orientent les institutions secondaires ou supporters.



Allons ! Montons ensemble notre mode d’exister, vie conforme à notre être munal ! Travaillons assidûment à notre Perfection, raison de notre présence dans la vie !


Celles et ceux qui ne sont pas en train d’oeuvrer ici, dans notre sein, sont du côté de nos ennemis naturels. Ils ont assassiné le corps physique de l’Empereur Jean Jacques Dessalines sous l’ordre du blancisme. Leur haine pour le Nègre et la Négresse est immense. Pendant plus de deux siècles ils ont maintenu largement ouverte la Porte de Notre Territoire pour que la bactérie mangeuse de Négresses et Nègres puisse opérer sans à se soucier de quoi que ce soit. Avant de fuir, le général français, Rochambeau, avait confié à une partie des libres la garde de la ville du Cap en vue de la défendre à l’approche de l’Invincible Général Jean Jacques Dessalines. Le venin en eux voyage de génération en génération, de décennies en décennies, faisant des ravages au milieu des Négresses et Nègres. Ils faisaient, à travers le temps, pleuvoir toutes sortes de malheurs, mêmes les inédits, sur le Peuple Impérial. Aujourd’hui ils sont tous et toutes, blancistes et libres, à découvert. Les irréductibles libres, bras-dessus bras-dessous avec les blancistes, sont prêts, prêtes, même après la destitution de l’ange de la mort sur notre Territoire, la république d’Haïti, à assassiner, affamer, maltraiter, etc., pour le blancisme. Ils le font quotidiennement. Nous, pas à pas nous les suivons jusqu’à leurs maîtres pour faire enfin respecter nos lois, les lois de l’Éternel Empire d’AYITI.

Comme nous toutes et tous, que nos Ancêtres se réjouissent de notre ferveur, de notre résilience et enfin de notre Victoire !


Dessalines PI WRD car l’Empire d’AYITI Triomphe tel que cela est inscrit en lui, en Notre Dieu, Bon-Dieu, et en chacune-chacun de NOUS ! 



Le Décret est entré en vigueur le 1 octobre 2024.


Pour la Maison Impériale Dessalines, l'Empire d'Ayti, Éternel Empire de Tóya-Dessalines, Empire de la Gwqmunalité, que l'ennemi et sa gang,  présents sur Notre Territoire Impérial, croyaient à tort avoir à jamais englouti :


HRH Sa Majesté Le Prince Weber Tiécoura Dessalines D’Orléans Charles Jean Baptiste, 7e de la Génération du Couple Impérial, Marie Claire Heureuse Félicité Bonheur et Jean-Jacques Dessalines, IIIe de la lignée des Empereurs d'AYITI, et Garant de la wÄnité du lakort, l’ordre du Nous, et l’Empire Tóya-Dessalines, Spécialiste et professeur de la science de la politique, théoricien de la politique, notamment du blancisme, et théoricien de la munalité, soit l’Existentialisme VudUn


https://www.linkedin.com/pulse/fini-enfin-la-haine-mis%25C3%25A8re-et-les-malheurs-dessalines-d-orl%25C3%25A9ans-zolne

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